De Sable et d'Os

[Libre, 1er post pour Négus]

[ Hors timeline ]

«Moi, Négus. Je jure une éternelle loyauté envers vous, Ganondorf Dragmire. Je suis votre bras armé. Ensemble, nous vous guiderons jusqu'au Trône qui vous revient de Droit. Ensemble nous ferons de vous le Roi qu'Hyrule attends réellement. Je jure haine à la Couronne.»

« Moi, votre éternelle dévouée, je veux vous servir jusqu’à ce que le Destin m’emporte, je veux consacrer mon âme à ce Monde qui est votre. Je jure d’appeler l’aube nouvelle afin que les esprits trouvent la voie. Et je serais votre… fille. »

Il ne pouvait y avoir plus douce musique aux oreilles du Gérudo que celle ci. Ayant combattu longtemps seul, Ganondorf se sentait, depuis peu à l'échelle de sa vie, soutenu comme jamais il n'avait espéré l'être. D'abord, par ses élus, les premiers, ceux qu'il avait choisit entre tous. Et à présent, par les élus de Din, ceux que la déesse elle même lui avait envoyé. Car il ne se faisait aucune illusion, que la prêtresse soit parvenue à réveiller un être comme Négus ne pouvait signifier qu'une chose : elle avait bel et bien la bénédiction de Din, et lui aussi, par la même occasion. Le Stalfos était sans aucun doute une faveur de la déesse elle même.
La seule observation suffisait à Ganondorf pour s'en convaincre. Négus lui rappelait ses plus grands serviteurs non-humains. Sa stature imposante semblait refléter les enfers eux même, comme si la mort elle même habitait chaque crâne, chaque os qui composait son corps démesuré. Il semblait au gérudo que les âmes de ses victimes résidaient encore dans ces restes osseux et que leurs cris résonnaient dans un autre monde que le nôtre. Oui, pour tout autre que lui, Négus était terrifiant. Cependant, le Lion avait déjà invoqué des horreurs dignes des cauchemars les plus torturés. Il avait déjà rendu fou des hommes par la simple utilisation de ses pouvoirs. Plus rien qui soit lié aux ténèbres et à la mort ne pouvait plus l'impressionner. Lui, saurait donner au Stalfos ce que ce dernier désirait. Il avait déjà une idée pour l'y aider.

Quand à sa fille, prêtresse et avatar de Din, Ganondorf avait hésité un instant. Non pas qu'il ait douté d'elle, ou de sa valeur. Au contraire, il s'était demandé si elle ne possédait pas déjà cette force qu'il souhaitait partager avec ses enfants, si le lien entre eux n'était pas déjà ouvert. Et même alors, la réponse ne lui apparaissait pas clairement. Il la sentait proche de lui, leurs deux âmes connectées, mais un mur persistait malgré tout. C'était là un obstacle qu'il se devait d'abattre, au nom de son lien avec la déesse. C'était de ça dont il avait le plus besoin, ce sur quoi réposait tout. Il observa la prêtresse d'un regard où l'on pouvait lire un sentiment rare chez lui, un vif et furtif trait d'affection, qui disparut aussitôt. Le Lion sentit dans l'instant qu'il aurait dû réfrénir le sentiment. Il l'avait réveillé.


- Elle ne te sauvera pas de moi. Tu te fais des illusions.

Ganondorf se retint de lui répondre, conscient que ça ne ferait que renforcer le démon dans sa détermination. Au fond, il sentait bien que son arrivée était un bon signe : si la maladie se sentait obligée de venir contester le remède, c'est bien qu'elle craignait. Pour le gérudo, ça ne faisait aucun doute : la présence de ses enfants et son lien avec eux affaiblissaient le démon.
Alors, il s'approcha de la prêtresse. La tension grandissait en lui, perceptible dans chacun de ses mouvements. En réalité, Ganondorf connaissait alors la même sensation qu'un chirurgien sur le point d'opérer un grand blessé, ou un orfevre travaillant un matériaux très fragile. Il était traversé par une énergie voisine de la peur, mais qui aiguisait ses sens et rendait le moindre geste aussi précis qu'un Lion en chasse. Droit devant Négus, il se sentit prêt. Il ferma son esprit aux moqueries incensantes du démon et étendit les mains devant lui afin d'inviter le Stalfos à y poser les siennes. Dés lors que ce dernier se fut exécuté, la voix du Seigneur du Désert s'éleva, tandis que ses yeux se fermaient. Le rituel commença.


