Simplement d'espoir ainsi que de maladie

[ Privé avec Siphylle Dragmire]

[ Hors timeline ]

Arise


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Il ne pouvait être qu'essouffler. Déjà, il venait de vivre au lac Hylia quelques mésaventures bien mouvementés, puis il avait dû traverser la plaine en long pour amener le petit Kokiri, Siphylle, qu'il portait par-dessus l'épaule, voir un médecin.
Ce dernier se trouvant un peu plus meurtri chaque jour par sa maladie. Et justement, depuis peu, un médecin faisait parler de lui, l'on disait qu'il avait su guérir quelque patients de graves maladies, et grand nombre d'Hyruliens chantaient ses louanges.

Il ne restait plus qu'à espérer que cela soit plus que de simples dires, ainsi qu'il restait à espérer que les déesses sauraient être clémente avec son pauvre frère.
A cette pensée, il soupira...
Puis, sans même s'en rendre compte, il se retrouva derrière cette simple bâtisse en pierre, situés au bout d'une ruelle bien éclairé par le soleil se trouvant bien au-dessus de celle-ci.

Le noble laissa descendre Sihpylle, pour le faire s'asseoir contre le mur de la maison, à gauche de la porte, puis toqua à cette dernière, attendant patiemment tout autant qu’impatiemment que l'on lui ouvre.


Lokis


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[pour rappel, les parties en rose sont des souvenirs :) ]

La douleur. Pourquoi le corps rend exacerbé l'un des pires sentiments qu'il puisse être admis chez un être? Pourquoi moi? Pourquoi les autres? Suis-je obligé d'en refaire encore et encore les frais? La douleur est bel et bien le mal à l'état pur: il fait faire les pires choix aux gens...

"Seul et seul et tout seul! Pis à part cette méphistophélique maladie, j'étais absolument seulement... Désespéré, perdu et seul.
Renata est partie avec mon enfant en son ventre. Elle est partie sans rien mais sans elle je n'ai plus rien! Et puis cette maudite maladie!!! Qu'est-ce qui me faisait le plus mal? L'absence de Renata ou ma maladie? Je ne saurais dire...
Je n'osais pas retourner à notre maison: trop de souvenirs de Renata. Je ne pouvais pas partir des Bois: trop faible physiquement depuis mon trouble. En fait j'étais même trop faible pour survivre, je pensais qu'il ne me restait que quelques jours avant d'être dévoré par les Lobos.
Alors j'attendais la Mort dans une petite grotte mais une chose pire que la Mort m'a rendu visite...


Enfin je me réveillais. J'étais sur un muret, assis, dans une ruelle de la Place. Alors pourquoi mon dernier souvenir était Elza au Lac qui faillit pleurer lorsque je lui ai demandé ce qu'il me restait si je survivais?
J'avais mal, tellement mal. Mais ma fierté et la sécurité des autres prenaient le dessus. Alors en voyant Cheshire près d'une porte, à portée d'oeil de n'importe qui, je ne puis m'empêcher de lui dire :


"Elza... on on va se faire... repérer par la la Garde Roya..."

Et alors je vomis mon sang sur le sol avant de finir ma phrase.


L'ancien Hongreur dorénavant Mire s'impatientait déjà. L'eau bouillait mal, pas suffisamment bien pour se cuir un déjeuner qu'il mangerait sous le coude. L'exiguïté de sa demeure – bien plus humble que n'était devenu le personnage – l'obligeait à se tenir recourbée au dessus de son tout petit chaudron en fonte, qui d'une part refusait de chauffer et qui, d'autre part ne contenait même pas assez d'eau pour se faire un thé.

Elle avait rencontré la Garde, dans la matinée, ainsi que Monseigneur le Clercelier de Justice et Madame la Voirjurée. Ces deux petits commis du Royaume, qu'elle avait ouvertement méprisé (ils ne disposaient d'aucun savoir en guérison, aussi représentaient-ils – à ses yeux du moins –, des déchets pour la société et usurpaient donc leurs places).
Ces jeunes gens s'étaient retrouvés à près de vingt dans les misérables deux pièces dont elle avait jamais disposé, à la mort de son père, lui aussi Hongreur de profession pour le Charron (qui fournissait entre autres la famille royale) qui officiait dans les banlieues.

