Un rêve n'a pas de réalité autre que celle de l'existence.

(Lokis-Lenneth) Rp de Réalité Contraire.

[ Hors timeline ]

Lokis


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(vide)

[Ne réglez pas votre ordinateur. Vous venez d'entrer dans un monde de bizarreries et d'étranges sensations. Une dimension appelée la Réalité Contraire.
La Réalité Contraire est un sort de Lokis qui est équivalent à un rêve dans ses règles, sauf que Lokis en est le seul maître et qu'il y "invite" une autre personne avec lui comme un simple cobaye.
Ce genre de rp "Réalité Contraire" a des chances de se reproduire. La narration extérieure n'est plus la même (le texte encre est désormais en italique).]


Quand est-ce qu'une chose est réelle? Quand elle est tangible, quand elle correspond à NOTRE perception de la Réalité ou lorsque l'on ne doute plus de sa réalité? La Réalité mais surtout l'Iréel n'a pas de règles pour l'identifier.
Parfois le réel devient irréel car une personne ne veut plus de cette réalité. Dans son monde cette personne cruelle, solitaire et torturée est capable de s'imaginer tordre la vérité et la modeler à sa façon, se sentant maître des destinées. Fort heureusement, ce genre de personnes ne peuvent le faire que dans leurs rêves. Mais que se passerait-il si cette personne pouvait vous entraîner dans son rêve macabre et atroce?


Une jeune femme, candide mais forte, se baladait dans son village. Ce village était un pur rêve, un silence apaisant puis des sons joyeux et pleins d'entrain. Mais ce jour-ci la bourgade avait éclos en cauchemar!
Le silence devenait pensant puis des sons ignobles s'évadèrent de leur lieu de départ pour résonner dans le village comme un boucher fier d'égorger ses animaux et qui le fait entendre à tous. Des hommes sanguinaires sur des chevaux blancs arrivèrent par rafales, dévastant en riant tout qui pourrait avoir valeur pour autrui. La jeune fille était effrayée, son nom serait Lenneth. Toutefois, en plein milieu du massacre, le temps s'arrêta net. On pouvait entendre dans une clarté cristalline et d'une voix douce :


"Une seconde chance..."

Le village fonda en une flaque masse graisseuse dans laquelle Lenneth pataugea. Et en un clignement de cils, tout était de nouveau là, mais il n’y avait plus ni silence ignoble, ni sons macabre, ni horde infernale ; juste le calme silence et les joyeux sons. La jeune Lenneth se rendit alors chez elle où sa mère Renata l’accueille en lui disant :

"Viens vite Lenneth, Lothar ton père a touché sa paye ; on va fêter ça avec un bon repas."

Renata se poussa alors pour laisser passer sa fille et juste quand elle entra à l’intérieur, Lenneth ne put voir qu’un masque ressemblant à celui de Siphylle sur une table mais celui-ci était représenté indifférent. Alors elle sentit une griffe lui percer le dos ! Sa mère avait désormais des griffes immenses, les yeux rouges et des ailes de chauve-souris décolorées et elle hurla de la même voix que celle qui a annoncé une seconde chance qui se montra nettement moins douce :

"TU N’AURAS JAMAIS DE SECONDE CHANCE !!! "

Tout le village Sheikah s’envola en des millions de chauves-souris décolorées.
Lenneth était dans une pièce où des dizaines de masques semblables à ceux de Siphylle l’entouraient mais avec des expressions différentes. La pièce oscillait entre le noir encre et un blanc éblouissant. Pas de vent, pas de paroles, rien de vivant à part Lenneth…


Eorah Vif-Argent


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(vide)

Elle court dans les champs de blé. Petite fille aux pieds non chaussés et aux cheveux nattés.
Petite bambin qui sourit aux nuages, petite fleur qui bientôt grandira.
Voila Lenneth dans son enfance.

L’enfant arrive au village.
« M’maaaaaannn j’ai faim, j’peux avoir mon gouter ? »

Le songe se brouille, tout recommence.

Je suis là, témoins de tout ces temps, passés, présents et a venir qui auraient pût être. De ces Réalités Alternatives.

Ici, je me voit les cheveux blancs, une horde de bambins autour, a chanter dans le Temple du Temps, les Temps des Héros. Là, je suis vêtue comme une assassin traditionnelle, aux coté de Ganondorf. Et la encore, en train de me battre en duel contre un autre assassin. Et ici, morte sous les assauts des Lobos, a mon réveil. Et la transpercée par une lance. Et là …
Les Temps et les Realités tournent et se fondent, pour au final disparaitre totalement, alors qu’un "TU N’AURAS JAMAIS DE SECONDE CHANCE !!! "[/color] furieux résonne dans les couloirs du Songe.

