La bête de la montagne.

RP entre Mos Eisley et Keira Goro

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l'archiviste


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Cette aventure commença comme toute bonne aventure, par un évènement qui troublât la tranquillité d'un jour comme les autres, dans un petit village.

La réputation du grand chef cuisinier, Goron Gourmet n'est plus a faire parmi les siens, entre sa fricassé de rock à la Dodongo, ou encore sa salade de Choux péteurs que de délices pour le peuple de la montagne, mais le chef cuisinier sais bien qu'une bonne recette commence avant tout avec de bon ingrédients !

C'est pour cela qu'il prend le plus grand soin a trouvé et emmagasiné bon nombre de pierres de tout Hyrule dans la réserve de son restaurant, c'est ainsi que l'histoire peu commencé...

Alors qu'il se préparait pour un festin, le Goron Gourmet se rendit dans sa cave c'est là qu'il vît que celle ci venait d'être forcer avant d'être vider par une mystérieuse créature qui n'avait laissé dans son sillage que de lourdes traces de pas dans le sol et de petit gravions des pierres et rochers qui dormaient dans cette caverne.

Le chef dans une panique hurlât avant de se mettre en boule et de rouler et rouler encore dans le village, heurtant les murs de la caverne, bousculant les passants, le tout dans un flots de larmes.

Il fût maîtrisé par un petit groupe de Gorons qui venaient de formé un mur devant son passage.

Goron quelconque 1 - mais Goron Gourmet que t'arrive t'il pour rouler comme ça partout !?
Goron Gourmet - on m'a tout volé !!!!! je suis ruiner ! j'ai plus aucuns rochers ! il ne me reste même plus un seul cailloux !!!!

Les gorons se mirent tous a hurler, paniqué à l'idée de ne plus connaitre la saveur des plats de ce dernier, le bruit était si fort que la jeune Keira au sommeil habituellement si lourd se réveilla.

Keira - mais que ce passe t'il ici !?
Goron quelconque 2 - on vas tous mourir de faim !!!!!
Goron quelconque 3 - Goron Gourmet n'a plus de rochers !!!!
Keira - calmez vous bande de dégonfler !!!! vous êtes de fier gorons je vous signal !!!! imaginez si le grand Darunia était là et vous voyait entrain de pleurez comme des fillettes juste parce qu'une Cave de rochers a était vidé ! on vas pas mourir de faim on vas juste devoir allé chercher de nouveau rochers et pierres !

Une fois la foules calmer, la jeune goron se dirigea vers la cave a pierres qui venait de se faire vidé.

Pensés de Keira "c'est étrange... la porte a était arraché d'un coup, et les pierres qui remplissait la salle on toutes disparut... seul Bigoron aurait put vidé la cave a pierre aussi vite..."

Elle décidât de suivre les traces afin de savoir qu'elle étrange créature aurait put faire se carnage, et aussi pour évité que les nouvelles réserves soit une fois encore englouti par cette chose.
Après quelques minutes de marche la jeune enfant se trouvât à l'entrée de se que les Gorons nomment, les sombres versant de la montagne...
Elle vît un étrange homme aux long cheveux blanc semblable a un ermit sur le bord du chemin.

Keira - monsieur !? monsieur que faite vous ici !?


Amar Sundi


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[Arf, mile excuses pour le retard, déjà que je RP au rythme de Bamako mais là, j’ai déconné. Désolé !]


