Hyrule's Journey

Le soleil venait de se lever. Les stands débordant d'aliments ou d'objets divers envahissait la place du marché. Marchands d'armes, de vivres ou tout simplement d'objets insolites, on pouvait trouver tout et nimporte quoi ici...
Lliude sillonait la place en quête d'armes. Il y avait un monde fou... Et l'hylien se perdait facilement.
Malgré les gardes qui surveillait le marché, il avait un mauvais présentiment... Puis il percuta une personne dans la foule. Le choc le fit tomber à terre et sa tête heurta une dalle de l'allée, ce qui l'assoma... Quelque instant plus tard, il ouvrit les yeux. Il voyait trouble, mais peu de temps après, sa vue redevint normale. La personne qu'il avait heurté lui tendait la main.

"Vous allez bien?" demandait l'inconnu.
"Je pense... C'est pas une petite chute qui va me tuer..."

L'hylien avait quand même un léger mal de crâne. Il saisit la main de son interlocuteur et se releva.

"Je m'appelle Lliude et vous?"

*Mieux vaut sympathiser avec cette personne... Elle pourra me servir de guide... *

L'inconnu se présenta;
"Appelles-moi, Blizzard"

Il se retourne, regarde par dessus son épaule... Et rit...
Puis il s'en va...

Lliude allait parler mais les mots ne sortirent pas de sa bouche. Cela ne servait a rien de l'appeller...
Sur ce, il se remit a observer les étalages quand quelque chose attira son attention. Une magnifique épée longue était sur le stand d'un marchand d'arme. Elle ressemblait étonnament à la sienne.

C'est sûrement une copie... Je détiens l'originale...

Il s'approcha du vendeur et s'écria:

"Pouvez-vous me dire a qui appartenait cette épée?
-Elle provient d'un village appelé Vilem, dans la région de Cyrodil. Elle appartenait au chef de ce village.
-Et pouvez vous me dire d'ou provient celle-ci?"

L'hylien dégaina son arme et la montra au marchand.

"Mais c'est... Ce n'est pas possible! Une seule personne détient cette épée et elle...
-Elle quoi?
-C'est un assassin! Vous êtes Lliude! Vous êtes l'homme qui a tué le chef de Vilem et qui a volé son épée!
-Mais c'est faux! Je ne suis pas un...
-Vous avez enlevé la fille du chef! Gardes! Aidez-moi!

De rage, il frappa le marchand, lui cassant le nez. Puis il courrut le plus vite possible, cherchant à semer les gardes qui le traquait. Quand il se réfugia dans une ruelle sombre, il sentit une présence dans les parrage, comme s'il était surveillé. Lliude dégaina son épée et déclara:

"Montrez-vous ou vous allez le regretter!"

[HRP/Je m'invite dans ce topic, j'espère que ca ne pose pas de problème ^^]

Arrivé sur Hyrule depuis peu, Nasimka entreprit de visiter la ville afin de se faire une idée de ce qui l'y attendrait. Ne souhaitant cependant pas fréquenter les habitants, il se faufila jusqu'à la place du marché en empruntant de petites ruelles désertes et sombres. Jusqu'ici, tout s'était bien déroulé et personne n'avait fait encore attention à lui. D'ailleurs, qui aurait envie d'interpeller un "homme" aussi intriguant que lui?... Pourtant, le stalfos entendit soudain une personne semblant s'adresser à lui.
Se tournant lentement, Nasimka dévisagea l'individu avant de lançer de sa voix grinçante.

"Est-ce à moi que tu t'adresses, homme?..."

D'un coup d'oeil, Nasimka remarqua l'épée que possédait Lliude, un fort bel ouvrage, ce qui laissait supposer que l'homme était un guerrier. Néanmoins, il paraissait aussi sur le qui-vive et cela, le stalfos l'avait de suite détecté à sa voix. Il espérait qu'être tombé sur cet individu n'allait pas "tout de suite" lui causer des ennuis. Il était seul pour le moment et se faire l'ennemi de soldats d'Hyrule n'était pour le moment pas très raisonnable.