Je sonde le Rien, mes yeux distinguant dans la pénombre une myriade de masques, toutes expressions confondues. Alors je déambule parmi eux, examinant leur face, guettant l’Ombre dans leur regard.
Puis je le trouve.
Il est la, il me guette.
Je croise les bras, je pose un demi sourire narquois sur mes lèvres et lance :


« Et alors ? C’est tout ? Tu m’a fait venir ici pour ca ? Finalement comme Esprit, tu ne vaux rien ! »

Depuis la pénombre, je le vois qui me fixe, de son regard de braise. Des yeux rouges sang. Leur éclat me brule presque la rétine.
Je serre les points et hurle sur le Fantôme :


« Aller, froussard ! Montre-toi ! »


Lokis


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(vide)

"Rien? Voyons... Tu ne sais pas pourquoi tu es ici-bas. On va patienter un petit peu, pour que tu puisses réfléchir à tout ça. Ah au fait, ne t'inquiètes pas si tu ne meurs pas de faim ou de soif, certes tu souffriras comme si tu étais en train de mourir. Mais rassures-toi tu ne mouriras pas à la fin. Cruelle ironie pour une putain adultère et bien colérique qui a mis une prime sur sa tête, n'est-il pas?"

Les yeux rouges se sont évaporés. Lokis n'était plus visible, il voyait d'un regard externe Lenneth avec les masques. Il glissa d'une voix qui emplit toute la salle :

"Tu n'auras de repos que lorsque tu m'auras dit ce que je veux entendre, et ce n'est pas ni à propos de ton père, ni à propos de ta guilde tu le sais. Personnelement j'ai tout mon temps."


Eorah Vif-Argent


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(vide)

Je m'ouvris a l'Esprit ... Pour me rendre compte qu'ici, il n’était pas présent.
Quelle ironie, que c'est risible!

Les propos du Fou de Brume le sont aussi.
Aussi je lui ris franchement au nez et a la barbe.


"Si tu demandais au lieux de tourner autour du pot."

Puis je me repris avant de lancer a la cantonade.

"Et pour ce qui est de la souffrance, j'ai eu mon lot, je suis résistante."


Je fis un pas en avant puis deux, tournant la tête a droite et a gauche pour surveiller les alentours. Je ne vis rien, mais ne retenais pas ma langue pour autant :


"Dis moi, Fantome, tu as mis combien de temps , pour monter ton stratagème? Combien de temps il t'as fallut pour coincer la pauvre idiote amnésique que je suis a tes yeux? Quel moyen a tu mis en place pour soudoyer mon géniteur ainsi?"

L'aversion que me porte l'Autre se répercute dans le songe. Elle est partout, telle un miasme nocif et acide.

Je lui porte un autre coup au moral :[/i]

"Vingt ans pour retrouver une mère et son enfant? Est la tout ton courage? Ou tu es juste Idiot? Tu as promis quoi aux Stalfos que tu as payé pour nous massacrer? Pensais tu qu'il y aurais UNE survivante? Et justement celle que tu recherche?"


Je continuais a marcher dans ce Vide.

"Tu sais qu'ici, tu ne peux pas cacher ta nature. Alors accouche et qu'on en finisse!"

Je froncais les sourcils :

"QUE VEUX TU?"


Lokis


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(vide)

Un petit rire transcenda toute la salle. Il lui répondit alors :

"Je vais répondre à chaque chose dans la mesure de mon bon vouloir.

Tout le monde a eu de la souffrance dans sa vie, toi pas plus qu'un autre. Mais personne ne peut s'en sortir face à certaines douleurs, surtout quand c'est moi qui les inflige.
Toute les questions sur les évènements ont pour réponse ces masques. Enfiles en un et les souvenirs viendront d'eux-mêmes.
Qui t'as dit que la destruction de ton village était mon oeuvre?
Moi, je peux tout cacher ; la preuve, les yeux que tu as vu n'étaient que des lumières solaires. Mais ici tu ne peux rien me cacher, j'ai le pouvoir des Déesses.
Et si tu veux savoir ce que je veux, enfiles les masques!"


Eorah Vif-Argent


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(vide)

Je soupirais et me dirigeais vers le premier objet a portée ...
Tendant la main pour m'en saisir je songeais que ce type m'auras fait suer jusqu’à la fin.


"Pas de dignité hein? On va jouer a cache cache? Très bien, si tu le désire, je serais le Loup."

Et je posais le masque, un visage figé, neutre sur mon propre faciès.
Puis j'attendis la suite.


"Ohé du bateau, on avance?"


Lokis


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(vide)

La salle trembla et elle se plia pour devenir une barque. Lenneth était dedans, mais elle semblait avoir 5 ans. C'était en pleine mer déchaînée et d'un coup une vague brisa la petite embarquation marine. La jeune Lenneth se noie en criant! Et au fond de la mer l'attend un Kraken.
Lokis dit cyniquement et en riant :


"Aïe, dommage! Tu as choisi un cauchemard d'enfance! Mais que dirais-tu si on rajouta un ennui supplémentaire à la vérité?"

