Posté le 30/08/2008 09:34
-Ça ne marche pas que sur les ivrognes, mais sur beaucoup d'hyliens qui cherchent désespérément à aider leur prochain. C'est dans leur nature... Contrairement à vous qui êtes gentil seulement avec les gens qui ne sont pas mauvais à vos yeux. Vous n'aimez pas les hypocrites et les manipulateurs, et quand vous en voyez un vous tentez de contrecarrer tout ses dires. Choses assez drôle car vous avez tenté de me rembarrer sur tout ce que je disais au lieu de continuer jusqu'au bout sur mon hypocrisie, ce qui fait que votre discours comporte des contre-arguments inutiles. Mais ce que vous ne savez pas, c'est que malgré la forme de ma demande, le fond était bien réel. J'entrainais Asuki au combat à main nue, et j'avais besoin de quelqu'un se battant avec une épée pour commencer l'entrainement suivant, l'escrime. Mais comme vous l'avez si bien dit, vous ne savez pas combattre, donc vous êtes totalement inutile à ce que je comptait faire, malgré le fait que vous aillez réagit de façon intelligente à ma demande, car cela vous rendait intéressant.Une dernière chose; le prince n'a pas besoin de moi pour se diriger, ni de vous d'ailleurs. Et il est de loin plus hypocrite que moi! C'est plutôt étonnant que vous vous souciez à ce point de sa sécurité... Vous êtes son larbin?
Si cela était sensé véxé Camberwell, il ne s'en rendit pas compte.
- Non monsieur, je ne suis aucunement le larbin du prince, dont je n'ai jamais vu les traits ni sut prononcé son nom. Je m'inquiète en réalité pour la princesse, qui n'as pas d'héritiers connu en ce jour. S'il est hypocrite grand bien lui fasse! Excusez moi de m'être emporté tantôt, mais je n'ai pas grandement apprécié vos manières.
-Au fait, enchanté, et merci pour ton aide Camberwell^^
- Ne me remercie pas Azuki, c'est tout naturel. C'aurait été pure folie que de ne pas t'aider.
En disant cette phrase, il fusilla Lliude du regard.
-Pour finir, si le prince n'as pas besoin de vous, pourquoi l'avoir guidé dans le désert. Vous n'avez pas l'air étonné que je sache tant de chose sur vous?
C'était plus une affirmation qu'une question. Ce doutait-il que les domestiques du château aient les oreilles si pendantes?
Camberwell se dirigea vers sa table, quand quelque chose bougea. Non pas dans le bar mais dans sa sacoche. Il reconnu l'objet à son poids, mais cet objet ne pouvais pas bouger, de part sa nature.
- Eh bien, chers messieurs, l'un de vous a une forte magie! Mais je le prierai d'arrêter.
A leur tête, Camberwell comprit qu'ils n'avaient pas agis volontairement et pour le coup il fût très inquiet.