Hyrule's Journey

La lourde lame fondit droit sur elle, et elle l'arrêta avec ses dagues avec difficulté, reculant de plusieurs mètres sous l'impact. L'esprit magique la poussait toujours plus loin, lui faisant franchir toutes ses limites. Mais elle savait que cela ne serait pas sans petits galopinséquence, et qu'il fallait terminer ce combats au plus vite.

Elle entendit à peine Arkhams, les yeux figés sur l'épée de son adversaire. Avec la vitesse qu'il lui avait fait prendre, impossible de la repousser complètement. Elle se jeta sur le côté, effectua une rapide roulade tandis que la lame s'écrasait à l'endroit où elle se trouvait quelques instants plus tôt.
Il avait senti qu'elle arrivait sur ses dernières réserves, elle l'avait vu dans son regard. Elle respirait avec peine, le Mal la rongeant toujours plus profond. Elle soupira, eut une pensée pour Eklips', et la possibilité où elle ne reviendrait pas.
Elle renouvela son assaut avec plus de fougue. Ce combat était essentiel pour la suite, elle ne devait jamais l'oublier. Elle remarqua à peine l'obscurité qui s'installait peu à peu sur la Plaine.

L'attaque avait eu une violence inouïe. Le choc avait ébranlé la terre et les humains présents sur la plaine entière. Altaranth lui même fut sonné par le coup et due prendre quelques secondes pour se remettre de l'impact.
Il ne put retenir plus longtemps le poison. La perte de contrôle de lui même fit circuler le fluide vitale jusqu'à ses poumons, son coeur...son essence même. Sournoise et haïssable bête que l'aspic blanc. Craint de toutes les civilisations, infatigable ennemi de l'Homme, abomination aux allures d'animal. Et il avait fallu que Withered en possède un.
Altaranth sentit la mort s'approcher. Elle n'était plus très loin. Il pouvait presque la voir. Dans ses arbres, ces rochers, ces nuages. Partout il pensait apercevoir la sinistre déesse implacable. Il ne put s'empêcher de sourir de l'ironie du sort qui avait voulu qu'il meurt aussi misérablement. La tristesse l'envahit au même moment où il sentit les premières gouttes de pluie.

Quel pathétique tableau. Je t'avais habitué à mieux, père. Puisse tu me pardonner...

Le démon s'attendait à chaque instant à voir les fameuses dagues noires de Withered rentrer dans son dos et sortir de sa poitrine en une effusion de sang noir et brulant mais il attendit en vain. Lorsque, intrigué, il se retourna, Withered allait sombrer. La malédiction était en train de la tuer. Il se précipita pour la rattraper alors qu'elle tombait. Il l'entoura de ses bras, attristé d'un tel épilogue. Leur deux morts ne servaient à rien. De toute manière la meute était morte, faute de louveteaux et par excés de confiance de ses chefs. Aucun espoir ne persistait. La flamme de l'espérance vacillait sous la pluie croissante qui avait achevé de le sortir de sa transe guerrière.
Alors, Altaranth resserra son étreinte. Il posa une main sur le visage de Withered et l'autre sur son flanc. Murmurant quelques mots en langue ancienne, il mit à mal sa raison qui lui ordonnait de s'enfuir et de sauver sa vie au lieu de risquer de tout perdre. Il s'en fichait. Seul comptait que la plaine ne compte pas un cadavre de femme de plus cette nuit.
Le mal se retira de Withered. La malédiction glissa des plaies vers les maisn du démon puis à l'intérieur de lui, provocant les mêmes dégats que chez son ancienne hôte. Il se sentit soudain très faible mais soulagé...Sachant qu'elle ne tarderait pas à revenir à la vie et à la raison, il se releva péniblement, torturé dans sa chair et se redressa. Il regarda la lune.

Stupide que je suis. Vas y Withered, fais ton office.

Elle avait sombré. En quelques secondes, la fournaise occupait tout son corps et elle avait perdu connaissance, tombant à la renverse. Tout était devenu noir autour d'elle.

