La décadence.

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Il était mal. Très mal.

Depuis plusieurs minutes, il se laissait faire comme une poupée de chiffon, son sourire comme figé sur son visage. Il n'avait pas manqué un petit sursaut quand l'une des deux sorcières l'entraîna, mais finalement, il replongea presque aussitôt dans ses pensées.

Il appréciait ces deux femmes, il fallait l'avouer. Mais seulement, cette amitié naissante allait sûrement ruiner sa couverture, et cela l'ennuyait. Il était en sécurité, chez les Chevaliers : il y avait des Gardes, de grands Guerriers, des Mages puissants (Et il en faisait partie, cela va de soi), des personnes tenant à lui et prêtes à se sacrifier pour sa survie... Et lui.

S'il commençait à penser à lui maintenant, il était encore plus mal !

Sentant son sourire partir dans un rictus psychopathe, il se calma et le radoucit un peu. Naturel.

Il entendit les sorcières poser des questions à quelqu'un. Et alors, arriva...


"- Faust !"

Il était ravi. Au moins, peut-être allait-il le sauver de cette atroce situation.

Il passa devant les deux vieilles pour se mettre devant Faust, lui attraper la main, et y déposer très doucement un baiser.
... Oui, le roux était marié. Et alors ?! Ce n'était que par pure courtoisie.


"- Si vous saviez comme je suis heureux de vous voir~ !"

C'était vrai. Oh oui, très vrai.
Bien que l'Alchimiste ai l'habitude de se "contenir", si les deux folles continuaient comme cela, il allait très certainement craquer, déballer son plan, ponctuant chaque fin de phrase par un gloussement psychopathe, avant de les supplier de l'aider, et enfin finir ce magnifique spéctacle s'achever sur un rire fou et effrayant.

Mais puisque le Mage du Feu était là, il ne risquait plus rien. En sa présence, il se sentait comme apaisé. Peut-être était-ce car le roux lui avait fait part du fait qu'il détestait le voir dans l'état décrit précedemment ? Ou peut-être simplement car il était comme son père, ou plutôt sa mère, et qu'il ne voulait pas lui faire peur ou honte.

Le blond se plaça aux cotés de son ami et joignit ses mains dans son dos, attendant patiemment.


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« Bien le bonjour jeune Rouquin. » s’exclamèrent de concert les deux sœurs.

L’interpellé s’inclina dans un sourire.

« - Bonjour, Mesdames… ! »

En voyant Anselme s’approcher de lui, il ne put s’empêcher de se décaler en sa direction, d’une part pour le surveiller, et de l’autre car il se sentait toujours de bonne humeur – ou presque – en sa compagnie. Le duo s’adressa à nouveau au Mage.

« Il semblerait que les choses deviennent de plus en plus intéressantes par ici. D’où viens-tu ? As-tu quelque chose à nous raconter sur ce qu’il se passe en ce moment ? Et surtout que nous vaut l’honneur de ta présence ? »

Cette multitude de questions donna un léger tournis au jeune homme, trop peu habitué à devoir parler de lui ou parler en général. Il essaya de répondre dans un ordre parfait.

« - Je reviens de chez moi… ! Quelque chose à vous raconter… ? Malheureusement non, depuis un moment, à part l’agressivité de certaines personnes, il n’y a rien de vraiment… Passionnant… »

Il failli rajouter que Ganondorf en viendrait presque à se faire regretter, mais il n’osa pas et reprit.

« - Eh bien… Je venais m’entraîner, mais… Apparemment, personne ne semble d’humeur à un quelconque combat… ! »

Cela n’était pas plus mal à ses yeux. Il s’assit au sol et observa les quatre autres personnes l’entourant. Bien qu’il trouve cette petite « réunion » étrange, il n’en voyait pas le mal et était même plutôt de bonne humeur à présent.


Franc


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Fol regardait ses mains. Quelle classe grotesque ! Des habits assez nobles pour une fonction si bas de l'échelle. Tunique ivoire richement brodée, chemise d'un rose profond, gants de velours dans les mêmes tons, un chapeau sobrement coloré de pastelles avec des pointes finement coupées dans un tissu rare supportant élégamment des grelots scintillants.

Il ne comprenait pas. Comment ces quatre personnages hauts en couleurs pouvaient ignorer le maitre de cérémonie qu'il était ? Ce ne pouvait être à cause de leur bêtise qui était inexistante ! Bah, il allait changer la donne. Si on ne le voyait plus, c'était car il n'était pas assez extravagant et donc qu'il faisait mal son métier. Honte et damnation.

