Reconstruction surveillée ...

[PV Esar]

[ Hors timeline ]

[Le RP se déroule six jours après l'attaque du Ranch =)]
    Macchabée et ruiné : c'était les deux principaux termes à utiliser pour qualifier le Ranch Lonlon, six jours après l’attaque dévastatrice de Ganondorf. Les étables s'étaient transformées en véritable abattoirs et les lopins de terre autrefois immergés de fruits et de légumes savoureux étaient anéantis comme les dunes du Désert Gérudo. Les flammes avaient mangées et léchées les bâtiments. Le cycle de Nayru avait débuté et les temps plus froids étaient à venir. En « assassinant » le Ranch, le principal fournisseur en aliment d'Hyrule, le Roi des Voleuses n'avait plus qu'à attendre que les gens crient famine pour frapper à nouveau.

    Certains garçons de ferme avaient fui durant l'attaque, laissant certain de leurs coéquipiers et animaux périrent dans les flammes ou encore écrasés par les lames des dangereux Stalfos. De ceux qui étaient revenu, certains s'étaient excusés de leur attitude qu'ils qualifiaient d’égoïste, mais Malon leur avait fait gentiment savoir que ce n'était pas nécessairement : en quoi était-ce égoïste de sauver sa vie ? Le domaine Lonlon pouvait être reconstruit, avoir une seconde vie, alors qu'ils en avaient une seule. Elle aussi avait pensé à fuir, mais tenue en otage – et ensuite faite « prisonnière » par un troupeau de chevaux angoissés – et attachée au Ranch comme un Capitaine à son navire, la fermière était restée, bien qu’elle n’avait pu avoir une grande marche de manœuvre pour sauver des vies ou les quelques précieux biens du Ranch. Ceux qui s'étaient éteint reposaient désormais auprès des trois muses célestes.

    Malon gardait le moral, elle était le pilier des efforts fournit à la reconstruction, sans aucuns doutes. Talon y mettait du sien aussi, énormément. Jamais Malon ne l’avait vu prendre autant d’initiatives, autre que pour faire la sieste. Elle envoyait des encouragements par ci et par là, le sourire aux lèvres, s’attardait à nourrir et guérir les animaux qui avaient été amassés dans un petit enclos, là où l’herbe était toujours bonne, guérissait aussi les fermiers toujours en mauvais état ou qui se blessaient en déplaçant de lourdes poutres de bois calciné. Mais intérieurement, elle craquait, comme tout le monde.

    La première semaine avait été éprouvante, à purifier les terres Lonlon des cadavres, avant qu’une épidémie ne se développe. Retrouver les cadavres de gens chers faisaient toujours mal et constater les pertes animales n’étaient pas encourageant. Et pour ce qui était des constructions, quand Malon les regardait, elle avait la forte impression que jamais elle ne pourrait reconstruire le ranch comme il était avant, mais s’il avait été construit une fois, son père et elle pouvait bien le refaire … pour les gens d’Hyrule et la mémoire de sa mère. Ce que sa chère mère aimait ce grand lopin de terre. Son cœur devait être dévasté de voir cet endroit dans un tel état.

    Certaines personnes qui aidaient à la reconstruction du Ranch avaient dites avoir aperçu un homme à l’horizon, qui observait, tel un oiseau de proie, mais sans jamais chercher à s’approcher davantage. Une rumeur avait commencée à circuler comme quoi il était un agent de Ganondorf, que si la construction allait trop bien, le Seigneur Noir frapperait à nouveau. La jeune femme à la chevelure de feu les avait bien vite remis à leur place : il n’était certainement pas question de se laisser faire. La ferme Lonlon serait reconstruite, coûte que coûte et ce n’était certainement pas la peur qui les aiderait à acheminer leur objectif. Les gardes que la princesse avait mis à disposition s’occuperaient bien vite de ce voyou s’il était vraiment ce que les rumeurs disaient.