Alors que toute la matinée c’était vus embellie d’un soleil écarlate, de lourds nuages orageux venait troubler la douce quiétude du ciel. Mais tout cela n’inquiétait pas outre mesure Mos Eisley. Depuis peu, il recevait du courrier venant de sa famille ; chacune de ces lettres amenait un flot discontinu de malheurs en tous genres. Il venait d’apprendre au gré des lignes qu’il était arrière-grand-père, puis que Clémentine était morte qu’une pneumonie le mois suivant. Cette maudite pandémie semblait s’attaquer particulièrement à son sang car son fils était cloué au lit et les médecins, ces charlatans, lui prédisait qu’il ne passerait pas la saison des neiges. Faribole ! Mos fut souvent aux portes de la mort mais il finit par enterrer tous ces toubibs pour finalement ne plus aller les consulter.
Le chemin qu’empruntait le troubadour semblait être aussi sinueux que le fil de ses pensées. Tantôt grimpant à pic, tantôt plat sur de longues distances. Et le cœur du vieil homme commençait à chanceler sous l’effort que lui imposait la montée. Mos finit par trouver une pierre ou soulager ses membres fourbus. Dans son dos, il sentait son luth qui, de tout son poids, semblait le supplier de l’empoigné pour y déverser ses sombres pensées. Mais le vieil homme resta sourd à cette supplique.
Lentement, il se leva et d’un pas mal assuré, il continua son chemin, arpentant les rochers. Brutalement, il sentit la main froide de l’angoisse l’assaillir à la gorge. Il était totalement perdu sur un sentier de montagne. Autour de lui, le néant. Seul la rocaille qui mirait les rares rayons du soleil brisait le paysage morne. Il n’était jamais allé par ici, ce n’était pas un endroit où les touristes de son genre allait chercher beau paysage et inspiration. Même les Gorons semblaient éviter ce flanc du mont du Péril et pourtant, ils poussaient dans la montagne comme des fleurs de choux péteur.


Keira - monsieur !? Monsieur que faite vous ici !?


Un son, une voix, quelque chose venant casser sa solitude. Il s’agissait d’un Goron, il aurait dû le parier, et même d’une Goronne. Comme toutes les femmes de son espèce, elle était trapue et ses mains étaient plus grandes que le torse du troubadour. Bien que Mos était d’une nature espiègle, il soutenir une théorie qu’il mettait en relation l’agacement de quelqu’un qui pouvait le décapiter d’une claque et une mort très violente.


« Bien le bonjour madame, nous avons un temps fort changeant aujourd’hui, n’est-ce pas ? »


Il sourit d’un air assuré. Préférant aborder la Goronne par une voie des plus diplomatiques.


« Oh, benêt que je fais, j’oublie de me présenter. Je suis Mos Eisley, troubadour itinérant pour vour servir. Et pour répondre à votre question, je suis ici car les Déeses m’y ont amené pour une raison que je n’ai pas encore découverte. Ce rocher m’a l’air des plus hostiles et je n’ai vus aucun de vos congénères sur mon chemin. Et vous-même ? Avez-vous une raison d’escalader cette montagne ? »


Pour conclure sa phrase, il fit une légère courbette. Il ne fallait jamais offusquer un client potentiel. Mos Eisley jeta un coup d’œil vers la montagne, sombre et laide, ce n’était pas un lieu fort sympathique pour y prendre le thé.


l'archiviste


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Le vieil homme répondît d’un ton mélodieux et nonchalant à la jeune goron en plus d’une gestuelle fort travaillé, comme un noble où un poète le ferait.

Mos - Bien le bonjour madame, nous avons un temps fort changeant aujourd’hui, n’est-ce pas ? Dit-il avec un sourire assuré.

Keira – heu… je présume… qui êtes vous !? L’air circonspect.

Mos - Oh, benêt que je fais, j’oublie de me présenter. Je suis Mos Eisley, troubadour itinérant pour vour servir. Et pour répondre à votre question, je suis ici car les Déeses m’y ont amené pour une raison que je n’ai pas encore découverte. Ce rocher m’a l’air des plus hostiles et je n’ai vus aucun de vos congénères sur mon chemin. Et vous-même ? Avez-vous une raison d’escalader cette montagne ? Concluait il d’une courbette de révérence.

Keira – J’arpente le sombre versant du mont du péril pour retrouver qui a dérobé la réserve de rochers de mon village ! et c’est normal que vous n’avez pas croisez d’autres Goron car ils préfères évité ses lieux que l’on prétend… maudits !
La montagne éclairé par les première lueurs de l’aube naissante au allure majestueuse surplombant la grande plaine tel une reine veillant sur son royame, devint soudainement bien triste et peu accueillant à la vue des sentiers sinueux et boueux du versant qui s’offrait a nos deux comparses, les carcasses de sombre créatures jonchaient sur le sol, de petits éboulements était visible au loin, reflet d’une activité plus haut dans cette montagne, alors que le ciel assombrit par de lourd nuages noir, transformant le jour en nuit, peuplé par des Kor-Bec et autres rapaces survolent en rond au dessus de leur têtes comme des épées de Damoclès prêtent a tombé sur eux aux moindres faux pas.

