À quelques pas de l'entrée de la forêt...

RP libre

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Clémance


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La plaine était à perte de vue. La kokiri était véritablement hors de la forêt et pour de bon. Elle était rempli d’une joie inconnue. Est-ce ce qu’on appelle la liberté? Elle sortit un parchemin. Devant elle, l’herbe de la plaine sifflait. Trèfle regardait l’horizon. Aujourd’hui, c’était le lendemain de la destruction de sa maison. Elle n’avait plus où vivre, en fait, oui, elle pouvait retourner dans la forêt trouver une maison bien commode et continuer son travail de finition de meubles. Cependant, elle n’avait rien de ça sur son cœur. Sur celui-ci était étampé un seul mot. Aventure. Et elle était prête pour le faire. Elle avait placé un coffre à terre à côté d’elle qui contenait une paire de bottes, du papier sablé et quelques pommes pour la route. Sa pochette d’où elle avait sorti une carte abritait son lance-pierre et une dague. Le lance-pierre était pour éloigner les loups et les monstres et la dague pour… sculpter. Évidemment, Clem n’était prête pour aucune guerre, bien qu’elle portait sur son dos une épée mojo qu’elle avait fièrement sculptée et un bouclier mojo. Sur le parchemin était dessiné des cercles à la main avec les noms des lieux. Elle regarda la carte minutieusement. Elle cherchait le lieu le plus proche. Trèfle jeta un coup d’œil à la carte, mais ne dit rien attendant que son amie trouve une route à suivre. Clem leva sa tête satisfaite. Elle avait trouvé la première place où elles allaient connaître. Elle pointa pour que Trèfle voye le parcours qu’elle a décidé de prendre. Elle lui expliqua.

J’aimerais qu’on longe la plaine et qu’on visite le domaine des Zoras voir ce qu’il se passe là-bas vu que c’est le plus proche. Ensuite…

Elle mordit sa lèvre légèrement. Ensuite, c’était soit aller au Ranch ou au village Cocorico à moins qu’il y ait des villages qui ne sont pas sur la carte. Elle soupira. Trèfle la regardait patiemment. Elle tapota l’épaule de Clem.

On peut commencer avec ça.

La kokiri lui sourit et elle lui répondit avec un sourire. Trèfle aimait l’idée de se rentre chez les Zoras. Ça faisait longtemps qu'elle n'en rencontra un. En fait, elle n'en avait jamais rencontré. En plus, l'avantage de l'idée de Clem, c'est qu'elles n’avaient qu’à longer la forêt pour y arriver. Elle se calma à cette idée. Ses habits ne constituaient seulement d'une robe verte (donc une tunique, mais plus longue) et de pantalons blancs arrivant jusqu'à ses chevilles. Ses cheveux aussi bruns que ceux de Clem balançaient par la brise. Elle non plus n’était prête pour aucune guerre. Qui va à la guerre en robe, dit? Sur ce, l’aventure commença.


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Je m'étais rendu à la plaine, agacé par ma patronne. Il faut dire que vu le succès du magasin, elle m'embauchait à tour de bras, et je n'avais plus une minute à moi. J'avais donc du me battre pour avoir un répit. Quand ma dette pour les quelques loques qu'elle m'avait confectionné, serait-elle effacé ? Parfois, je me surprenais à envier cette fille qui avait tenté de voler le magasin... Voler rendrait les choses tellement plus facile...

Je m'étais un peu égaré dans mes pensées, car je ne reconnaissais pas l'endroit où j'étais. Je crois même que je n'y étais jamais allé car je ne voyais même plus l'entrée du bourg. Je pouvais quand même distinguer la silhouette du château, mais j'avais marché pendant des heures. Je profitai donc du paysage, d'humeur curieux. Et c'était vraiment rare depuis que j'étais là, ma joie de vivre laissée dans mes autres mondes.

Je finis par rencontrer âme qui vive. De loin, la silhouette me paraissait petite, mais quand je m'approchais, elle ne grandit pas plus. A vrai dire, la fille devait être aussi grande que moi. Elle me sembla bien jeune, aussi je me surpris à avoir un élan d’héroïsme en demandant :
« Tu es perdu petite ? Tu veux que je te raccompagne chez toi ? »

Certes, il était difficile de croire que j'étais un adulte avec ma petite taille, mais ma voix trahissait quand même mon âge.