    Accroupie dans l’enclos destiné aux animaux, la belle s’attardait à soigner l’entorse d’un étalon, un de ceux qui avaient paniqué et avaient cherché la voix réconfortante de la fermière en traversant la laiterie. Certaines des bêtes autour étaient toujours angoissées, piaffant de nervosité dès que quelqu’un de plus ou moins connu s’approchait. Pour Malon, il suffisait de se mettre à chanter, tout doucement : un simple murmure et le troupeau se rassérénait. C’est d’ailleurs pourquoi elle s’y trouvait, la plupart du temps.

    Le vent soufflait doucement et le ciel s’était couvert de nuages en cette journée un peu plus froide. Il allait bientôt neigeoter. Les petites tentes où ils avaient tous trouvé refuge le temps de la construction n’allaient pas tenir longtemps, surtout si la première neige était pour bientôt. Cette douce brise menait cette odeur calcinée au nez de la demoiselle. Un désagréable parfum que Malon détestait plus que tout, mais au final, elle s’y était accoutumée. L’odeur lui collait à la peau jour après jour.

    Reniflant légèrement en se relevant, la jeune femme caressa la robe de l’animal. Un petit sourire aux lèvres, les yeux perdu dans le geste qu’elle effectuait, il était très facile de voir que la petite rousse était épuisée. Des cernes soulignaient ces deux billes d’un bleu éteint, ses cheveux étaient un peu plus en bataille qu’à l’habitude. Sa peau était tachetée de saleté, n’ayant pas nécessairement eu le temps de penser à se laver, ne serait-ce qu’avec un bout de tissu imbibé d’eau.

    Ses gestes étaient effectués au ralenti, tel un automate. Ses yeux se levèrent un peu et croisèrent ceux d’Epona. La jument devait sentir toutes les émotions de chamboulements que sa maîtresse ressentait. Elle se surprit à sourire un peu plus, comme si ce simple geste pouvait réconforter la jument, un sourire qui voulait dire « ne t’en fais pas, tout va bien. »

    En parlant de la jument à la robe rousse, qu’elle ne fut pas la surprise de Malon de la retrouver parmi le troupeau de bête affolées, alors qu’elle ne devait même pas s’y trouver. Elle devait être avec Link. Blessée à une patte – elle avait dû essayer de sauter par-dessus une clôture –, Malon s’était empressée de la soigner, non pas parce qu’il s’agissait de sa jument et qu’elle passait avant tout les autres sur la liste des blessés, mais bel et bien parce que Link risquait d’en avoir besoin pour ses déplacements. Même si en six jours, l’entaille n’avait pas dû cicatriser.

    Mais Epona était toujours là, dans le petit enclos, couchée. Rare était les fois où la farouche jument demeurait aussi longtemps au Ranch. Peut-être qu’il savait Epona blessée ? Ou alors il s’était aventuré dans des landes où il n’avait pas besoin de l’animal ? Peut-être que Link était blessé ? Voir pire …?

    Non, non, elle ne voulait pas y penser et se convaincu à l’aide de la deuxième option. Ce devait être aussi pour cette raison qu’il n’était pas venu à la rescousse du Ranch, d’ailleurs. Si elle lui en voulait, un peu, mais Malon s’en voulait surtout à elle de ne pas avoir pu défendre le Ranch. Peu importe, il ne devrait pas tarder à venir, pour s’assurer que Malon et Talon et tous les autres aillent bien, avant de reprendre la route, comme il faisait souvent. Après tout, l’événement n’était pas passé inaperçu. Tout Hyrule en avait été informé d’une manière ou d’une autre.

    Malon soupira légèrement, sentant la fatigue la gagner de plus bel. Elle était déboussolée, traumatisée par les événements, marquée. La main toujours sur la robe du cheval, elle leva les yeux un peu au ciel, décidément inquiète par tous ses questionnements. Elle y avait levé les yeux pour espérer y voir un rayon de soleil, mais ce dernier ne vint pas. C’était un peu comme l’avenir d’Hyrule : la lumière au bout du tunnel serait longue à trouver.

