Hyrule's Journey

La phrase de Dun dérangea Lliude. Sur ce, il s'approcha de lui discrètement et lui chuchota:

"J'en ai rien a faire qu'il soit de Ganondorf ou pas. Ce que je veux c'est sa réponse pour pouvoir la décortiquer... Et puis s'il est le seul a parler, je n'en saurai guère plus sur sa personnalité... Et sur ses objectifs..."

A présent, il fallait encore changer de tactique. L'anticipation? Pas assez d'informations... C'est pourquoi l'hylien s'écria:

"Vous alliez me raconter vos intentions avant que l'on vous coupe... Auriez vous l'amabilité de reprendre ce que vous alliez dire?"

Dun continua à fixer Nasimka, même lorsque Lliude lui chuchota quelques mots à l’oreille. Le Stalfos avait toute son attention, et le Bourg lui-même n’existait plus maintenant. Il savait quelle était la sensation qu’il ressentait maintenant : Celui d’une ville rasée, et de ruines fumantes. Pourtant, restant sourd aux explications de son compagnon du cimetière, le Chancelier prit la parole.

« Pour moi, un homme qui attaquerait cette ville avec un canif n’aurait aucune chance ; même s’il possédait toutes les plus mauvaises intentions du monde. Avant de craindre un ennemi sur ce qu’il veut faire, je pense qu’il faudrait d’abord le connaître...»

Ainsi, tout en continuant la phrase de Lliude, Dun s’adressa encore une fois à Nasimka.

« Qui êtes-vous ? Servez-vous ce… ‘Ganondorf’ ?»

Il paraissait évident pour Nasimka que tous ces "gueux" avaient vécu dans la jouissance d'une paix bienveillante trop longtemps. Leurs réactions ne faisaient aucun doute sur le fait qu'ils avaient oubliés ce qu'était un champ de bataille. Ainsi, le fait qu'ils harcèlent de questions le stalfos était compréhensible. La guerre leur faisait peur, c'était indéniable.
Et les différents protagonistes, en particulier Lliude, ne voulaient reculer devant aucun mécanisme pour essayer de faire cracher le morceau à Nasimka. Ce dernier ne put d'ailleurs s'empêcher de noter la provocation proférée par l'hylien à son encontre. Il lui répondit donc au tac-au-tac.

"Vous dîtes avoir le pouvoir de faire éparpiller les... ossements des disciples du malin qui se froteraient à vous?... Beaucoup ont un jour regretté de telles paroles... Car un jour, ce sont eux qui finissent au fond d'un trou..., le corps sans tête..."

Nasimka ne soufflait pas ces paroles au hasard. Il avait un long vécu derrière lui et ne comptait plus le nombre de batailles sanglantes auquel "l'armée des 1000 morts" et lui avaient prit part. Il semblait d'ailleurs que Lliude, Dun et les autres n'avaient de yeux que pour un seul seigneur du mal: Ganondorf. Ils osaient même affirmer que Nasimka était sous les ordres de ce dernier!
Cependant, ils ne pouvaient savoir!... Ils ne pouvaient deviner que parmi les créatures peuplant les Neufs Enfers, beaucoup se battaient et gouvernaient pour leur propre chef! "L'armée des 1000 morts" ou 1000 stalfos en était le parfait exemple...

*Il est de mon devoir de rétablir cette erreur! Les Stalfos ont prit goût au pouvoir depuis longtemps!*

"On dirait que ce Ganondorf vous terrorise... Qu'est-ce qui justifie cette hantise? Et où est-il donc si il est si fort?...
Vous devriez cesser de blasphemer! Les stalfos ne sont les servants de personne!... Et oui..., il semblerait que le mal soit... partout! Nyarknyark!"

