Une peste Mojo dans la plaine.

RP Privé - Nailuj et Tükrak (demander par MP pour participer).

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Nailuj


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Dans la plaine d'Hyrule, un hylien plutôt grand avançait avec un cheval, il portait une armure noir, une longue épée, un bouclier et un sac de provision. Certains le reconnaîtront il s'agit de Nailuj, rédempteur au service du royaume.

Il s'était levé tôt le matin dans l'espoir d'apporter de l'aide aux plus pauvres et voir quelqu'un. Il était content qu'il n'y ai pas de monstres ou de personnes peu fréquentables. Il regardait la plaine, c'était si beaux.

L'herbe s'étendait à perte de vue, il pouvait voir mille choses éblouissantes, quand il avait vu la plaine pour la première fois elle lui étonnait autant qu'en ce moment et il en oubliait presque qu'il y avait une guerre. Après avoir admiré ce spectacle, il fît accélérer son cheval pour partir vers le village cocorico en passant par le sud du ranch Lonlon pour voir une amie très chère.

Il avançait en pensant à sa vie, il aimait vraiment aider les autres sur tout et n'importe quoi mais il ne pensait pas vraiment à lui, ce qui fais qu'il ne se reposait pas plus de 10 minutes entre ses entraînements pénibles, ses chasses et ses visites au village. Mais au moins il était tranquil quand il traversait la plaine avec pour compagnons le vent, son cheval et sa solitude mais il avait beaux se sentir seul il se sentait bien.

Nailuj venait de passer à côté du ranch quand il crût apercevoir un monstre énorme mais après avoir mît son cheval au galop il se rendit compte que il avait juste imaginé tout ça ce qui arrive quand on passe sa vie à se battre en voyageant seul.

Il soupira et descendit de son cheval pour manger un peu alors il ouvrit son sac et constata qu'il n'avait presque plus de viande mais il posa le peu qu'il restait sur une planche de bois qui servait d'assiette et coupa avec un couteau, cela l'énervait car il n'avait pas le temps d'aller dans la forêt alors il devait aller dans l'auberge.


Tükrak


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La plaine, finalement, il y était parvenu. Trépignant d'inquiétude, il y faisait un pas et en reculait de trois. Dire qu'il avait peur eut été un euphémisme, il était totalement terrifié. Tremblant de toutes ses feuilles, il ajustait et réajustait son chapeau champignon frénétiquement, hésitant.
Finalement, le souvenir de son frère lui revint en mémoire et le décida finalement à faire son véritable premier pas. Le vent de la plaine soufflait bien fort à son goût alors qu'il se frayait un chemin et rasant le sol. Inquiet, perplexe, il passait son temps à repérer les plus hautes herbes pour s'y faufiler et s'y cacher. Une fois fait, il restait là quelques longues minutes à observer les alentours et à juger et jauger les dangers qui pouvaient surgir de n'importe où.
Généralement, une fois son inspection terminée, il se cachait à nouveau sous son champignon et reprenait une petite course effrénée vers un autre tas d'herbes hautes. Chaque bruit le faisait sursauter, le chant des oiseaux était bien moins étouffé sur la plaine que dans la forêt, tout lui semblait bien trop différent, il était trop à découvert. Ce fut à ce moment précis, alors qu'il pestait sur les dangers qui planaient sur lui, mais qu'il prenait paradoxalement un peu plus de confiance en lui, qu'il fut prit pour cible par un corbeau voleur de rubis. Bien entendu, Tükrak était dépourvu d'argent, mais ça ne l'empêchait pas de détonner dans la plaine, et d'attirer les regards vicieux.
Alerté par un croassement menaçant, le petit Mojo remarqua le volatil qui fonçait dangereusement vers lui et... Il commença à courir. Il ne savait plus où il allait, ni ce qu'il allait faire pour retrouver son frère, à cet instant précis, il ne pensait qu'à survivre à ce féroce ennemi.
En réalité, la fuite ne fut pas si difficile que ça, il réussit à trouver refuge derrière un genre de grand arbre. Rassuré, le Mojo s'y reposa un instant avant d'observer cette protection miraculeuse. Qu'elle ne fut pas son horreur lorsqu'en reculant, il reconnut cette forme caractéristique d'un fruit géant. Celui là même qui était sortit du sol pour s'en prendre à son frère... Et alors qu'il tremblait de toutes ses feuilles, l'héli-tranche commença à se détacher de la terre, lentement mais sûrement, il prenait son envol pour pourchasser une nouvelle victime. S'il avait put, nul doute que Tükrak aurait crié, mais son corps de Mojo n'osa laisser sortir aucun bruit, et seule une noix Mojo perdue lui échappa et ricocha sur le monstre. Inutile... Se rendant bien compte qu'il n'avait pas le choix, Tükrak se remit à courir. Il courut longtemps, aussi vite que son corps de bois le lui permettait. C'était dans ces moments là qu'il remerciait sa légèreté de Mojo... En attendant, et après quelques minutes de course intense, il n'entendait plus rien derrière lui, pourtant, loin de se sentir en sécurité, il continua de courir sans se retourner.
Quand enfin il en eut le courage, il constata avec soulagement qu'il était bien seul à courir dans la plaine. Rassuré, il ralentit le rythme et tenta de reprendre une marche plus sereine. Je dis bien tenta, car alors qu'il redressait sa tête dans la bonne direction, et qu'il trottait encore, il rentra en collision avec quelque chose – ou plutôt quelqu'un -. Sonné, il mit un temps fou à reprendre ses esprits, et lorsqu'il se rendit compte sur quoi il avait foncé, il déglutit. S'il avait été capable de pâlir, il l'aurait fait, mais le bois ne pâlit pas, alors il resta d'ébène.
Il avait en face de lui ce qu'il identifia comme étant un hylien en armure noire. Les seuls armures qu'il avait jamais vues étaient celles des Stalfoss perdus dans les bois maudits de la forêt, et il n'en gardait pas un bon souvenir.
Terrifié, il voulut s'enfuir pour la troisième dans cette journée, mais il avait déjà trop courut, et ses petites jambes de bois ne lui répondaient plus. En désespoir de cause, il recula de quelques pas et se cacha entièrement sous son champignon en prétendant qu'il n'existait pas.