Un Siphylle enragé était dans l'eau et lui harponna la jambe, tout en la regardant se noyer en se moquant d'elle.
Bien que ce soit une Réalité Contraire, toutes les douleurs y étaient et elles paraissaient si réelles...


Eorah Vif-Argent


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(vide)

J'aurais put hurler a la fois de terreur et de douleur ... Si l'eau ne menaçait pas de s'engouffrer dans mes poumons!

Pourtant j'ouvris la bouche et une nuée de bulle s’échappât de mes lèvres.


*NEEEEEERR'*

Mon cris mental se répercutât contre les murs du Songe, mais personne ne vint. Nerezzo ne viendra pas. Nerezzo n'est plus la ... Il est rentré dans son pays, il est partit.

L'eau entra dans ma trachée et je suffoquait ....

Puis le rêve s'en allât et je me retrouvais accroupie au sol, trempée, et crachant l'eau salée que j'avais avalé.

"Kof, koff, koff ...."

Ma respiration était sifflante, mon regard noir.

D'un effort de volonté je me redressait.
Et tendis la main, vers un autre masque ... Un rictus de haine ...


"Tiens, tu va me faire revivre la confrontation avec les Stalfos et les Sackdoss qui m'a amenée a Astre si j’enfile celui ci? C'est un des moins terrible tu vas me dire."


Et d'un air brave, je chaussais le masque ....


Lokis


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(vide)

Un rire malsain emplit la salle toute aussi malsaine. Lokis dit alors:

"Ce n'est pas vraiment ça... Tu as pris l'un des "meilleurs" justement!"

La salle se plia jusqu'à former une grotte.
La pluie était tranchante, et l'atmotsphère pourtant tellement pesante!
Lenneth se tenait sous cette pluie.
C'était les Bois Perdus, remplis de grands arbres s'élevant jusqu'au ciel.
Les êtres se sont enfuits sauf un seul, une personne à la peau verdâtre vêtu de l'habit traditionnel Kokiri qui traînait des pieds; cette personne est Siphylle, deux jours après le départ de Renata. La haine et l'infinie tristesse se lisait dans ses yeux brillants, les seuls restes encore authentiques de sa chair d'il y a à peine deux jours.
Sentant la force de cette pluie, il se réfugia en pleurant dans la grotte.

Une voix résonna alors dans une grotte, une voix menaçante surgit et s'apitoya :


"Pauvre petit Kokiri..."

Siphylle s'écria alors, la surprise se lisant dans ses yeux :

"Quoi? Qui est-ce?

Rien ne bougeait mais la voix semblait se rapprocher du Kokiri et lui disait sur un ton très méchant :

"Mon nom n'a pas d'importance maintenant.
Alors petit Kokiri tu as perdu ton jouet? Tu es triste, hein?"
ne voyant aucune réaction du jeune "enfant" des bois, il continua, "Tu veux te venger Siphylle? Je peux t'apporter mon aide tu sais?

L'apprenti herboriste était soudain animé d'une certaine haine et d'une irréductible soif de vengeance et demanda :

"Comment tu ferais ça?"

"Te voilà bien plus bavard d'un coup! Tu pourras tuer Renata et ton enfant si je t'aide à rester en vie. Mais qu'aurais-je en retour de ça?"

"Tout ce que tu souhaites, Esprit!" s'écria t-il avec une rage et une colère si démesurées que des géants se sentiraient fourmis à côté d'elle.

La voix répondit alors mystérieusement :
"Ton sang...
Es-tu d'accord?"


"Oui..." dit-il sinistrement.

Lokis dit alors à Lenneth, derrière elle :


"Admets ce point commun avec ton père, votre plus grand vice -et non des moindres- est la colère."

Lenneth se retourna. Ce n'était qu'une silhouette de grande taille possédant des énormes pattes d'araignée derrière son dos. Et soudain une douleur indescriptible pour Lenneth. Elle ne dura que quelques secondes avant que Lenneth ne soit téléportée dans la salle aux masques mais elle était tellement intense que tout s'était arrêté.


Eorah Vif-Argent


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(vide)

"Peut-être ...."

Je secouais la tête et baissais les bras. Avant de les enrouler autour de moi.

"Oui je suppose que mon caractère est proche de celui de mon père ... tout en passion."

Je re songeait au souvenir.

"C'est ainsi que c'est advenu? C'est comme ça qu'il a changé? C'est son souvenir?"

Puis je plongeais mon regard dans celui de la créature.


"Il y a une légende, sur les femmes de ma famille. Elle dit, cette histoire, que nous portons le pouvoir d'un Esprit maléfique. Mais juste les femmes car ce pouvoir rends fou les hommes et que seules les femmes sont assez sages pour le maitriser."