"On dirait que ce Ganondorf vous terrorise... Qu'est-ce qui justifie cette hantise? Et où est-il donc si il est si fort?...
Vous devriez cesser de blasphemer! Les stalfos ne sont les servants de personne!... Et oui..., il semblerait que le mal soit... partout! Nyarknyark"

Sortant son sabre, il plaqua l'inconnu contre le mur et planta la lame à quelques centimètres de son visage. Ses yeux virèrent aux rouge vif

Tu es mal placé pour oser nous insulter! Je suis garde depuis quelques heures et c'est uniquement pour CETTE raison que je ne tue pas. Ne crois pas que l'un d'entre nous le craint. Quand à la liberté de stalfos, ne me fais pas rire!Il baissa la voix et murmura.Je viens moi même des enfers et je peux te dire que les stalfos qui y vivent sont plus soumis que les chats du château!

Avec une moue de colère et de mépris, il rangea sa lame et s'écarta.

Ne méprise pas les hyliens pour leur manque de combativité, tu pourrais avoir de mauvaises surprises. Et surtout, ne considère pas les forces du malin comme invincible. D'autres force immortelles combattent pour le même camp mais sont bien plus fortes.

La conversation commençait à s'envenimer. Quand Zangetsu rangea sa lame, un silence pesant s'installa. Et une fois de plus, ce fut Lliude qui le brisa.

"Quel rapport entre le fait que les stalfos ne sont les servants de personnes et que le mal soit partout?"

Il posa un doigt sur ses lèvres et leva les yeux, signe qu'il réfléchissait. Puis il déclara:

"L'avantage de ne pas avoir peur de mourir, c'est que l'on a une liberté d'expression totale!"

L'hylien avait dit ça avec un ton ironique. Il enchaina sur un ton plus froid, plus distant:

"Et puis si quelqu'un me barre la route, c'est simple, je le tue... Qu'il soit pour la prospérité ou pour la perte de ce royaume, j'en aurai rien à faire... Le sang coulera quand même..."

Cette fois, ce n'était pas une tentative d'intimidation. Il pensait ce qu'il disait...

Liko avais très envis le tuer mais se trouvans entre un garde et un chancelier :mee:
fautdrais mieu pas les énervé de plus si zan continu comme sa il le tura alors pour quoi se salier les main les tache de sang sa par mal au lavage!
et il s'aprocha de zangetsu.

tous doux zan, laisse le te provoquer répondre il en vaut pas la pènne en plus les tache de sang sur le noir sa se vois!

ausi prensone na peur de ganon il vis dans un monde ou il se crois le plus fort mais il en es loin ....

Dun était resté silencieux devant la scène qui se jouait devant ses yeux, restant impassible, il se demandait comment cela allait-il finir. Pourtant, lorsque Zangetsu dégaina son épée, et la rengaina, en menaçant Nasimka, le Chancelier prit la parole. Il souriait et se voulait rassurant quant au choix de la Princesse pour le Garde Zangetsu.

« Mieux vaut éviter tout bain de sang dans le Bourg, n’est-ce pas ? C’est votre rôle en tant que Garde de préserver la paix dans cette ville, soyez-en fier. »

Pourtant, après avoir dit cela, le jeune homme focalisa à nouveau son attention sur les protagonistes restants. L’atmosphère était un peu trop électrique à son goût, et il n’avait pas l’envie de se battre aujourd’hui. C’est pourquoi il se gratta la joue tout en réfléchissant, toutes les personnes ici présentes n’étaient-elles que des guerriers musclés et n’ayant que leurs armes avec qui passer des nuits chaudes ?

« De toute façon, il serait puéril de se battre ici ; la ville pullule de Gardes et de soldats, aucun d’entre vous ne peut débuter une bataille sans y perdre quelque chose d’important… Ou aller dans la plaine. »

Néanmoins, cette situation plaisait à Dun, car le jeune homme souriait ; il y avait donc d’autres personnes que Ganondorf pour se dresser contre le pouvoir royal ? Sans vraiment savoir pourquoi, cette perspective l’enchantait, comme s’il y trouvait son compte.