« Négus, en ce jour glorieux, tu deviens mon fils, devant les Hommes et les Déesses. Aussitôt, la Triforce sur son poignet s'illumina, les deux fragments de la Force et du Courage entrant en résonnance. Et un premier flux d'énergie passa dans le cercle formé par Ganondorf et son fidèle. En leur nom, je t'offre une part de cette puissance dont elle m'ont fait don. Puisse tu toujours te tenir à mes côtés, pour porter notre colère dans la bataille, et la mort chez nos ennemis. Bientôt le monde appartiendra à notre Trône ! Et tous nous entendront rugir ! Car mon nom est Ganondorf Dragmire, élu de Din et de Farore, Haut Roi des mortels ! »

A mesure que les mots du gérudo quittaient sa bouche, sa voix imprégnée de la puissance divine, le flux circulaient entre eux, en s'intensifiant. A chaque vague, Ganondorf se sentait faiblir, vidé peu à peu de sa vitalité. Refusant de plier sous l'effort, le Lion tentait de résister au mieux à l'intense douleur que lui imposait le rituel. La sueur perlait sur son front mais son dos restait droit, comme sa volonté.
Soudain, il sentit une présence envahissante dans un coin de son esprit. Enragé, il crut à une tentative du démon de faire échouer le rituel mais compris qu'il ne s'agissait pas de lui. Son esprit fut soudainement agrippé, une première fois, puis il subit une seconde prise. Puis une autre, sans que les précédentes ne se relâchent. Brusquement il compris. Les âmes captives en Négus étaient attirées par l'immense énergie de la triforce, et elle menaçaient de l'envahir, pour s'en délecter comme des abeilles avec du miel. Mais, englué dans le rituel, Ganondorf ne pouvait se débarasser de la marée d'âmes tourmentées qui le menaçait. La situation était dramatique car il ignorait ce qui pourrait arriver à Négus si il lâchait... Et pourtant il allait y être forcé !


- Besoin de mon aide ?

Le ton moqueur du démon était insupportable pour l'orgueil du Gérudo, mais ce dernier n'était pas en position de refuser. Prudemment, il lui ouvrit le passage hors du recoin de son esprit où il le confinait habituellement. Aussitôt, le parasite s'engouffra dans l'ouverture et en quelques instants, la pression sur l'esprit de Ganondorf se relâcha.

- Un jour tu comprendras... je ne suis pas ton ennemi.

Et il disparu à nouveau. Décontenancé par ce qui venait de se passer, et par l'attitude du démon, à contre courant de tout ce qu'ils avaient vécu en plusieurs décennies de cohabitation hostile, Ganondorf refusa néanmoins de laisser sa surprise faire échouer le rituel. Le flux continuait à circuler entre eux, et le gérudo s'affaiblissait à mesure que le Stalfos gagnait en aura et en force. Bientôt, il en aurait fini. Cependant, ce qui venait de subir l'intimait à régler le problème de Négus. Le temps restant était court mais peut être suffisant. Tandis que les dernières impulsions d'énergies divines quittaient son corps, et que la lumière des fragments s'intensifiait tellement qu'il était impossible d'ouvrir les yeux à proximité du rituel, Ganondorf s'attela à modeler son fils.
En cet instant où sa symbiose avec la Triforce était à son apogée, il pouvait modeler la création, comme les déesses. Non pas un pays ou même une région entière. Mais un être avec lequel il partageait alors la même essence... Cela relevait du possible. Et le Lion aimait repousser ses limites. Après plusieurs minutes, le flux se réduisit, progressivement, à la manière d'un cours d'eau qui s'assèche en été. Et puis, le lien direct fut rompu. Aussitôt, la lumière aveuglante disparu.