Il couru dans des mouvements gracieux, il dansait presque, au milieu de cette minuscule foule. Il fut épuisé et mima avec exagération la fatigue, se tenant les côtes, le ventre, la respiration haletante et s'essuyant le front. Il exécuta alors un sublime poirier le rire aux lèvres. Il plia ses genoux et joignit ses pieds magnifiquement chaussées. Il ressemblait à un fakir, sans turban et sans bronzage cela allait de soit ! Il fronça les sourcils, comme s'il se concentrait énormément. Allait il faire un tour de magie ? Un puissant sort des arcanes tuant tout le monde d'un seul choc ? Se téléporter ? Vomir ?

Que nenni ! Il ouvrit la bouche et cria :


« Nous voilà amis ! Sorcières, Bellâtre, Débauché, Bouffon ! »


Toute cette concentration mentale pour une telle révélation fracassante ! Il en était fracassé. Il en transpirait. Il referma les yeux, le soleil envoyait ses dards bouillants en pleins ses rétines. Il ouvrit enfin un oeil après quelque secondes de silence. Son oeil ressortait légèrement, comme s'il contemplait l'âme des membres de son public pour le moins étonnant ( en effet, réunir des sorcières multi-centenaires et un gay par exemple, c'était rare ! Unique même, pour Fol ).

« L'oeil du Fol vous scrute ! »

Ah ! Il avait l'air d'un roi, d'un Dieu même, qui dispense ses analyses d'une poignante véracité. Il pointa avec difficulté de deux doigts le Bellâtre et le Débauché ( n'oubliez pas que Fol faisait toujours le poirier ! ).

« Vous deux là ! Ne vous sentez vous pas inutiles mes chéris à soulever les armes de la justice contre un Mal qui n'est plus là ? Préférant même vous laisser voler la vedette par une troupe dirigée par votre Héros ? Ah ! Quel coup de poignard vicieux le Courageux vous a fait ! »


Il reposa son bras sur le sol, soulageant sa figure artistique. On parle ici de sa prouesse de gymnaste, pas du visage du Fol qui était tout sauf artistique tellement il était laid ! Il pointa enfin le couple de grands mères.

« Et vous, mères porteuses ! Vous êtes bien timorées pour des fomentatrices de l'Obscure ! Auriez vous peur de vous battre contre une armée sans commandement et une Reine apeurée ? »

Non, Fol n'était pas suicidaire. Dire les choses était une très bonne manière de régler les problèmes. Parfois cela en construisait d'autres certes, mais cela avait le mérite d'être drôle !


Fol n’avait pas sa langue dans sa poche. Il avait l’air de savoir où il voulait en venir. Et c’était précisément pour cette raison qu’il valait mieux s’en faire un ami. Les deux vieillardes ne connaissaient que peu de choses sur les fous. L’une des certitudes qu’elles avaient c’était qu’ils vivaient bien plus longtemps que les rois qu’ils servaient et en conséquence on pouvait présager qu’ils étaient plutôt malins. Une autre rumeur consistait à dire que les fous en savaient plus que quiconque en ce qui concernait les secrets de la royauté. Ces deux phrases à elles seules suffisaient à justifier que les deux sorcières puissent être amies avec Fol.
Quand aux serviteurs des oiseaux de feux, ils pourraient toujours être utiles. Le moment venu les vielles harpies sauraient leur soutirer des informations.

Koume se tourna lentement vers le fou du fait de ces articulations douloureuses et elle lui rétorqua ceci :


« La peur ? Ni moi ni ma sœur ne connaissons cela. L’ennui, le dégoût, la haine, le mépris sont des sentiments familiers pour nous mais la crainte nous préférons la laisser aux faibles. »

Quelques minutes s’écoulèrent, on entendit le vent siffler dans les arbres et les herbes folles de la plaine. Et au moment où l’on pouvait le moins s’y attendre, entre deux rafales, Kotake exprima le fond de sa pensé les yeux plongés dans le néant.

« Fol, sache ceci, ce peuple, ces terres, tout ça n’est que du vent. Tout ça n’est que pauvreté. Et la pauvreté n’intéresse personne. A quoi bon se battre contre une armée désordonnée qui s’écroulera sans aucun geste de notre part ? A quoi bon tourmenter une princesse qui s’effraie elle-même ? Tout cela n’est que pure folie. Ce fût la folie de notre fils autrefois et nous l’avons suivit dans sa quête insensée mais aujourd’hui nous sommes las de tout cela. Être méchantes, faire peur cela à encore un peu de sens pour nous mais conquérir une terre habitée de gueux, de pauvre, de bouseux… non cela est trop peu pour les grandes personnes que nous sommes. Si Hyrule retrouve son prestige, sa paix, son calme, se sera une joie pour nous de l’assombrir. Aujourd’hui, les hyliens se tirent dans les pattes eux même et c’est bien plaisant de les voir se quereller de la sorte sans avoir le moindre petit geste à faire. Voici le théâtre dans lequel tu rentres noble Fol. Nous n’en sommes que les spectatrices avides de carnage et de sang. Et en se moment même nous pouvons rester assises confortablement dans nos sièges sans avoir à intervenir pour que le spectacle soit amusant. »

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Il fallait qu'il se retienne. Il. Fallait. Qu'il se. Retienne...! Mais c'était tellement compliqué.