« Mais que venez-vous faire ici? Après tout, si vous vouliez combattre, vous auriez déjà sorti votre épée, non? Ou est-ce pour terroriser vos adversaires avant de les tuer... »

Bien que ce ne soit pas voyant, Nasimka souriait... Il ricanait même intérieurement. Jusqu'ici, il n'avait fait que proférer quelques menaces et le résultat était ce qu'il était. Il avait réussi à faire sortir de leurs gonds chacun des membres du groupe présent autour de lui. Qu'est-ce que ce sera lorsqu'il passerait à l'action!...
En parlant d'action, le premier à avoir agit était le dénommé Zangetsu, un garde de la cité depuis peu. Il avait dégainé son épée et osé en menacer Nasimka. Il ne perdait rien pour attendre...

"Nyarknyark! Vous me semblez tous bien sûrs de vous!... Trop de confiance conduit irrémédiablement à la défaite..."

Lorsque Dun intervint à son tour, Nasimka le dévisagea longuement. L'homme restait le seul imperturbable et par moment, le stalfos eut juré que la situation actuelle l'amusait, voir le satisfaisait...

*Curieux personnage... Sa personnalité est difficile à cerner. Que désire-t-il réellement? Je crois ressentir une part sombre en lui...*

Mais le plus drôle était qu'il venait de deviner malgré lui ce que Nasimka allait faire... "[...] Si vous vouliez combattre, vous auriez déjà sorti votre épée, non?" Telle était la question de Dun... Le problème, c'est que le stalfos voulait avant tout récupérer des informations. Tant qu'au fait de combattre...

"Héhé..."

En un éclair, une lame couleur ambre vint se ficher dans le ventre de Zangetsu! Retirant la dague toute aussi rapidement, Nasimka s'éloigna ensuite de plusieurs pas avec la même dextérité qu'un danseur. Otant ensuite le sang dégoulinant de son arme à l'aide de ses doigts osseux, il le fit par la suite gicler d'un geste sur le visage de Lliude.
S'esclaffant face à pareil spectacle, Nasimka quitta ensuite la ruelle à une vitesse folle; le stalfos semblant flotter plutôt que courir. Néanmoins, avant de disparaitre, il lança une dernière fois à tout le monde:

"Mon nom est Nasimka!... Retenez le bien car il ne fait nul doute que nos routes se recroiserons un jour!... Nyarknyarknyarknyark!!"

Le rire du guerrier squelette raisonna dans toute la ruelle. Ce fut le dernier signe de présence de Nasimka. A présent, personne ne pouvait se douter de quelle serait sa prochaine destination... Ce qui était sûr, c'est quelle serait quelque part à Hyrule!...

Quand le sang de Zangetsu toucha le visage de Lliude, il ne réagit pas tout de suite. Beaucoup de chose défilèrent dans sa tête. Il se revoyait assassiner son père, la dague a la main... Celui-ci crachait du sang par la bouche, et son visage était devenu rouge. Un mal de crâne l'assaillit, et il tomba sur les genoux, la main plaquée sur son front. Il ne voulait pas se rapeller de ces souvenirs...

A côté de lui, Zangetsu avait une blessure assez profonde et saignait beaucoup. Lliude enleva sa tunique et la lança vers Dun. Sans tunique, Lliude avait seulement un pentalon noir sur lui. On pouvait voir son torse recouverts de marques de blessures, ainsi que son dos qui était également meurtrie. Comment avait-il pu se faire ça?

Il désigna une poche de sa tunique et murmura:

"Il y a des bandages dans cette poche... Et de l'acool..."

Le coup avait été rapide. Seulement Zangetsu n'était pas garde pour rien. Il avait vécu pendant des années en étant pourchassé par les assassins de Ganondorf. La lame avait ricoché contre une des plaques de métal cachées dans ses vétements. Il eut un sourire mauvait et un regard de tueur.

Il ne m'échappera pas! Dun, ce stalfos a essayé de me tuer. Je te demande en ta qualité de supérieur de m'autoriser à le pourchasser et à le ramener...mort ou vif.

Un garde ne pouvait pas faire se qu'il voulait. Zangetsu avait besoin de cet accord, du moins officielement. On pouvait très bien retrouver la cible morte et presque irreconnaissable sans qu'il y ait des preuves de la culpabilité de Zan. Il attendit la réponse dans un silence pesant, furieux à l'idée que Nasimka s'éloignait et que celà rendrait plus difficile le repèrage.

