WINTER IS COMING: Laiterie [3]

[ Hors timeline ]

    La journée avait été très impavide : les clients s’étaient faits rare et les animaux semblaient vivre au ralenti. À croire que le retour du Malin ne semblait pas encore affecter Hyrule, ou du moins le serein domaine Lonlon. Sous les judicieux conseils de Link, Malon avait abandonné l’idée de construire ce dangereux et « inutile » échafaudage à l’entrée du Ranch. L’armature était toujours bel et bien là, mais loin d’être achevée.

    Dans la laiterie, la fille du propriétaire inventoriait un à un les barils de lait, qu’elle devrait livrer le Hyliani prochain au Château. La rouquine les comptait en murmurant, déposant une main sur chacun des tonneaux, pour que les chiffres restent bien ancrés dans sa tête. Une fois un étage compté, elle se dirigeait vers une petite table non loin pour y apposer les chiffres sur une feuille. Ce n’était pas le travail qu’elle préférait exécuter, mais Talon et Ingo étaient tous les deux à Termina, afin d’acheter des selles et d’autres carrioles, certaines du Ranch allant bientôt rendre l’âme.

    Passant une main dans sa chevelure rouge, Malon se redressa, refaisant ce même aller-retour qu’elle devait faire depuis voilà une bonne heure. C’était un boulot tranquille, mais pour la fermière, c’était plutôt un travail épuisant. Elle penchait plus pour l’action qu’à ce genre de tâches pacifiques. Recommençant à compter, les chiffres s’entremêlaient bien vite entre ses lèvres à ce soudain boucan. Malon releva la tête, jetant un bref regard à un baril encore découvert : le lait y faisait de petites vaguelettes.

    La paysanne se figea, son visage abîmé par cette expression de surprise et d’inquiétude.


    « Qu’est-ce que … »

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Amar Sundi


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La porte s'ouvrit avec fracas- sortant pratiquement de ses gonds- et laissa entrer un hylien et quatre Stalfos armés jusqu'au dents. L'homme semblait prendre la tête du petit bataillon. Il leurs fit signe de resté à l'entré pour y faire une reconnaissance à tâtons.

Une chaise, une table, une dizaine de tonneau de lait, quelque ruminant et une jeune femme...

L'homme tourna la tête vers la gauche, puis, fit un mouvement circulaire vers la droite comme pour «regarder» de ses yeux aveugles. Il ce tourna vers le petit groupe de monstre resté dans l'embouchure de la salle et dit :

«Un ressort aider ses camarades, un autre bloque la porte avec une chaise pendant, le troisième renverse la table pour assurer une protection contre les flèche et enfin le dernier avance vers les enclos !»

D'un mouvement rapide les soldats s'exécutèrent, sauf un qui regardait l'hylien d'un œil mauvais. Il devait faire une trentaine de centimètre de plus que lui, il était cinq fois plus large et pourtant, il devait recevoir des ordres d'un type qui n'avait aucune légitimité de surcroit aveugle.


«Hey, petit, pour qui tu te prend ? T'est pas notre chef que je sache. Rien ne m'empêcherais de te briser le crane pour ton insolence ! »

Le Stalfos sortit sa lourde épée mais n'eut pas le temps de s'en servir. Danzet s'était habilement glisser entre son bras et le reste de son corps, il tenait dans sa main sa dague enfoncé dans la boite crânienne du squelette.
Le cadavre ce dissipa comme tout montre invoquer par le seigneurs, laissant derrière lui son lourd glaive qui ce ficha dans le plancher. L'arme était trop lourde pour l'aveugle qui s'en détourna après l'avoir au préalable jeter dans un coin, puis, il se tourna vers la jeune fille qu'il l'avait jusqu'à présent ignoré.


«Bonsoir mademoiselle, excuser notre intrusion chez vous, mais considérez vous comme otage des soldats de Ganondorf.»

Dit t'il en souriant, puis, il pausa sa main dans le dos de la rousse pour la pousser vers le petit espace crée entre la table renversé et le mur.

«Je vous serez gré de bien vouloir vous placer la dedans sans faire trop d'histoire car voyer vous, mes amis ici présent ne font pas dans la dentelle et risque de vous faire du mal, ce serait bête de d'être désobligeante à un moment si crucial.»

Un squelette pris par le bras la jeune demoiselle et l'aveugle ce détourna de la rouquine pour s'intéresser à la porte. Elle ne tiendrait pas longtemps avant d'être brisé par les forces du biens cherchant à les faire fuir. Danzet regarda quelque instant les tonnelet de lait, si les adversaires devienne trop nombreux, il pourra aisément les noyer dans du lait, en attendant, il pris la louche laissé à l'abandon pour en boire une louche, les adversaires pouvait venir, les Stalfos étaient en position pour les recevoir. L'aveugle souri, personne ne passerait par la.


Nerezzo


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Nerezzo était sorti des habitations. Son coeur battait la chamade. Il avait peur, bien qu'il soit déterminé à aller sauver Malon, aider Link et infliger une punition à Ganondorf. Cependant, lorsqu'il arriva près de la laiterie, il vit un Stalfos devant la porte. Ce dernier ne l'avait pas vu. Il monta sur le toit d'un bâtiment proche, puis se rua sur le squelette. L'impact fut tellement puissant que les côtes de ce dernier se brisèrent. Le reste de son corps fut projeté contre la porte, qui éclata en de nombreux petits morceaux. Là, à l'intérieur, il reconnut Malon, la fermière, ainsi que quelques Stalfos, et un étrange personnage qui semblait aveugle. Il se releva, puis d'un regard plein de colère, d'un air ironique, il dit:
"-Bien le bonjour à vous, serviteurs du Malin."


Raeven


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Je ne m'étais pas rendu dans les habitations pour me reposer cette nuit. Je cherchais plutôt le calme et la fraîcheur de la nuit, en fait. En cette saison, le ciel est dégagé, et il est agréable de compter les étoiles de chaque constellations, tout en tentant de m'en rappeler le nom. C'était l'un de mes plus grands plaisirs depuis que j'ai commencé à tourner mon regard vers les sphères célestes, dont certaines sont aussi glacées que les profondeurs du Néant. Un Froid que j'aimerai savoir maîtriser, c'est souvent ce que je pensais. Pourtant, rien ... j'étais assez décidé, en fait, de rester ici cette nuit, et rien de mieux qu'un verre de lait glacé pour se tenir éveillé.