« Bienvenue chez toi, Négus Dragmire. »

A la place du Stalfos, amas de crânes et d'ossement, se dressait désormais un humain. Un homme au regard de mort et investit d'un pouvoir nouveau. Ganondorf s'écarta d'un pas et sourit pleinement devant le spectacle de son travail accomplit. C'était un chef d'oeuvre.
Il se tourna vers la prêtresse, une lueur fière dans le regard,


« Qu'en pense tu, ma fille ? »

La question n'était pas innocente. Elle allait très vite goûter à cette fontaine de puissance. De Force.

Ce compte est un compte narrateur : les personnages joués par le narrateur ne peuvent pas être utilisés par les joueurs ou joueuses dans leur post (sauf autorisation d'un admin) et les jets de dé du narrateur sont contraignants.



Negus Dragmire


Inventaire

0,00


(vide)

Il fut uniquement d'os quelques secondes auparavant, désormais la chair enveloppait son squelette. Son corps était immense, désormais il ne faisait pas plus que quelques centimètres de plus que celle qu'il appelait "Mère". Il ressemblait désormais à un jeune homme frêle.
De longs cheveux noirs avaient remplacé le crâne poussiéreux, et ses orbites vides n'étaient plus. D'étranges yeux gorgés de sang, accompagnés d'un iris sombre les avaient remplis.
Son manteau de ténèbres qu'il portait sur son dos à l'état de Stalfos, lui, était resté, recouvrant et cachant le corps nu du nouvel homme.

Soudainement, une sensation l'enveloppa, il se mit avoir chaud, à transpirer. Mais quelle était donc cette malédiction ? Le monstre ressentit les premières sensations de l'être humain. Le soleil le frappait et une telle chaleur était insupportable pour le monstre.


« Maître. Que m'arrive-t-il ? » souffla-il, tout en couvrant sa tête à l'aide du long drap de ténèbres, se cachant de l'astre brûlant.

Lorsqu'il n'était qu'un Stalfos, il n'avait jamais ressentit de telles sensations. Et bien que ce corps n'était que magie, il lui offrait la capacité de ressentir les mêmes sensations que les humains, qu'eux jugent banales. Pour le titan squelettique, c'était un nouveau monde qui s'ouvrait à lui, ainsi, il lui faudra un certain temps avant de comprendre sa nouvelle apparence mais il saura en tirer avantage, lui permettant désormais de circuler librement parmi les vivants, sans attirer l'attention. De plus, il allait rapidement comprendre que ce corps lui fournirait un autre grand pouvoir...

Celui de changer les morts en une armée au service de son Roi.

Il reprit ses esprits, le visage toujours couvert.


« Je porterais votre nom avec fierté, père. »


Le sable étouffe toute vie. Le feu anéantit. Et de ses cendres nait le renouveau. Il apporte la force. Celle de vivre.

Prêtresse de Din elle était, prêtresse elle serrait. La voie était toute tracée : un sentier droit à travers le désert ; là où il n’y avait de route pour personne, là où d’autres ne voyaient qu’une mer de sable infinie, elle voyait clairement la route s’y dessiner. Comme si elle marchait dans les traces du passé, de quelque chose de beaucoup plus grand que sa petite personne bien inutile. Elle n’avait pas à hésiter un seul instant. Pourquoi alors sa gorge était-elle aussi nouée ? Il était impossible qu’elle doute, et pourtant… pourtant elle sentait un malaise. Comme un vent porteur du plus mauvais présage.
La fille de l’ombre et de la flamme leva les yeux. Ganondorf se trouvait maintenant près d’elle ; sa stature de colosse tranchait nettement avec celle, fine petite et menue, de l’avatar de la Force. Drôle d’ironie qu’est le monde, n’est ce pas ? Mais, en regardant ainsi le Passeur, et quand bien même elle ne croisa pas son regard à ce moment là, la prêtresse sentie son malaise se retrancher, le vent se poser. Elle n’aurait put mettre un nom sur cet étrange sentiment de chaleur qui l’emplissait, et ce n’est que bien plus tard qu’elle apprendrait réellement le sens du mot confiance, mais déjà la chose commençait à germer en celle qui n’y croyait plus depuis longtemps.  