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Don Esar Dragmire


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Esar était caché derrière le feuillage d'un arbre ayant résisté à l'incendie qu'ils avaient lui et ses camarades provoqué. Même s'il ne restait pas beaucoup de feuilles, il était assez habile en bon Sheikah qu'il était. Et de son perchoir il se moquait bien des gens du ranch, riant parfois à pleine bouche au risque d'être découvert par ces pauvres petits insectes de soldats de pacotilles qui surveillaient les travaux.
En fait tout lui laissait à croire qu'il était découvert. Et ça, ça excitait beaucoup. Il allait pouvoir rire plus encore au dépent de ce ramassis d'incapables !!

Esar suçota son doigt et en aspira le sang. Le guerrier s'était maladroitement blessé en jouant avec son couteau. Heureusement qu'il ne jouait pas avec Ridill ou la lame se serait joué de lui ! Sa lame magique était très dangereuse. Empoisonnée et de drain et au hurlement aussi dangereux que celui d'un Effroi, tout ceux qui l'avaient croisée s'en souvenait...mais ne pouvaient pas témoigner.

"Pas mauvais comme toujours. Etrange en bouche mais pas mauvais... je me demande ce que goutte la fermière...

Esar sauta de la branche de l'arbre et atterissa sans bruit dans la neige fraîche, bien qu'il il laissa une profonde trace. Bien que naturellement resistant, Esar avait froid et pour cause il était bras nu dans son armure de cuir. Telle le faucon qui observe, le Croisé regarda à la recherche de quoique ce soit pour se réchauffer et pour entrer s'amuser au dépent de la fermière.

Le Sheikah s'approcha alors d'un de ces idiots de soldats de Zelda. Peuh ! La défaite qu'ils leur avaient infligé lui et ses camarades ne leur avait pas suffit ? Esar allait lui montrer, en rajouter une couche.

"Pauvre petit tu aurais du fuir quand tu en avais le temps !"

Il décapita le soldat sans autre forme de procès et sans lui laisser le temps de se retourner voir son pire cauchemar. Esar quand à lui se lécha les babines pendant que la tête roulait dans la neige dans un trait rouge. Ensuite seulement Esar débarrassa l'armure de son corps et l'enfila pour entrer dans le rôle d'un soldat. l'ironie de la situation le faisait rire et Esar se retenait difficilement pour rester crédible.

Le croisé trouva la fermière dans l'enclos près des chevaux blessés. Il sourit dévoilant toutes ses dents comme un carnassier à la fermière.

Je peux t'aider fermière ?


    Malon était perdue dans la lune, depuis voilà déjà un petit moment. Parfois, elle avait cette irrésistible envie de s’éloigner du Ranch Lonlon et de se diriger dans un coin tranquille. Comme la forêt ? Oui, la forêt lui semblait être cet endroit idéal où elle pourrait se coucher en boule, à la base d'un grand arbre, dans la neige, et pleurer. Pleurer tout simplement pour laisser sortir toutes ses émotions, sans que personne ne s’inquiètent de la voir dans un tel état. Ce que ça lui ferait un bien de fou.

    La voix d’un homme la fit sursauter. La jeune femme se retourna avec hâte : pendant une demi-seconde, elle eut pensé que ce fut Link, même si sa voix sonnait totalement différemment du garde qui se trouvait juste derrière elle. Elle esquissa un sourire, se rendant compte de sa bêtise. Elle trouva le sourire du garde … bien étrange, certes. Déconcertant. Les chevaux piaffaient, mais Malon n’y prêta pas tant d’attention, après tout, ils piaffaient dès que quelqu’un s’approchait.


    « J’apprécie votre offre, monsieur, mais vous devriez aller voir les personnes là-bas, il est certain qu’ils ont plus besoin d’aide que moi. » déclara-t-elle doucement en pointant le groupe d’homme qui tentait de relever une lourde poutre de bois.

    Si elle refusait son aide, aussi, c’est que la jeune femme savait que les chevaux n’étaient pas faciles à approcher et ne voulait pas prendre le risque que le garde se blesse en voulant faire le bien. Malon avait déjà tous les outils dont elle avait besoin dans le petit panier à ses côtés : des bandages, des aiguilles, du fil ainsi que quelques compresses. De ce fait, elle n’avait pas besoin d’un assistant … surtout un assistant avec un sourire aussi effrayant, c’était le cas de le dire. Peut-être ne savait-il pas sourire tout simplement ? Oui … oui, ça devait être ça, même si Malon ne pouvait s’empêcher de lui sourire un peu timidement, effrayée tout de même pas lui.