Rien ne se passait, mais à peine eus-je posé le pied sur le sol pour me mettre debout que le vacarme commença. Un feu commença à prendre au niveau des habitations, et j'ai sentit une ténébreuse présence, furtivement, comme si elle cherchait à se cacher. Courant vers lesdites maisons, je m'approchai de plus en plus de la laiterie, et de loin, je vis un homme sauter sur les toits pour finalement exploser le Stalfos présent devant la porte :

"Ainsi, tout à commencé, la véritable bataille pour notre terre..."

Au fond, je n'avais pas particulièrement envie de me battre, mais il fallait se faire à l'idée, le Mal venait de poser à nouveau un pied envieur sur Hyrule, et c'était à nous, gens libres et saints d'esprit, de lutter contre cette grandeur diabolique. Je n'étais plus qu'à quelques mètres de la porte, lorsqu'une froide sensation me parcouru l'échine. Elle venait de me dire qu'Elle était là pour ce combat. Pour notre combat. Elle ne pouvait se laisser détruire par ces Ténèbres mal utilisées... j'arrivai au devant de la porte, ouverte, marchant sur les éclats d'os, qui craquaient, un peu comme le crissement d'une neige épaisse, sous mes pieds. A l'intérieur, trois personnes étaient présente ; un homme et une silhouette encapuchonnée, qui semblait se faire face. Derrière celle-ci, la fille du patron de ce Ranch. Probablement celui qui méritait de congeler, jusqu'aux os. Mais, je lâchai d'un ton neutre, presque détaché.

"Ne me dites pas que vous espérez réussir ce coup, si ? Je croyais votre Maître plus... intelligent que cela, mais j'ai du me tromper"

Je décalai lentement son pieds gauche derrière moi, près à tenter une esquive à n'importe quel moment...


    Le vacarme s’était fait de plus en plus tonitruant. Malgré le fait qu’elle éprouvait la nécessité de se trouver un lieu où se mettre en sécurité, Malon avait fait quelques pas en direction de l’embrassure de la laiterie. La Curiosité était plus forte que tout, quoiqu’elle valsait avec Inquiétude et Peur. La rouquine ne savait pas du tout qui ou quoi s’en prenait à son Ranch, mais avait la forte impression qu’il s’agissait d’un bataillon entier qui se mouvait sur le domaine Lonlon. Armée L’adrénaline s’était déjà engagée dans les veines de la jeune femme, lorsque la porte s’ouvrit avec fracas, la faisant tressaillir. Ses mains vinrent étouffer un cri de surprise. Malon recula bien vite, mais sa foulée s’immobilisa lorsque son échine heurta la table comblée de paperasses.

    Des Stalfoss. En fait, c’était la première fois qu’elle en voyait. La jeune femme n’était pas du tout charmée par cette rencontre. La suite se passa très rapidement, le borgne qui ne semblait pas l’être au final, avait tout simplement pulvérisé l’un de ses soldats. L’homme aveugle s’avança ensuite vers elle, et la fermière ne put s’empêcher de se croire idiote de ne pas avoir tenté de se cacher avant ça.

    Malon était devenue muette comme une carpe, regardant les hommes-squelettes et leur chef aux yeux bandés se disperser dans la laiterie. Ses yeux luisant s’exprimaient pour elle, en sautant nerveusement d’un belligérant à un autre. Oreilles grandes ouvertes, ses sourcils se froncèrent à l’entente du nom du Seigneur du Malin. Otage ? Coopérez ? Pas question, certainement pas avec d’aussi sombres personnages. Le Stalfos lui empoignant la main, Malon se mit instinctivement à se débattre, bien qu’au final ses poings lui faisait plus mal que ce qu’elle devait infliger à l’ennemi.


    « Lâche-moi sac d’os ! » siffla entre ses dents la jeune femme d’un ton rageur, se débattant du mieux qu’elle pouvait.

    Promptement, son bras fila hors des mains du Stalfos. La rouquine dû faire plusieurs pas pour se rattraper et ne pas tomber au sol, où elle eut été encore plus vulnérable. Surprise d’elle-même et « libre », la fermière se hâta jusqu’à la fourche, située dans un tas de foin, tout près de l’enclos d’une bête à lait. L’arme de fortune en main, la jeune femme n’hésita pas à pointer les trois dents de l’instrument en direction de ses agresseurs, malgré la peur qui se lisait dans ses yeux.


    « Quittez mon Ranch immédiatement sinon … sinon je vous embroche ! »

    Sa voix s’était faite dure, bien qu’elle ne croyait pas du tout à la menace qu’elle venait de lancer. Le Stalfos marchait lourdement vers elle, mais tous furent probablement surpris par la porte qui se fracassa.

    « Nerezzo ! » s’enquit-elle d’un ton soulagé, se permettant d’abaisser légèrement l’arme qu’elle tenait en main.

    Peut-être que la situation allait bien tourner au final, parce qu'à elle seule, les chances étaient très minces.

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Don Esar Dragmire


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" Poussez vous, faites moi place bande d'imbéciles ! Tss on croit rêver
dit-il en soupirant.

Ayant gagné son combat et n'ayant plus rien à faire aux abords du Ranch, Esar jugea qu'il serait beaucoup plus utile à la laiterie. Il y avait déjà beaucoup de monde aux habitations pour s'occuper du chef du phénix et de sa nouvelle recrue qui paraissait assez fébrile, notamment la femme aux yeux de vipères qui se ferait un malin plaisir à le tuer. Quelques secondes plus tard, lorsqu'il arriva sur place, il vit la porte complètement enfoncé, baissa un peu plus son regard et vit un stalfos aux bords de l'agonie souffrant le martyr. Il s'avança vers lui d'un pas régulier et soutenu, et lui porta un coup fatal abrégeant donc son malheur.

" Nous ne pouvons pas compter sur eux décidément , il faut nous fier qu'à nous même..."
rétorqua t-il d'un ton ironique arqué d'une pointe d'arrogance.

Le Sheikah entra, et vit cette jeune fermière dans un coin menacer les Stalfos à l'aide d'une fourche. Il tourna la tête, et aperçu qu'un des représentant du chevalier phénix qui se faisait rare ces temps-ci, était présent aux côtés d'un autre inconnu. Encore des jeunes inconscients prêt à mourir pour des choses vaines et inutiles. Encore du temps perdu consacré à des enfants. Néanmoins cela l'excitait, voir la couleur du sang gésir sur le sol et l'odeur du brûlé tailler ses narines étaient quelque chose qu'il appréciait aisément.
Il se retourna et vit son nouveau camarade, vêtu assez bizarrement d'un bandeau lui cachant la vue. Mais ne releva pas etlâcha d'un ton sec accompagné d'une pointe d'ironie.

" T'en sors-tu noble guerrier ? Je viens ici pour me divertir y a t-il du spectacle ? Je te propose un partage équitable...je prend le représentant du phénix et toi le reste ? Cela te convient-il ?