Ainsi donc, elle avait appris avant tout à s'occuper d'animaux et tout particulièrement de chevaux. Le Mire estimait par ailleurs qu'un cheval n'avait pour égal que les esprits immortels. Mettre ses quelques talents au service des hommes avait été une entorse à sa morale, mais il fallait bien manger et le Charron avait été tué. Foutue guerre, pensa-t-elle. Quand bien même la Princesse lui demandait indirectement de cesser cet office dans d'aussi mauvaise conditions, elle ne pouvait souhaiter la victoire du Gérudo. Non seulement, il était effrayant, mais pis encore, il était monstrueux. Sa simple vue la faisait défaillir. Heureusement qu'elle n'habitait pas Cocorico !

Le bruit sec et sans appel du poing qui s'abattait sur sa porte retentit. Trois fois. Encore ! Les Déesses n'auraient donc jamais la bonté de lui laisser avaler tranquillement une semelle trop cuite ? De toute façon, sa marmite miniature se refusait à bouillir le trop peu d'eau qu'elle avait.

Aussi se décida-t-elle à déplacer son épaisse chair jusqu'à la maigre entrée.
« C'est pour quoi ? » Lâcha-t-elle d'une voix aigre en ne tirant que le volet de bois qui découvrait ses yeux.

Ce compte est un compte narrateur : les personnages joués par le narrateur ne peuvent pas être utilisés par les joueurs ou joueuses dans leur post (sauf autorisation d'un admin) et les jets de dé du narrateur sont contraignants.



Arise


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Resta sans voix, il se serait attendu à un accueil un peu meilleur, et à une personne qui devrait être de même. Ainsi qu'à une maison un peu plus grande de ce qu'il voyait, il n'avait jamais pu faire le tour de celle-ci, s'enfonçant entre deux allées de maison les unes à côté des autres.
Mais l'habit ne fait pas le moine, il préféra penser cela... L’espoir l'aveuglant.

Reprenant son souffle, ayant été quelque peu intimidé par la personne, et se décida enfin à parler -quelques secondes de silences s'étant glissé entre les deux phrases-.



-"Mon ami... -Siphylle se laissait à moitié distinguer, caché en partie par la porte, trop faible pour se présenter de lui-même.- Est plus que souffrant, ai j'ai ouïe dire que vous aviez une certaine renommée en Hyrule...
Aussi, j'ai largement de quoi vous payer..."
-Il ne manqua pas de sortir une bourse bien rempli, dans laquelle on distinguait quelque rubis rouges.-


S'en suivit ensuite la description des symptômes, son frère ne pouvant toujours pas parler. Ses vomissements de sang fréquent -d'ailleurs, son habit était tâché de celui-ci, sec-, du fait qu'il se fragiliséde jour ne jour -à s'en casser une jambe, ce qu'il n'avait manqué de faire au Lac quelque temps auparavant...-, de sa fièvre de temps à autre ainsi que de la fatigue qui le prenait de temps à autre.

Il alla rechercher son frère, le portant une nouvelle fois par-dessus son épaule, et attendit qu'on le laisse passer -sûrement-, le « médecin » -s'il en était un, les doutes prenant le noble-, ce dernier bloquant volontairement, semblerait-il, le passage...


Lokis


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Tout ce que je pouvais ouïr c'était le petit vent frais qui soufflait et murmurait gentillement dans mes oreilles son souffle doux, apaisant; peut-être voulait-il me dire de continuer de vivre et de vivre mieux. Le vent n'a pas d'odeur mais il a une voix.

Alors que je tentais de me poser tranquillement pour aller mieux, ce qui me semblait être Elza vint pour me transporter sur son épaule. Où suis-je déjà, jusqu'où il m'amène, je me disais. En fait il fit un mètre à pied avant de s'arrêter devant un homme aigri et manifestement pauvre-pas autant que je l'étais mais très pauvre quand même-.


