Entrevu entre Dun et Danzô [RP privé]

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Vanitas


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Danzô ... Ce nom n'avait pas été prononcé depuis longtemps , cela devait faire au moins une bonne année qu'il avait quitté le royaume de hyrule pour des affaires urgentes à l'étrangé . Mais depuis l'attaque de Ganondorf et de Hibi sur le château de hyrule , Danzô avait choisit de faire son grand retour ! Il était arrivé il y a peu , et on pouvait voir que le château avait subi quelques dégats . Enfin après tant d'attente , Danzô allait enfin pouvoir passer à l'action ... Mais avant , il fallait parler au prince Dun , il ne savait pas où il était , mais en cherchant dans les couloirs du château , il finirais bien par tomber dessus . Car même si Danzô préparait tout cela depuis bien longtemps , partir à l'étrangé avait fait qu'il ne savait plus quelle était la situation du royaume . Et qui d'autre que le prince était le mieux placé pour lui raconter les évènements récents ? La noblesse avait dejà été signalé du retour du vieille homme . Malgré son absence , il n'avait rien perdu de son pouvoir ici , il aurait aimé parler à la princesse , mais celle çi devait être très occupée par les récents évênements . Le bruit de la canne qui lui servait à marcher résonnait à travers les couloirs . Dun et Danzô n'était pas des gens qui entretenait de bonnes relations , loin de là . Par le passé , Danzô c'était souvent opposé à certaines décisions du prince . Danzô n'aimait pas le prince , le trouvant trop "tendre" ...

*Ou êtes vous donc , prince ...*

[HRP]Désolé pour le petit poste , les prochains seront plus grand . Je suis pas très doué quand je poste en premier[HRP]


Dun Loireag Dragmire


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Voilà quelques heures que Dun était sorti de l’audience accordé par la Princesse, le jeune homme s’était vu demandé de collecter la liste des personnes devant être récompensés de sa main, et il désirait déjà s’y atteler. Toutefois une certaine satisfaction se lisait sur son visage tandis qu’il parcourait les couloirs du château : Un nouveau pas de géant venait d’être fait dans le déroulement des choses. Car le Groupe sans Nom était sorti de l’ombre, apparaissant au grand jour et à nul autre endroit qu’à la Cour Royale ! Mais laissant cela de côté, le Prince observa tous les dégâts –internes cette fois- provoqués durant l’assaut. Nombre de débris gisaient par terre, et une curiosité vint alors piquer son esprit. S’abaissant pour récupérer un à un les morceaux d’un vase brisé, le jeune homme se demandait s’il était possible d’utiliser sa sorcellerie pour… Néanmoins, une nouvelle perturbation apparue alors, et le sourire qu’il arborait depuis sa sortie de la Salle d’Audience. En effet de l’autre bout du couloir se tenait Danzô qui visiblement le cherchait. Voilà pourtant quelques temps que Dun ne l’avait plus vu et ô Déesses, il ne s’en portait que mieux ! Hélas, l’étiquette lui imposait de saluer un membre de la Cour, quelqu’il soit.
Pourtant, Danzô et Dun se ressemblaient énormément, bien que fondamentalement différents. Dun s’était hissé au rang des Bourgeois les plus puissants en excellant dans le domaine marchand et lorsqu’il devint Chancelier des Sciences et Magies, il put prétendre à l’entrée à la Cour. Mais Danzô s’était quant à lui imposé de par sa maîtrise de l’art de la Guerre, et certains prétendaient qu’il aurait pu devenir le Chancelier des armées si NuttyK ne s’était montré plus digne. Bien des fois les deux hommes s’étaient affrontés, mués par un éternel parallélisme dans leur façon de penser. Car si les décisions politiques de Dun pouvaient être vues comme inflexibles et dures, il se préoccupait toujours du peuple… tandis que Danzô prônait toujours les interventions froides et draconiennes.
Ainsi donc, les deux personnes se saluèrent alors que le Prince prenait la parole.


« Bien le bonjour, Sieur Danzô, que nous vaut le plaisir de votre visite ? Voilà en effet quelques temps que nous ne vous avions pas vu en ces lieux, quel hasard que cela se produise dans les heures les plus sombres de cette citadelle ! »

[Suis pas trop fan du privé mais bon Fin désolé du retard et pareil, pas trop le temps de poster là]


Vanitas


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« Bien le bonjour, Sieur Danzô, que nous vaut le plaisir de votre visite ? Voilà en effet quelques temps que nous ne vous avions pas vu en ces lieux, quel hasard que cela se produise dans les heures les plus sombres de cette citadelle ! »

Le visage de Danzô garda le même expression neutre en apercevant le prince , Danzô était un homme très froid . Il fit une révérence de la tête en signe de respect envers le prince et répondit .