Amar Sundi


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[Raeven, tu n'a pas suivit les règles du RP à conséquence. Normalement, tu aurait en venant de l'extérieur passé par les deux autres zones c'est à dire Les Alentours du ranch et Habitation du Ranch, comprend que ça gène un petit peu le RP si tout le monde apparaissait comme cela, on ce retrouverait dix dans la Latrie et une trentaine dans l'enclot, et je crois que c'est un peu pareil pour toi Esar, tu aurait du passé par Habitation...]

L'ombre émit un long soupire. De son temps, les chaises retenaient très bien les portes et ne se brisait pas comme de la paille, sans doute que la porte était vermoulu. Danzet jeta un «coup d'œil» vers la fermière, même tenir une femme les Stalfoss n'en n'était pas capable. L'aveugle leva les épaules et soupira de nouveau. Jamais le temps de discuter, de ce reposer en buvant du lait, déjà la cavalerie était arrivé, et quelle cavalerie! Deux personnages, des hommes, de taille moyenne, peut scrupuleux du bruit que faisait leurs mouvement. De simples combattants. Puis, les poursuivants, un arrogant. Comme bon nombre de gens qu'il avait croisé par le passé qui partageait son alignement. Qu'importe que celui ci lui soit désagréable à cause de ses mots? Il venait aider. Ca empêcherait les Stalfoss de prendre encore une déconvenue.
Danzet fit quelque pas vers la porte qui donnait vers l'enclot, fit un mouvement vers le Stalfoss sensé maintenir la fermière pour lui indiquer qu'il fallait avancer vers eux. D'un mouvement de tête, il donna le même ordre à l'autre. Pendant que les squelettes avançait, il s'approcha de la charmante fermière armée d'une fourche. Pourquoi pas après tous, si il fallait ce défendre, une fourche pouvait très bien suffire à ce protéger d'un aveugle par exemple.


«Mademoiselle, voulez vous bien me donnez ceci? Sauf votre respect, vous pouviez faire mal à quelqu'un avec.»

Lentement, il pausa la main droite sur la partit métallique de l'arme avant de la tirer d'un mouvement brusque. Cela écorcha son visage d'un sourire paisible, il avait de nouveau la fermière sous son contrôle. Il put ce tourner vers les gens qui venait d'entré dans la laiterie.

«Messieurs , pardonner mon manque de réponse, j'étais quelque peu occupé. Donc, vous venez briser les portes et les meubles ? Si c'est cela, pouvez vous attendre quelque heure le temps que le Ranch soit pacifié. Si c'est pour m'arrêter, ce sera plus compliquer car, voyer vous, il y à devant vous deux fidèle Stalfoss et un combattant qui me semble capable de vous écraser à lui seul, d'ailleurs mon ami, je te les laisses tout deux, je n'aime pas trop me battre, de plus, il faut surveiller la fille. Cela rendra votre mérite bien plus glorieux. »

Faire étalage de ses technique de combats face à de simple combattant lui semblait ridicule, et son otage lui suffisait pour maintenir les combattants loin de l'enclot. L'aveugle attrapa la fourche et la pausa délicatement sur le coup de la fermière.

«Venez par ici, vous verrez bien mieux le combat à coter de cette porte, venez voir la puissance de Ganondorf écraser celle de La Princesse.»

C'était trop facile, dans la pièce il restait tant d'arme encore non utilisé comme les tonnelets de lait ou les quelques bovins du coin. Si l'aide que lui avait apporté la déesse Din, faiblissait, il n'aurait qu'a arrêter le combats en donnant un petit coup de poignard dans un des membres de la fermière, qu'ils se rappellent que c'était eux qui menait la danse.

Lentement, son sourire grandit, laissant place à une figure proche de la grimace. Pourquoi lutter? Ils n'avaient aucune chance, à l'extérieur les combats grandissaient en sauvagerie, éclatant dans la laiterie qui ne pouvait plus fermer à cause de cette imbécile «représentant du phénix» d'après son camarade. Pour Danzet, cela ne faisait aucun doute que personne ne pourrait passer tant que la fermière était en sa possession.


Nerezzo


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Nerezzo vit entrer d'abord un homme encapuchonné, avec un étrange tatouage sur l'oeil. A croire les paroles de ce dernier, ils étaient du même côté. Nerezzo regardait Malon, cherchant un moyen de la faire sortir de la laiterie. L'aveugle menaça alors Malon avec une fourche. C'en était trop. Un autre homme arriva, et il semblait bel et bien être un adversaire, et qui plus est très fort. Cet homme avait l'air de vouloir s'occuper de lui. Il n'allait pas être déçu. Si il voulait aider Malon, il allait devoir le vaincre..
"Tu veux qu'on se batte? Aucun problème, je t'attends. En garde!"
A ces mots, Nerezzo dégaina son poignard et déploya ses ailes, qui avaient viré au noir profond. De plus, son teint s'assombrit jusqu'à devenir presque noir. Le combat allait commencer...

[HRP: Esar, ça serait simpa de me laisser quand même une chance, bien que ton personnage soit puissant: c'est aussi le cas du mien ^^]


Raeven


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Je fus assez surpris lorsque Malon se dégagea de la poigne du Stalfos, je dois avouer. La peur était plus que lisible dans ses yeux. Non, elle sentait la peur à pleines narines, mais faisait pourtant preuve d'un courage hors-du-commun, surtout lorsqu'elle saisit la fourche dans un coin et commença à menacer ses agresseurs. Elle avait du cran, cette petite. Surtout face à l'homme avec le bandeau. Étrange je trouve, de garder un tel handicape, quoi que certains se sente plus à l'aise avec les sensations et les mouvements qu'en se servant de leur vue. Tout comme d'autre se fit à leur magie...

Même rabattue, cachant ainsi la majeur partie de mon visage, ma capuche ne m'obstruait pas la vue, et le combattant à côté de moi, vêtu de cuir et muni d'une magnifique paire d'ailes, semblait se nommer Nerezzo, et surtout du côté des défenseurs du Ranch. La silhouette au bandeau, elle, semblait particulièrement bien élevée, ou alors avait un don certain pour le sarcasme, ce qui me plu fortement, mais c'était un ennemi, surtout à mes yeux, et surtout aux Siens à Elle. Mais le plus intéressant ne semblait pas encore arrivé. Au bout de quelques secondes, une autre personne rentra dans la laiterie, ce avec le plus grand bruit. Échangeant de rapides paroles avec la silhouette, tout devint clair dans mon esprit. Un deuxième ennemi, qui semblait avoir une haute, très haute opinion de ses capacités... enfin, c'était surtout la silhouette qui avait une haute opinion des capacités du nouveau venu. Le porteur d'ailes et moi contre lui ? Il se prenait bien entendu pour ce qu'il n'était absolument pas, et je laisserai Nerezzo s'en occuper. Pour ma part, il y avait deux Stalfoss entre ma magie et la silhouette, qui venait, à présent, de pousser Malon vers une porte, pour soit disant admirer la puissance de son Maître.

