Les Nuits d'Or – Event : Septième Nuit.

LES NUITS D'OR ; EVENT RP

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    Galipettes et galéjades. Letho jeta un oeil au très Vénérable Arbre Mojo, du haut de sa cachette. Tout décoré qu'il était, l'Arbre. Le Kokiri ne se gêna pas pour éclater d'un rire naïf et insouciant, avant de sauter du haut de la cime de l'arbre millénaire. Sa main s'agrippa à une branche un peu moins épaisse, et le petit singe utilisa tout l'élan qu'il avait acquis grâce à l'énergie potentielle. Un triple salto parfait l'amena à se réceptionner sur la pousse d'un haricot magique. Pitreries étaient de mise : dès qu'il croisait un autre Kokiri, il lui chipait le bonnet pour le lancer à la première Kokiri qu'il croiserait.

    Puis s'arrêta l'ascenseur naturel, et le petit lutin descendit. Tous ses amis se lançaient déjà dans la fête, et Firbo commençait à guider des Grands vers le village, afin que ceux-ci ne se perdent pas dans les bois. Nombreuses processions que celles qui venait envahir la forêt, à son goût. Oh, oh. Sous peu, il jouerait un sale tour à ces gens. Quand Saria ouvrirait le bal.

    Pour l'heure, il se contentait de s'amuser avec ses frères et soeurs. Ca et là ils taillaient leurs masques dans l'écorce offerte généreusement par leur Père à tous, le Vénérable. Les filles s'occupaient à tailler le lierre et la vigne vierge pour s'en décorer les cheveux, tandis que Mido faisait installer au centre du village tous les fagots de bois nécessaire à l'érection du plus beau brasier de Bleues-Flammes qu'aurait jamais vu la Forêt. Il trépignait d'excitation à l'idée du début des fêtes. Si fort qu'il ne put s'empêcher de réaliser tout une série de roulades, roues, rondade, et autres figures gymnastique qui transpiraient toute sa joie et sa bonne humeur.

    Sa tête finit par cogner violemment contre une pierre encastrée dans une motte de terre sur-élevée, et malgré la douleur qui traversa son crâne, l'enfant vert ne put retenir le rire franc et spontané qui couvait dans sa gorge. Rien ne pourrait marcher sur l'insouciance de ces quelques nuits.


    "YAHOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOO !" Hurla-t-il, en bondissant comme un enfant en liesse, ce qu'il était, de toute évidence. La Forêt se parait de ses plus beaux atours, quand sa main glissa sur le plateau que portait Fado, pour y voler toute une poignée de biscuits réservés aux Grands qui viendraient séjourner pour la soirée, ou le restant des fêtes. La jeune fille devint rouge en constatant le larcin, et déposant son plateau se mit à courir derrière la galopin qu'était Letho, toujours en train de rire aux éclats quand il ne se bourrait pas de pâtisseries.

    Aux Kokiris l'insouciance et la joie du premier jour.
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Ce compte est un compte narrateur : les personnages joués par le narrateur ne peuvent pas être utilisés par les joueurs ou joueuses dans leur post (sauf autorisation d'un admin) et les jets de dé du narrateur sont contraignants.



Saria était fin prête. Ses cheveux remontés en un petit chignon avec l'aide de rubans tintinnabulèrent aux sons des clochettes qui ornaient ce même chignon. Elle portait une robe de soie de la même couleur que le bourgeon de la feuille. Elle était passée d'enfant à adolescente avec une telle tenue. Au dehors la nuit tombait, il était temps. Mido devait passer la chercher pour l'emmenée à l'estrade qui l'attendais près de leur père. Elle sortit pour l'attendre, le sourire aux lèvres. A peine avait elle franchit la porte de sa petite maison de bois qu'un bonnet lui atterrit en plein visage et un rire se fit entendre avant de disparaitre. Saria leva les yeux et vit Mido à qui ce bonnet devait sûrement appartenir. Lorsque leurs regards se croisèrent il fit des yeux ronds et se stoppa net dans son élan. Elle ne put que rougir à cette réaction et lui tendit sa main. Il la prit délicatement et tous deux partir là où ils étaient attendus.

Une fois sur place la sage ne put que constater la foule immense qui l'attendais. Cette dernière s'écarta pour la laisser passer et Mido la laissa au pied de la petite scène de bois posé à la droite de son père. Elle y monta calmement. La musique avait déjà envahi les lieux. Comme elle aurait voulu les accompagnés dans ce magnifique morceau, et elle le ferait sûrement, une fois les festivités ouvertes. Saria jeta un regard à son père, magnifique, paré ainsi des guirlandes de fleurs qu'elle avait elle-même installé. Hibiscus, dahlia, narcisses et glycine était parsemés sur ses feuillages. Explosions de couleur et de senteur.