Dun n’avait pas eu le temps de réagir, et lorsqu’il vit le sang gicler sur le visage de Lliude, son cœur fit un bond sans sa poitrine. Pourtant, et à son grand soulagement, il semblerait que le Garde ait pu anticiper quelques peu son attaque, et la dague s’enfonça dans une plaque de métal d’après le bruit. Pourtant, paradoxalement, c’est celle-ci qui effleura la chair de l’homme, et qui produisit le filet de sang qui s’écoulait maintenant sur le visage de Lliude. Apparemment, il n’y avait pas de quoi s’inquiéter pour la santé de Zangetsu.
Toutefois, lorsque ce dernier remarqua que Nasimka s’enfuyait, il s’adresse à Dun, lui demandant l’autorisation de le poursuivre. Néanmoins, ce dernier demeurait silencieux en regardant dans la direction de la fuite.

« Ca ne servirait à rien, on ne le voit déjà plus… De plus, il pourrait toujours dire que ce n’est pas lui qui a dégainé son épée le premier. »

En effet, il y avait eu provocation et réaction, et si l’affaire s’ébruitait, ce n’était sûrement pas la Garde Royale qui l’emporterait… C’était une des choses que Dun fuyait : Les responsabilités. Néanmoins, il se retourna vers le combattant, et lui parla.

« Enfin, même si ce n’est pas grave, tu saignes légèrement, rentrons plutôt au Château te soigner ; cela pourrait s’infecter et devenir beaucoup plus dangereux. »

En se retournant, le Chancelier fixa les lieux qui l’entouraient, et se dit que c’était la solution la plus sage. Nul besoin de débuter un combat dans une ville aussi paisible… C'est pourquoi, en prenant le tissu que lui proposait Lliude, ainsi que l'alcool, Dun commença à en verser sur la plaie du guerrier. Il n'était pas vraiment fort en médecine, mais étant Chancelier des Sciences, il avait tout de même quelques notions.
Pourtant, tout en prenant les items proposés par Lliude, Dun avait remarqué ses cicatrices, et hésita sur le coup à en parler ou non. Toutefois, chacun avait ses propres secrets, et le Chancelier se dit intérieurement que si son compagnon voulait en parler, il le ferait sans doute.

Les paroles de Dun apaisèrent le guerrier qui aquiesca. Déjà la lueur de feu avait disparut de son regard et il tenait son flan. S'apuyant sur son ami, ils s'éloignèrent. Quand personne ne les regardait plus, il arréta son petit manège

-Désolé de t'avoir demandé ca. Je sais que tu déteste qu'on te rapelle tes responsabilités, néammoins je pense que nous devrions faire attention à mn agresseur. Sa vitesse n'est pas grande, il nous a surpris, mais je suis en droit de pener qu'il a des antécédants assez grâve. Bien sur, je ne suis sur de rien mais j'ais entendu des rumeurs par mes amis de l'empire Nécromanth faisant état d'une armée. Bien sur, tout celà reste à vérifier. Sur ce, je te laisse, mon éraflure n'ais pas plus grpave qu'une piqure d'insecte et je déteste avoir des questions sans réponses.

Et il disparut dans une brume noire...laissant derrière lui quelques gouttes de sang et des questions.

[Ralala vous allez trop viite ! XD]

Robin ne savait plus trop que faire. il avait suivit la conversation avec intérêt, regardant parfois pour voir ce qui ce passe, puis se remettant dans sa position plus "discrète".
Robin fut surpris lorsqu'il entendit une voix venant d'en haut :

-La guerre aide les hommes à apprendre de leur erreurs. La race humaine comporte trop d'erreur et c'est pour celà que les guerres se répètent! Et personnelement je n'ais rien contre la guerre. Elle nourri les animaux, elle améliore l'espèce humaine, elle fournie du travail aux soldats, et des âmes au dieu de la mort!