Un gloussement de plaisir me prit soudainement. Mon sourire avait des airs soudainement ténébreux, mes lèvres s’esquissant en une grimace de joie sadique. Alors, je lâchai, neutre :


"Vous espérez réellement qu'il est une chance contre nous deux ? Non... Je pense plutôt que vous êtes quelqu'un qui se pense supérieur à lui, et qui, surtout, n'aime pas se salir les mains, je lançai ma tête du côté du nouveau venu, pour le désigner, surtout quand il y a des larbins pour le faire, non ?"

J'inspirai à nouveau, lentement :

"Je sens que vous me prenez pour faible. Suis-je donc si faible que ça de ne pas mériter votre talent au combat ? Venez, et je vous ferez le plaisir de vous démontrez mon savoir et ma force. Dans les autres cas, votre "ami", en utilisant vos mots, risque de ne pas voir le prochain matin."

Je savais très bien que la tentative de semer le doute entre eux était totalement vain. Après tout, ils n'étaient pas ensemble par envie, mais par idéal commun, celui de voir Hyrule souillé du pied par Ganondorf. Mais la maîtrise du Froid était devenu une seconde nature pour moi, quelque chose d'instinctif. Alors oui, je l'attendais, et on jouerait, tout les deux...


Don Esar Dragmire


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[ HRP : Non Danzet j'ai respécter le Rp et l'éthique de mon personnage je le dis dans mon post il y a beaucoup trop de monde aux habitations donc je suis venu ici =) ( passe muraille), ensuite nerezzo ne t’inquiète pas le combat durera plusieurs post.]

A ces mots, Esar, ne put s’empêcher de ricaner. Il riait et riait encore. Son plaisir s'intensifiait de plus en plus. Décidément aujourd'hui le hasard avait bien fait les choses. Tomber sur deux jeunes manquant d'expérience et de force lui facilitait donc la tâche. Son camarade lui laissait s'en doute tous les combats par peur de perdre et peur de s'épuiser. Qu'importe ? de toute façon le résultat était joué d'avance. En possession de Ridill, le prédateur qu'il était, ne pouvait pas perdre face à cette vermine juvénile encore trop jeune. Il était en pleine forme, et avait faim de victoire. Les facteurs jouaient tous en sa faveur, d'abord cette jeune fermière prise entre les mains de son camarade ou la fuite était impossible et devenait un fort moyen de pression à utiliser, ensuite, venait la force de frappe de ces deux pouilleux qui était égale à un officier Stalfos et pour finir, il avait entièrement l'avantage du nombre et du terrain. Après cette fine analyse, le combat était déjà fort mal équilibré pour le représentant du phénix et cet inconnu. Il s'approcha d'un pas décidé à en découdre rapidement, il dégaina Ridill, une forte résonance retentit dans la salle, après un court instant, on entendit une goutte de lait venant s'écraser sur le sol. C'était bel et bien partit le combat commençait. Esar lança l'offensive, d'un petit coup sec de sa lame, le Sheikah libéra les tonnelets de leurs entraves. Dans un fracas étourdissants, la petite montagne de bois rond s'effrondra, soulevant un énorme nuage de poussière dans toute la petite laiterie. Profitant de la confusion, Esar libéra ensuite les pauvres ruminants, ouvrant deux box sur trois, avant que la poussière ne retombe. Il fendit ensuite plusieurs tonneau, les autres roulants déjà droit sur les deux gentils mais naïfs guerriers.
Bien vite, tous pataugèrent dans le lait, liquide blanchâtre, et les vaches ruminèrent, apeurées par Ridill. La pagaye était faite, elles foncèrent partout dans la petite étable. L'une traversa même un mur, provoquant l'éffondrement d'une partie de la cloison.
Profitant de ces évènements, Esar partit à la charge, il se fraya un chemin du mieux qu'il put traversant les tonneaux qu'il avait éventrés. Arrivé à la hauteur de ces deux adversaires, il frappa avec son épée à maintes reprise sur les deux corps tentant de les blesser grièvement.

" Elles sont bien belles les forces du bien....je ne savais pas qu'elles savaient danser."
lâcha t-il d'un ton ironique accompagné par un de ses sourires les plus provocateur comme il savait si bien le faire.

Lassé de ces tours de cirque il cracha à terre attendant la suite des évènements.


Nerezzo


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L'ennemi, après avoir ri un long moment, provoqua la confusion dans l'étable. De la poussière qui vole partout... Du lait jusqu'aux chevilles... Les vaches qui courent partout... Puis l'ennemi qui se jette sur eux, et commence à les frapper avec sa lame. Nerezzo pare tant bien que mal les coups portés, mais se retrouve tout de même blessé à la cuisse. Dès que l'ennemi se fut arrêté, il décida de riposter. Il monta le long d'une poutre, afin de pouvoir mieux y voir, puis sa main devint glacée. Il lança alors une nuée de pointe de glaces, que son adversaire esquiva sans grand problème. Mais c'était une diversion. En un rien de temps, Nerezzo se retrouva derrière lui et lui entailla l'épaule droite. Ce n'était pas une blessure grave, mais c'en était une. C'est alors qu'il lécha le sang sur la lame. La blessure de sa cuisse se referma. Il venait de découvrir une nouvelle de ses capacités. Lancé dans une furie sanglante, il dit alors à Esar:
"Alors, qu'est-ce que tu en dis!"


Raeven


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La pagaille venait d'être semée, l'affrontement devenait inévitable. Le lait avait été renversé, dont la surface de contact avec la terre se mêlait en une étrange bouillie, nous arrivait jusqu'aux chevilles. Mon aura ne demandait qu'une chose, que j'arrête de la maintenir, de faire confiance à ce que je sais. Ce n'est pas contre mon envie, mais contre mes principes. J'avais promis sur mon apprentissage de ne pas me servir de ma maîtrise pour détruire l'ennemi. Mais était-ce toujours valable quand cet ennemi était le Mal lui même ?