*Contentons-nous d'observer pour le moment et je verrai bien où cela me mènera...*

Dun était sortit du château, en n’informant que le nombre minimum de personnes, car il voulait se sentir à l’aise pour aller où il le désirait. A vrai dire, on était aujourd’hui le jour de marché, et le jeune homme savait que c’était l’occasion de trouver des objets rares. Par ailleurs, une de ses dernières acquisitions ne l’avait pas vraiment satisfait, et le Chancelier comptait bien se faire rembourser l’arnaque dont il avait été victime. Plongeant sa main sous sa cape, il en ressortit une dague qui avait la lame brisée : Celle-ci s’était en effet cassée dès sa première utilisation.
Toutefois, alors qu’il arrivait près de la place du marché, le jeune home vit qu’il y avait du grabuge : Que se passait-il donc ? Un marchand poussait en effet des cris, et proférait qu’un homme était un assassin ; cela eut pour effet d’ameuter des gardes, et Dun ne vit qu’une silhouette s’enfuir, lui tournant donc le dos.

Marchand : « C’était lui ! C’était Lliude, un assassin venant du village Vilem ! Vous devez l’arrêter ! »

Lliude ? N’était-ce point là le nom du jeune homme qui avait aidé Dun et Zelda dans le cimetière du village Cocorico ? Il se souvint en effet que la silhouette qu’il avait vu s’enfuir ressemblait étrangement à ce dernier. Alors comme ça, il était un assassin ? Le jeune homme fit un rictus en apprenant cette nouvelle, peut-être que les personnes qui se ressemblaient se rencontraient plus facilement, après tout ?

Dun : « Gardes, ne poursuivez pas cet homme, je vais me charger moi-même de voir de quoi il en retourne. »
Marchand : « Mais… Comment pouvez-vous, qui êtes.. ? »
Dun : « Je suis l’un de vos clients, et je souhaiterais me faire rembourser, cette lame que j’ai acheté chez vous était de piètre qualité. Par ailleurs messieurs les Gardes, je vous serais gré d’inspecter la marchandise de cet homme.

Il n’y avait qu’un homme assez fou sur cette Terre pour faire passer une victime comme étant un coupable, et c’était Dun. Le marchand avait reçu un coup de poing, mais après tout il s’en fichait, ça lui apprendrait à vendre de la marchandise obsolète. Même si le peuple n’était pas au courant, les Gardes Royaux comprirent que c’était désormais un supérieur qui leur avait donné des ordres, et ils s’exécutèrent sans ciller. Le jeune homme n’aimait pas utiliser son rang, mais il devait avouer que parfois, ce dernier avait du bon à être usité.

Après quelques minutes passées à déambuler dans les ruelles du Bourg, Dun arriva près d’allées sombres, et entendit alors des voix. L’une était celle de Lliude, comme il l’avait deviné, mais l’autre… ?

« Lliude ? Il y a quelqu’un avec vous ? Les Gardes ne viennent pas par ici, nul besoin de fuir en tout cas. »

[HRP: Me too, mon RP est gelé jusqu'à ce que l'autre revienne XD]

"Est-ce à moi que tu t'adresses, homme?..."

Lliude n'aimait pas le ton de l'inconnu, ainsi que la tournure de sa phrase. Comme s'il prenait l'hylien pour un moins que rien... Il allait répondre a son interlocuteur quand une voix s'éleva dans son dos.

" Lliude ? Il y a quelqu’un avec vous ? Les Gardes ne viennent pas par ici, nul besoin de fuir en tout cas. "

Il se retourna brusquement, l'épée à la main, et voyant qu'il s'agissait de Dun, il rengaina son arme.

"Je suis avec cette... Personne..."

Il désigna du doigt le stalfos en y prêtant vaguement attention.

"Je parie que tu as rencontré un marchand venant de Cyrodil, ma terre natale... Quelqu'un as dû se plaindre de sa marchandise, vu ce qui est arrivé à son nez..." dit-il avec un ton ironique.

[Arf, j'avais dit que je répondrait, mais j'ai pas eu le temps et on m'a dépassé ! Tant pis, c'est pas plus mal... XD]

Robin était encore dans les rues du marché à essayer de vendre plens de choses inutiles au gens, ou des choses utiles, ça dépend des gens; s'il voit qu'ils ont l'air niait, il leur vend de la camelotte; Robin était comme ça, il aimait arnaquer les gens...
Bref, il se baladait dans les rues du merché aussi dans le but d'acheter des trucs, lorsqu'il vu que dans une petite ruelle se passait des choses pas très nettes. Il fit marche arrière afin de se cacher derrière l'angle du mur pour observer. Il vit deux personnes encapuchonnée, puis arrivée une troisième, mieux habillée cette fois-ci, qui visiblement ne l'avait pas vu.