Lorsqu'elle se réveilla, c'est d'abord la sensation nouvelle qu'elle ressentait qui l'interpela. La libération. Elle ouvrit les yeux, et vit que le démon se tenait debout, face à la lune. La douleur émanait de tout son corps, et elle comprit à quoi elle devait son rétablissement. Elle se redressa sur les coudes.

Pourquoi ?

Elle tourna la tête. Non loin d'elle se trouvait Liudia, et elle constata que le serpent était toujours conscient. Elle tendit un bras, l'attrapa et la glissa dans ses vêtements.
Elle essaya de se mettre debout, mais elle avait perdu beaucoup de sang. La magie laissait aussi sa marque par de nouvelles douleurs au niveau du crâne. Elle se redressa tant bien que mal, et se dirigea vers le démon. Elle éleva la voix.

Ta malédiction te consumera.

Elle se mit face à lui, et se trouva alors dos à Arkhams. Elle s'approcha, et il tomba alors à genoux. Elle s'avança, lui chuchota quelques mots.

Mais tu sauras t'en débarrasser je suppose. Pour le reste... Liudia et moi sommes de vieilles amies, je suis habituée à son poison. Mais je garde toujours ça pour...

Elle ne finit pas sa phrase, et une petite fiole tomba dans la main d'Altaranth, en même temps que l'herbe accueillait une des rares larmes de la jeune femme.. Elle se pencha, déposa un baiser sur le front de son ancien frère de Meute.

Je dois laisser mon passé derrière moi. Mais peut-être nous recroiserons nous un jour.

Elle se redressa, se retourna vers Arkhams et s'avança. Elle avait beaucoup de mal à se déplacer, mais elle afficha quand même un sourire au guerrier.

Sa propre malédiction aura raison de lui, et je ne connais pas de fin plus humiliante que celle-ci pour un guerrier de sa trempe.

Elle jeta un rapide coup d'œil au jeune garde, et fit comprendre à Arkhams qu'elle était prête à quitter les lieux, le plus vite possible.

Arkhams fronça les sourcils devant cette scène assez incroyable et il sourit avec suffisance lorsqu'il vit Withered s'approcher de lui, satisfaite.

Quelle pitoyable comédie tu nous as faite ici bas, cabot.

Arkhams resta immobile un instant, observant en détail le visage de sa protégée et le corps gisant de douleur de ce prétendu démon.

Un démon qui sauve une ancienne amie, pathétique. Tu mériterais que je t'achève, faible.

Arkhams se tourna vers Withered et lui afficha un sourire ravis. Instinctivement il s'approcha lentement du démon et lui chuchota.

Elle est mienne maintenant. Tu n'es plus rien.

Arkhams bondit vers la jeune femme et lança un regard de glace au démon. Il mis son bras au dessus de son épaule puis d'un claquement de doigt il brisa le givre mordant les chevilles du jeune garde.

Quant à toi gamin, tu as échappé de justesse à une triste fin. Je te conseille d'avoir un peu plus de poils au menton avant de me défier, petit Garde Royal.

Arkhams invita alors sa douce Withered à quitter les lieux, laissant derrière eux un silence nocturne terriblement lourd . Les éléments s'étaient enfin calmés, la mort n'y planait plus.

" Bordel ! "

Arkhams venait de lui geler les pieds. Abigaïl n'en croyait tout simplement pas ses yeux. Super, et il était censé faire quoi pour s'en débarrasser ? Faire fondre la glace, peut-être ? La magie, c'était pour les enfants de bonnes familles, pour les nobles, ou c'était inné. Lui, il ne faisait partie d'aucune de ces catégories. Pourtant, il était de l'élément feu. Alors, pour les quelques minutes qui suivirent, il tenta de concentrer son esprit sur ses jambes pour pouvoir créer de la chaleur... en vain. Il était né paysan, pas sorcier ! Rageur, il tenta de briser la glace avec sa dague. Pourquoi n'existait-il pas un système pour envoyer des lettres via les pensées, bon sang ?! Il devait appeler du renfort ! Pas rester planté là comme un clown à voir son compatriote agoniser pas loin de lui !