Le nouveau venu était en train de nous courir dessus, avec des coups habiles, précis. Je tâchais de les éviter du mieux que je pouvais, jurant sur mon âme de ne pas me servir d'Elle. Cependant, que puis-je face à mes réflexes. Rien. L'un des coups qui venait du côté gauche, déclara l'explosion de mon aura. Un vent glacial souffla dans la laiterie, tandis que la lame de l'ennemi rencontra une barrière de glace. La température commença à chuter, de plusieurs degrés, et maintenant que je ne pouvais plus la contrôler, autant que je m'en serve. Un sourire se dessina sur mes lèvres alors que mon esprit avisa le lait. Une aussi petite quantité pouvait être aisément glacée. Mais mon attention s'était finalement porté sur les deux Stalfoss, qui me barrait à présent le passage. D'un pas décidé, je m'approchais d'eux, ce qu'ils remarquèrent, et ils me firent miroir.

L'un d'eux leva son immense épée, d'un geste lent, presque prévisible, j'attendis qu'il commence à l'abattre pour me décaler sur le côté, l'épée s'enfonçant dans le sol. A ce moment là, je posai ma main sur la sienne, et déchargea une faible quantité de froid, la glace semblant manger son bras, commençait à remonter vers son épaule à une vitesse effrayante. Le tout était soudé, fragilisé, et ce qu'il fit m'avantagea. Tirant un grand coup, son bras vola en éclat, dispersant une énorme quantité d'échardes. Le deuxième semblait attendre, ne faisait rien de plus que passer par ma gauche, comme pour me contourner. Et au su de la lenteur de ces créatures, j'avais le temps de finir le premier. Tendant ma main vers le sol, le lait dans lequel il pataugeait commença à se solidifier, pour finalement se glacer. Il parvint néanmoins à m'offrir un coup de plat de la main, qui m'envoya au sol, un rictus de douleur fendant mon visage. Il l'avait cherché...

J'étais à nouveau debout, et je lui lançais des dizaines d'écharde de glace, invoquées prestement et lancée vers sa tête. Son casque fini criblé de pointes de glace, et éclata avec la dernière écharde que je lui lançai. Le deuxième était derrière moi, à présent. Un coup de pied m'envoya me plaquer contre le mur d'en face, et je sentis ma tête se mettre à saigner. Ma capuche venait de tomber, et laissait dévoiler des yeux à présent luminescent. J'invoquai un énorme bourrasque d'air glacé, pigmenté de quelques sphères de glace, et je l'envoyai vers lui. Entrant par un côté, sortant par l'autre, le stalfoss se retrouva coupé en deux, ses jambes pulvérisées. Le bourrasque alla finir sa course dans une poutre, qui craqua sous l'impact. Mon combat ne faisait que commencer, et mon aura était en train de se manifestait, quelques flocons de neige se formant autours de moi, disparaissant presque aussitôt, lorsque je me tournais vers l'homme au bandeau :


"Suis-je un adversaire à ta hauteur ? Ou peut-être ton maître serait-il fier de toi si tu lui ramènes seulement la fille ? Laisse la en dehors de ça, ce n'est certainement pas le meilleur moyen de faire pression... le héros du temps n'ira pas la sauver en première..."

Le ton que j'avais utilisé avait quelque chose de froid, de glacial même. J'ignorai totalement sa force et je le menaçais tout de même ouvertement, oubliant tout ce qui se passait autours de moi, laissant Nerezzo dans son combat contre Esar.


[Ce serait bien que les gens respectent les tours, parce que ça va trop vite, et c’est un peu chiant de se faire sauter un tour ^^’’ Et puis ça devient tout mélangeant. C’est pour ça aussi que ça va un peu –trop? – vite. Donc, les tours vont comme suit : Malon, Danzet, Nerezzo, Raeven et Esar.

Nerezzo, juste comme ça, quand tu attaques un personnage, d’habitude, c’est au joueur de ce même personnage de décider s’il est blessé ou non ou s’il esquive l’attaque ou se la prend de plein fouet. ^^]

/Seldeus > Après Danzet, y'a des chances que Nerezzo et Raeven se trouvent en difficulté pour poster, j'pense qu'il serait donc plus judicieux qu'Esar suive. Mais après, on reprends avec Malon et l'ordre de base.\
    Yeux fixés dans ceux du Stalfos qui continuait toujours à avancer dans sa direction, la jeune femme à la crinière de feu le contemplait, pointant son arme dans sa direction, bien décidée à l’empaler s’il le fallait … du mieux qu’elle pouvait, certes. L’amblyope mima de nouveaux ordres au deux tas osseux, et ce fut à son tour d’essayer de désarmer la fermière. Effectivement, elle pourrait blesser quelqu’un : n’était-ce pas le but recherché ? Malgré le regard de la jeune fille qui lui indiquait de s’éloigner, il réussit à poser sa main sur l’arme. Malon tirailla quelques instants sur le manche de la fourche, mais la poigne de l’homme fut trop forte. L’outil glissa des mains de la rouquine. Son visage s’était fait beaucoup plus dur à cet instant, avec ses sourcils froncés et ses billes bleues qui le mitraillaient.

    La jeune femme n’avait même pas remarqué cet autre gaillard, du côté de l’ennemi, visiblement, à en croire les quelques paroles que lui adressait son assaillant. Courte discussion terminée, l’Aveugle retourna l’arme de la fermière contre elle. Malon se crispa, jusqu’à en retenir son souffle, les yeux cloués sur la fourche qui menaçait de lui transpercer la gorge à tout moment. Prise de panique, elle sentie ses forces la quitter. Son cœur tapait fort dans sa poitrine alors que ses yeux semblaient plus mouillés que tout à l’heure. La rouquine eut cette violente envie de cracher au visage du Borgne, mais se résigna : c’était une très mauvaise idée, si elle tenait à la vie. Cette fougue qu’aurait pu lui donner le courage avait disparu pour faire place à la sagesse

    Malon suivit la direction que prenait l’ennemi, malgré les violentes secousses qui faisait maintenant valser la poussière dans la laiterie. Les quelques bovins libérés et affolés, étaient devenus de dangereux boulets de canon. Ils étaient tous en train de détruire, au malheur des propriétaires du Ranch. Comme des enfants, la jeune femme aurait voulu leur dire d’aller jouer ailleurs.


    « Que voulez-vous dire par “ celle de la Princesse “ ? » s’enquit-elle, quasiment à bout de souffle, les yeux grands ouverts, fixant le Borgne et de temps en temps la fourche qui caressait son cou.

    En fait, elle n’avait pas connaissance que le Héros du Temps était là. Elle crut qu’il voulait parler des gardes royaux. Encore une fois, savoir que Ganondorf était sur ses terres lui donnait froids dans le dos. Il ne fallait pas que ces sept ans infernaux se reproduisent.

    Malon décocha un regard vers ce drôle d’individu aux yeux phosphorescent.