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[Hrp : Et wouala, en espérant que cela te convienne :,D On commence sur les chapeaux de roue]


Nailuj


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Nailuj allait mettre un morceau dans sa bouche quand il découvrit une sorte de champignon ce qui le surpris car il n'avait jamais vu de champignon dans la plaine et il avait l'air d'avoir bougé, il fût surpris et crût qu'il s'agissait d'un monstre alors le guerrier passa un coup de chiffon pour nettoyer le couteau et le plaça dans sa botte puis sortit l'épée noir à double tranchant de son fourreau très silencieusement (assez pour qu'on n'entende rien) puis la leva en se protégeant avec son bouclier et demanda pensant finalement qu'il s'agissais en fait d'un monstre:

"Qui êtes vous et que voulez vous?"

Il était sûr que cette chose avait bougé et cela semblait trop vrai alors il s'approcha un peu et découvrit que c'était une peste Mojo mais il ignorait l'existence de ces créatures et n'en avait jamais vus. Le chevalier noir pensa "Ce royaume m'impressionnera toujours..." car lui venait de très loin et se demandait quelles merveilles et malheurs Hyrule lui cache encore.

Alors qu'il attendait la réponse son cheval s'énerva et cela arrivait souvent, c'est pourquoi Nailuj a commencer à penser que les chevaux peuvent ressentir quand quelque chose va mal, celui-ci faisait preuve d'une intelligence un peu plus grande que les autres chevaux. Il le calma très vite grâce à un simple sortilège car il s'exerçait un peu à la magie de l'ombre et s'était rendu compte que c'était très utile s'il était mis à terre en plein combat par exemple ou bien d'autres choses.

Puis il se rappela du Mojo et pensant qu'il n'était peut-être pas dangereux il laissa tomber les armes (sauf le couteau dans la botte bien évidemment) mais il avait toujours la magie si besoin est.

Pensant avoir fais peur au Mojo il décida de faire le mieux: faire la meilleur impression possible et s'excuser dans l'espoir de s'en faire un ami alors il dit empêchant la peste de répondre

"Je suis désolé, je suis énervé ces temps-ci. Je suis Nailuj et vous?"

Puis il eu une penser: était-ce un mâle ou une femelle? Il est sûr que les Gérudos en sont presque toutes mais parfois pour d'autres peuples ceci était compliquer car par exemple il n'a jamais vu de fée mâle mais il devrait en avoir pourtant donc certaines personnes doivent croire qu'il n'y a que des femelles ce qui pose un énorme problème. Il chassa cette penser pour laisser cet inconnu d'un peuple inconnu d'un lieu peut-être inconnu parler.


Tükrak


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"Qui êtes vous et que voulez vous?"