"En effet , mon retour fut plus rapide que prévu , et je pense qu'il était temps , car comme nous pouvons le constater vous et moi , les temps sont durs !"

Danzô regarda les dégâts interieurs du château

"Si je suis ici à vous parler mon Prince , c'est parce que les nouvelles qui circulent sont ... Intriguante ! Et certain commence à douter de vos compétences à défendre le royaume ! Les dernières nouvelles sont mauvaises , Ganondorf qui revient , et qui attaque le château sans s'opposer à une forte résistance , et comme si cela ne suffisait pas , un groupe de criminel recherché , portant des uniformes noirs ornés de nuages rouges s'attaque aussi à nous , et se serais même allié au seigneur du malin !"

Danzô grimaça , si on lui avait laissé le commandement de l'armée par le passé , ce royaume serait bien mieux , mais non , maintenant les combattants n'etaient que des gens faible et sentimental !

"On ma aussi dit que il y a quelques temps , vous vous étiez même fait enlevé par ce groupe ... Hibi je crois ... Et que vous avez affronté Ganondorf dans la tour du château et que votre meilleur idée à été de faire exploser cette tour ! Ainsi aussi , certain combattant que vous avez l'air de connaître sont venu en aide au royaume , et moi même et les autres membres de la cour commencent à se poser des questions sur vos agissements à l'extérieur du château ."

Danzô eut un léger soupir d'agacement , avant de reprendre .

"Et je suis aussi ici pour connaître toute les informations que vous avez récolté sur Ganondorf , sur le groupe Hibi . J'aimerais savoir quelle vont être vos prochaines mesures pour disont "contrer ce genre d'agissement criminel" . De plus , mon prince si vous le permettez , vous battre , vous baladez dehors pour toute sorte de chose , n'est pas très bien vu par la noblesse , un homme de votre rang ne devrait pas a avoir a faire tout cela ... "


Dun Loireag Dragmire


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Dun avait attendu la réponse de l’intéressé, tout comme l’exigeait l’étiquette, toutefois celui-ci se fit plus bavard qu’à l’habitude. Etait-ce dû à la récente attaque du château ? Restant silencieux, le jeune Prince écouta une à une les doléances de Danzô en gardant –en opposition à l’expression neutre de ce dernier- un sourire sur son visage. Depuis bien longtemps, Dun avait en effet appris à garder une certaine distance en public, et cela, au grand damne de ses adversaires politiques. C’est pourquoi lorsque son interlocuteur finit son discours, le jeune Prince se contenta de parler d’une voix posée et calme. Fracassant ainsi le fil de la conversation et mettant un mur infranchissable entre leurs deux personnes.

« Vous vous oubliez, sieur Danzô. N’oubliez donc pas qui nous sommes, où nous nous trouvons, et ce qu’il nous appartient de faire. »

En effet après un assaut contre le château, l’attitude la plus cohérente pour toute personne y siégeant n’aurait sûrement pas été de débuter des conflits politiques, même pour ce courtisan de la Cour. Néanmoins certains des sujets abordés méritaient réponse, afin de ne plus permettre à ce genre de dérives. La récente épreuve de force qui venait de s’accomplir dans la salle d’audience en était de toute façon l’illustration la plus simple.

« L’opinion qu’ont la majorité des courtisans et de quelques nobles ne m’intéressent guère, surtout en voyant la façon dont ces derniers ont superbement fui le château la nuit dernière. Le soutien de notre armée nous a assuré un sort bien plus indulgent que celui qui nous était réservé si nous avions compté sur vous, Danzô.
Toutefois, je vous remercie de votre sollicitude pour cette tour mais ne vous en faites donc pas, elle sera sans aucun doute restaurée, tout en lui assurant quelques avantages militaires. »


En effet, les impôts que versaient les nobles pourraient au moins servir à une tour de guet, bien plus utile qu’une simple aile de château destiné à la réception de quelques hôtes au goût bien trop luxueux. Mieux valait-il cela plutôt que de laisser cet argent gaspillé lors de fêtes destinés à la luxure ! Mais après avoir parlé, le sourire présent sur le visage de Dun s’effaça alors pour laisser place à la même expression qu’il arborait habituellement en publique, en s’avançant toutefois d’un pas vers Danzô. Une bataille remportée au prix d’un trop grand nombre de vies humaines était inacceptable, et le critiquer personnellement malgré sa propre absence l’était tout autant.