    « Cet homme a raison. Link a d’autres priorités que de sauver mes terres, ou moi-même. Vous auriez dû m’emmener gentiment à votre Seigneur au lieu de tout saccager comme des sauvages. »

    Agir ainsi aurait était plus simple : les forces du Bien ne se serait pas pointée. Si Ganondorf était venu, c’était probablement pour parlementer, faire un accord ou encore lui céder le Ranch, pas pour démolir le domaine par pur plaisir. Il y avait toujours une raison cachée derrière ses sombres gestes.

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Amar Sundi


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[Je faisais référence au fait t'il fallait passer par les autres zones, la, tu n'a pas poster dans le topic habitation. Même si il s'agit uniquement de décrire le passage de ton personnage à travers le mur.
De plus, je m'excuse pour la lenteur de ma réponse.]

Cette instant précis était comme une douce musique dans le crâne. Les cordes, les cuivres, les vents. Tous ce mélangeait pour formé une symphonie musical. Était-ce l'esprit de l'aveugle qui transformait ce combats invisible en une mélodie au ton lyrique digne des plus grands maestro . Le violons de souffrance restait tu, il restait bien faible par rapport aux cordes de violence et aux cuivres de brouhaha permanent.
Soudain, la jeune demoiselle s'adressa à lui, elle voulait qu'il lui explique sa métaphore. Lentement, il tourna un visage paternelle et bienveillant.


«Comprend, jeune fille, que je personnalisais les forces du Malin dans le bras puissant de mon ami ici présent alors que ses adversaires symbolise ceux de la Princesse en s'opposant à lui. Je ne pense pas qu'aller distraire les plus forts serait une idée judicieuse, pour vous comme pour moi.»

Puis, il retourna son visage vers le combat. Un guerrier maniant une arme légère, sans doute une dague, son physique comportaient deux grandes irrégularités dans le dos, il devait s'agir d'ailes bien que l'aveugle ne pouvait pas en être sur. Ce n'était pas quelqu'un de trop dangereux pour celui qui portait la bannière de Ganondorf. L'autre, un magiciens maniant la glace d'après le givre qui s'était négligemment pauser sur son visage, était d'une carrure plus légère, petit et mince le physique exacte du magiciens. Celui ci fustigeait quelque insulte et provocation envers l'homme aux yeux bandés. Ce pauvre garçon ne comprenait sans doute pas que même à deux, leurs chance de survis face au combattant ici présent était plus proche du zéro, le challenge n'était pas assez intéressant pour que Danzet s'en mêle.
En était t'il sur ? Il n'avait absolument pas « regarder» son acolyte dans cette mission. Un homme grand -du moins par rapport à l'aveugle. Son physique était taillé pour le combat rapproché, chose parfaite dans la structure de la laiterie : exiguë.
Danzet raffermie son emprise sur l'arme subtilisé à la fermière et ce tourna vers l'homme qui cherchait à le provoqué, pourquoi ne pas tous simplement lui expliquer que ces vaines paroles étaient comme le vent qui ce brisait sur les murailles d'un château fort.


« Je suis bien désolé, magiciens, mais hélas, tu ne m'intéresse pas. Ton pouvoirs est trop facilement prévisible . Tu est pour moi comme une boite surprise sur lequel serait inscrit son contenu. Cela perd tout sont intérêt. Va donc essayer de battre mon collègue, voir si à deux vous y arriverez.»


Un certain mépris ce dessinait dans sa voix. Le mépris d'une faiblesse; que deux personnes ne puisse mettre à mal une seule.
Lentement, il éloigna l'objet pointu du cou de la jeune femme aux cheveux de feu, la tenant quand même par le bras.

« Je pense que cette injuste à votre liberté est de trop. Je compte sur vous pour ne pas vous enfuir lâchement : L'extérieur est remplis de Stalfoss qui en voudraient à votre vie et à votre vertus.»

Le petit sourire sardonique du partisan du mal prouvait qu'il ne voyait à cette idée qu'un côté amusant qui n'arrivera jamais, car il n'hésiterait pas à la tuer si elle faisait mine de fuir.


Don Esar Dragmire


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A ces paroles assez pertinentes prononcé par le représentant du phénix, Esar ne put s'empéché de rire. Oui, il avait peur, peur d'être pris d'une soudaine douleur à l'abdomaine l'empéchant d'avancer et de poursuivre dans ce rude combat si intense et riche en couleur. La douleur était tel, qu'il ricana d'un rire faux et gras se moquant ainsi de son soit disant et prétendant adversaire, dont le blason était assez souillé par des poltrons de son genre. Décidement le phénix ne retrouvera point sa jeunesse d'antan...Lassé en entendant ces imbécilités lâché par des pouilleux sortant à peine de leurs couvants, Esar s'abaissa à la hauteur de son épaule, et suca le sang qui coulait à flot.

" Sucré mais à la fois salé...étrange..mais ce n'est tout de même pas mauvais."
rétorqua t-il d'un ton ironique fort provocateur avant de cracher au sol.

Mais malheureusement son instant de plaisir fut court, très rapide même, lorsqu'il entendit la voix grave et sèche prononcé par ce mage de glace envers son camarade, il ne put s'empéché de lacher un petit soupir. Il interrompait son doux moment de plaisir. Une fois encore, ces poltrons voyaient en grand, et jugeaient mal. C'était déjà un privilège d'affronter le grand et l'unique Esar.

"Suis-je un adversaire à ta hauteur ? Ou peut-être ton maître serait-il fier de toi si tu lui ramènes seulement la fille ? Laisse la en dehors de ça, ce n'est certainement pas le meilleur moyen de faire pression... le héros du temps n'ira pas la sauver en première..."


Finalement le mage était bête, s'il croyait que nous allions laché si facilement l'otage que nous possédions il se trompait...cela restait un moyen de pression au cas ou le combat entre le Héros du temps et le Seigneur du Malin tournait mal.

Esar avait déjà assez perdu de temps et voulait en finir avec ces deux gamins. Il se retourna en direction du représentant du phénix, et lança une nouvelle fois une attaque. Ridill était prêt a surgir, son rugissement ce fit entendre au loin tel un lion en cage. Le corps à corps était sa spécialité. Une fois dégainée, il frappa, encore et encore dans le dos.
Lacheté ?
Surement pas, à la guerre comme à la guerre ce n'était pas une partie de jeu.
Esar cracha à mainte reprise sur son prétendant adversaire qui l'avait défié. Chose paraissant complètement folle vu le niveau actuel de cet enfant aux pouvoirs assez étrange et assez débile pour aller le défier. Il se retourna, lasse de cette mascarade, et se trouva à hauteur de ce mage. Il frappa avec Ridill à maintes reprise en direction de Raeven qui était en pleine conversation avec son camarade. Ne lui laissant point le temps de réagir et de réaliser.