« Je ne suis personne, je ne veux rien », la voix du Mojo était sortie étranglée de sa gorge. Malgré les précautions du guerrier qu'il prenait pour un dangereux Stalfoss, il n'avait peut être pas entendu la lame glisser hors de son fourreau, mais il l'avait vu, ce qui était amplement suffisant pour lui faire croire que son heure était venue et qu'il lui fallait absolument trouver un dieu pour prier pour lui.
La remarque qui échappa au guerrier passa bien au dessus du Mojo qui en aurait pleuré s'il avait put... C'est que cette épée lui semblait bien plus grosse que toutes celles qu'il avait put trouver dans les Bois Perdus... Et puis... Cette haute créature à quatre pattes lui foutait presque autant les jetons que son maître, il était convaincu que malgré sa vitesse de Peste Mojo, il n'avait aucune chance d'en réchapper.
Ce fut alors qu'il tentant de réguler sa respiration et qu'il tremblait encore plus qu'une feuille en automne qu'un bruit sourd attira son attention et qu'il remarqua que les armes du guerrier avait été jetée à terre. Etait-ce une ruse pour mieux le tromper, le capturer et ensuite le torturer ? Cette idée le fit gémir de peur, pourtant, le guerrier en armure noir lui adressa la parole avec plus de douceur qu'il n'aurait crut.

"Je suis désolé, je suis énervé ces temps-ci. Je suis Nailuj et vous?"

La Peste se retourna furtivement pour voir si c'était bien à lui qu'il adressait la parole, mais à moins de ne pas voir un supposé interlocuteur, il n'y avait personne avec eux. Doucement, le Mojo se découvrit à moitié de son chapeau champignon pour observer l'objet de sa peur. Hurgh, il était encore plus grand que le garçon qu'il avait croisé en forêt. Cette pensée le fit se recouvrir par son champignon, et il articula avec peine une réponse.

« Je suis Tükrak, je suis une Peste Mojo, je cherche mon frère. »

Il lui avait semblé évident d'expliquer sa raison de ne pas se trouver hors de sa forêt, il se doutait que si lui n'aimait pas la présence d'humain dans la forêt, l'inverse devait être réciproque, et les humains ne devaient pas apprécier la présence d'un petit monstre comme lui. Il lui semblait donc évident de se justifier... Surtout quand il ne pouvait pas s'échapper à l'aide d'une simple noix Mojo...

« Mon frère a une citrouille sur la tête.. » Jugea t-il bon d'ajouter avant de conclure « Je ne cherche pas les ennuis, me tapez pas s'il vous plait. ».

Son discours s'acheva sur une note des plus chouinante alors qu'il lorgnait toujours sur cette grande épée noire qui reposait au sol, et cette grosse et grande créature à quatre pattes qui ne semblaient pas apprécier sa présence.


Nailuj


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Nailuj regardait le petit Mojo et avait été surpris par le fait qu'il semblait effrayer, après tout il n'était peut-être pas dangereux et le fait qu'il s'était mit à parler et lui avait dit qu'il n'était personne, et qu'il ne voulait rien confirma ce qu'il pensait, il était intelligent et il avait peur. Ce Mojo était un mystère pour Nailuj qui en ignorait l'existence et la peste semblait avoir peur du cheval et de lui mais en même temps il était évident qu'on n'est jamais sûr qu'en on croise quelqu'un d'un autre peuple si il est dangereux ou pas.

Nailuj recula d'un pas, puis deux et trois et observait ce Mojo dans le but de paraître le moins hostile possible et décida de calmer le cheval qui semblait ne pas aimer la peste et celle-ci lui expliqua avec peine ce qui intrigua Nailuj :

"Je suis Tükrak, je suis une Peste Mojo, je cherche mon frère."

ce qui fît penser à Nailuj que ce nom était amusant puis la peste ajouta :

"Mon frère a une citrouille sur la tête.." avant de conclure "Je ne cherche pas les ennuis, me tapez pas s'il vous plait."

Nailuj jugea bon de l'aider pour lui prouver ses bonnes intentions alors il lui répondit

"Je ne veut pas du tout te faire du mal sauf si tu commence. Je voulait rendre visite à quelqu'un mais ton problème est plus important, je veux bien t'aider à trouver ton frère, je ne lui ferait aucun mal."

Mais bien sur des mots ne servent pas toujours à effacer ce qu'on a autrefois vécu, Nailuj voyant que le Mojo craignait l'épée ce qui montrait également qu'il en avait déjà vus, ajouta

"Je porte des armes pour me défendre au cas où on m'attaquerait mais jamais pour faire du mal, tu devrais peut-être en avoir."


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