Toujours sur ses gardes malgré ses jurons, l'hylien scruta l'étrange couple que forma pendant une fraction de seconde la jeune femme au serpent et le démon. C'était... touchant, d'une part. Ont-ils été amis, dans le passé ? Qu'est-ce qui les avait donc poussé à s'affronter ainsi ? Ses yeux verts se déposèrent sur Arkhams.
Ah. Peut-être avait-il compris.

" Quant à toi gamin, tu as échappé de justesse à une triste fin. Je te conseille d'avoir un peu plus de poils au menton avant de me défier, petit Garde Royal. "

D'un claquement de doigt, Abigaïl se retrouva libéré de ses entraves. Tremblant de honte et de colère, il ne sauta pas à la gorge d'Arkhams comme il aurait tant voulu le faire mais choisit plutôt de se précipiter vers l'autre garde. Altaranth était bien mal en point... Et même un jeune homme aussi impétueux que Abigaïl savait faire la part des choses. Il n'adressa pas même un regard aux deux autres alors qu'ils s'en allaient déjà. Il serra les dents. De toute façon, cela ne servirait à rien qu'il les affronte. Il tenta de s'en convaincre.

" Je... Je... Dites-moi ce que je peux faire. "

Ses lèvres étaient pincées, de frustration et de colère réunies, mais dans ses yeux vert amande brillaient de l'angoisse. Il avança ses mains vers le démon avant de les rétracter. Il avait peur de commettre une bêtise. Dans le fond, il avait honte. Très honte. Il n'avait rien pu faire pour aider, et s'était simplement tourné en ridicule... A cette pensée, le visage empli de mépris d'Arkhams apparut dans son esprit.
La rage lui fit l'effet d'un marquage au fer blanc.

Le silence prit place dans la plaine. Abigaïl ne voyait plus la lune. Il commençait à pleuvoir de plus en plus fort... Les yeux emplis de profonds remords, le jeune garde enleva sa veste pour tenter de couvrir un peu le blessé. Il ne savait pas s'il allait mourir ou pas. Il ne voulait pas savoir. C'était trop dur. Il aurait voulu le rencontrer dans d'autres circonstances... Enfin. C'était la vie. Il ferma brièvement les yeux pour s'en convaincre.

*Mais par les Déesses, par la lune, par tout ce que vous voulez d'autres, ayez un peu de pitié pour cet homme. Il ne mérite pas de mourir comme ça.*

Au loin, Abigaïl crut entendre le hurlement des loups. Il aurait dû paniquer, vraiment. Il aurait dû se sentir menacé... mais non. Il se sentait juste terriblement impuissant. Il aurait voulu hurler comme ces bêtes de la nuit, hurler son déshonneur, sa déception, ses prières. A la place, il passa sa main sur son visage, faisant tomber quelques gouttes de ses cheveux trempés.
Il ne vit pas la petite fiole que tenait Altaranth, serré dans son poing.

Altaranth n'avait ressentit que faiblement le monde extérieur durant les quelques secondes qui avait suivit l'inhalation de son maléfice. Il ne souvint que de Withered, sa larme, son baiser et son cadeau. Malgré sa phrase sur son passé, elle l'avait sauvé. Elle avait sauvé ce qu'il avait battit durant des siècles. Il retomba lourdement sur le sol et s'allongea. La douleur était plus supportable ainsi. Prenant la fiole, il la déboucha et en avala le contenu. C'était chaud et doux à la fois. Enivrant et presque onirique. C'était donc ça la remède au venin de l'aspic. Le mélange de plantes enivrantes et des sentiments qui font que l'empoisonneur lui même offre le remède. Elle n'avait jamais voulu en arriver à une fin tragique, il en fut certain.
Cette pensée le réconforta tandis que son propre mal continuait à le ronger. Avec difficulté il se redressa car il lui semblait que quelqu'un l'appelait.

