Posté le 13/07/2011 03:40
[Hors-RP : Désolé de ne pas avoir prévenu de ma réponse aussi tardive, me suis fait kidnapper en début de soirée, et pas eu le temps de prévenir que j'allais revenir tard, pardon ><]
Valheim admira la lente transformation que nOkomis venait d'effectuer, chaque parcelle de son corps avait changé, prenant un aspect mi-félidé, mi-vampire.
Elle alla se loger dans le dos de Valheim pour ensuite approcher ses tranchantes canines au niveau de son cou. Elle lui murmura :
"Assez monstrueuse à vôtre goût cette fois. Puisque-être différent rime avec monstruosité selon vos dires..."
L'homme ne perdit pas de temps pour entamer sa propre réponse. Il dévoila un rire des plus sinistres, que la femme n'avait pas encore entendu de sa part. Et ceci pendant quelques secondes qui parurent après tout bien longues, à l'entente de ce rire narquois...
"Nous ne nous sommes pas compris, je crois. Vous venez de déformer mes élucubrations, très chère."
Ni une, ni deux, Valheim disparut en une fraction de seconde de l'endroit où il se trouvait, introuvable pendant une seule et unique seconde. La seule chose que nOkomis put remarquer à cet instant fut un bref battement d'aile. Le grand homme s'était en fait retrouvé, à son tour, derrière la belle. L'on n'eut absolument rien remarqué de son mouvement, tellement il fut rapide. Il avait placé -toujours dans la même seconde- son sabre à la gorge de celle qui en avait fait de même avec ses canines acérées et affamées.
Valheim avait déployé son aile dans le même moment, inconsciemment certainement, elle semblait encore plus élégante en réalité et également plus grande encore...
Une gouttelette de sang perla du cou de la jeune femme qui commençait à se rendre compte de la situation.
Tout ceci n'était que pur réflexe défensif.
"Je ne jouerais pas à ce petit jeu avec vous, car là n'est pas mon intention."
Un silence plombant se faufila ensuite, pendant lequel le prédateur ne fit plus un mouvement, attendant une réaction plausible de la part de sa proie. Instant pendant lequel il observa le corps de la belle endiablée avec intention. De part en part, il espionna le moindre tissu, le moindre pigment de peau, le moindre cheveu. Après quoi il se décida à susurrer :
"Cette apparence vous sied à ravir."
Son aile disparut instantanément dans un éclat de plumes noires qui chutèrent lentement dans l'air, jusqu'à se frotter à l'herbe, sans aucun bruit.
Le sabre disparut également dans le même temps, il lâcha sa prise et souria.