" Cela devrait suffir ... je n'ai pas à dévoilé ma force pour l'instant ...."
rétorqua t-il accompagné d'un sourire grand ouvert.

Puis, se tourna, et vit le visage effrayé de la jeune et tendre fermière accablé de cette scène haute en couleur. Esar ricana, laissant l'excitation se morfondre en lui. Ce doux plaisir l'envahissait, ce sentiment de peur qu'il provoquait autour de lui ne pouvait le rendre plus heureux....


Nerezzo


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Nerezzo regardait autour de lui. Il y avait une sacré pagaille dans la laiterie. Cela semblait d'ailleurs plaire à "l'aveugle": il semblait se délecter des sons qu'il entendait. Esar, quant à lui, venait de goûter son propre sang, avant de lacher une phrase que Nerezzo ne comprit pas bien. Puis son adversaire revint à la charge, derrière lui. Juste à temps, l'homme ailé referma ses ailes sur son dos et les gela. La plupart des coups de son adversaire ricochèrent contre cette solide carapace de glace. Malheureusement, sa nuque n'était pas suffisamment protégée. Il s'en rendit compte au moment ou la lame de son ennemi lui entailla le cou. Il ressentit une intense douleur, qui le fit tomber à terre. C'est alors que la colère monta. Il poussa un cri grave et puissant, puis ses ailes s'enflammèrent. Puis ce fut au tour de son corps tout entier. La colère avait prit le dessus. Regardant Esar droit dans les yeux, il lui lance une énorme boule de feu, qu'il aurait peut-être du mal à esquiver, vu la taille de l'endroit. Mais son adversaire était puissant, il fallait s'attendre à tout...


Raeven


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Rien, l'aveugle ne bougea pas. J'étais trop faible, il était fort. Il m'invitait à affronter son … compère avec Nerezzo. Soit, peut-être. Plus vite ce dernier serait défait, et plus vite nous pourrons reporter notre attention sur Danzet. Rien.

Puis soudain, un trouble se fit dans l'air à présent froid de la laiterie. Esar venait de bouger, rapidement, promptement. Il s'approcha, et j'eus l'impression que le coup qu'il asséna à l'ange porta. Peut-être, peut-être pas. Au moindre mouvement, je pouvais savoir où il se trouvait, mais il était rapide, vraiment très rapide. Un mur de glace se dressa, je pensais que mon esprit irait assez vite pour bloquer son attaque, mais j'étais trop lent. La lame passa, le bras, en partie. Tandis que la première lui lacéra l'épaule, le deuxième se retrouva emprisonné dans une gangue de glace, réduisant sa mobilité au seuil de la nullité. Le sang chaud coula au dessous de mes vêtements, la chaleur me faisait grimacer. J'avais mal, vraiment. Je tombais, un genou au sol, alors que les picotements du sang qui coagule rapidement se faisait sentir. Ce sang se glaçait, lentement, et la douleur commencé à s'estomper. Je parvins à me relever, me tournant vers le prisonnier de ma glace, lâchant à l'aveugle :


« On peut-être maléfique et pourtant avoir un sens de l'honneur. J'espère que tu n'attaqueras pas en lâche comme lui. Sinon, tu ne vaudrais guère mieux que ce contre quoi tu te bats... »

Enfin, une parcelle de noirceur venait de se frayer un chemin vers ma pensé. Je ne me retiendrai plus, et le bras de Esar était encore emprisonné, je continuais de focaliser ma pensé sur celui-ci, canalisant toujours plus de Froid, générant toujours plus de Glace sur lui. Il serait transit... tout du moins je l'espérais, car Nerezzo venait de lâcher une sphère incandescente, brûlante, et je ressentis un profond trouble... Ma pensé s'arrêta un instant, pas assez pour que la gangue de glace n'explose et lui libère le bras, mais suffisamment pour que je perde ma concentration et ma canalisation. Je grimaçais de colère. Je ne pouvais lutter si mon allié utilise l'élément contraire du miens. Trop de chaleur, trop de lumière. Trop peu de force en moi. Tout du moins, la boule de feu devrait atteindre Esar, bloqué par mon mur de glace...

[strike][HRP = Une réponse rapide et très courte (et très mauvaise) pour ne pas bloquer le RP. Excusez moi d'avance de la médiocrité ! ][/strike]


    L’aveugle avait eu beau lui expliquer ses paroles, la fermière ne comprit pas la fin de ses dires. Les plus forts ? La question frôla ses lèvres, mais se ravisa rapidement : ce n’est pas des questions baroques qui feraient changer sa funeste situation. Le mage aux yeux phosphorescents semblaient croire qu’elle suffirait à Ganondorf, mais Malon en doutait : tout ce qu’elle pouvait faire, c’était négocier avec le Roi des Voleuses, si elle était apte à marchander avec lui. Un homme avide de pouvoir n’aurait aucun scrupule à mettre fin à ses jours pour avoir le Ranch, ou ce qu’il convoitait ici. Elle savait qu’elle n’aurait pas vraiment le choix d’accepter ce qu’il lui proposerait, même si c’était contre ses principes. Même si au final, le domaine Lonlon finissait entre les mains du Seigneur du Malin, en étant toujours en vie, elle pourrait tenter d’adoucir le calvaire d’une quelconque manière.

    À peine le magicien de glace invita l’homme aux yeux bandés à se battre que les attaques de l’autre serviteur du malin le bombardèrent de toute part, sans crier garde, arrachant un hoquet de surprise à la jeune femme. Un enchaînement, qui semblait si simple pour lui, mais si complexe pour une gourde au combat comme elle.

    Les dents de la fourche s’abaissèrent doucement, et Malon releva les yeux vers le visage de son assaillant. Ses paroles abreuvèrent l’imaginaire de la fermière, qui s’inventa à nouveau un plan de fuite, mais qui se résultat être aussi foireux que les autres. Elle lui jeta un regard haineux, même s’il ne pourrait voir. Sa main vint se poser sur le poignet de l’aveugle, tenant fermement son bras, un peu trop fermement même, sentant des fourmis au bout de ses doigts.

    L’attaque de l’homme aux cheveux brun toucha la nuque de Nerezzo ainsi que le bras du mage. Un pincement au cœur s’en suivit pour la jeune femme. Ses amis étaient en dangers, plus qu’elle ne l’avait réalisé encore.