" Je... Je... Dites-moi ce que je peux faire. "

La voix était lointaine et mal assurée mais elle remit Altaranth dans la réalité des choses. La plaine était inondée de pluie à présent. Les deux autres avaient disparut. Arkhams...il avait eu un tel ascendant sur Withered. Se pourrait il qu'il eut repris les Profondes Ténèbres en main depuis que La Meute, ses propres hommes et les chevaliers du phénix lui eurent infligé une cuisante défaite? C'était probable. Mais cela n'avait que peu d'importance dans l'instant. Si il ne trouvait pas de solutions rapidement, il se pourrait bien que le geste de Withered ne serve à rien.
C'est alors qu'il remarqua que, dans le ciel, guettait son père. Il se tourna vers le jeune hylien et le rassura en lui posant une main sur l'épaule.

"Toi tu ne peux m'aider plus que tu ne l'as fait. Laisse donc mes amis s'en charger.

Aussitôt eut il dit ces mots que l'énigmatique ombre se détacha du ciel et fondit sur lui. Elle rétrécit au fur et à mesure qu'elle se rapprochait jusqu'à atteindre une taille légèrement plus grande que lui. Derrière Altaranth, la grande silhouette d'ombre et de brume noire à l'apparence légèrement humaine et aux yeux de feu le fixait, dans toute sa puissance.
Sa voix retentit alors, plus profonde que les entrailles de la Terre.

"Que de sentiments mon fils...Tu n'es pas mon favoris pour rien. Vis et continue ta tache mon enfant.

Et il disparut, s'évanouissant dans le vent, sans laisser de trace autre qu'une simple sphère, flottant dans les airs. Soudain, la sphère éclata en un flash et un portail apparut. Veren en sortit, visiblement essoufflé. Certainement mit au courant par l'ombre elle même, il ne perdit pas de temps et entailla la poitrine d'Altaranth en surface au niveau du coeur. Posant ses lèvres sur la plaie, il aspira. La malédiction rentra en lui et sembla s'évanouir. Ses yeux brillèrent d'une lueur verte et d'excitation et il soupira de soulagement. Le démon, lui, se sentait déjà mieux.

Tu n'as pas trainé.

Comme toujours.

Altaranth se tourna vers le jeune garde dont il ne connaissait pas le nom mais qui l'avait aidé de manière courageuse. Si il n'avait pas été là sans doute qu'Arkhams l'aurait achevé.

"Merci. Dis moi, mon garçon, tu m'intéresses? Es tu engagé dans autre choses que la garde royale?

Abigaïl écarquilla les yeux. Son compatriote semblait se porter de mieux en mieux à chaque seconde qui s'écoulait. Ce n'était pas une illusion, au moins ? Peut-être était-ce juste l'obscurité qui lui jouait des tours. Il se frotta les yeux... Mais lorsqu'il posa de nouveau son regard sur Altaranth, ce dernier s'était relevé. Complètement sous le choc du changement, l'hylien ne réagit pas alors même que son compagnon posait sa main sur ses épaules. Leurs yeux se croisèrent. Ceux du démon étaient rassurants.
Abigaïl retint son souffle.

" Toi tu ne peux m'aider plus que tu ne l'as fait. Laisse donc mes amis s'en charger. "

Heureusement qu'il avait évoqué le mot "amis" car, lorsqu'une ombre imposante fondit sur lui, Abigaïl faillit s'interposer. Mais, suivant ses paroles, il ne fit que ranger sa dague dans son fourreau. Ses yeux restèrent cependant à l'affût du moindre danger. Il n'arrivait pas à détacher son regard de la silhouette sombre qui faisait à présent face à Altaranth... Il était impressionné. Et peut-être un peu intimidé, aussi - mais il ne l'avouerait jamais.
Il sursauta brusquement lorsque celle-ci prit la parole et ne put empêcher une expression incrédule passer sur son visage. Il ne comprenait plus grand chose... mais le mot "fils" le rendit étrangement nostalgique. Cela faisait quatre ans qu'il avait quitté la maison familiale.