Je repris mon souffle :

"Cet Esprit, c'est vous n'est ce pas? Ce que vous désirez, c'est ma Marque? C'est le pouvoir que la Volä m'a donné?"

Je n'avais pas besoin de réponse. Toutes les pièces du puzzle s’étaient misent en place. Je savais pourquoi on en était la. Je savais qui était face a moi.

"Reprenez votre bien ....Esprit...."

J'avais a mon coté ma besace. J'en tirais un livre. Chez moi on le nommais le "Livre sans pages", car tous ses feuillets etaient vierges. Je tiens le volume dans mes paumes, et l'ouvris, laissant défiler les pages et lançais un coup d’œil a l'Esprit.

Je surpris son regard avide. J'avais ce qu'il désirait. Il avait gagné.


"Il n'existe qu'ici, dans le rêve ... J'en suis la Gardienne. Si c'est cela que vous cherchez."

Ma vois n’étais plus qu'un murmure, a peine audible. Alors je fermais les yeux. Esprit me tuerait pour avoir eu la possession de cela. Mais n’étais je pas deja morte? Sous les coups d'Astre? Mon corps brisé convulsa quelque part dans un lieux de froid et de pierre.

"Toutes façons, je vais mourir, alors ne vous gênez pas pour moi ..."

Et j'attendis qu'il m'arrache l’âme .....

Néanmoins j’eus un dernier sursaut de fierté. J'agitais une main, couverte de plaies et ecchymose. Même ici la douleur devenait insupportable ... Même dans le rêve, je n'arrivais plus a maintenir mon intégrité physique. J'agitais cette main abimée et murmurait un sort.


"Prie Esprit, car un jour, un homme aux yeux de braise saura briser l’âme de danger que tu va instaurer en moi. Et ce jour la, je ne redeviendrais pas celle que j'ai été, non. Je deviendrais celle qui te chassera et qui te scellera. Tue moi. Tue Lenneth, et laisse place a la Chasseresse. Car celui qui prononcera mon nom, aura contrôle sur moi."

[HRP : Dernier post pour moi ici.
Cette fin, je l'ajoute car Len' est mourante. Mais ça me fait mal de la laisser comme ça, donc pour le moment je vais me concentrer sur PdN et voir si j'ai le cœur a la reprendre. Cette dernière diatribe peut concerner n'importe quel homme ou femme d'HJ qui a les yeux rouges .... Je lui ferais part en tant voulu de ma décision de revenir telle que Len' était.

Bon jeu et a dans un autre cycle]


Lokis


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(vide)

Lokis savait parfaitement que ce livre ne pouvait être que dans son monde, après tout, n'est-ce pas un pouvoir si puissant qu'il ne pourrait être visible que dans l'univers de celui qui le possède? Et pourquoi aurait-il prit la peine d'invoquer la Réalité Contraire sinon?
Le livre s'envola et L'Autre semblait parler avec quelqu'un qui n'était pas là :


"Merci, mon vieil ennemi. Tu aurais dû me prendre au sérieux et me laisser cette contrée. J'ai tenu ma promesse : ta famille est morte, ton nom ne sera plus perpétré Gaffar. Si j'ai tenu cette promesse, je tiendrais celle de m'approprier Hyrule tu t'en doutes. Car Lokis ne tient jamais des discours sans conséquences..." puis se tournant vers Lenneth en train d'agoniser "J'ai aussi les yeux rouges descendante de Gaffar. Et crois-tu que tu peux faire le poids contre moi? Ton ancêtre a peut-être put me sceller mais tu es trop faible, Chasseresse ou Lenneth. Tu seras à mes ordres DoLl et la Chasseresse ne sera sûrement pas car le Grand Démon ne laisse jamais ses sujets partir!"

La salle fondit sur elle même et tout devint noir, seul le masque de Siphylle restait en suspension dans l'air comme vivant. Des yeux rouges entrèrent dans la salle. Tout en s'approchant de la Sheikah, ils disent :

"En fait, tout dans ta vie est ma faute : ta mère qui a laissé ton père, la maladie de ton père, ton père qui te haït,ton village détruit, ton mari qui te trompe, ton amant à mes ordres qui t'a violé quand tu étais inconsciente, ta mort et le pire... les yeux étaient juste devant Lenneth et il acheva, "Tout dans ta vie est un mensonge, et ce que je te dis l'est peut-être aussi car après tout, un rêve n'a pas de réalité autre que celle de l'existence."

Un bruit de percement, puis le silence. L'âme de Lenneth n'était plus, envolé, pris par Lokis. DoLl était née, née pour servir et mourir. L'Autre avait sa vengeance, Hyrule court le danger des Âmes Perdues et surtout de Lokis et cette Réalité Contraire était fermée, du moins, en attendant une fois encore La Chasseresse...