" Lliude ? Il y a quelqu’un avec vous ? Les Gardes ne viennent pas par ici, nul besoin de fuir en tout cas. "

La personne qui venait d'arriver venait de parler, connaissant visiblement la personne encapuchonnée la plus proche s'appellant apperement Lliude.

Celle-ci répondit en montrant l'autre personne encapuchonnée.

"Je suis avec cette... Personne..."

Effectivement, l'autre personne, sous sa capuche, n'avait pas l'air normale. Le peu de traits que l'on voyait avaient l'air malformés. Peut-être s'était-il brûlé, ou quelque chose dans le genre...

"Je parie que tu as rencontré un marchand venant de Cyrodil, ma terre natale... Quelqu'un as dû se plaindre de sa marchandise, vu ce qui est arrivé à son nez..."

Ah ? Le fameux "Lliude" vient de Cyrodil. Ca disait quelque chose à Robin, mais il ne savait plus. Il faudrait qu'il réfléchisse...
Robin ne savait pas s'il fallait qu'il se montre ou pas. Il décida de rester caché, même si sa position en pleine rue n'était pas très discrète. il resta daonc derrière l'angle du mur, mais pas trop...

Dun attendit que Lliude réponde lui-même plutôt que d’essayer de s’immiscer dans la conversation. Mais lorsque le jeune homme lui montra du doigt la silhouette encapuchonnée, Dun pu s’avancer pour fixer celle-ci. Un frisson lui parcoura le bas du dos quand il essaya de voir dans le noir de sa capuche, mais il fut ramené à la réalité par Lliude. Après tout, ce n’était pas comme s’il était dangereux de parler en présence d’un autre homme. C’est pourquoi, après avoir entendu la version de son compagnon d’une aventure, Dun répondit :

« Oui oui, moi-même je n’ai pas été satisfait de ses artefacts, et de toute façon il aura tellement de problème désormais qu’il devrait bien vite oublier ce coup de poing donné par un inconnu. »

Si Dun avait eu la gentillesse de « se tromper », c’était parce qu’il ne voulait pas avoir de dette envers le jeune homme et ce qu’il avait fait pour lui la dernière fois. Pourtant, l’espace d’un instant, il cru voir une ombre bouger dans un coin. Néanmoins, croyant que c’était un simple chat, le Chancelier ne chercha pas à en savoir plus. Si seulement il se doutait qu’un Zora écoutait ce qu’ils disaient ! Mais pour quelle raison ?
Toujours est-il que Dun finit par parler de l’homme en noir à Lliude, sans le cacher, tout le monde pouvait donc aisément l’entendre.

« Et que faites-vous donc ici ? A voir l’atmosphère qui se dégage, je ne crois pas que ça soit pour boire un verre entre amis ? »

Liko aimais ètre sur les maison et voire les gens de haut.
Lliude lui avais fais étais partit de cocorico très rapidement et ne lui avais pas dit qui étais l'homme qu'il combatais a la plaine,et baf un autre capuchon a croire qu'il les atire !

pluis il regada les gens autour il y avais dun quand on regade les jardin de chateaux un pouvais le voire ronfler et .... le p'tit zora qui ma vendu un harico si magique mais qui na jamais vus la montre trace de magie.

erf mais tu peu pas aller dans une ville sans te faire attaquer !

et il sauta au sol

Nasimka n'aimait pas beaucoup le déroulement des évènements. Lui qui prévilégiait toujours la discretion, il y avait là trop de personnes présentes à son goût. En effet, peu de temps après avoir questionné l'individu du nom de Lliude, une de ses connaissances fit son apparition dans la ruelle. Par la suite, les deux se mirent à discuter d'un marchand qui aurait des produits soupçonneux... Enfin, une histoire qui n'intéressait nullement le Stalfos.
Par ailleurs, Nasimka put apercevoir du coin de l'oeil l'ombre d'un individu au coin de la rue qui semblait les épier. Pensant alors qu'il devait attirer un peu trop l'attention, le guerrier squelette s'appréta à disparaitre lorsque le dénommé Dun s'adressa à lui par l'intérmédiaire de Lliude.