Clémance


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Pendant son séjour au royaume des Zoras, Clem se sentit isolée des autres. Mais son esprit était en alerte par tout ce qui se passait. La rivière glacée apporta de l'incertitude à la petite kokiri, car elle avait appris dans la forêt que la race Zora habitait principalement sous l'eau. Elle avait rencontré plusieurs des habitants terrestres qui s'inquiétaient non seulement de la rivière, mais aussi d'un monstre non loin du sanctuaire des Zoras. Elle avait même vu quelques bandits prendre avantage de la situation. Heureusement, sa petite taille et son allure enfantin l'avait gardée vivante. Cependant, elle lui apportait tant de soucis.

Son coffre avait été volé. Heureusement, elle avait changé sa paire de botte avant de perdre son coffre. Elle ne le reverra peut-être jamais.

*
C'était l'après-midi. Quelques mois après le séjour au royaume des Zoras.

Trèfle trouvait la plaine lugubre, ce jour-là, bien que le soleil faisait fièrement et doucement briller ce vaste territoire. Elle décida alors de siffler la mélodie qu'elle avait autrefois entendu dans la forêt perdue, il y a une décennie de cela, pour tenter de se calmer. La kokiri, juste en dessous d'elle, écoutait le bourdonnement de l'herbe. Cette dernière était plus bavarde en ce secteur. Clem écoutait attentivement avec un petit sourire. Elle grimaçait quand l'herbe se remémora des détails des combats qui ont eu lieu en ce lieu et elle soupirait de soulagement quand elle entendit des actes de bravoure et de rescousse. Son sourire s'estompa quand son oreille entendit la mélodie. Elle regarda au dessus de sa tête. Une tornade d'images passa dans ses pensées, elle se rappela des mésaventures qu'elle avait eu avec sa gardienne. Sa fée se sentait regardé, s'arrêta et vola jusqu'à l'épaule de la kokiri. Elles restèrent silencieuses.

Clem souleva une oreille. Elle avait entendu quelque chose. Des pas s'approchaient. Elle prit son bouclier qui était suspendu sur son dos grâce à une ceinture de cuir et le porta proche de son torse. Elle allait prendre son épée, mais elle s'abstient. Ses oreilles se soulevèrent quand elle remarquât que l’inconnu n’était pas plus grand qu’elle. Il prit la parole. Non seulement, il parlait hylien, mais il le ressemblait.

Trèfle avait vu la silhouette masculine s'approcher. C'était dur de voir avec le soleil qui était derrière le dos de l'inconnu. Quand il fut assez près, elle remarquât sa petite taille, bien que plus grand qu'elle. Son allure mature l'inquiéta. La méfiance reste maîtresse chez elle. Elle aurait pensé que c'était... elle cherchait ses mots... Qu'il était une fée. Par contre, il n’avait pas d’ailes. L'inconnu affichait une allure chevaleresque qui fit dégoûter Trèfle. Quand il prit la parole, le dégoût s'accumulait. Quelle arrogance!


« Tu es perdu petite ? Tu veux que je te raccompagne chez toi ? »

Clem ne s'était pas étonnée parce qu'il crut qu'elle était un enfant, mais parce qu'il demandait pratiquement où elle restait. Elle soupira. Elle avait longtemps délaissé l'idée d'avouer qu'elle était une kokiri puisque rares étaient les cas que cette race s'aventurait hors de la forêt et les cas qu'ils savaient ce qu'est un kokiri. Elle trouva donc prudent de ne rien mentionner. Pas trop du moins. Elle dit d'une voix confiante.

Je n'ai pas de chez moi.