Elle renifla d'une façon des plus distinguées, avant de grogner un « reste là, toi » remarquablement courtois. S'éloignant de la porte, elle claqua sèchement le judas, et entreprit de déverrouiller les trois sécurités qu'il fallait parvenir à désamorcer pour faire grincer cette oblongue planche d'un bois moisi, sans la défoncer. Le clic clac mécanique servirait sans doute de minuteur aux deux bambinos. Clic-clac. Premier verrou. Clic-clac. Deuxième serrure. Elle s'arrêta là, et ouvrit légèrement la porte afin de contempler à loisir les deux enfants qui se présentaient à elle.

"L'a une sale tête vot'copain, là, m'ssire." Il parlait bien, le gars, c'était indéniable. Et y'avait que les nobliaux pour avoir cette tête de pucelle effarouchée. En fait, Le Mire n'aurait su dire s'il s'agissait d'une gamine ou d'un garçonnet. Du peu qu'elle avait pu reconnaitre, il était habillé à la manière d'un garçon, mais là encore... Ah ! Non ! Elle ne voulait pas d'un eunuque ou de quelques autre déformation malsaine dans son chez-elle ! Castrats ou pédérastes, dehors ! Dehors !

L'ancien Hongreur grogna à nouveau. Si ça n'était pas blasphème, et si elle n'avait pas eu à nettoyer, elle aurait lâché un bon gros mollar sur son parquet vernis il y a des siècles de cela. « J'm'occupe pas d'sodomites. » Mais les faits étaient qu'elle avait diablement faim, et qu'au fond elle ne pouvait pas refuser grand chose. Les laisser entrer ne changerait pas grand chose à son éthique, tant qu'elle les fichait dehors au premier signe suspect. « J'spère qu'nenni d'vous deux y trempe sa saucisse chez eul'autre.[/b] »

Se faisant, elle s'occupa du dernier loquet, et entrouvrit un peu plus la porte. Ses yeux fixaient les gamins. Elle n'aimait déjà pas le bouffon, elle se rappelait de l'avoir vu prendre part à un meurtre lors d'un discours qu'elle n'avait absolument pas compris, sur la place. Pis encore que les invertis, les bougres et les culistes, c'étaient les meurtriers. Quand à l'autre... Il puait le sucre à des lieux à la rondes. Gosse de riche.

Elle jeta un regard noir au nain que le travelo portait comme un sac de pommes de terre.
« Vot'copain, m'ssire... C'est-y-pas un meurtrier du machin des Ânes Perdus..?[/b] » Non. Définitivement, elle ne comprenait pas comment on pouvait en venir à faire tout ce baratin qu'avait fait l'homme masqué, et planter quelqu'un parce qu'on avait paumé quelques mulets. Toutefois, sa main avait discrètement empoigné son balais le plus long et le plus solide, et son corps faisait rempart dans l'embouchure de sa porte. Le bois verrouillait son entrée un peu plus tôt, c'était désormais la chair qui bloquait le passage. La chair, un regard noir, et surtout, un balais.

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Arise


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Le noble grimaça, déjà pour les premières paroles qu'il n'avait pas forcément apprécié, mais se tût, et de seconde part parce qu'il n'aimait pas forcément qu'on lui rappelle cet événement... Il y avait été pitoyable -Du moins, son « double », mais visiblement et par chance, personne n'avait prêté attention à lui.
Quant à la question au sujet de son frère, il aurait pu tenter de justifier, étant donné qu'il savait parfaitement, il en était même sûr, que c'était l'« autre » qui tirait les ficelles, bien qu'en apparence ce soit le Kokiri, mais il n'évita pas la question, préférant même le mensonge, quand bien même celui si n'embellirait la vérité, c'en serait même presque le contraire...

Il soupira, fatigué et irrité par les événements derniers, ceux du lac, quelque mots.



-"Effectivement, cela vous poserez-t-il un quelconque problème?" -La faux rouge sang, la sienne, celle dont il ne se séparait jamais, mise contre le mur de la bâtisse d'en face, à la vue de la prétendue médecin, devrait l'empêcher -il l'espérait- poser plus de questions à ce sujet.-


Après tout, il était venu ici non pas par envie, et encore moins pour subir un interrogatoire sur ces mauvais événements, simplement pour espérer soigner un malade.