[Dun] « Et que faites-vous donc ici ? A voir l’atmosphère qui se dégage, je ne crois pas que ça soit pour boire un verre entre amis ? »

Sentant que l'homme pouvait avoir une quelconque influence dans la cité compte tenu de son accoutrement, Nasimka se décida à entrer en scène afin d'essayer d'en apprendre plus sur l'endroit où il venait d'attérir. Ainsi, d'une voix toujours autant désarticulée, il s'efforça de prendre la parole.

"Je ne suis qu'un voyageur... Je n'ai aucun but spécial... Et cette cité me semble... tout à fait charmante. Par quel miracle a t-elle échappée... à la guerre?"

Dun commençait à se demander pourquoi est-ce que les ruelles désertes devenaient maintenant la scène d’un spectacle surpeuplée, mais le jeune homme ne préférait rien faire. Après tout, il ne savait rien de celui qui venait de lui poser une question, à son tour. Apparemment c’était un voyageur qui ne faisait qu’une halte dans cette cité. Toutefois, la suite de son discours fut bien plus surprenante, comme s’il aimait la guerre, ou aimait tout du moins y participer.
Dun réfléchit alors quelques secondes, car lui-même ne s’était jamais posé la question. Il se fichait de ce royaume dans un certain sens, alors la guerre et lui… Toutefois, quelques paroles abordées au cours des réunions lui revinrent à l’esprit.

« Il n’échappe en rien à la guerre, les habitants de ce pays sont tout aussi fous que les autres. Toutefois, avant d’exploser, il est normal que les hommes fassent semblant de ne rien voir pour se rassurer. Des tensions règnent entre les Seigneurs. »

Il parlait de Ganondorf et de la Famille Royale. Toutefois, Dun n’aimait pas cette idée d’un conflit n’opposant que deux partis. Cela faisait trop un archétype du Bien contre le Mal, et ces notions, il ne les comprenaient pas. Parfois, le Chancelier en venait à espérer qu’un troisième groupe naîtrait pour prendre par surprise les deux premiers, et mettre fin à cette guerre avant même qu’elle ne débute.

« Vous parlez à la façon d’une personne sortant elle-même d’une guerre ? Si c’est le cas, vous voudriez que ces personnes en subissent une ? »

Dun avait posé cette question si simplement, comme s’ils parlaient de choses comme l’explosion des choux-petteurs. Mais en fait, une seul interrogation brûlait sa gorge: « Cherchez-vous une havre de paix, ou un nouveau champ de bataille ? ».

Liko refusais d'amèdre qu la guerre étais la : il se refusais a tuer des gens de sont age pour flater l'égo démesuré de gens très haut placer ! sela le redantais malade .
la guerre es un fléaux tous comme l'épidémi de colique qui sais abatu sur la ville.se pour sela que tu es venu ici pour te batre?

la guerre es passer et elle repassera,ses chose la se font rapidement trop rapidement trop de gens meurt et leur cadavre sont laisser sur place et rende malade les survivant de la peste ou autre.

rien que de pensser que la geuerre allais ariver il déprimais.

Lliude s'était tut. De nouvelles personnes apparaissaient, tous parlaient...

"Je ne suis qu'un voyageur... Je n'ai aucun but spécial... Et cette cité me semble... tout à fait charmante. Par quel miracle a t-elle échappée... à la guerre?
-Il n’échappe en rien à la guerre, les habitants de ce pays sont tout aussi fous que les autres. Toutefois, avant d’exploser, il est normal que les hommes fassent semblant de ne rien voir pour se rassurer. Des tensions règnent entre les Seigneurs. Vous parlez à la façon d’une personne sortant elle-même d’une guerre ? Si c’est le cas, vous voudriez que ces personnes en subissent une ?
-La guerre est passée et elle repassera... Ses choses là se font rapidement, trop rapidement. Trop de gens meurent, et leur cadavres sont laissé sur place et rendent malades les survivants de la peste ou autre..."

Un silence pesant s'installa. Lliude le brisa en déclarant:

"Pour un voyageur, je vous trouve louche... Vous avez la même tunique que moi, signe que vous cherchez à être discret, à ne pas vous faire voir. Un voyageur qui erre sans but ne pose pas de question comme "Par quel miracle cette cité tient encore debout? Pourquoi n'as t-elle pas été ravagé par la guerre?". Vous devez savoir certaines choses sur ce pays. Vous êtes prudent et réfléchit, et vous n'aimez pas ce genre de situation avec beaucoup de monde... Sauf si vous pouvez en tirer quelque chose. Sinon vous seriez déjà parti..."