Le zora regarda et vit que cela venait d'en haut. Un homme avec une cape se dressait sur le toit à côté du soleil. Qui était-il donc pour aimer la guerre ? La guerre nourrissait peut-être les animaux, mais pas les hommes. En guerre, les prix montent en flèches mais vous risquer votre vie à chaque pas.
Par après, Robin dut se retenir de pousser une exclamtion quand il vit un stalfos apparaitre sous le capuchon ! Un stalfos ici, dans cette ville ?? Mis que fesaient donc les gardes pour laisser entrer une créature pareille ?
Robin vit qu'ensuite les différents personnages s'amusaient à se provoquer, usant de tous les stratagèmespour découvrir leur ennemi. Néanmoins, Robin fut touché par la phrase de l'homme qui 'il trouvait le mieux habillé :

- Vous parlez de déclencher de la guerre comme d’un art, mais vous ne pouvez pas encore faire apprécier à Hyrule cette forme artistique...

Ca c'est vrai, il y avait plein d'oeuvres d'art dans les maisons des riches que l'on pouvait revendre à bon prix ! Il faudrait qu'il y repense...

Ensuite, ils parlaient de Ganondorf, en demandant si le Stalfos dont Robin ne connaissait pas le nom le servait. Celui-ci répondit qu'il servait apparement un autre seigneur. La discussion commençait à tourner vers "d'autres enfers" D'autres enfers, il y en a combien ? Cette discussion qu'il surprenait était pour lui une mine d'or; il pourrait revendre toutes ces informations qu'il venait d'apprendre contre quelques rubis dans la première auberge louche venue... Robin sentait déja l'odeur des petits rubis d'ici...

Mais...Houlala ! Maintenant ils passaient aux actes ! L'homme à la cape menaçait le Stalfos mystérieux avec un sabre. Pas bon, tout ça. Finalement, peut-être cela lui raporterait moins que prévu, si il se fesait prendre... Il ne tenait pas à vendre ses informationes en prison !
Que lui chuchotait donc l'homme à cape ? Etaient-ils complices ? Non, Robin avait entedu très distinctemant "Je viens moi même des enfers et...". Le reste, il ne l'avait pas compris... Mais cette phrase était déja assez révélatrice... il venait donc lui aussi des enfers, mais cela ne lui disait pas combien il y en avait...

Hé mais... Attendez... Le brassard qu'a montré lhomme à la cape, ce ne serait pas un brassard des damnés ? Robin en avait déja entendu parler... Cela expliquerait tout. ou presque... Cer mec dit qu'il est grade. Donc c'est un grade damné qui vient des enfers. Peu banal...

La conversation s'envenimait. La tension montait. Il allait ce passer quelque chose. Il parlait maintenant d'épée et... HO ! Par Farore ! Robin vient très nettement que le stalfos venait d'enfoncer son épée dans l'homme à la cape. Ma Din ! Robin ne s'attendait pas du tout à ça. Il ne s'était même pas rendu comte qu'il avait poussé un cri. Qu'allait il se passer ? Le stalfos partit en un rire démoniaque en disant s'appeller Naskima. Robin retiendrait, en effet...
Ouf ! L'homme à la cape n'avait rien. il portait des plaques de métal et il s'était juste coupé , provoquant du sang sur ce Lliude qui... ho! qui semblait souffrir d'un horrible mal de tête.

Robin vit l'homme à la cape et l'homme bien habillé s'éloigner et discuter (il n'entendait plus ce qu'ils disaient), et vit ensuite l'homme à la cape disparaitre dans un nuage de fumée noire. Pas mal la téléportation ! Faudra qu'il lui apprenne s'il le rencontre un jour. Mais bon, pour le moment...

Robin décida de filer, il avait vu asser d'informations et de sang comme ça... Robin fit demi-tour, dépassa deux maisons, puis s'enfonça dans un ruelle sombre, qui cachait le soleil derrière ses hautes murs. Mais en partant, son 6ème sens sentait qu'il allait se passer quelque chose de grand. Quelque chose de grand dont il avait intérêt à tirer profit.