Oh, il aurait bien voulu pousser quelques jurons de colère, insulter sans s'arrêter cette fameuse troupe dirigée par le Héros du Temps lui-même. Mais il ne pouvait pas. Il ne DEVAIT pas. Cela ferait échouer son plan.

Il passa une main dans ses cheveux et les fit voler. Il fallait qu'il montre qu'il était toujours vivant et conscient, bien qu'il n'écoutait plus les personnes autour.

Son esprit était déjà ailleurs, et il s'imaginait trancher de sa faux tout ceux qui se mettaient en travers de son chemin dans une guerre sanglante et sans merci.
Il voyait déjà Faust lancer des sorts puissants, Conan transpercer les ennemis avec rage, Ae...

D'un seul coup, il se voyait collé dos à dos à Aegis. Pourquoi ?

L'Alchimiste secoua la tête pour s'ôter cette image de l'esprit. Il ne fallait pas qu'il imagine ça.

Il préféra laisser Faust répondre à sa place à l'"interrogation" de Fol.


[Post court rédigé entre deux questions d'anglais...]


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Toujours assit au sol, le Mage se pencha en avant lorsque Fol exécuta une figure que lui-même ne pourrait jamais faire sans se ridiculiser dans une chute des plus lamentables. Les yeux grands ouvertes, la bouche étirée en un sourire, il ressemblait à un petit enfant assistant à un spectacle. Ce ne fut qu’à l’interrogation du bouffon qu’il eut un éclaire le ramenant quelque peu au présent.

« Vous deux là ! Ne vous sentez vous pas inutiles mes chéris à soulever les armes de la justice contre un Mal qui n'est plus là ? Préférant même vous laisser voler la vedette par une troupe dirigée par votre Héros ? Ah ! Quel coup de poignard vicieux le Courageux vous a fait ! »

Voyant Anselme démissionnaire, le roux dû se résoudre à répondre lui-même. Parler. Quelle horreur…

« - . . . Personnellement, je me sens toujours inutile… Cependant… ! Le Mal est toujours présent, d’après moi, même s’il est moins visible qu’auparavant… ! Car… Sans Mal, le Bien n’existerait pas… Et tant qu’il reste des gens infiniment bons, comme Messire Conan… Les personnes porteuses de sombres dessins seront toujours présentes… Je ne sais pas ce qui est le pire, au fond… Avoir un ennemi puissant, imposant, ou… Un ennemi invisible… Qui se tapit dans l’ombre… »

A cette pensée, il resta silencieux quelques secondes, avant de s’apercevoir qu’il n’avait pas entièrement répondu à l’interrogation de son interlocuteur.

« - . . . Et concernant Messire Link… »

Il hésita un moment, cherchant ses mots.

« - . . . Je le trouvais bon… Avenant… Ne cherchant pas à créer des situations désagréables… Mais… A l’évidence… Il ne faut vraiment pas se fier aux apparences… »

Ses yeux se posèrent un instant sur sa propre main droite couverte d’étranges symboles noirs. Ne pas se fier aux apparence… Il aurait du le savoir mieux que quiconque. La situation concernant le Héros du Temps le mordit si fort qu’il leva un regard bien différent de celui doux, voir absent, qu’on lui connaissait d’ordinaire, vers Fol.

« - Qu’il fasse ce qui lui chante après tout. Nous sommes les Chevaliers du Phénix. »

Sa voix avait été claire, bien plus assurée qu’à son habitude et ferme. Cette phrase lui semblait suffisamment explicite, inutile de la détailler d’avantage. Il se replongea cependant rapidement à la contemplation d’un brin d’herbe « L’herbe est verte », n’écoutant que d’une oreille la suite des évènements.

« Et vous, mères porteuses ! Vous… … … … … de l'Obscure ! Auriez vous peur de vous battre… … … … … … Reine apeurée ? »

Reine apeurée… Oh, Zelda. Koume lui répondit en premier, mais il n’entendit pas. En revanche, une phrase de Kotake parvint à secouer son esprit embrumé.