L'hylien marqua une pause suivit d'un sourire en coin. Puis il continua de parler.

"Vous vérifiez chaque phrase qui sort de votre bouche. Vous savez d'avance la réaction de vos interlocuteurs...
Mais ce qui m'intrigue le plus, c'est vos intentions... Sont-elles bonnes ou mauvaises?"

Il voulait mettre mal à l'aise Nasimka. Il voulait "jouer" avec lui. En savoir plus... Puis le sourire en coin laissa place à un sourire malsain.

"C'est marrant... Y'en a qui disent que les personnes qui se ressemblent se rencontrent plus facilement... En voici un parfait exemple..."

-Oui oui, moi-même je n’ai pas été satisfait de ses artefacts, et de toute façon il aura tellement de problème désormais qu’il devrait bien vite oublier ce coup de poing donné par un inconnu. »

La personne la mieux habillée venait de répondre au dénommé Lliude. Apparement le marchand dont ils parlaient aimait lui aussi arnaquer. Mais peut-être n'était-ce pas sa faute. Peut-être une arreur de livraison, qui sait ? Mais bon, peu importe...

-Et que faites-vous donc ici ? A voir l’atmosphère qui se dégage, je ne crois pas que ça soit pour boire un verre entre amis ? »

Il avait encore parlé. Et il avait raison ! Cela n'avait pas l'air d'une petite réunion familiale. On dirait plutôt un règlement de comptes. Mais, visibement, ils ne se connaissaient pas. Du moins l'être encapuchonné par rapport au deux autres...
Puis une voix se fit entendre...

-Erf ! Mais tu peu pas aller dans une ville sans te faire attaquer !

...et une silhouette descendit du toit de la maison derrière laquelle Robin était adossé.
Visiblement pas grand monde n'y prêta attention, la conversation était tellement tendue que les personnes n'osaient presque rien dire. Il était même possible qu'il n'aient pas remarqué le nouvel arrivant.
Robin cru reconnaitre l'hylien qui venat de descendre. Il pensait lui avoir déja vendu quelque chose dans les rue de la ville, mais il n'atait plus sûr. Ca ne remontait pas à hier !

-Je ne suis qu'un voyageur... Je n'ai aucun but spécial... Et cette cité me semble... tout à fait charmante. Par quel miracle a t-elle échappée... à la guerre?

L'être encapuchonné venait de parler d'une voix saccadée, semblant faire un effort surhumain pour parler. Mais, peut-être était-ce de la comédie. en effet, la voix ne semblait pas assez naturelle. Mais cela laissait quand même le bénéfice du doute.
Pourquoi parlait-il de la guerre ? Robin n'aimait pas la guerre, ce n'était vraiment pas très bon pour le commerce. Les affaires se font toujours rares en temps de guerre. Bref, rien de bon...
Cependant, il est vrai que ses temps-ci le bruit du retour de Ganon court, mais la Princesse avait tout fait pour étouffer cette rumeur... Robin le savait car il avait un ami garde qui était toujours au courant des réunions du château : il gardait la porte.
Néanmoins, une petite guerre discrète a quand même lieux dans Hyrule : Certains monstres se font plus nombreux, les combats areil, quelques attentats commis par des Sheikas se font parfois, quelques embuscades aussi... Toutes sortes de choses discrètes dont les journaux ne parlaient pas...
Une guerre se préparait-elle ?
Robin suivait toujours la conversation.

-Il n’échappe en rien à la guerre, les habitants de ce pays sont tout aussi fous que les autres. Toutefois, avant d’exploser, il est normal que les hommes fassent semblant de ne rien voir pour se rassurer. Des tensions règnent entre les Seigneurs.
-Vous parlez à la façon d’une personne sortant elle-même d’une guerre ? Si c’est le cas, vous voudriez que ces personnes en subissent une ?

L'homme bien habillé confirmait les pensées de Robin : "Des tensions règnent entre les Seigneurs.", c'est ce que lui avait raconté son ami garde. Mais la personne encapuchonnée voulait-elle la guerre, comme le suggérait l'autre homme ? Robin espérait que non...

