Posté le 03/03/2012 21:01
[Chronologiquement, ce RP se situe après l’entraînement des nouvelles recrues chez les Chevaliers du Phoenix ]
Le vent chaud et accompagné de quelques grains de sable, soufflait, faisant virevolter la chevelure du roux. La main sur son éternel chapeau de paille, la seconde sur la fidèle Kabu Tsuchi, Daych attentait patiemment sur une dune de sable. Il s'était levé assez tôt et avait pris un bref petit-déjeuner avant de se diriger, avec sa monture, vers la Vallée Gerudo. L'objet de ce voyage surprise? Un combat. Mais, pas n'importe lequel, il allait affronter un de ses meilleurs amis: Agorazium. Le grand Agorazium. Celui avec lequel il croisait souvent le fer. De là, est née une certaine rivalité aux yeux de Daych, et il voulait en découdre avec lui. Il voulait etre sur de pouvoir le battre. Cette fois, ce combat était bien plus qu'un simple entraînement pour le chevalier.
Voilà environ trente minutes que l'homme au chapeau de paille attendait. Il s'était déjà préparé physiquement et mentalement, il savait ce qui l'attendait: Un lourd duel, où il va falloir tout donné pour réussir. Le combattant, était maintenant assis, en tailleur, les points serrés, il se concentrait. Il avait toujours la main sur son épée. Celle-ci perçut le stress du jeune homme et prit forme humaine. En forme humaine, Kabu Tsuchi est une ravissante jeune femme, brun aux yeux marron, à peu près de la même taille que son maître. Elle lui posa alors une question, inquiète:
Maître, ne croyez-vous pas en faire un peu trop, pour un combat, qui en plus sera contre votre amis?
Le roux écouta attentivement sa question, il y réfléchit attentivement, ce qui marqua un temps d'arrêt plutôt long. Il releva la tête, redressa son chapeau et lui répondit:
Vois-tu, tu ne connais pas Agorazium quand il se donne à fond... Moi, je suis sûr que cette fois, ce combat sera très intéressant et vraiment différent des autres.
Il eut un grand silence, le vent souffla de nouveau puis Kabu Tsuchi reprit
A vous entendre maître, on dirait que vous le haïssez
A peine avait-elle terminé la phrase que Daych avait les yeux grands ouvert puis lui répondit:
Enfin que vas-tu imaginer la? Agorazium est mon ami je le considère comme un frère. C'est juste que cette fois je veux absolument lui faire mes preuves.
L'arme du chevalier ne fit aucun commentaire et revint dans sa position d'origine. Le silence demeurait, encore, le chevalier fixait l'entrée de la vallée. Il s'était réfugié derrière un bouclier flamboyant qu'il avait créé grâce à la magie du feu
Il ne devrait plus tarder maintenant se dit-il