« - … … … … ... … … les hyliens se tirent dans les pattes eux même et c’est bien plaisant de les voir se quereller de la sorte sans avoir le moindre petit geste à faire. »

A ces mots, Faust ne put réprimer une exclamation dédaigneuse. Comme elle avait raison… Comme il était désespérant de constater que, après le départ tant voulu de Ganondorf, les Hyliens, incapables de rester dans la paix qu’ils avaient si souvent espérée, se donnaient du mal pour faire souffrir leurs confrères, les rabaisser sans raison ou simplement être désagréables de front… Comme derrière le dos. C’était juste… Affligeant. C’était juste…

« - … Ridicule. »


Franc


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La messe était dite, Fol avait joué cartes sur table. Il paraissait prêt à parler de lui maintenant qu'il avait pris conscience du fond du problème. Son cerveau se mit à réfléchir énergiquement. Il avait devant lui de très jolies spécimens représentatifs de la société. Ah ! En fait non il lui en manquait un mais ce dernier fut assez largement évoqué, assez pour que ce bouffon aux ambitions loin d'être transparentes puissent agir.

Fol prit un ton inhabituel, comme lors d'une confession. Il fallait bien qu'il discute de son projet aux principales concernés, de même que ceux - ci étaient des amis du fou ! Il mit fin à son spectacle de gymnaste, se frottant les mains pleines de glaises molles. Il devrait dés son retour au Château exiger des nouveaux gants.


« Pour le Bien, le Mal est un problème. Pour le Mal, le Bien est un problème. Hyrule à un problème. Mais il n'est pas l'opposition de deux factions, non. Le peuple ne semble pas prêt à vivre dans la paix car il n'a jamais vécu de grande guerre depuis longtemps. Je souhaiterais que vous, il désigna d'un doigt sale le Débauché et le Bellâtre , vous vous battiez avec l'aide de tous le peuple contre vous, il indiqua avec le même index terreux les sorcières, Mesdames. »

Il s'interrompit. Il se sentait bien malheureux en cet instant. Et pour cause, il n'avait toujours pas trouvé de sobriquet amicale aux jumelles ! Ah, quelle honte pour ce génie des mots. Il trouverait bien un jour. Cependant, un déclic eu lieu.

« Ah ! Kotake et Koume êtes à présent mes chéris ! C'est officiel. »

Il ferma cette parenthèse incongru d'un sourire complice. Il gloussa toutefois à l'idée de se faire dévorer amoureusement par les harpies. Etaient elles cannibales ?

« Mangez vous de l'Hylien mes chéris ? Si oui, je vous retire ce surnom ! »

Il reprit le ton qu'il avait précédemment arboré.

« J'aimerais mourir sur Hyrule. Les paysages y sont jolies, mais les gens comme vous y sont laids. Ils ont besoin de quelque dirigeant de génie pour briser votre mentalité abjecte. Vous n'en disposez pas. »

Il prit une profonde respiration. Jamais il n'avait parlé avec tant de sérieux, cela lui faisait tourner la tête. Ses jeux de comédies disparus, retrouvait il sa réelle personnalité ? Celle d'une personne normale ? Ah ! Bien sûr que non ! Ici encore il jouait un rôle ! Fol joue toujours un rôle. Fol n'est pas un homme, c'est un artiste !

Ce délire métaphysique cessa. Il inspira de nouveau et enleva son chapeau.


« Je m'improvise donc Roi d'Hyrule !

Ce trône, mes amis, je vous le laisse volontiers lorsque je vous aurais jugés dignes de poser votre fainéant derrière dessus ! Faites moi une guerre propre, une catharsis nationale, une délivrance d'esprit. Jouons à la guerre ! »


Il n'avait plus rien à dire. Il décida donc de tourner le dos à tout le monde. Laissant la réflexion se faire.


Tous avaient retenu leur souffle laissant le fou parler. Oui, c’était un drôle de personnage ! Comment osait il s’auto-proclamer roi d’hyrule ? Et qui plus est dans une plaine aussi fréquentée ? Bien qu’ils se soient mis à l’écart, n’importe qui aurait pu entendre ses propos. Cette fois le fou allait trop loin. Il ne pouvait pas donner des ordres à de puissances guerrières gérudos. Non s’en était trop, il fallait le faire taire. Personne ne devait être au courant de ce que mijotaient les deux infamies, et les plans de Fol s’en rapprochaient un peu trop à leur goût.
Le cerveau des harpies était en ébullition et tout se produisit très vite pour ne pas laisser aux autres le temps de réagir.
L’inévitable se produisit. Fol c’était retourné. Grave erreur de sa part car ça en faisait une proie facile. Les deux sorcières remontèrent sur leurs balais, s’élancèrent dans les airs puis foncèrent sur Fol. Une seconde après le fou se retrouvait dans les airs, emporté par les deux êtres maléfiques en direction de leur temple.
Il fallait interroger ce fou. Il semblait en savoir beaucoup. Beaucoup trop pour un simple fou arrivé à Hyrule depuis peu.

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