« N’oubliez pas cher ami que je suis toujours tenu par mes devoirs de Chancelier. En tant que tel, m’assurer du bon maintien de ce royaume est d’importance bien plus haute que de ‘bien me faire voir par la noblesse’. Qui donc croyez vous êtes pour exiger de telles choses ?
Cette organisation que vous appelez « l’Hibi » est ma foi loin d’être aussi dangereuse que vous le prétendez, quant au Seigneur du Malin… J’ai pu le rencontrer en personne pour la première fois cette nuit-même. Mais vous paraissez en connaître bien plus que moi… n’est-ce pas ? »


Nulle personne ne se trouvait dans le couloir durant leur conversation. Des serviteurs et des gardes étaient bien passés quelques instants plus tôt, mais sans doute s’étaient-ils empressés de s’en aller en reconnaissant les deux hommes. La dernière phrase du jeune homme était teintée d’un soupçon de malice, Danzô ayant en effet parlé de détails bien trop troublants.


Vanitas


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« Vous vous oubliez, sieur Danzô. N’oubliez donc pas qui nous sommes, où nous nous trouvons, et ce qu’il nous appartient de faire. »

"N'ayez crainte Prince , je n'ai jamais oubliez pourquoi je suis ici ..."

Dun parla d'une voix calme , et posé , il n'était pas du tout intimidé , c'était l'une des rares qualités que Danzô aimait chez lui , comparé à certain qui n'hésitait pas à montrer leur craint face à Danzô .

« L’opinion qu’ont la majorité des courtisans et de quelques nobles ne m’intéressent guère, surtout en voyant la façon dont ces derniers ont superbement fui le château la nuit dernière. Le soutien de notre armée nous a assuré un sort bien plus indulgent que celui qui nous était réservé si nous avions compté sur vous, Danzô.
Toutefois, je vous remercie de votre sollicitude pour cette tour mais ne vous en faites donc pas, elle sera sans aucun doute restaurée, tout en lui assurant quelques avantages militaires. »


Danzô frappa un petit coup sur le sol avec sa canne , et répondit tranquillement :

"Attention mon Prince , n'oubliez pas quelle est la tâche de chacun ici ... Les courtisans ainsi que les nobles ne sont pas ici pour combattre , au contraire , dans vos fonctions vous êtes ici pour assurer leur défence ! N'oubliez pas , chacun doit accomplir son rôle dans cette chaîne de pouvoir , la noblesse , les coutisants , sont là pour conseiller , pour aider dans les décisions politiques et pour fournir de l'argent aussi . Les gardes obéissent et défendent de leur vie ceux qui contrôle le pouvoir , quelque soit le risque ... C'est la dure loi de la vie ! Et j'espère que vous ne l'avez pas oublié ? "

Danzô avait dit cela sans aucune compassion .

"Croyer moi , si je n'ai pas été présent , lors de l'attaque , c'est parce que on ma envoyé loin de notre chère royaume . Et , je pense mon Prince avoir connu la guerre bien plus que vous et avoir vécu des temps plus troublés que cela ... Mais à présent me voila de retour , et je compte bien participer activement à tout se qui se trame dans ce royaume ..."

En effet , d'ailleur les marques de blessure sur son visage prouvait ce qu'il disait .

« N’oubliez pas cher ami que je suis toujours tenu par mes devoirs de Chancelier. En tant que tel, m’assurer du bon maintien de ce royaume est d’importance bien plus haute que de ‘bien me faire voir par la noblesse’. Qui donc croyez vous êtes pour exiger de telles choses ?
Cette organisation que vous appelez « l’Hibi » est ma foi loin d’être aussi dangereuse que vous le prétendez, quant au Seigneur du Malin… J’ai pu le rencontrer en personne pour la première fois cette nuit-même. Mais vous paraissez en connaître bien plus que moi… n’est-ce pas ? »


"Qui suis je pour exiger de telle choses ? Et vous mon Prince , qui êtes vous donc pour croire que l'avis des courtisants ou de la noblesse à votre égard soient sans importance ? Un Prince , un homme de pouvoir n'est rien si il n'a pas de soutient , la voix des courtisants et de la noblesse est la plus importante pour les décisions politiques , notre princesse Zelda l'a bien compris , et son père aussi !"

Danzô fit un faux sourire pour la première fois leur de cette conversation , mais malgré cela , il semblait toujours être neutre , ne laissant rien transparaître de ces émotions . Dun semblait le soupçonner ... Mias , ce n'était pas ce prince qui allait le percer à jour , retirer des informations à Danzô était impossible , en temps de guerre , il avait connu la torture , et jamais il n'avait parlé .

"Pour tout vous dire Prince , je connais ce que raconte la cour , et malgré ma longue absence , j'ai toujours des hommes qui me sont "fidèles" et certaines informations ne peuvent pas m'échapper . Hibi ... Ganondorf ... Je sais pas mal de chose , que même vous ignoré mon chère Prince ."


