Posté le 27/06/2007 16:42
"Il aime en faire du bruit lui..."
Dun avait regardé Lliude sortir 'magistralement' de l'auberge, semblant être content de lui. Pourtant, le jeune homme se fichait de savoir s'il allait s'en sortir ou pas... En effet, nonchalamment, il plongea la main dans sa poche, et en sortit un rubis violet: Après tout, voler un voleur n'était pas un crime n'est-ce pas? Autour de lui, les hommes se battaient, et le jeune homme soupira: Savaient-ils seulement ce qu'était vraiment un poison? Commençant à se demander si toute Hyrule était prêt à réellement écouter un inconnu suspecté de vol, le jeune homme s'apprêtait à sortir à son tour pour rentrer chez lui lorsque...
Garde: "Que se passe-t-il ici?!"
Homme se battant: "22, v'là les flics... les gardes j'veux dire!"
*De quoi?*
Mais, à peine Dun eut-il le temps de se retourner que déjà les gardes se positionnaient devant l'auberge. Celui qui avait prit la parole était apparemment le capitaine, qui semblait apparemment énervé. Sans doute trouvait-il que le village Cocorico n'était plus aussi cocoricant qu'avant, et que son calme avait disparu.
C'est pourquoi, lorsque ce dernier aperçu Dun, il le foudroya littéralement du regard, en omettant tout ceux qui se battaient : C’était le premier vu qui allait être prit en exemple. Et c’est pourquoi le capitaine ordonna à ses hommes d’encercler le mercenaire, qui avait encore le reste de bourse dans ses mains.
Capitaine : "Oh ho ? Est-ce la votre bourse ? A en juger par vos haillons, je présume que vous vouliez profiter de la bagarre pour essayer de commettre vos rapines !"
Dun : "Comment ça ? Vous ne pouvez pas ouvrir vos yeux ?! Mais regardez… !"
Il ne pu malheureusement pas terminer sa phrase, car l’un des gardes avait menacé sa gorge avec sa lance. Sans doute n’acceptait-on pas ici que l’on manque de respect à un supérieur. Hin, ici, la pendaison primait donc, et l’on posait les questions ensuite. S’apercevant de cela, Dun voulu se révolter, mais se vit mettre des menottes avant même de pouvoir riposter. Dans un sens, il avait contribué à la bagarre, ainsi que Lliude, et c’est pourquoi il se laissa faire calmement.
Néanmoins, lorsque le chariot des gardes emporta Dun emprisonné, celui-ci vit à travers les barreaux les Guildiens du Phoenix qui s’en allaient vers la plaine, et il ne pu s’empêcher de crier avant de disparaître au loin.
« BANDE de LÂÂÂcheeeees …… »