    « Nerezzo ! » S’écria-t-elle en faisant un pas vers l’avant, voulant le rejoindre, mais bien sûr, stopper par la pression sur son bras, dont elle tenta de se défaire le temps de quelques secondes avant de redevenir « sage ».

    La chaleur de l’attaque de l’homme ailé lui chauffa le visage. Malon y vit une occasion de pousser son adversaire dans sa direction, profitant de l’attaque de Nerezzo afin de s’en débarrasser. Mais il lui tenait tout de même solidement le bras, et peut-être l’aurait-il entraîné dans les flammes.


    « Arrêtez ça ! » Continua-t-elle à l’adresse du non-voyant, les yeux légèrement mouillés.
    Malon ne comprenait pas pourquoi il n’en venait pas directement aux choses. Peut-être voulait-il s’amuser à tout détruire avec l’autre aspirant du Malin ? Probable, mais ce petit jeu devait cesser.


    « Qu’est-ce que vous voulez ? Qu’est-ce que votre Seigneur veut ? Emmenez-moi à lui et arrêtez de faire du mal à ses deux hommes. » Déclara-t-elle d’un ton autoritaire, colérique, à bout de nerf, mais emplit d’une certaine pitié. Il n’était certainement pas question de gaspiller des vies pour la sienne, ou encore pour le bien-être du Ranch. De toute manière, les Terres de Talon et de Malon devaient déjà être sens dessus dessous.

    Ses pensées se contredisaient : elle ne voulait pas de morts, mais elle voulait sauver le domaine. Hors, dans cette situation, les deux allaient de pairs, nécessairement.

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Amar Sundi


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Danzet tenait férocement la jeune fille qui commençait à bouger un peu trop à son goût. Elle s'émouvait trop du spectacle présenter à ses yeux par les trois guerriers. Lentement, il approcha le manche de la fourche du visage de la fermière avant de lui donner un petit coup sur le crâne avec, une fois calmé, il s'approcha son visage lentement de son oreille, profitant des essences fruité que dégageait les cheveux de la jeune femme, pour lui murmurer quelques mots :

«Tranquillise toi, tu n'est pas responsable de ces combat, tu n'est qu'un dommage collatéral.»


Les effluves de la chevelure le mettait de bonne humeur, un sourire ce dessina lentement sur son visage, il admira quelque instant les attaques magique lancé par les défenseurs du ranch. Ils n'étaient vraiment pas en accord sur leurs techniques : l'un souffle le chaud, l'autre le froid, ils ne pouvaient que s'entre court-circuiter. La glace lancé sur le bras de son compagnons fondu laissant une flaque d'eau par l'effet de la boule de feu, il pouvait sans problème briser les glaçons accumulé sur son bras, pas besoin d'intervenir.
Lentement, il détourna son esprit de ce défit, ce reportant vers la fermière. Quel étrange comportement. Que cherchait t'elle? Éprouvait t'elle autant de pitié que lui envers ces deux hommes pour lui demander de les faire cesser.


« N'oubliez pas l'honneur. C'est l'honneur qui oblige un homme à ce relevé, même si je m'interposait, qui sait si j'arriverais à empêcher mon camarade de les tuer ? Mais, je vous fais le serment de l'empêcher de les tuer.»

Peut être que cela la calmera, elle gigotera moins. Il devait garder son otage au cas ou quelques adversaires n'entrent dans la laiterie. Soudain, un son exquis vint tinter à ses oreilles, le léger son d'une gouttelette de sang qui viens s'écraser mollement sur le sol suivit d'un grommellement de douleur. Ces sons permettait à Danzet d'imaginer la couleur rouge sombre du sang, les globules vermeilles ce répandre doucement sur le sol. Les attaques de son collègues avaient porté leurs fruits, chose qui arracha un claquement de langue à l'aveugle alors que Malon hoquetait en concert. Les deux protecteur du ranch étaient touché alors que l'autre n'avait pas une goute de sang qui salissait ses vêtements. Indubitablement, il allait gagner. Mais le temps passait, à extérieurs, les bruits de combats ce faisait de plus en plus violent, sans doute allaient t'ils bientôt pénétré dans la laiterie, peut être que la rousse pourrait enfin lui être utile.


[Je m'excuse pour le niveau médiocre de ce post , je respecte pas du tout la chronologie des évènements et je fais un peu n'importe quoi, mais pour ma défense je m'en excuse. ]


Don Esar Dragmire


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Esar souria face à ces vaines et impertinentes attaques. Ah là là, vraiment, Esar ne savait pas si il fallait en rire ou si il fallait en pleurer. Les ennemis étaient d'un pathétique... Le guerrier prit la pose comme il put avec un bras dans la glace. Esar se moquait d'eux, alors même qu'il était sensé être en position de faiblesse... Mais comment pouvait-il ?? C'était mal le connaitre que de le croire vaincu. Un large sourire ironique et fort provocateur était de nouveau présent sur le visage du bellâtre.

"Ah là là ! Huhu. Par les déesses j'ai peur, j'aurais du dévoiler ma force et vous écraser avant....."

Esar cracha par terre pour bien montrer qu'il était ironique et fort provocateur, ainsi qu'imbibé de mépris. Il ria ensuite d'un rire gras et faux comme il savait le faire alors que la boule de feu lui filait dessus. Qu'allait-il advenir d'Esar le passe muraille ?? Lui qui était prisonnier dans la glace pouvait difficilement bouger.

"Ah... Ah... Ah... Insectes.......

Qu'est-ce qu'il s'amusait a faire croire qu'il avait perdu. Il tira d'un coup sec son bras brisant le mur du gentil à capuche. Encore une racaille des bacs à sables. Esar lui lança un regard fort provocateur, et commença à disparaître.
Hélas !! Il fut partiellement touché à l'épaule et dans le dos, sur le côté. Il grimaça de douleur, et disparut pour de bon alors que la boule de feu géante avançait vers Raeven et s'apprétait à rétamer ce qu'il restait de la laiterie.

Huhuhu. Bien joué, on va enfin s'amuser.

Esar était encore immatériel et il déjoua les lois de l'apesanteur, pour se poser juste au dessus de nerezzo qui ne pouvait pas savoir qu'Esar était là. Tout de suite, il redevint matériel, et tomba lourdement sur le poltron de chevalier du phoenix tappant dans sa nuque avec ses deux genoux. Esar cracha, avant de rigoler de façon fort provocateur, et frappa la tête de Nerezzo contre le sol puis avec son épée empoisonnée.

Abandonnes tu es trop jeune pour mourir. Cette fermière ne veut pas de toi, pourquoi la protégé??

Il maintenait la tête de Nerezzo contre la terre ravagée et enfonça son épée dans l'épaule. Ridill commença a boire le sang.


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