En gardant le bouclier devant elle et une bonne distance entre son interlocuteur, elle regarda ses habits, ils étaient bien étranges. Trèfle soupira de soulagement, mais aussi de mécontentement. Clem avait su ne rien dévoiler. Et elle avait délaissé sa fierté d'être une kokiri. Une étincelle. Elle regarda fugitivement l'inconnu. Elle finit par regarder ses yeux. Le bleu de ces yeux semblait se perdre dans la profondeur de son âme. Elle aurait pensé qu'il souffrait. Ou est-ce le froid qu'il semblait dégager? Elle se retourna. Elle tenta de porter son regard à l'horizon. Elle fut tentée de regarder encore un fois. Leurs regards se croisèrent. Elle se retourna vivement. Sa colère embrasée, les deux commençaient à l'agacer. Un pour son arrogance et l'autre pour sa lâcheté.

Il n'avait pas l'air hostile, alors Clem rangea son bouclier sans remarquer sa fée qui bouillait.

[Désolé pour l'attente x_x
J'ai mis de l'italique c'est plus facile à lire. ^^
o.O c'est un peu long aussi...]


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Je fus scruté en long et en large par une boule lumineuse, qui dégageait une aura particulière. C'était la même que la mienne dans cet univers ? C'était... Une fée ? Mais, elle avait des ailes elle, contrairement à moi ! Ainsi donc, je n'avais pas eu le droit de bénéficier de tous les avantages de ma race ? Je failli bouillonner, mais l'attitude défensive de la jeune fille et les regards que j'échangeais avec la fée me mirent mal à l'aise. J'en perdais mon assurance, me sentant tout penaud. La jeune fille, après m'avoir répondu, finit par ranger son équipement.
"Alors nous sommes deux. Je profite d'un hébergement à la place du marché, ça peut te dépanner un temps si tu le souhaites. Ne t'inquiète pas, je ne te veux pas de mal."

Mais mon malaise ne disparut pas. La fée ne cessait d'attirer mon regard, je me passais la main dans le cou de gêne. Finalement, je m'approchais de la jeune fille, lui tendant la main amicalement.
"Je m'appelle Shun. C'est mieux de savoir comment nous nous appelons si nous faison la route ensemble non ?"

Nous nous serrâmes la main, et je commençais à avancer. La nuit allait bientôt tomber, et nous avions un peu de marche à faire. Nous allions devoir être prudent. Dans le pire des cas, vu les réflexes de la jeune fille et mes donc magiques, nous serions en état de nous défendre ça ne ferait aucun doute.
"Comment ça se fait que tu n'ais plus de chez toi ? Et dis moi... Cette chose, c'est une fée ?"

Je ne sais pas pourquoi, mais je me sentais à l'aise avec une fille de ma taille. Et quelque part, je souffrais de cette solitude que je m'étais imposé.


[A mon tour désolé du retard, mais fais plus long ne te gêne pas XD c'est juste que je ne savais pas comment épiloguer ^^]


Clémance


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(vide)

[Bonne lecture ^^']

"Alors nous sommes deux. Je profite d'un hébergement à la place du marché, ça peut te dépanner un temps si tu le souhaites. Ne t'inquiète pas, je ne te veux pas de mal."

Clem gratta sa tête. Des sentiments contraires montaient en elle. Les yeux de l'inconnu créa du malaise, mais aussi la rassura. Rares sont les fois qu'un homme et non un enfant la regardait sans effort. Quand il eut mentionné de la place du marché, elle stoppa net de gratter. Elle resta là pensive. Avoir une personne de plus dans le groupe ne devrait pas poser problème. Elle afficha un regard interloqué.Trèfle se fâcha. «Nous sommes deux, mon oeil! On est trois. » Elle lui grimaçait, mais elle était trop petite pour que le garçon la voit clairement.

Ça va, je ne suis pas inquiète... et on est trois... ça fait presque une semaine qu'on dort à la belle étoile et c'est justement à la place de marché qu'on se dirigeait.

Clem afficha un petit sourire. Trèfle fut soulagée que Clem le corrigea. Finalement, elles auraient bientôt un toit par dessus leur tête. Ça voulait dire rester sèche, rester endormie, rester en sécurité... ou peut-être pas, mais au moins il n'y aurait pas de squelettes affamés voulant la manger au milieu de la nuit. Elle arrêta ses réflexions pour anticiper les paroles et gestes de l’inconnu. Elle ne l’aimait pas. Elle redoubla sa vigilance.