Enfin, la musique cessa indiquant qu'il était temps pour elle de faire démarrer les festivités. Elle inspira longuement et pris la parole.


" Bonsoir à tous, je suis ravie de vous accueillir en cette septième nuit des nuits d'or. Je dois avouer que je suis très heureuse de voir que notre forêt attire autant de monde, cela me fait chaud au cœur. "Elle les gratifia d'un sourire chaleureux et croisa ses mains devant elle." Euhm, je ne suis pas très douée en discours... Tout ce que je vous souhaite, c'est de vous amuser, de profiter au maximum de cette nuit, qu'elle soit votre nuit, à chacun d'entre vous. Je souhaite qu'elle soit inoubliable autant pour moi que pour vous. Bien, je ne vais pas vous faire languir plus que cela, il est temps. "

Elle ferma les yeux et décroisa ses mains. Doucement elle leva les bras au-dessus de sa tête et rouvrit ses paupières. Lorsque cela fut fait le brasier s'enflamma subitement, comme une fleur éclosant d'un coup d'un seul. Les flammes chatoyants de milles et une couleur. Puis gracieusement ses bras revinrent le long de son corps.

" Que la septième nuit d'or commence ! "

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Thor Odinson


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(vide)

Thor avait pris la peine de se rendre à la place du marché pour se renseigner sur les fameuses nuits que les agriculteurs célébraient après les récoltes, Les Nuits d'Or. À peine quelques livres brièvement feuilletés qu'il parvint à une conclusion

« Cette nuit sera la septième et elle sera à la forêt. »

Il prit son sac et retourna au village cocorico où il avait laissé son cheval et se mit en direction de la forêt.
Le soleil se coucha, donnant le droit à un magnifique spectacle qui malheureusement fut interrompue par les créatures nocturne de la plaine. Le voyage vers la forêt s'était déroulé sans encombre ou presque. Il avait décidé de laisser son cheval à l 'entrée et rentra à pied.


D'abord, il alla chez lui, pour prendre ses rubis qu'il avait bien fait d'économiser, son armure et Mjolnir. Certes il n'en aurait certainement pas besoin , mais il n'avait rien d'autre à se mettre, alors plutôt que de prendre chemises et chausses, il valait mieux prendre ses vêtements d'origines, à savoir l'armure. Et puis une bonne dose de nostalgie une nuit de fête lui ferait certainement du bien.

Lorsqu'il arriva prêts de l'arbre Mojo-qui ressemblait à un sapin de noël-, Thor reconnue le Sage Saria au loin ainsi qu'un Kokiri qui la suivait. Il ne l'avait encore jamais vu, mais savait qui elle était La musique qui mettait l'ambiance avait finis par s'arrêter, puis tous les regards se tournèrent vers le Sage de la forêt.

" Bonsoir à tous, je suis ravie de vous accueillir en cette septième nuit des nuits d'or. Je dois avouer que je suis très heureuse de voir que notre forêt attire autant de monde, cela me fait chaud au coeur. Euhm, je ne suis pas très douée en discours... Tout ce que je vous souhaite, c'est de vous amuser, de profiter au maximum de cette nuit, qu'elle soit votre nuit, à chacun d'entre vous. Je souhaite qu'elle soit inoubliable autant pour moi que pour vous. Bien, je ne vais pas vous faire languir plus que cela, il est temps. "

Après ce bref discours la fête pue commencer. Le prince d'Asgard ne fit que regarder aux alentours, de droite à gauche et de gauche à droite espérant trouvé quelqu'un qu'il connaissait. Ne voyant personne il décida de faire quelques pas et de voir ce que proposait la fête...


Eorah Vif-Argent


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(vide)

Mes doigts courent sur les cordes de ma lyre.
Mes yeux sont clos. Je me coule dans mes notes, tout est bien. Parfait.

Quelques heures plus tôt j'ai revêtu une robe blanche, a manche courte et qui me descend jusqu’à mi cuisses. La cascade argentée de ma chevelure est ornée d'une couronne de fleurs tressées. Plus de clochettes pour moi depuis cette année. Mon cœur m'a été délicieusement volé.

A peine arrivée au près de l'Arbre Mojo, je suis entourée de Kokiris. L'un d'eux, plus téméraire que les autres m'invite a danser, et c'est un grand sourire au lèvres que j'accepte. Me tenant les mains, le garçon rit au éclats et danse de cette grâce que seuls possèdent les enfants de la foret.

Puis un silence se fait, Saria annonce le début de la fête et alors que les mots de la Sage résonnent encore dans les feuilles, la musique bat a nouveau son plein.

Quelques personnes qui savent que j'exerce parfois comme barde, me poussent vers une scène.