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Don Esar Dragmire


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Esar sentait la peur. Gentilles petites bebettes. Elles ne l'avaient pas oublié, n'est-ce pas ? Il était inoubliable et Esar savait que les animaux avait retenu son odeur. Si elles piaffaient s'était un signe : il leur inspirait la peur, et il aimait ça. Esar avait flairé aussi l'inquiétude de la fermière,le croisé la mettait mal à l'aise, et elle devenait timide en face de lui. La fermière était plus jolie en étant timide et Esar se sentit le tempérament joueur.

"C'est toi que je veux aider fermière, je me fiche bien des autres.

Esar avait parlé, et Esar ne supporterait pas d'être contredit. Le croisé était froid et dur et son sourire carnassier s'agrandit en un sourire grand ouvert, mesquin et fort provocateur. Il fallait que la fermière comprenne qu'il était une réel pointure, et qu'il décidait donc en tout point ici.

"Regarde comme ils ont l'air bête, avec leur planche. Ce sont des abrutis et des manchots et je ne travaillerais pas avec des vieux butors et des vieux croulants."
dit-il d'un ton ironique accompagné par un de ses sourire mesquin et fort provocateur,même si la colère se sentait un peu dans sa voix. Esar avait toujours été bon comédien.

Esar tendit la main vers le cheval qui venait de recevoir les soins de la fermière. Epona, le cheval du héro du temps. S'il pouvait le voler, il deviendrait bien plus. La lueur brillait dans son regard et son sourire ne se déparraillait pas de mesquinerie et d'ironie fort provocatrice. La jument ne rechigna pas même si elle était connue pour ne pas aimer les inconnus. Il fallait dire qu'il aimer les chevaux.

"J'aime monter fermière. Et toi avec tout ces chevaux tu dois être une pointure n'est-ce pas ?"


    Malon avait nettement froncé des sourcils, choquée. Elle ne put s’empêcher de dévier la tête dans la direction des hommes et des femmes qui s’occupaient des bâtiments quand le garde les souligna. La fermière serra les dents : comment pouvait-il insulter ces braves gens ? Elle préféra cependant garder le silence, sachant que les mots qu’elle prononcerait sortiraient n’aurait ni queue ni tête, démontrant seulement une agressivité non contrôlée.

    La rouquine lui fit rapidement dos afin de s’occuper de la bête suivante. Peut-être qu’en l’ignorant, cet homme étrange comprendrait qu’elle ne voulait pas de son aide et qu’il pouvait bien aller voir ailleurs.


    « Pa – Pardon ? ! »

    Elle avait élevé le ton, légèrement, se retournant pour faire face à cet homme impoli. La peur était certes toujours présente, mais était rapidement passée en arrière-plan pour laisser place à une certaine colère. Elle avait très bien compris, certes, mais n’en croyait toujours pas ses oreilles. Ses yeux azurés s’étaient posé un court instant sur la main de l’homme posée sur l’encolure d’Epona : elle n’aimait pas qu’un homme aussi insolite et effrayant dépose la main sur la jument, de peur qu’il lui fasse du mal. Elle ouvrit la bouche, un court instant, cherchant ses mots.

    « Monsieur, je vous demanderais de quitter mes terres. Vos propos sont irrespectueux et nous n’avons pas besoin de quelqu’un qui crache son venin. »

    Ce que l’envie de le baffer était puissante ! Ou même l’envie de lui mettre un goût pied au cul ! Ah et ce sourire, si elle le pouvait, la rouquine lui ferait ravaler toutes ses dents. Mais c’était un garde et son geste entrainerait certainement des conséquences indésirables.

    « Je vais d’ailleurs de ce pas en parler à votre supérieur. »

    Et tout de suite, d’ailleurs. La jeune femme le laissa planter au beau milieu des bêtes, quittant la petite enclos, prête à se lancer à la poursuite du garde en chef des lieux.