"Je m'appelle Shun. C'est mieux de savoir comment nous nous appelons si nous faisons la route ensemble non ?"

Clem acquisa de la tête. L’herbe siffla. «trois sages» «glace» «brr» Mais Clem ne comprit guère ce que ça voulait signifier. «Shun, drôle de nom» Elle lui répondit avec une voix plus mature, mais tout aussi enfantine selon sa race.

Moi, c’est Clem et…

Shun tendit la main. La kokiri remercia intérieurement les déesses pendant qu’elle serra la main de Shun. Elle se tourna vers la boule de lumière. Elle inclina sa tête, étonnée. Le regard de Trèfle ressemblait à du bois carbonisé. Clem comprit que quelque chose ne marchait pas. Sa fée vola à son oreille qui lui murmura quelque chose. Ça ne fit que lever un sourcil à la fille-des-bois.

Elle, c’est Trèfle.

Sa fée força un sourire. Elles regardèrent le ciel. Il manquait peu au soleil pour partir pour la nuit. Ils commencèrent à marcher (et à voler). Après quelques minutes de marche, Shun s'élança avec une question qui fit bien réfléchir la fillette.

"Comment ça se fait que tu n'as plus de chez toi ?"

Elle laissa un peu de silence pour penser à ce qu’elle allait dire. Les flammes et les cris des arbres, elle secoua sa tête. Sa maison a été dévorée par les flammes. Elle ne voulait pas s’en rappeler et encore moins la souffrance des arbres. Elle retourna sur l'aspect plus objectif de la question. Refaire une maison la garderait enfermée dans le village kokiri sûrement pour l’éternité. L’autre option serait d’aller à la place de marché acheter une nouvelle maison. Cependant, elle avait pris goût à vagabonder dans la plaine et visiter les villages et les marchands puisqu’elle apprit des choses qu'elle n'a jamais su et elle était fascinée par certains objets dont... le Bouclier Hylien… Alors, là, comment elle devrait dire ça... «Je l’ai décidé ainsi» sonnerait trop rebelle. «Ma maison fut brûlée lors d’une incendie» sonnerait trop «sauvez la pauvre petite bête des flammes». Elle s'élança tout de même.

J'avais un chez moi, mais j’ai décidé de voyager pour apprendre plus sur ce qu’il se passe dans Hyrule et pour mieux connaître les cultures... même si, c'est assez dangereux.

Ça sonnait mieux. Son regard sérieux était porté à l'horizon. La globe-trotteuse pensa des voleurs qu'elle avait vu, même celui qui l'avait pris son coffre. Elle se rappelle de Trèfle. La colère s'était emparée de sa gardienne quand elle avait remarqué que la kokiri ne le poursuivait pas. En haussant les épaules, sa moralité pacifique resta. Il voulait survivre, alors elle ne voulait pas être un obstacle. Dans le même village, ses oreilles avaient aussi entendu que des meurtres se commettaient dans certains villages et d'autres, des viols. À chaque fois, elle avait ce goût amer et se mettait à l'écart. Et il y avait eu des villages complètement dévastés. Elle mit ses mains derrière sa tête. Il fallait qu'elle pense du bon côté de ses voyages. Elle avait vu des personnes en train de forger et de commencer à travailler leur terre, des scènes de retrouvailles, de guérison,... Ça allait continuer, mais l’homme lui demanda soudainement.

"Et dis-moi... Cette chose, c'est une fée ?"

Clem ouvra sa bouche pour répondre, mais une vive lumière verte l'éblouit. Elle entendit un bourdonnement proche de son oreille. Une fine main était placée sur sa lèvre. Trèfle lui barrait la bouche. Elle vola jusqu’au nez de l’autre fée, les yeux enflammées.«chose...» Clem voulait l'arrêter, mais la «microscopique» était trop rapide. Une brise passa.

Cette chose est une fée, oui, Monsieur Chose.