"Une chanson Len'! S'il te plait!!!"

Pourquoi pas au fond? Ne suis je pas la pour çà?
Aussi chantant et jouant, entourée d'une petite troupe de badauds, je guette l'arrivée d'une personne connue ....


Lokis


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(vide)

Sur un journal négligemment laissé à terre, je vis que cette nuit, aura lieu la septième Nuit d'Or à la Fôret.
Ah les Nuits d'Or, voilà 21 ans que je n'y avais pas plus participé, quels bons souvenirs j'avais de ces sauteries joyeuses...
Je pensais qu'il était temps d'y retourner, cette fois ci pour mettre de la musique avec mon alto et mes compositons!
Je me mis donc en route, se servant de mon archet comme canne après ma blessure au Lac.
Evidemment, je n'ai pas pris la peine de changer de costume, celui-ci est déjà particulièrement bien accordé pour les évènements festifs!
J'y arriva rapidement, bien avant que cela commence. Je m'assis sur l'herbe, attendant l'effervecence.

Lorsque Saria annonça la fête ouverte, je me frayais un chemin parmi la foule pour venir écouter et regarder devant une scène. Curieusement, ma fille était là, sur la scène, avec une lyre. Elle ne m'a jamais dit qu'elle savait en jouer alors je me posa en face de ce lieu de spectacle, maintenu par ma "canne, pour mesurer son talent avec son instrument.


Mido avait attentivement écouté le discours de Saria, attendant patiemment au pied de la scène qu'elle le finisse.

À la fin de celui-ci, il ne put que sourire. Premièrement, simplement parce qu'aujourd'hui était le jour d'une immense fête à laquelle il aimait participer (en plus, c'était la seul à laquelle il pouvait, ne pouvant quitter la forêt) et aussi parce que Saria n'avait jamais bien été douée en discours, bien qu'elle s'en soit particulièrement bien tiré, pour lui, cette fois-ci. Mais ce petit sourire n'avait rien de moqueur, simplement que tout cela l'amusait. Puis, ça n'avait pas la moindre importance.

Après que tout ce soit passé comme la plupart des Kokiris l'avaient prévues et surtout organisé, tous ensemble, que les festivités étaient enfin pleinement ouvertes, que toutes les personnes présentes s'étaient « lancés dans la fête », une s'étant même mise à accompagner les musiciens.

Mido vint rejoindre Saria sur la scène, et lui tendit une nouvelle fois la main. Pour l'accompagner une fois encore, mais dans une danse cette fois-ci.

Il lui sourit, rougissant un peu en même temps. Et il eut enfin le courage de sortir une phrase, qui pouvait passer pour bête, mais il fallait aussi dire que d'une certaine manière, le petit rouquin était quelque peu perdu...



-« Tu m'accorderais... -Il coupa sans le vouloir, toujours plus rouge, pour reprendre de manière pour le moins laborieuse...- Cette danse? »

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Saria avait entreprit de descendre pour rejoindre les musiciens, ce qu'avait déjà fait une jeune femme qui jouait plutôt admirablement de la lyre. La kokiri emprunterai sûrement une flûte à l'un des membres de la troupe, mais son idée fut interrompu par Mido qui l’avait rejointe. Elle lui adressa un sourire chaleureux, le trouvant si mignon lorsqu'il se mit à rougir. Il venait l’invité à danser, ce qu'elle accepta avec joie, se remémorant une scène ou un blondinet remplaçait le rouquin.

" Mais avec plaisir ! "

Elle attrapa la main de son ami et se laissa guider à travers la foule pour rejoindre les danseurs. La musique emplissait ses oreilles et l'euphorie présente commençait déjà à la mettre en liesse. La sage, malgré sa maturité acquise, possédait une âme d'enfant qui refaisait ce soir surface. Saria plongea son regard d'émeraude dans celui de Mido et plaça son bras autour de son cou, sa main libre dans la sienne, et ils se mirent à danser.

Elle restait là à danser avec lui, dans le silence le plus total, qui devint de plus en plus gênant... Aussi de décida t-elle à le briser.


" Tu passe une bonne soirée ? "

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Eorah Vif-Argent


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(vide)

Tout en liant et déliant les notes de musique, je scrute la foule. La bas deux Kokiris dansent.
Quelque part je me dis qu'ils sont mimis tout pleins.

Là bas je vois un autre homme que je ne connais pas, tout blondinet et avec un marteau de forgeron a la ceinture. Un nouvel artisant?

Et la encore ....
J'interromps mes chansons, a la déception du troupeau autour de moi et lève la main.

"PAPA!!!!"

Je vois sa reaction. J'en souris.
Levant ma lyre pour la lui montrer je lui lance :
"Viens m'accompagner! Ce soir c'est trève! Pas de harpons, pas de Pigeon! Juste père et fille!"