Bloquant toujours l'entrée, Elza attendit, s'impatientant un peu plus, il avait une importante chose à réaliser, et ce, de préférence avant la fin de cette journée. Il lançait un long regard noir à la personne qui lui faisait face, regard qui se traduisait facilement par un « Laissez-moi passer! », les infamies non incluse...








"Non... Non mais ! Et puis quoi 'core ?!" Beugla-t-elle particulièrement indignée. Ce gamin de pacotille osait se présenter devant chez elle, armé, avec un meurtrier dans les bras, quémander son aide puis la menacer ? La bonne femme se mit à voir vraiment rouge. Son poing resserra sa prise sur le manche de son balais, ses sourcils se plissèrent en une déplaisante mimique trahissant une colère qu'elle ne cherchait pas même à dissimuler. « Pour qui qu'tu te prends, sale mioche ?[/b] » Siffla-t-elle comme un serpent, entre des lèvres pincées, et le visage carmin de tout les vaisseaux sanguins qui affluaient sous sa peau grasse de femme qui mange trop.

Il avait déplacé un instrument qu'elle n'avait pas remarqué jusqu'à présent. Une faux. Elle ne recula pas, en dépit de la peur qui naissait en son sein (flasque et tombant). Au contraire, même, elle fit un pas en avant, forçant les deux autres à reculer s'ils ne voulaient pas se faire percuter. Elle toisa le nobliaux-aux-pets-plus-haut-que-son-croupion de toute sa hauteur, soit environ une tête de plus que ne faisait le Dragmire. « A force de fourrer d'z'hommes, t'as oublié comment qu'on parlait à une dame, p'tit merdeux ? » Elle lui cracha sur le faciès. Elle n'aimait pas ces yeux qu'il lui faisait. « Comment qu'on l'r'gard' aussi, p'têt' ? »

Son bras droit était toujours caché à l'intérieur, elle n'avait pas tout à fait quitté l'embrasure de la porte. Mais sa main gauche se posa sur l'épaule du Dragmire, et serra de toute la force dont elle disposait. Une femme de sa carrure n'était pas nécessairement en reste, surtout face à des freluquets pareils.

"Dehors. Tout de suite." Murmura-t-elle, dans un souffle plus violent que n'aurait pu l'être une énième insulte. L'évidence était qu'elle se retenait de les étriper et de les foutre tous les deux dans sa marmite. Avec le peu de chair qu'ils avaient sur les os, elle n'aurait pas même à manger pour trois jours. Bien entendu, elle ne mangeait pas de gens — elle ne mangeait simplement pas de viande. Mais qu'on ose la menacer chez elle, là où elle faisait la loi, cela la sortait tout simplement d'elle.

"DEHORS, BANDES DE CULASSES !" Hurla-t-elle, hors de ses gonds. Sa main gauche lâcha la bleusaille en la poussant violemment. Et aussi vite qu'il ne lui était possible, elle abattit son balais sur son visage si délicat qu'elle ne pouvait déjà plus supporter. Sans doute la gifle la moins glorieuse que l'on pouvait inspirer à un représentant de la Noblesse, mais elle n'en avait que faire. On ne la menaçait pas sous son toit, pas en sa demeure, pas dans son sanctuaire. Celui qui se présentait chez elle écoutait et la bouclait. Et s'il fallait qu'elle ré-apprenne la vie à certains abrutis...

"GARDES ! GARDES !" Continua-t-elle, criant aussi fort qu'il ne lui était possible de le faire. Le coin était sécurisé depuis de nombreux jours, sur décision du Héros des Armées, ce général qu'elle avait en affection. Profondément Rusadiriste, elle ne pouvait que le remercier encore d'avoir ordonné des patrouilles de jour comme de nuit partout, dans les plus grandes agglomérations sous protection des seuls Nohansen Hyrule. « C'EST Y DEUX MEURTRIERS ! » Elle finirait par perdre sa voix ; c'était certain. Mais au moins, le son caractéristique de la marche – course – de la Garde raisonnait sur les pavés.
... Alea Jacta Est ...