Des émeraudes rebelles défiaient Shun. De cette distance risquée, la fée miniature n'avait plus l'air d'une boule lumineuse, mais bien d'une femme mature. Deux fils tombaient sur ses joues de son visage délicat. Sous ces fines lèvres, elle grinçait les dents. Ses ailes jade en forme de trèfle à quatre feuilles vrombissaient et s'agitaient comme un colibri. Elle compensa la lumière pour qu'il la voit bien dans les yeux. Sa robe feuille kokiri luisait doucement et dessinait sa silhouette féminine.

[Bon, je pense qu'il faudrait dire moins de répliques pour faire des réponse plus courtes... ^^' (ça serait plus facile pour répondre >.<)]


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Je fus obligé de fermer les yeux quand Trèfle approcha. Déjà à cause de la lumière, mais aussi car j'étais surpris de l'allure mature qu'elle avait. A vrai dire, elle était même agréable à regarder. Je sentis mes joues rosir. J'aurais pu être assigné à un peuple plus vilain, à ne pas en douter. Je détournais le regard.
"Enchanté alors hum, Trèfle. Avançons d'accord ?" fis-je, troublé par l'air soupçonneux de la fée.

Nous avançâmes alors, bien que nous restâmes encore un moment silencieux. La silhouette du bourg approchait lentement.
"De quels dangers parlais-tu Clem ?" demandais-je. Je n'avais encore rencontré personne d'hostile, et encore moins des montres. Je ne savais donc pas à quoi m'attendre à Hyrule.

[Décidément... Je suis désolé, actuellement c'est pas la joie de mon côté.]


Clémance


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Trèfle se retira sans répondre à Shun.

Sceptique, Clem regarda sa fée tournoyer autour d'elle.

Ils avancèrent silencieusement vers l'horizon qui selon le garçon deviendrait la place de marché. Clem avait sortit sa carte pour en être sûre.

"De quels dangers parlais-tu Clem ?"

Clem frissonna à la pensée. Il y en avait trop. Et heureusement, elle ne devait pas les affronter tous à la fois.

Dans les grandes lignes, n'importe qui peut être en danger ou être le danger. Alors, pour l'instant, méfies-toi de la nuit.

En même temps, le soleil commençait à disparaître.


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Dans les grandes lignes, n'importe qui peut être en danger ou être le danger. Alors, pour l'instant, méfies-toi de la nuit.

Je frissonnais à ses paroles.
"Voilà qui est bien pessimiste... Mais je resterais sur mes gardes, tu n'as rien à craindre."

Joignant le geste à la parole, je levais la main, et une fine couche de glace s'y forma.
"J'ai une alliée formidable partout où que j'aille !"

Mais comme pour me punir de mon impétuosité, un bruit sourd se fit entendre non loin de nous. Un monstre ?
"Qu'est-ce c'est ?"

(Un peu d'action ? :D)


Withered


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[ HRP : Je me permets de m'incruster, dites moi si ça ne vous convient pas ! :3 ]

"Aaaaah mais c'est fatiguant en fait !"

La jeune gerudo marchait à côté de son cheval, éreinté par la journée de découverte qu'ils avaient passés tous les deux. Elle était à la recherche d'un abri, inquiète que la nuit tombe si vite et qu'elle soit à découvert. Certes, elle ne connaissait pas grand chose d'Hyrule -tellement peu qu'elle n'avait pas réussi à rejoindre la place du marché sans se perdre-, mais elle avait ses réflexes de femme du désert qui lui dictait de trouver un refuge. Mais voilà que désormais, son cheval marchait moins vite, exténué.

"Allez, s'teu plait Ombre..."

Le cheval à la robe noir nuit -d'où son nom très explicite- ne sembla pas attentif à la supplication de sa cavalière, car ils se laissa tomber sur le sol, provoquant un bruit sourd. La jeune fille était presque au bord de la panique à cette vue là.

"Non Ombre ! On ne peut pas rester ici, à la vue et portée de tout et n'importe quoi !"

Elle tira sur les rênes, mais le cheval ne broncha pas. Alors Lyn tendit l'oreille, et prit sa lance dans les mains. Elle voulait bien lui accorder quelques minutes de répits, mais elle n'était pas tranquille pour autant... Elle se donna un air féroce, mais elle n'en menait pas large.


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"Voilà qui est bien pessimiste... Mais je resterais sur mes gardes, tu n'as rien à craindre."