-La guerre est passée et elle repassera, ces chose-là se font rapidement. Trop rapidement. Trop de gens meurent. Leurs cadavres sont laissés sur place et rendent malade les survivant de la peste ou autre.

La personne qui avait sauté du toit n'avait pas tort, mais ce n'était pas la situation actuelle... heureusement.

-Pour un voyageur, je vous trouve louche... Vous avez la même tunique que moi, signe que vous cherchez à être discret, à ne pas vous faire voir. Un voyageur qui erre sans but ne pose pas de question comme "Par quel miracle cette cité tient encore debout? Pourquoi n'as t-elle pas été ravagé par la guerre?". Vous devez savoir certaines choses sur ce pays. Vous êtes prudent et réfléchit, et vous n'aimez pas ce genre de situation avec beaucoup de monde... Sauf si vous pouvez en tirer quelque chose. Sinon vous seriez déjà parti...
-Vous vérifiez chaque phrase qui sort de votre bouche. Vous savez d'avance la réaction de vos interlocuteurs... Mais ce qui m'intrigue le plus, c'est vos intentions... Sont-elles bonnes ou mauvaises?

Hmm... ce Lliude était impressionnant ! Il jouait avec ce monsieur, comme si c'était une poupée, devinant chaque trait de ses paroles. Il les analysait et les lisait comme dans un livre... Mais il avait peut-être tort sur un point : Un manteau noir à capuche n'est pas la tenue la plus discrète lorsqu'on est en plein jour de marché, à 2 heures de l'après-midi, par plein soleil. Cette tenue était plus résevée pour la discretion de nuit. Heureusement, ils étaient dans l'ombre, ce qui rendait leur camouflage un poil plus performant.

-C'est marrant... Y'en a qui disent que les personnes qui se ressemblent se rencontrent plus facilement... En voici un parfait exemple...

peut-être était-ce pourquoi Robin était tombé là... Mais peut-être pas...

Robin épiait toujours, mais il avait opté pour une position plus discrète, de manière à ce qu'il se fasse moins remarquer des passant. Il s'apuyait d'un pied sur le mur, fesant mine de ragarder ses ongles en attendant quelqu'un... Néanmoins, il écoutait toujours les paroles qui se fesaient dans cette petite ruelle à l'ombre... Les passant, quand à eux, regrdait en passant ce qu'il se passait, mais n'y prêtaient pas vraiment attention, bizarrement... Peut-être avaient-ils l'habitude... ou peut-être pas.
Robin s'interrogeait. Comment tout cea allait-il se terminer ? Si cela tournerait mal, il interviendrait grâce à ses quelques qualités de commerçant. Peut-être tout cela pourra bien se terminer. Mais s'il fallait intervenir, Robin devrait peut-être choisir un camp. Peut-être choisira-t-il les plus nombreux. Il n'était pas tellement lâche, mais quand même...


[Oufti... je crois bien que c'est mon plus long post...]
[édit : Et en plus mon 100ème messages ! Ouaiiis !!

-C'est marrant... Y'en a qui disent que les personnes qui se ressemblent se rencontrent plus facilement... En voici un parfait exemple...

Une sihouette s'eleva sur un toit. Ses vêtements noirs contrastaient avec les rayons de l'astre de lumière. Son ombre s'étendaient jusqu'au milieu de la rue. Sa chevelure brune volait au vent et ses vétements amples lui donnaient un air inquiétant. Il tourna les yeux vers le voyageur inconnu.

-La guerre aide les hommes à apprendre de leur erreurs. La race humaine comporte trop d'erreur et c'est pour celà que les guerres se répètent! Et personnelement je n'ais rien contre la guerre. Elle nourri les animaux, elle améliore l'espèce humaine, elle fournie du travail aux soldats, et des âmes au dieu de la mort!

Le blasphème était flagrant. Plusieurs passant jetèrent des regards noirs vers l'infidèle. Les gens passaient plus vite dans la rue.

-Comme il est simple de faire monter la colère ici. Hyrule est vraiment unique en ce sens!

Comme Nasimka l'avait imaginé, sa dernière réplique avait eut pour effet -outre le fait de lui apporter des informations essentielles- de faire réagir les principaux protagonistes de manière plus ou moins virulente. A vrai dire, ce fut Dun le plus posé face à la provocation lançée par le Stalfos. Il fit part du fait qu'il existait bien des tensions au sein du royaume et que la paix pouvait apparaitre bien plus fragile qu'il n'y paraissait. Par la suite, la dernière question émise par Dun laissa Nasimka de marbre. En effet, il ne souhaitait pas encore se révéler au grand jour, quoiqu'il y serait peut-être obligé si la conversation actuelle gardait cette tournure...