Le maitre du Désert instaura un cercle entre lui et Négus. Helrym se tenait près de lui quand il libéra toute sa puissance. L’avalanche d’énergie divine qui découlait de cette puissance inconsommable, directement puisée dans le cœur de la Terre elle-même secouait la prêtresse, qui voyait affluer en elle milles senteurs, odeurs, couleurs et surtout cris de damnés. Elle dut se fermer au flux pour se ménager. Non pas qu’elle n’aurait pu supporter cette puissance, mais elle devait attendre son tour. Elle ferma donc les yeux et tout disparu dans le noir.  Quand elle les rouvrit, elle trouva en face d’elle un homme, de chair et d’os, à la place de l’être mort, porteur de lambeaux, aveuglé de lumière.

Un miracle, assurément. La fillette se secoua légèrement... il lui restait une impression amère dans sur la langue. Un détail sans importance, car ce qui était maintenant était une révolution et pour elle, une nouvelle pièce de ce casse-tête que constituait le monde. Elle avait jadis pensé, à tord, que toute vie une fois éteinte retrouvait son origine dans les flammes de Din pour y renaitre ; la règle pouvait être contestée. A quel prix ? Elle allait devoir le découvrir.

L’avatar de Din leva les yeux vers le Passeur. Il posa une question et, encore une fois, elle frémit légèrement au mot « fille ». A peine perceptible mouvement
.

« Votre puissance est bien celle qu’on vante… supérieur, à n’en pas croire. » Ce n’était pas question pour elle de faire les éloges écrits et ridicule comme il en ait l’usage au Bourg. Non, elle était tel le feu : sans mensonge. Tout ce qu’elle disait serait pure vérité. « Je suis prête à lier cette risible vie, et l’énergie qu’elle m’a confiée, à la votre... Passeur d’une ère à l’autreElle le regarda droit en face, son regard brûlant fixé sur le sien.

Ce compte est un compte narrateur : les personnages joués par le narrateur ne peuvent pas être utilisés par les joueurs ou joueuses dans leur post (sauf autorisation d'un admin) et les jets de dé du narrateur sont contraignants.



« Maître. Que m'arrive-t-il ? »

Le Stalfos avait disparu, et des yeux neufs observaient pour la première fois un nouvel univers. De cette immense masse de corps imprégnée, il ne restait plus qu'un homme certes grand et fort mais qui n'inspirerait plus la peur d'un simple regard. Et pourtant, le monstre restait lui même, Ganondorf pouvait le sentir. Le gérudo percevait toujours la même aura et la mer des âmes qui avait manqué de le noyer... Seulement, de la créature à présent humaine émanait alors un pouvoir qui n'avait plus rien de commun avec celui qu'elle possédait auparavant. Le rituel avait pleinement réussi. Il répondit à la question du Stalfos, d'une voix affaiblie mais fière et chaude,

« Tu as rejoint notre monde, Négus. Tu n'es plus l'esclave de la mort mais son compagnon. »

Et de fait, le nouveau venu dans le clan allait devoir s'habituer à une nouvelle vie, mais le Lion ne doutait pas que celle ci fut plus douce que celle d'un mort vivant tiraillé entre le repos et un dernier souffle infini. La chaleur du soleil, la fraîcheur de la nuit, peut être même des sensations plus charnelles... C'était autant d'interdits qui venaient tous de sauter, et autant de possibilités que Négus aurait à comprendre et à assimiler. Un bouleversement, que Ganondorf espérait positif. Il tenait à ce que son fidèle reste aussi déterminé dans leur tâche qu'il semblait l'être plus tôt.

