Ah, l’herbe verte de la Plaine… ! Chance la piétinait allègrement en sortant du ranch Lonlon, dents et poings serrés. Jamais. JA-MAIS depuis toutes ces années il n’était parvenu à arnaquer ce vieux schnok de Talon ! Et sa fille… Cette cruche, cette nunuche, cette gourdasse, cette bécasse ! Cette maudite sainte ni touche qui lui faisait toujours ses yeux de merlan frit et à qui il aurait volontiers conseillé d’aller se faire décoincer chez les sbires de Ganondorf.
Oui, Chance devenait rapidement vulgaire une fois très énervé.
Dans un grognement excédé, il s’installa au pied d’un arbre, s’alluma une cigarette, baissa son chapeau sur ses yeux et plaça ses bras derrière sa tête afin de faire une sieste. Journée perdue pour journée perdue… !