Keira – Je dois continuez mon périple pour ma tribu ! Je vous souhaite bon courage pour votre voyage et j’espère que vous trouverez se que pourquoi les déesses vous guide ! dit elle avant de s’incliné a son tour comme l’homme l’avait fait précédemment.
La goron commença a marché en direction du lugubre décor laissant l’homme derrière elle, le sol sec craquelait sous les pieds de la jeune créature, qui frissonnait a cause de l’air qui se refroidissait a mesure qu’elle s’engouffrait dans l’obscurité du sentier.
Après quelques moments, elle fît une nouvelle rencontre mais des moins agréables cette fois ci, un petit groupe de Gobelins composé de deux petits et d’un gros, étaient entrain de dévoré la carcasse d’un araknon qu’ile venaient juste de cuire sur un petit feu de camp, mais à la vue appétissante du corps de la jeune Goron, les trois gobelins lâchèrent leur morceaux de viande, avant d’encerclé la pauvre créature. C’était la première fois que sont chemin croisait celui d’une créature maléfique, de plus elle en avait 3 devant elle, bien qu’elle sache se battre, ses jambes fût tétanisé face a ces 3 bêtes qui sautaient autour d’elle près a l’attaqué, les deux plus petits fût les premiers à lancé l’assauts, attrapant chacun un bras de la jeune femme.

Keira – lachez moi !!!!!!
Gros Gobelin – hum… regardait ‘il d’un œil lubrique la pauvre créature immobilisé.
Keira – gloups ! à l’aide !!!! cria t’elle tout en essayant de se libérée.
le gros gobelin était si proche de la goron que son souffle fétide fessait bougé les cheveux de la jeune créature, il commença a caressé le ventre de la pauvre fille en ce dirigeant vers sa poitrine, comme s’il s’agissait d’un précieux trésor qu’il allait s’empressé de récupéré, ses yeux remplit de convoitise reflétait autant son excitation que la boursouflure qui se dessinait sous son pagne de fourrure.


Amar Sundi


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[Lalalala, on à absolument pas vus que j'ai mis un mois a répondre xD Je suis désolé ! ]


L'âge avait fait de Mos Eisley quelqu'un de légèrement lent. Lui qui avait l'esprit vif c'était ramolli au point qu'il n'eus pas le temps d'arrêter la demoiselle quand elle tourna les talons pour disparaître dans un contrefort rocheux qui poussaient comme des champignons sur l'écorce d'un arbre. Frénétiquement, il ce gratta le menton sans avoir la réponse a ça question. Pourquoi partais t'elle à la recherche de rocher alors qu'elle ce trouvais sur une montagne? Et pourquoi ce versant était t'il maudit? Subitement, l'inconnue avait titillé son imagination et il étais maintenant partagé entre la curiosité et une peur qui empoignais son coeur dans un étaux. Ce curieux équilibre d'indécisions fus rompu par un crie qui transperça l'agonie du silence. N'écoutant que son courage, le vieillard dégaina son arme, une longue épée avec une poignée de cuir noir, et fila vers l'origine du hurlement.
Le vent s'engouffrait dans ses vêtements, ses pas slalomaient entre les rochers pointues qui formaient un mur épineux. Il s'arrêta pour reprendre son souffle. Haletant, il ce rendis compte qu'il c'était éloigné du cris et tourna les talons. Ses cheveux blancs prenant des allures d'allégorie des zéphyrs tant leurs raideurs pouvaient symboliser sa course. Soudain, il arriva devant une scène encore jamais vus : trois gobelins, visiblement fort affairés entouraient la Goronne. Il devais profiter de l'effet de surprise face a ce surnombre.
Hurlant gaiment le nom de feu sa femme pour ce donner du courage, il attaqua vaillamment ses adversaires. Les trois monstres ce retournaient et ce saisirent de leurs gourdins, Mos pris son élan, et s'étendis de toute sa grandeur dans un petit saut de biche, d'une tranche experte, il découpa le larynx. Laissant le gobelin étouffer dans son propre sang, il recula d'un pas pour éviter le gourdin d'un gobelin qui, visiblement, avait abusé du litron au vus du ventre que celui ci transportait. Sans arrêter son mouvement horizontale, Mos passa l'arme de la main droite a la gauche en cachant la poignée derrière lui ce qui lui permis de surprendre son assaillant et de le décapiter. Haletant, Mos laissa tomber la pointe de l'épée sur le sol pour soutenir le poids de ses années quand un violent coup de bâton vint s'écraser  sur son bras droit. Le choc le fit choir de son équilibre précaire et le troubadour vins trouver le sol comme le prédisais Isaac Newtons. Bien sur, le troisième gobelin, il était vivant comme une insulte a sa propre intelligence qu'il avait oublier. Il n'avais plus le choix si il réfutais l'idée de mourir tuer par le plus mauvais de ses adversaires. Il était arrivé jusqu'à la ce n'était pas pour finir en charpie autre pars que dans son propre lit. D'un mouvement leste, il jeta son arme au abords de la demoiselle. Juste avant que le gobelin ne lui porte un second coup sur l'omoplate, il dit, un léger sourire aux lèvres:


«Aller, défends toi»


l'archiviste


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Alors que le sang et les entrailles des assaillants giclaient de toute part et que l’homme à la chevelure blanche flottait dans le vent, une ombre semblait scruter nos deux comparses dans les hauteurs périeuses de la montagne.

Le survivant des gobelins jeta un ultime coup avec sa masse sur le bras de l’homme qui par miracle ne semblait nullement casser, mais ce dernier tombât au sol laissant glissé sa lame jusqu’aux pieds de la Goron ébahît par la beauté et rapidité de l’action de l’homme qui déclara ces quelques parole avant d’être la cible d’une nouvelle attaque du gobelin

Mos - Aller, défends toi
Keira se recrouvia en boule en quelques secondes avant de foncé sur la créature la projetant contre la falaise, évitant ainsi de justesse l’attaque qu’allait subir son compagnon.

Keira – vous allez bien monsieur Eisley !? la terre se mit a tremblé de manières inabituelles Qu’arrive t’il !? le mont du péril rentre t’il en éruption !?
alors que le sol frémissait au rythme d’un tambour funeste, l’horizon devin flou (comme quand on regarde en direction d’une flamme) les oiseaux se hâtaient a quitter la montagne, tout comme les autres créatures rampantes ou grimpantes, les skulltulas si effrayante d’habitude semblait d’avantage effrayer aujourd’hui par la chose qui approchait, le temps semblait se figer dans un moment de terreur infinie, la nature qui autrefois murmurais bien des chants s’interrompît, pour ne laisser que les fracas des pas de la bête.

Puis vint le silence… plus terrible que la mort ou que les murmures de n’importe quelle lame, la silhouette titanesque du monstre se dessinait de plus en plus a mesure que la pression augmentait, se guerrier de pierres et de laves en fusion, semblait percé la voute céleste, la grandeur de son être ne semblait n’avoir pour égal que la puissance de son charisme.

Le cœur vaillant de la jeune fille ainsi que sa fierté, lui ordonnait de foncé tête baisser sur la créature pour racheté son honneur bafoué par l’incident des gobelins, c’est ainsi que Keira se dressa face au monstre avant de foncer en boule sur lui tel un boulet de canon se heurtant à l’implacable montagne.

La créature ne frémit d’aucuns pas, elle baissa juste le regard de son œil jaune et malsain sur la pauvre petite créature qui venait elle-même de se mettre hors jeu, avant de dirigé vers le ciel un poing vengeur qui s’abaissât comme un verdict punissant sa faiblesse, avant de l’heurté comme un éclair !

Le sol a l’impacte se fissura, et libéra de multiple roches qui s’envolait vers le ciel comme si le monde venait de se retourné, avant de retombé lourdement sur le sol et la créature noir et écarlate.

Le corps de la jeune Goron était allongé inerte dans le sol qui prenait l’aspect d’une fosse commune qui n’attendait qu’a être remplit, tandis que le vielle homme restait tétanisé par se spectacle.