*Ce Dun semble bien informé... Il serait intéressant de connaitre sa véritable nature au sein de cette cité.*

Le silence qui s'installa ensuite fut rapidement brisé par Lliude. Et Nasimka n'allait pas être déçu par son intervention. L'homme s'avéra en effet d'une perspicacité étonnante ce qui ne suffit cependant pas pour briser la quiétude de notre guerrier squelette.

"Votre esprit est vif mon garçon... C'est là la qualité d'un meneur ou d'un brillant tacticien... J'admire ce genre de choses, aussi vais-je vous répondre.
Tout d'abord, sachez que cette tunique m'est nécessaire sous peine de... choquer les gens..., en plus il est vrai d'une relative discretion.
Il est également vrai que je cherche à en savoir plus sur votre beau pays... Je le trouve tout simplement... parfait! Nyarknyarknyark!..."

*Parfait pour ma rédemption!...*

Encore une fois, ce discours restait bien implicite et Nasimka se doutait que ca allait finir par lasser ses interlocuteurs. Mais cette approche servait à jauger la personnalité de chacun et le moins que l'on puisse dire, c'est que ces hommes n'avaient pas froids aux yeux... Etait-ce là une des raisons pour lesquelles Hyrule demeurait encore aujourd'hui insoumise malgré le mal qui sévissait sur les contrées voisines? Si tel était le cas, le challenge n'en serait que plus palpitant...

Par ailleurs, alors que Nasimka s'apprétait enfin à dévoiler à Lliude une partie de ses intentions, une voix venue du toit au dessus de leurs têtes s'éleva soudain.

[Zangetsu] "La guerre aide les hommes à apprendre de leur erreurs. La race humaine comporte trop d'erreur et c'est pour celà que les guerres se répètent! Et personnelement je n'ais rien contre la guerre. Elle nourri les animaux, elle améliore l'espèce humaine, elle fournie du travail aux soldats, et des âmes au dieu de la mort!"

Ricanant face à pareilles provocations, Nasimka leva la tête et ses orbites vides vers Zangetsu, dévoilant par la même occasion son visage..., ou plûtot son crâne! A présent, tous savaient à qui ils avaient affaire. A cette idée, le stalfos s'esclaffa de plus belle!

"En effet, la guerre est tout un art! C'est par le sang que se purifie un peuple! La populace se doit d'être asservie! Tel est la devise du Stalfos! Nyarknyarknyark!"

Liko commencais a se sentise mal vus que zan se trouvais dans les barage sela sinifiais jamais rien de bon. de plus capuchon n°2 étais ausi bizzare que l'oiseaux qui étais sur le toit.

je croi que tu devrais et prensenté ! je te trouve bien arogant pour un voyageur montre nous ta tête pour voire .... hep toi le zora caché bouge pas je vien et tuer juste après !

Nasimka allait répondre a Lliude quand Zangetsu apparût.

"La guerre aide les hommes à apprendre de leur erreurs. La race humaine comporte trop d'erreur et c'est pour celà que les guerres se répètent! Et personnelement je n'ais rien contre la guerre. Elle nourri les animaux, elle améliore l'espèce humaine, elle fournie du travail aux soldats, et des âmes au dieu de la mort!
-En effet, la guerre est tout un art! C'est par le sang que se purifie un peuple! La populace se doit d'être asservie! Tel est la devise du Stalfos! Nyarknyarknyark!"

Nasimka était un stalfos... Ces éternels serviteurs de Ganondorf... Le jeune hylien avait lu quelque chose à la bibliothèque sur cette race squelettique.


*Ca commence a devenir interressant...*

Liko, qui commençait à se sentir mal, s'exclama:

-Je crois que tu devrais te présenter! Je te trouve bien arrogant pour un voyageur; montre nous ta tête pour voir .... Hep, toi, le zora caché, bouge pas je viens te tuer juste après!

*Il cherche à nous user...*

Lliude n'était pas tendu, mais il faisait attention a ce qui se passait autours de lui... Simple précaution. Mais il était surtout en train d'analyser la situation. Le stalfos n'avait pas marché a sa tentative d'intimidation...