Un Dé (D3) est jeté pour déterminer la résultante des appels à la Garde du Mire (à ne pas oublier qu'il s'agit d'une femme). Selon ce qui se déroule dorénavant, il est possible que le personnage de Siphylle ou que le personnage d'Elza Cheshire Dragmire soient bloqués IG (in game) pour une durée IRL (in real life). Comme quoi, il vaut parfois mieux s'en remettre à la grace des Déesses.

D3 (Dé trois faces) :

° Si le résultat est 1 :
La Garde arrive suffisamment tôt pour se saisir d'au moins un des fugitifs. (On admet qu'Elza et Siphylle ont pris la fuite, pour éviter d'être pris). Le choix du personnage attrapé par la Garde résultera d'un accord entre les joueurs et devra être communiqué au Narrateur dans les plus brefs délais. Si d'aventure, aucun accord n'était trouvé d'ici à une semaine, les deux personnages se trouveraient être pris par les soldats de Zelda.
Le personnage pris se trouvera immédiatement prisonnier dans les geôles du Castel-Royal pour une durée d'une semaine IRL (qui correspondra au moins à une semaine IG, mais peut représenter plus si cela est voulu par le joueur). Durant cette semaine le personnage qui a été pris ne pourra pas participer à un RP quel qu'il soit (flashback — et "Tout ce qui est Or ne brille pas" exclus) qui se déroulerait en dehors de la prison.


(Dans un soucis de clarté : il s'agit d'une peine RP, l'accès à toutes les fonctions HRP et au site sont bien entendus intacts.)

° Si le résultat est 2 :
La Garde arrive suffisamment tôt pour se saisir des fugitifs. (On admet qu'Elza et Siphylle ont pris la fuite, pour éviter d'être pris).
Elza Cheshire Dragmire et Siphille se trouvent immédiatement prisonniers dans les geôles du Castel-Royal pour une durée d'une semaine IRL (qui correspondra au moins à une semaine IG, mais peut représenter plus si cela est voulu par le joueur). Durant cette semaine le personnage qui a été pris ne pourra pas participer à un RP quel qu'il soit (flashback exclu — "Tout ce qui est Or ne brille pas" exclu) qui se déroulerait en dehors de la prison.

(Dans un soucis de clarté : il s'agit d'une peine RP, l'accès à toutes les fonctions HRP et au site sont bien entendus intacts.)

° Si le résultat est 3 :
Les deux fugitifs (on admet qu'Elza et Siphylle ont pris la fuite pour éviter d'être pris) parviennent à semer la Garde et quitter les lieux. Il faudra trouver un autre moyen de soigner Siphylle.

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'Dé à 3 faces' :

Résultat :

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Arise


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Elza n’avait pas non plus vraiment aimé qu’on lui parle comme ça...
Sans donner preuve des sentiments qui le traversait, il alla chercher sa faux, tranquillement, en quelques lents pas, le temps de traverser la ruelle. Tout en allant placer l’arme de mort sur son épaule comme il en avait désormais l’habitude, il adressa un sourire à mire dont il était facile de comprendre l’ironie et ce qu’il sous-entendait...

Le bruit métallique des pièces d’armure des gardes parvenaient désormais jusqu’aux oreilles d’Elza. Qui, beaucoup plus rapidement qu’il ne l’avait fait avec la faux, alla mettre Siphylle par-dessus son épaule, l’autre, et s’enfuit.
Poursuivit par les gardes, il alla rejoindre la place agitée en cette heure matinale dans laquelle il fut facile de se fondre et de fausser compagnie aux deux qui venaient d’arriver pour rejoindre facilement le pont.

Le bilan d’aujourd’hui : Aucune maladie guéri, ils n’avaient même pas su de quoi il s’agissait. Ainsi qu’un garde tué : le seul qui surveillait le pont, ils leur faillaient se dépêcher et n’avaient pas de temps à perdre ; un coup horizontal, en aller-retour, dans le torse puis le ventre avait suffi...

Il disparurent dans la plaine, en même temps que le levé d'une épaisse brume...