Ocarina of Time
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Refuge chez les Zoras (libre)
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[HRP : de retooouuuuur XD oui, oui, je sais, je ne fais que changer, mais bon, pas facile, de choisir entre deux persos qu'on aime XD]
Après une semaine éprouvante, Eylun n'était plus en état. Enfin, elle était en forme, oui, mais cette semaine à créer 6 artéfacts afin de récupérer son esprit au cas où elle perdrait la mémoire à nouveau, Eylun était affaiblie.
Et sa situation serait fort critique si jamais elle se retrouvait face à un danger...
Et Cabron étant occupé par la guilde, Eylun, débrouillarde, était donc partie seule, en direction du domaine zora. Et, voulant quand même faire des efforts envers lui, et donc de ne plus partir sans rien dire, mais sans pour autant mettre des indices comprometteurs sur sa position, elle lui avait laissé un simple mot :
"La vie est comme une rivière. Car elle s'écoule à partir d'un point, pour aller mourir dans un autre, tout en étant parfois troublée par moments dans sa longue vie...".
Il comprendrait, en rentrant chez lui, dans la forêt kokiri. Lui, comprendrait, une tierce-personne, non. Ainsi, elle avait trouvé un bon compromis. Un peu comme un message codé. Parce que, au premier abord, on se disait "oui, bon, okay, si on veut", mais on ne portait pas grand intérêt. Mais quand on connaissait Eylun...on savait que ses actions n'étaient généralement pas dûes au hasard, elle calculait pas mal de ses gestes.
Alors Cabron la connaissant plutôt bien, il saurait qu'il s'agissait d'une sorte de code, et non-pas d'un délire artistique comme ça.
Eylun arriva au domaine, après avoir franchi la grande cascade. Le domaine des zoras était toujours aussi beau, utopique...les murs donnaient l'impression de danser, avec les reflets de l'eau dessus qui bougeaient...
Elle se dirigea vers la salle d'audience, soucieuse de respecter le protocole, car on le sait tous, les zoras étaient très à cheval là-dessus.
Ainsi, une fois dans la salle, elle s'agenouilla devant le roi zora, se présenta, et présenta sa requête. Celle de passer quelques jours dans le domaine, afin de se rétablir, loin de tout danger.
Lorsque cela fut fait, elle quitta la salle et descendit vers le grand bassin où plusieurs zoras nageaient.
On lui attribua une cavité, l'un des endroits où reposaient des voyageurs. L'elfe remercia le zora, et y déposa ses affaires : elle se défit de sa grande cape bleue, ce qui lui donnait un espact encore plus grâcile.
Elle détacha ensuite la fine cordelette de cuir qui retenait les pans de vieux tissu qui lui servait de "bottes", et laissa tomber ceux-ci sur le sol dans la cavité qui lui était destinée pendant quelques jours.
Elle sortit ensuite, respirant avec bonheur l'air humide des Zoras. Sûr que ça changeait des forêts et bois où elle avait l'habitude de vivre, mais c'était tout aussi appréciable.
Elle redescendit alors tout en bas, et plongea un pied dans l'eau froide. Elle vivant à l'état sauvage généralement, cela ne lui fit rien, au contraire, elle en ressentait un profond bien-être.
Elle s'avança, appréciant à sa juste valeur le contact avec l'eau froide sur ses jambes nues, avant de se diriger vers un rocher par-là qui semblait bleu à cause des différents reflets, et s'y assit, laissant l'air humide la caresser.
Ce monde était encore différent du sien, mais elle l'aimait déjà beaucoup. Elle y resterait quelques jours, le temps de se rétablir complètement.
Après un long moment, elle revint à la réalité, dressant une oreille attentive : une autre personne entrait dans le domaine. L'elfe jeta un regard vers le haut, vers l'étage où l'entrée y était.
Cette fameuse personne était...
[HRP : "cette fameuse personne était" qui vous voulez XD on va essayer de relancer ^^]
Après une semaine éprouvante, Eylun n'était plus en état. Enfin, elle était en forme, oui, mais cette semaine à créer 6 artéfacts afin de récupérer son esprit au cas où elle perdrait la mémoire à nouveau, Eylun était affaiblie.
Et sa situation serait fort critique si jamais elle se retrouvait face à un danger...
Et Cabron étant occupé par la guilde, Eylun, débrouillarde, était donc partie seule, en direction du domaine zora. Et, voulant quand même faire des efforts envers lui, et donc de ne plus partir sans rien dire, mais sans pour autant mettre des indices comprometteurs sur sa position, elle lui avait laissé un simple mot :
"La vie est comme une rivière. Car elle s'écoule à partir d'un point, pour aller mourir dans un autre, tout en étant parfois troublée par moments dans sa longue vie...".
Il comprendrait, en rentrant chez lui, dans la forêt kokiri. Lui, comprendrait, une tierce-personne, non. Ainsi, elle avait trouvé un bon compromis. Un peu comme un message codé. Parce que, au premier abord, on se disait "oui, bon, okay, si on veut", mais on ne portait pas grand intérêt. Mais quand on connaissait Eylun...on savait que ses actions n'étaient généralement pas dûes au hasard, elle calculait pas mal de ses gestes.
Alors Cabron la connaissant plutôt bien, il saurait qu'il s'agissait d'une sorte de code, et non-pas d'un délire artistique comme ça.
Eylun arriva au domaine, après avoir franchi la grande cascade. Le domaine des zoras était toujours aussi beau, utopique...les murs donnaient l'impression de danser, avec les reflets de l'eau dessus qui bougeaient...
Elle se dirigea vers la salle d'audience, soucieuse de respecter le protocole, car on le sait tous, les zoras étaient très à cheval là-dessus.
Ainsi, une fois dans la salle, elle s'agenouilla devant le roi zora, se présenta, et présenta sa requête. Celle de passer quelques jours dans le domaine, afin de se rétablir, loin de tout danger.
Lorsque cela fut fait, elle quitta la salle et descendit vers le grand bassin où plusieurs zoras nageaient.
On lui attribua une cavité, l'un des endroits où reposaient des voyageurs. L'elfe remercia le zora, et y déposa ses affaires : elle se défit de sa grande cape bleue, ce qui lui donnait un espact encore plus grâcile.
Elle détacha ensuite la fine cordelette de cuir qui retenait les pans de vieux tissu qui lui servait de "bottes", et laissa tomber ceux-ci sur le sol dans la cavité qui lui était destinée pendant quelques jours.
Elle sortit ensuite, respirant avec bonheur l'air humide des Zoras. Sûr que ça changeait des forêts et bois où elle avait l'habitude de vivre, mais c'était tout aussi appréciable.
Elle redescendit alors tout en bas, et plongea un pied dans l'eau froide. Elle vivant à l'état sauvage généralement, cela ne lui fit rien, au contraire, elle en ressentait un profond bien-être.
Elle s'avança, appréciant à sa juste valeur le contact avec l'eau froide sur ses jambes nues, avant de se diriger vers un rocher par-là qui semblait bleu à cause des différents reflets, et s'y assit, laissant l'air humide la caresser.
Ce monde était encore différent du sien, mais elle l'aimait déjà beaucoup. Elle y resterait quelques jours, le temps de se rétablir complètement.
Après un long moment, elle revint à la réalité, dressant une oreille attentive : une autre personne entrait dans le domaine. L'elfe jeta un regard vers le haut, vers l'étage où l'entrée y était.
Cette fameuse personne était...
[HRP : "cette fameuse personne était" qui vous voulez XD on va essayer de relancer ^^]
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