« Je porterais votre nom avec fierté, père. »

Le gérudo sourit franchement, légèrement rassuré et satisfait d'être considéré ainsi. Il n'oubliait pas ce qu'était le Stalfos mais appréciait l'idée qu'un être aussi unique porte son nom et soit son fils. Sa famille s'en élevait d'autant plus haut au dessus du reste des mortels. Il chercha la Prêtresse du regard, curieux de connaître son avis. Il ne fut pas déçu.

« Votre puissance est bien celle qu’on vante… supérieur, à n’en pas croire. »

Si Ganondorf eut été chat, on l'aurait entendu ronronner, tant il accordait de l'importance à sa réputation, et à la crainte qu'il pouvait inspirer. Qu'on le dise puissant était primordial à ses yeux, puisque le pouvoir d'un roi réside autant dans sa force de son bras que dans le coeur de ses sujets... Et dans leur regard. C'était par son regard que la prêtresse en disait le plus, par la flamme qui y brûlait plus ardemment que jamais. Il le lui rendit, attendant sa confirmation.

« Je suis prête à lier cette risible vie, et l’énergie qu’elle m’a confiée, à la votre... Passeur d’une ère à l’autre.»

Ce titre lui procura un frisson le long de son échine. Le Lion pouvait sentir la présence de Dun dans cette voix et dans ces mots, et cela l'exaltait. Din avait trop longtemps été une présence lointaine et presque absente. La retrouver en chair et en os était un signe, celui que le temps venait pour Ganondorf de poursuivre sa destinée. Il s'approcha d'elle, et tendit ses mains vers elle, comme une invitation. La jeune fille les pris, et le cercle se forma aussitôt.
L'élu de la Force plongea aussitôt dans l'état second nécessaire au rituel. La première passation de pouvoir avec Négus l'avait épuisé, il espérait fortement que celle ci serait plus aisée... La réalité dépassa toutes ses attentes.


« Helrym, en ce jour glorieux, tu deviens ma fille, devant les Hommes et les Déesses. En leur nom, je t'offre une part de cette puissance dont elle m'ont fait don. Puisse tu toujours te tenir à mes côtés, pour porter notre colère dans la bataille, et la mort chez nos ennemis. Bientôt le monde appartiendra à notre Trône ! Et tous nous entendront rugir ! Car mon nom est Ganondorf Dragmire, élu de Din et de Farore, Haut Roi des mortels ! »

A mesure que ses mots coulaient, comme les grains du sabliers du temps, le Lion sentit son pouvoir grandir puis passer dans le cercle, vers la prêtresse. Puis le flux lui revint. Très vite. Presque trop vite. Aussitôt, le flux s'intensifia, accéléra, jaillissait hors de lui pour lui revenir aussi rapidement. Le gérudo était soufflé par ce qu'il était en train de vivre. D'ordinaire, l'énergie divine qui lui était attachée rencontrait toujours une résistance chez son nouvel hôte et cela rendait le rituel long et risqué. Dans le cas présent, la prêtresse et lui étaient... semblables. La puissance divine se déversait dans le cercle tel un cours d'eau. Et puis, il y eut un instant où le flux s'immobilisa. Ou plutôt, où il emplit parfaitement le cercle. Alors, la porte qui les séparait se rompit, et Ganondorf sut qu'il avait eu raison. Il se sentit enveloppé dans une douce mais forte chaleur et dut se forcer à rompre le cercle. Le rituel était achevé mais la présence l'apaisait à la manière d'une mère aimante. Finalement, il s'y résolu... Pour se rendre que la douce étreinte était toujours présente. Plus faible, moins ardente, mais il pouvait toujours la sentir proche. Ouvrant les yeux, il vit ceux de Helrym qui lui rendait son regard.
Le Lion rit et la pris dans ses bras.


« J'étais sur de t'avoir reconnu, à présent je n'ai plus aucun doute, ma fille. »

Ce compte est un compte narrateur : les personnages joués par le narrateur ne peuvent pas être utilisés par les joueurs ou joueuses dans leur post (sauf autorisation d'un admin) et les jets de dé du narrateur sont contraignants.



1  2