Mon père biologique est un bon musicien, ca serai un honneur pour moi de jouer avec lui.


Lokis


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(vide)

Je voyais deux kokiris en train de danser, étaient-ils trop jeunes pour les avoir vu 21 ans plus tôt ou les connaissaient-je? Je l'ignorais, et finalement je n'en avais rien à faire. Quand soudain ma fille m'interpella en me disant:

"PAPA!!!!
Viens m'accompagner! Ce soir c'est trève! Pas de harpons, pas de Pigeon! Juste père et fille!"


Trêve? Comme cela me fait plaisir qu'enfin l'on puisse être vraiment père et fille! Plus de clans, plus d'armes, seulement la musique et la fête! Je montai alors difficilement sur la scène et sortit mon alto pour jouer. Je me tournai alors vers ma fille et dit en riant :

"Voyons si tu arrives à suivre ce rythme ma fille!"puis je réfléchis un instant et lui dit:"Mais il faudrait un chanteur ou une chanteuse pour accompagner."


Thor Odinson


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(vide)

Il avait beau tourné la tête, il ne reconnaissait personne. L'ambiance de fête pour cette septième nuit devenait de plus en plus joyeuse. Tout le monde avait l'air de bien s'amuser.

Il tourna la tête une fois encore, de droite a gauche, scrutant les marchands, les stands et les scènes. Et justement sur la scène se trouvait un homme et une femme. Cette femme, elle lui disait quelque chose. Elle lui rappelais quelqu'un. Il s'approcha de la scène

En s'approchant, il aperçut Saria, Sage de la foret qui dansait avec un autre kokiri. Il se fraya un chemin jusqu'au devant de la scène, puis écouta la somptueuse musique que jouait les deux personnes.

La mélodie était douce, mais entraînante. Il se fraya un chemin jusqu'au devant de la scène de tel sorte que Siphylle et Lenneth puisse le voir.


"Très joli son !"
lança t il assez fort pour qu'on l'entende,

Il alla ensuite s'asseoir près de la scène, a une table, ou il commanda a boire, tout en éboutant le beau son de la musique. Pas de doute, cette nuit d'or s'annonçait bien.


[Désolé pour cet énorme retard, j'avais carrément oublier u_u...]


Le jeune Kokiri ne savait vraiment pas quoi dire. Habituellement, il était l'un des Kokri les plus enjoués et l'un des moins timide, mais face à une certaine personne -Saria, qui dansait justement avec lui-, il perdait étrangement tous ces moyens...
Et ce, sans le comprendre. Bien sûr, presque toutes personnes extérieures ou presque l'auraient compris, mais dans ce cas, peut-être était-il toujours trop naïf pour comprendre, ou peut-être n'y avait -il pas fait attention, ou bien, sa timidité l'empêché de « voir »...
Toujours est-il qu'il ne pouvait, n'arrivait pas à lui avouer ses sentiments...



-«Je passe une soirée excellente! -il lui sourit, il était si content de pouvoir danser avec elle- Et toi?»


Il continua de danser avec elle, sur des mélodies improvisées, semblerait-il, par deux musicien qui n'aurait pas dû l'être... Mais c'était bien mieux comme cela.
Et il continuait de sourire à la Kokiri qu'il avait en face de lui.

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Il fallut un petit temps à Saria pour redescendre de son nuage lorsque Mido répondit à sa question par la positive, et la lui retourna. Une bonne soirée ? Oui plutôt ! Cette danse lui en rappelait une autre, il avait longtemps, avec un blondinet. Cette fois, ce n'était pas lui, mais c'était aussi l'un de ses meilleur ami, l'un de ses meilleur soutien.
Elle remarqua que son esprit était repartit à vagabonder et qu'elle avait laisser un certain silence s'installer après la question de Mido. Aussi se ressaisit-elle aussitôt, bafouillant une réponse à son ami.


" Hein euh, oui... Oui, bien sûr, comment pourrait-il en être autrement ? La nuit est belle, la musique envahit tout, les gens sont heureux, et tu es là, avec moi. Rien ne saurait plus me satisfaire. "

Presque rien en réalité, mais elle s'était promis de ne pas y penser ce soir. S'inquiéter n'aurait servi à rien, et son frère aurait voulu qu'elle s'amuse.

Une des mèches de ses cheveux se détacha et tomba devant ses yeux. Ne pouvant délaisser Mido, elle trouvait ça malpoli, elle entrepris de chasser la rebelle d'un simple souffle. Mais n'y parvint pas, la mèche se retrouva au beau milieu de son visage, la faisait rire doucement.


" Pardon, je crois que je vais devoir remettre cette rebelle en place, j'ai l'air un peu ridicule je crois... "

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