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Don Esar Dragmire


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Esar rigola fort quand la fermière dit qu'elle allait en parler à son supérieur. Esar ne pouvait s'empêcher de penser a Ganondorf. Ahahaha ! Comme si son supérieur aurait quelque chose à foutre qu'il tienne des propos comme ça. Esar savait qu'il mettait sa couverture en danger mais ce n'était pas grave, car il était assez fort pour partir sans problèmes... et si les soldat étaient trop nombreux, le croisé pouvait fuir sans trop de problèmes...

Il posa sa main sur la tête du cheval du héros et pensa a partir avec si il avait ds problèmes. Comme ça le héros serait affaibli et lui aurait plus de forces contre lui. Esar laisse la fermière s'éloigner et caressa la bête qui hennit. Il sentait la peur et il aimait ça. Il continua encore un peu. Jusqu'à ce que la fermière soit un peu loin après quoi Esar lâcha l'animal et parcourut le territoire de Malon avec les yeux.
Il eu un sourire fort provocateur accompagné d'une phrase provocatrice et mesquine :[/i]

"Tu ne devrais pas fermière ton exploitation pourrait ne pas aimer."

Esar sourit l'air méchant tout en fixant toujours le même point dans les décombres. Un bonnet vert. qui porte un bonnet vert et qui c'est battu ici, il y a peu de temps ? Link. Le sourire du croisé devint plus grand et plus méchant et il alla chercher le bonnet couleur espoir. Le cid gris leva le bonnet haut dans le ciel et rattrapa la foulée en quelque foulées. Esar attrapa son bras, la força à se retourner et lui dis :

"Boucle là.

sans laisser le temps à la fermière de faire quoique ce soit et sans sourire pour une fois il embrassa la fermière.


    "Tu ne devrais pas fermière ton exploitation pourrait ne pas aimer."

    Malon marchait d’un pas décidé. Il était fou, clairement. Quelque part, cet homme lui faisait peur. Il dégageait quelque chose … une « aura » désagréable. Elle ne savait pas vraiment où exactement elle allait, car après tout, celui désigné comme étant le capitaine pouvait être n’importe où sur le site du Ranch.

    La rouquine le senti arrivé derrière elle, à une vitesse assez grande. Son poignet fut immobilisé et elle se retourna, sous la douleur causée par l’empoignement de l’étrange homme.


    « Arrêtez ç … »

    Malon n’eut pas le temps de terminer sa phrase, ni même de se défaire de son emprise qu’il avait les lèvres collées sur les siennes. Si l’une de ses mains était totalement tenue de force, l’autre se referma en un poing et vint frapper le visage de l’homme. Elle sentie la cotte de maille amortir son coup, et bien sûr, lui érafler quelque peu la jointure des doigts.

    « Où … »

    Le bonnet était définitivement à Link. Elle était horrifiée : où avait-il péché ça ? Sans continuer sa phrase, elle se jeta sur le bonnet, oubliant la peur et le mal aise que lui insufflait l'homme.

    «Rendez-moi ça ! »

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Don Esar Dragmire


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Esar n'apprécia pas du tout de se faire frapper. Il aimait qu'on lui resiste mais il restait le maître. Même si il n'avait pas eu mal le croisé n'aimait pas du tout. L'intention en soi dérangeait Esar... Comment la fermière pouvait elle oser ?? Le Croisé ne l'accepterait pas.

Esar repoussa Malon qui se jetait sur lui pour récupérer le bonnet. Il frappa du genoux dans le ventre pour la forcer à reculer, et peut etre la faire tomber par terre. Esar ne pensait plus qu'à la faire payer pour l'humiliation que la fermière avait essayer de lui imposer. Le cid gris tapa a nouveau en visant principalement ce beau visage... Un jour il serait sien, ou il serait mort. On ne lui resistait pas impunément ou éternellement.

Salope...

Il la regarda droit dans les yeux avant de sourire avec un faire provocateur et fort ironique puis, il griffa sa joue férocement d'un coup de gantelet. La joue de la fermière saignait fort bien. Esar réprima un rire narquois. Il posa ses lèvres sur celles de la rouquine une deuxième fois.

"Tu donneras ça à ce "héros" de ma part"

Dit-il en laissant tomber le bonnet avant de partir en traversant le mur de l'étable.