Clem regretta ces paroles et se sentit mal à l'aise. C'était surtout Trèfle qui sortait avec des paroles pessimistes et elle, des paroles optimistes. A-t-elle à ce point changée? Elle n'espérait pas, elle voulait corriger sa faute... Cependant, un phénomène l'étonna. Elle vit une substance comme de l'eau se cristalliser sur la main de Shun.

"J'ai une alliée formidable partout où que j'aille !"

Trèfle se cacha aussitôt. Il était dangereux. Trop dangereux. Un seul faux pas et elle aurait été gelée. Cuite par le froid. Elle frissonna à cette idée. Clem, par contre, agissait et paraissait retourner à ces 10 ans. Curieuse et enfantine.

Ouah! Pratique.

Elle ferma les yeux un moment pour visualiser dans ses pensées ce qu'elle a vu. Ses oreilles se tendirent. Elle entendit des sifflements. «Ombre»

"Qu'est-ce c'est ?"

Elle ouvrit ses yeux et se retourna. Elle vit un cheval à terre et une femme avec une jambe coincée qui semblait prêt à l'achever. Sauf comme un cheval n'est pas un arbre, le fait de le tuer risquait de le rendre plus lourd. Justifiée, elle rejeta sa prudence. Elle sortit son bouclier et s'élança.


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(Heu par contre Clem, je crois qu'il y a malentendu avec le post de Lyn ^^ Mais bienvenue dans le RP Lyn !)

Je suivis le mouvement de Clem, très réactive, qui s'avança presque aussitôt avec son bouclier. Je mis un moment à distinguer ce qui nous faisait face, avant de reconnaître une jeune fille armée d'une lance, et un cheval essoufflé à terre. Je suivis Clem, puisqu'elle avait une protection, et décidai de mettre les choses au clair.
"Qui va là ?!" La colère perçait dans ma voix.

Lorsque nous fumes assez près, je pus voir ses traits. Elle semblait jouer la comédie, celle de la fille sans peur et sans reproche alors qu'on pouvait deviner son inquiétude face à la nuit. Je recouvris mes mains de glace, juste au cas où.


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[HRP : En effet Clem, je ne vais pas tuer mon cheval, il est juste fatigué XD Mais merci :3]

La jeune gerudo ne se démonta pas, et se mit devant Ombre pour le protéger de toute attaque frontale. Deux formes vinrent à elle, et pas tellement amicalement. Elle arma donc sa lance, la lame vers les deux inconnus, serrant les dents.

"Qui va là ?!" demanda finalement l'un des deux.

Elle chassa la jeune gerudo qu'elle était, pour laisser place à la guerrière des sables. D'une voix forte, loin de la précédente voix de jeune fille qui se plaignait, elle s'adressa aux deux autres.

"Je suis Lyn, fière gerudo et fille des sables. Je n'ai rien à voler, mais si vous approchez, je combattrais jusqu'à la mort."

Puis, elle vit enfin mieux. les deux formes étaient petites, comme celles d'enfants. Elle eut un hoquet de surprise, mais ne désarma pas. Sa propre histoire lui avait appris que même derrière l'agneau peut se cacher le diable, et que seule sa vigilance lui serait d'une véritable aide.


Clémance


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(vide)

Clem se retrouva devant un cheval et perçut la fille de sable. La voix puissante fit écarter les yeux de la kokiri. Écarter de joie. Génial! Finalement, une gérudo. Grande guerrière des sables et expertes à la lance. En plus, la scène était parfaite.

Attendez avant de vous élancez pour nous tuer ou je ne sais pas trop ce que vous allez faire de nous. Donnez-moi une minute.

Elle ne s'était ni rendu compte que la situation n'était pas fait pour ce qu'elle est en train de faire, ni le fait que sa réplique n'avait aucun bon sens. Elle recula, regarda vers le haut où la gérudo, le cheval jusqu'à ce qu'elle se rende à l'herbe. L'entourage aussi, il ne faut pas l'oublier. Elle tient le pouce vers le haut et tira la langue.

[Je redémarre le RP si ça marche avec vous. ^^]