Dans l’esprit de Keira : « je ne peu point finir ainsi… après juste une bataille… après un seul coup… je ne me le permettrais pas ! »
dans une vision de toute élégance, alors que les lueurs du soleil se reflétait sur le corps de la créature enflammé, la jeune femme ensanglanté se relevât tel le phoenix bravant la mort, et déclara d’un ton ferme

Keira – Je suis Keira Goro ! et que les trois déesses m’en sois témoins ! si je doit périre aujourd’hui ça sera en t’emmènent avec moi ! vil créature, que les tambours frappent ! que les trompettes sonnent ! que le sang soit rouge ! pour mon peuple !!!!!!
La jeune femme fonçant sur le monstre, plia ses jambes et dans un effort incroyable sauta comme aucun autres Gorons ne l’avait fait auparavant levant un poing vengeur vers la bête, elle réussi a le touché en plein dans le visage, le fessant tressaillir et reculé d’un pas, lui perméttant de retombé a côté de lui avant de roulé jusqu'à Mos.

Keira – monsieur Eisley ! si votre lames est encore aiguisé pour un combat je serait honoré de partagé mon premier et dernier combat a vos côté !?
puis Keira  chargea vers le monstre qui se prépara au combat en criant

Keira – pour mes frères !!!!!!


Amar Sundi


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Mos Eisley ferma les yeux et attendis que le choc du gourdin explose son crâne en mille morceaux. Mais ce choc ne vint pas. Au bout d’un instant, il ouvrit les paupières pour voir que le monstre ce trouvais écrasé contre un rocher, propulsé par la goron qui avait parfaitement bien agis. Profitant d’un instant de repris, il ce dépoussiéra et alla ramasser son épée. Cette vieille arme rouillée lui était encore utile. Soudain, le sol trembla, faisant fléchir le troubadour qui ne put maintenir son équilibre. Lorsque la rage de la terre s’interrompu, le silence .Cette affreux silence pesant comme la lourde main de la justice divine. Tous les animaux qui habituellement piaillais c’était tu ou enfui. Face à eux, ce dressais une bête venu des profondeurs des entrailles du mont.
Mos jura. La fuite était impossible, vus la taille du monstre, il n’aurait aucun mal à les rattraper. A ses côté, Keira Goro semblais tout aussi perdu que lui. Elle comptait sur un plan sortant de sa cervelle expérimenté. Très vite, il ce mis à réfléchir mais rien ne venais ou permettais de sortir indemne de ce foutoir. Subitement, il vit sa partenaire foncer tel un boulet sur l’adversaire avant de se faire écrabouiller bêtement. Mos Eisley n’en revenait pas, ouvrant des yeux exorbités, il regardait la goron dans un cratère fumant. Il était malaisé de dézinguer un goron d’un mouvement et cette bête de feu semblait indestructible. Subitement, Keira ce releva et frappa de toute sa force le monstre au visage.
Subitement, Mos eu une idée. Laissant la sa partenaire, il ramassa un choux péter qu’il lança sur le monstre. Le contact entre la poudre et la lave produisit une très forte détonation qui arracha un cris au monstre.


« Keira ! C’est la clef ! Je vais en lancer deux et quand ça touche, frappez le, le plus fort possible ! On va s’en sortir ! »


Il sourit enfin, il avait trouvé comment s’en sortir en un seul morceau. Il arracha deux choux péter et ce mit en position attendant le signe de keira.


l'archiviste


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Les choux péteurs voltigeaient de toute part, se fracassant dans des explosions modérément puissantes qui dégageait tant de fumée qu’un léger brouillard apparut autour du monstre.
Le son de la voix vieillissante du sage stratège qui venait d’élaboré cette brillante contre attaque résonna parmi le brouhaha des explosions.

Mos Eisley - Keira ! C’est la clef ! Je vais en lancer deux et quand ça touche, frappez le, le plus fort possible ! On va s’en sortir !
Un rictus réconfortant se dessina sur le visage de l’homme, qui lança un chou péteur comme une boule de pétanque sur la créature, tandis que Keira roulait en boule vers le futur point d’impact.

Quelques secondes après la détonation, alors que la créature était déstabilisée la goron rentra littéralement dans la bête par son ventre avant d’en ressortir par son dos et de retombé sur le sol assez affaiblit par le combat, tandis que la bête de la montagne disparaissait en morceau dans la fumée des explosions…

Keira – on a réussi… merci Mos…
Keira tombât au sol, avant de fermé les yeux comme si son âme s’en était aller… mais cela n’était vrai, elle était juste exténué par sa première grande bataille et elle venait de s’endormir sur le dos face à la splendeur de la voûte du ciel.

FIN