Dun Loireag Dragmire


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Dun était décidément las de cette situation, las de cet homme qui croyait que tout autre se plierait tous à sa volonté. Se sentant plus ennuyé qu’agacé, le jeune Prince continua d’écouter les doléances de cette personne se sentant plus forte qu’elle ne croyait l’être au retour de son voyage en dehors des limites du pays. Combien étaient-ils à critiquer ? Innombrables. Combien étaient-ils à approuver ? Innombrables. L’ex-Chancelier avait appris depuis bien longtemps à ne plus prendre attention des personnes se souciant uniquement d’elles-mêmes ; et par extension, ne se souciait plus que de l’avis de celle qui contrôlait l’Ordre des Chanceliers. Toutefois ce courtisan lui était différent, que l’on parle sur lui ne le dérangeait pas, mais que Danzô parle ainsi des soldats tombés au combat était décidément inacceptable.

« Précisément, votre rôle est celui de conseiller votre Souveraine. Cette même Souveraine que certains n’ont pas hésité à abandonner pour sauver vos vies à l’heure où de l’aide était requise. Prenez-vous le pour dit, je n’écouterai aucunement les doléances de nobles et de courtisans ne remplissant leurs fonctions ancestrales.
Par ailleurs… »


Un léger rictus de moquerie passa brièvement sur son visage, qu’il chassa bien vite avant de prendre la parole.

« … Êtes-vous parti depuis tant de temps que vous en aviez oublié les fondements de notre matriarchie ? Mon épouse détient le pouvoir absolu, non moi, l’assistance de votre personne ne m’est donc pas requise ; je vous remercie toutefois de vos judicieux conseils Danzô. »

L’apparence, toujours l’apparence en société. Chacun était tenu d’appliquer les manières de politesse avant tout. Toutefois, il s’appliqua à rajouter dans un dernier souffle :

« Je vous l’accorde, vous connaissez l’horreur de la guerre bien plus que moi ; et je ne vous l’envie d’ailleurs pas. Toutefois… Pour ma part j’ai pu étudier d’innombrables civilisations qui ont marqué notre Histoire, et s’il est une chose récurrente à chacune d’entre elle, c’est que les hommes n’ont jamais appris de leurs erreurs. »

Ayant parcouru différents pays en récoltant une montagne d’informations par le biais de bibliothèques et de ruines, le jeune homme mettait ici un terme à leur entrevue. « Son » héritage lui était finalement utile, bien qu’ « il » n’ait peut-être jamais pensé que Dun l’utiliserait ainsi. Ainsi, en se décalant sur le côté afin de continuer sa route, le jeune Prince conclu :


« Je suis ravi de vous avoir rencontré Danzô, il me faut toutefois me retirer afin de prêter assistance au château, bonne journée à vous. »


Vanitas


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« Précisément, votre rôle est celui de conseiller votre Souveraine. Cette même Souveraine que certains n’ont pas hésité à abandonner pour sauver vos vies à l’heure où de l’aide était requise. Prenez-vous le pour dit, je n’écouterai aucunement les doléances de nobles et de courtisans ne remplissant leurs fonctions ancestrales.
Par ailleurs… »


"Il n'y a que devant la peur que un homme montre son vrai visage , et la lâcheté de certain , n'ai pas mon problème mon Prince ."

De plus , la solution à la peur , Danzô l'avait dejà proposé , former des soldats , ne connaissant aucuns sentiments , amour , pitié ... Tout ça n'était que faiblesse !

« … Êtes-vous parti depuis tant de temps que vous en aviez oublié les fondements de notre matriarchie ? Mon épouse détient le pouvoir absolu, non moi, l’assistance de votre personne ne m’est donc pas requise ; je vous remercie toutefois de vos judicieux conseils Danzô. »

Danzô eut un sourire .

« Je vous l’accorde, vous connaissez l’horreur de la guerre bien plus que moi ; et je ne vous l’envie d’ailleurs pas. Toutefois… Pour ma part j’ai pu étudier d’innombrables civilisations qui ont marqué notre Histoire, et s’il est une chose récurrente à chacune d’entre elle, c’est que les hommes n’ont jamais appris de leurs erreurs. »

"Peut être , mais l'homme est comme cela , il est né pour créer de grande chose , mais il ne réfléchit jamais aux conséquences ..."

Bien , pour son retour , Danzô avait vu ce qu'il voulait voir , peu de chose avait changé depuis son départ . Et les temps était mûre pour ses plans !

« Je suis ravi de vous avoir rencontré Danzô, il me faut toutefois me retirer afin de prêter assistance au château, bonne journée à vous. »

Danzô lui fit une révérance de la tête , et le laissa prendre congé . Il regarda le Prince s'éloigner , jusqu'au moment où un jeune garçon arriva en courant vers Danzô .

"Maître Danzô ! Un message pour vous !"

Danzô lu le parchemin , puis souriant au garçon du nom de Tenzou il dit :

"Merci bien Tenzou , prépare donc deux chevaux , des affaires nous appellent ailleur ..."