La silhouette disparut pour ne laisser qu'une sphère lumineuse, et Abigaïl se demanda s'il n'était pas en train de rêver. Tout était si... extraordinaire ! Mais en même temps, cela devait être de la magie. Et le jeune garde n'avait aucune connaissance - ni même expérience - en un tel domaine.
La sphère éclata pour laisser apparaître une sorte de portail et un homme en sortit. L'hylien hallucinait. Il se pinça le bras. Aïe... Non. Tout allait bien.

" Mais qu'est-ce que...!! "

Le nouvel arrivant venait d'entailler la poitrine d'Altaranth. Pris de panique, Abigaïl voulut dégainer - mais il s'arrêta net lorsqu'il s'aperçut que le prétendu ennemi était en train d'aspirer la chose néfaste du démon à travers la nouvelle plaie. Le roux assista à la scène sans bouger, ne sachant s'il devait se sentir soulagé ou abasourdi.
Son compatriote garde s'en était apparemment remis et le jeune homme sentit une vague de réconfort l'envahit. Lorsque Altaranth se tourna vers lui, il lui rendit son regard. Son anxiété s'était dissipée.

" Merci. "

Abigaïl sentit ses oreilles le brûler - elles devaient être rouges, à présent - et la honte menaça de le submerger. Il aurait voulu se cacher le visage de ses mains, mais il résista à la tentation puérile et resta droit comme un piquet. Il ne méritait pas de remerciement. Il n'avait rien fait qui aurait pu mériter de tels mots. Il se tut un instant, trop gêné pour réussir à parler sans bafouiller, et finalement prit une longue inspiration avant de prendre la parole.

" J'ai... rien fait d'honorable, messire. Vraiment. "

" Dis moi, mon garçon, tu m'intéresses ? Es tu engagé dans autre choses que la garde royale ? "

"Engagé" ? Les pensées de l'hylien pivotèrent à 180° et se fixèrent immédiatement sur l'Autre. Par les Déesses... Oui, c'est vrai. Il était engagé. Il sentit ses joues rougir et se serait donné un coup de poing au crâne s'il était tout seul. Bon sang, mais à quoi il pensait donc ?! Ce n'était pas le moment ! Il se ridiculisait tout seul, là ! Reprenant contenance, il réfléchit un moment à l'interrogation. Il ne voyait pas où voulait en venir Altaranth... mais bon. Ce n'était qu'une question de temps.

" Non m'sieur. Je me suis enrôlé dans la garde royale, mais c'est tout. "

Il ne le dit pas à haute voix mais le regard intrigué qu'il lança au démon suffisait bien à lui seul pour tout exprimer. "Pourquoi ?", ses yeux demandaient. Ses yeux du vert de l'Espoir.

[hrp]Bon clavier qwerty hein! ;) Donc ca sera plus court que d'habitude.[/hrp]

Altaranth faillit reculer precipitememt quand il vit une lueur lubrique dans l'oeil du jeune garde. Il n'avait pas cru cela d'un jeune homme comme lui mais apres tout...Le demon se ressaisit. L'avenir d'Hyrule serait probablement influence par ce qu'il allait faire. En bien ou en mal, cela il l'ignorait mais son instinct lui affirmait qu'il ne se trompait pas.
Il repensa a son propre rituel. Il avait ete le troisieme a entrer dans la meute, tout comme il etait le IIIeme du groupe sans nom. L'apprehension avait ete grande ce jour la, lorsque l'ombre l'avait paralyse puis mordu...La douleur n'etait jamais reelement partie...tout conme la puissance que cela lui avait apporte.

"N'es tu jamais sentit autre qu'humain? N'as tu jamais pense que tu etais different? Que tu valais mieux? Si tu le desires, jeune homme, je peux faire de toi un Loup dans la bergerie. Je peux faire de toi un membre...de la meute!