[Bah désoulé.. XD On suit le rythme quoi x_x]

Dun s’était proposé de ramener Zangetsu, en pensant que les personnes restantes trouveraient où aller d’elles-mêmes. Pourtant ; le guerrier refusa son aide, et préféra s’en aller, pour cela il utilisa un nuage de fumée qui fit que le Chancelier n’eut même pas l’occasion de l’en empêcher. Ainsi, alors qu’il se retrouvait maintenant séparé du reste du groupe, le jeune homme fit mine de réfléchir à la suite des évènements. Il s’approcha alors de Lliude pour lui rendre sa veste, ainsi que son alcool, en le remerciant au passage de cette aide précieuse. Ensuite, l’ex-mercenaire s’adressa à RobinP et au jeune homme à la cape :

« Bien, je pense que je vais vous laisser… Je n’ai plus grand-chose à faire ici, et évitez de parler de ce qui s’est passé ici, ça ne mènerait à rien. »

Ceci fait, il tourna les talons et partit dans la direction opposée, avant d’accéder à une ruelle sombre. Celle-ci restait dans l’obscurité à cause des deux grands bâtiments qui la formait, et Dun préféra passer par là pour ne pas rencontrer à nouveau les Gardes de la ville. Mais, tout bas, comme s’il se parlait à lui-même, le jeune homme prononça quelques paroles.

« Héhéhé… Apparemment, il y a là quelques éléments très intéressants, peut-être est-ce que tout ‘cela’ pourra se réaliser finalement… »

Inconsciemment, Dun avait plaqué la main droite contre son visage, comme s’il voulait cacher à l’ombre elle-même ce dernier. Il ne pouvait en effet s’empêcher de sourire, mais d’un sourire totalement différent de ceux qu’il faisait d’habitude, en présence de Zelda ou d’autres habitants d’Hyrule.
Ainsi, Dun quitta lui aussi ce théâtre où s’était déroulée la première scène d’une Pièce qui concernerait bientôt certaines personnes…

(A peu près l'expression du visage : )

Liko venais de masacré le zora qui lui avais vendu un caseorl troué,et il vus que tous le monde étais partits et il marmoma .

se type es pas normal ataquer zan comme sa ... de plus dun es pas dans sont étais normal il trenblais juste avent de touner ...tous se la est bizzar

et il partit en sautan de toit en toit.il y a quelle que chose qui aproche! il en es sur

Tout le monde était parti a présent... Tout le monde sauf Lliude. Il était pensif et souriait. Nasimka l'avait fortement intrigué, et malgré le fait qu'il lui avait rapellé des souvenirs qu'il ne voulait plus se remémorer, il ne pouvait pas le détester... Ni l'apprécier d'ailleurs.

*Si je le retrouve, ça pourrai être interessant...*

Il mit sa tunique et marcha d'un pas lent vers la sortie de la ville. De grandes choses vont se produires... Oui, de grandes choses...

Il était partit avant que Dun ne puisse le retenir. Pourtant un frisson lui avait parcourut l'échine. C'était bien la deuxième seulement que celà lui arrivait. Il avait eu peur, lui. Il était le plus mal placé pour connaître ce sentiment et la première fois, celà avait été légitime. Cette fois, il s'en voulait d'avoir eu une telle faiblesse. Il avait baissé sa garde et il avait eu peur! Et en plus, il n'était pas capable de résoudre une énigme seul. Il avait presque entendut la voix de Dun de sa tête. C'était une voix bien plus chargée de mauvaix sentiments..bien plus proche de la sienne...bien plus proche du mal absolut. Il décida de faire l'impasse sur cet évenements, il avait d'autres choses à s'occuper pour le moment.

*Là où brule la flamme. Je serais là. C'est ce que tu m'as dit mon frère....Le temple de Balthazar! Le dieu de la flamme! Evidemment!

Il fit sortir ses ailles noires, les déploya et s'envola.

[hrpg]Je vérouille.[hrpg]