*Tentons la provocation...*

"De toutes les façons, si une guerre éclate entre Hyrule et Ganondorf, les hyliens piétinerons les disciples du malin avec une facilité déconcertante... Et leur ossements s'éparpilleront sur la plaine..." déclara Lliude.

Puis il se mit a rire.

"Serieusement, ces gueux ont-ils une infime chance de nous battre? Impossible..."

Lliude n'aimait pas ce genre de provocation. Trop simpliste, pas assez forte a son goût. C'est pourquoi il en rajouta une couche.

"Et puis Ganondorf... Quel homme cruel! Faire croire à ses disciples qu'ils peuvent renverser le pouvoir... Leur donner des espoirs illusoires... Quel idiot surtout..."

L'hylien simulait une sorte de fou-rire nerveux. Peu lui importait que sa provocation ai marchée ou non. Seule la réaction du stalfos comptait pour lui.

"De toutes les façons, si une guerre éclate entre Hyrule et Ganondorf, les hyliens piétinerons les disciples du malin avec une facilité déconcertante... Et leur ossements s'éparpilleront sur la plaine..." déclara Lliude.
"Serieusement, ces gueux ont-ils une infime chance de nous battre? Impossible..."
"Et puis Ganondorf... Quel homme cruel! Faire croire à ses disciples qu'ils peuvent renverser le pouvoir... Leur donner des espoirs illusoires... Quel idiot surtout..."

Il avait du répondant et il était dans le vrai. Zangetsu commençait à vraiment l'apprécier. Il sauta et atterit à côté du stalfos. Lui souriant à pleine dent, il souleva sa manche et dévoila un objet maudit, un brassard de damné.

"Et voilà ce qui t'attend! tu dis que tu suivra Ganondorf mais lui ne t'attendra pas si tu tombes! Un jour, tu en auras assez et tu voudra partir! A ce moment là, il te jetera plus profond encore! Et tu devras avoir de véritables liens d'amitié pour t'en sortir, je peux te l'assurer!

Il s'éloigna. Selon ses connaissances, les stalfos étaient soit des créatures très maîtres de soi, soit des "sans chauds" comme on appelait les personnes très susceptibles dans le royaume nécromanth.

« … Encore faudrait-il qu’il soit un des serviteurs de Ganondorf ? »

La voix s’était faite entendre de derrière Lliude et Zangetsu, et elle venait de Dun. Ce dernier avait un air grave, et l’impression qu’il ressentait depuis qu’il avait aperçu Nasimka ne le quittait pas. D’une part, c’était comme s’il l’avait déjà rencontré, d’autre part, les frissons qui lui parcouraient le dos n’étaient pas un bon présage. En effet, depuis que cet homme parlait d’Hyrule, c’était à la façon d’un pays qu’il découvrait. Or, les soldats de Ganondorf se regroupaient dans le pays depuis des mois, en multipliant les attaques de monstres. Comment, dans ce cas, pouvait-il tout ignorer de cette contrée ? Etait-il l’esclave d’un autre Seigneur ? Dun avait en effet eu des échos d’un pays lointain et proche à la fois, où le Héros du Temps avait dû combattre un autre ennemi tout aussi puissant : Majora. Néanmoins, seuls les témoignages de quelques personnes avaient pu permettre de le reconnaître, et le Héros resta hors de portée de la voie royale : Il était déjà parti.
Il y avait donc quelques chances que d’autres Seigneurs des Ténèbres existent, même s’ils étaient moins puissants que Ganon. Mais dans ce cas, un autre problème se pose…

« Vous parlez de déclencher de la guerre comme d’un art, mais vous ne pouvez pas encore faire apprécier à Hyrule cette forme artistique… »

En effet, s’il n’était vraiment qu’un simple soldat, Dun ne comprenait pas pourquoi il dévoilait ainsi la présence d’une autre présence hostile. Il valait mieux resté caché, jusqu’à frapper au bon moment. Alors cela signifiait-il qu’il attendait cet instant précis, en cherchant quelque chose ou personnes ? Néanmoins, une question beaucoup plus importante s’imposa dans l’esprit du jeune homme :
Pourquoi diable le Chancelier devait-il être exposé à de pareilles situations, même en dehors de ses heures de services ?!

*On devrait augmenter mon salaire…* (XD)