Posté le 02/03/2020 21:20
Tous les aventuriers ne finissent pas bien. Ils sont nombreux les anonymes partant courir la plaine à la recherche d’une vie meilleure. Les exemples comme le général Llanistar font tourner la tête des palefreniers, des fils de paysans, et des étranger fuyant la misère ; se dotant d’arme de fortune comme l’épée du père ou de silex pointu fixé au bout d’un bâton, ils se disent prêt à combattre le mal. Ils déchantent vite quand leurs réservent de nourriture se tarissent et que nul engeance diabolique n’apparaissent. La faim les ronges et très vites, ceux-ci deviennent des pillards attaquent les petites communautés de cultivateurs pour leurs soutirer quelques choux. Les plus chanceux arrivent à se distinguer par des faits d’armes leurs ouvrant les portes des auberges pour quelques repas, mais les dés ne sont pas toujours favorables et les mauvaises rencontres peuvent amputer quand elles ne sont simplement pas mortel. Pour une poignée d’élus hâblant dans les entourages de la princesse, des centaines échouent à avoir un destin. On retrouve alors ses âmes égarés dans les dispensaires. Ces lieux faisaient autant office d'hôpitaux que centre de rétention pour indigent ; accueillait à toutes heures les estropiés, les affamés, les crétins et autres indésirables amené de gré ou de force par la providence ou les milices. Pour l’église, gérer ces adresses n’était pas qu’une mission naturelle. La rétention des plus pauvres ou des plus retardés était un enjeu politique qu’il convenait d’utiliser à bon escient face à la royauté Hylienne. Tantôt elle servait comme mesure d'extorsion sur les mestres, qui n’y voyait qu’un lieu emplie de fou et de pestilence, tantôt comme mesure incitative à contribuer au bon déroulement du culte auprès des bourgeois, soucieux de soutenir et de parquer ces pauvres dangereux. Par conséquent, ces lieux étaient à l’image du public auquel elle s’adressait : toujours dans un état de délabrement avancée.
Robert n’avait jamais été quelqu’un de charitable, si ce n’est son aversion profonde envers ceux qui laissaient des estropier derrière eux. L'inquisiteur avait parmi ses missions l’obligation de sonder régulièrement les dispensaires pour y trouver de nouveaux disciples. Les troubles que traverse aujourd’hui le pays forçait l’église à recruter plus de bras pour protéger ses intérêts et même si le Pontife avait choisi son camp concernant l’inimitié entre la princesse et son adversaire, Ganondorf, les nouvelles n’étaient pas positives des deux bords. les Prêtresses disparues ou enfuient, les assassinats de prêtre, les pillages de monastère ou simplement les affres de la guerre incitait à réagir avec une grande vigueur. Et qui de plus à même de protéger l’église que ceux qui vivaient à ses crochets ? Surtout que ceux-ci ne portaient que rarement les notables qui les avaient conduits à la famine.
Caracolant sur les pavés du bourg hylien, l’Innocent redressait son heaume. Le soleil frappait fort et ce dernier transpirait sous sa cale. Aux côtés de son cheval, une jument à la robe alezan, deux frères inquisiteurs faisaient office de garde du corps. Portant des robes d'étoffe brune et le visage recouvert d’un grand capuce, ces deux hommes ne présentait leurs fonctions protectrice que par l’épée qu’ils portaient à leurs ceinturons. Après avoir traversé au trot le pont levis du bourg, ils se dirigèrent vers l’est. Là, s’était regroupés des grappes de pauvre ; travailleurs pauvres vivant à la fois de leurs proximités avec la capitale d’Hyrule et de quelques lopins de terre fertile leurs garantissant leurs subsistance. Ici, les chaumières dépassaient rarement un étage et aucune n’avaient le luxe d’être construite avec des matériaux plus résistant que le bois. Robert y reconnu facilement le dispensaire, cette construction mimant les tours forme pointu du Temple du Temps détonnait tant elle dépassait de la ligne d’horizon de ce camp. En s’approchant, les inquisiteurs furent surpris par la queue serpentant autour de la clôture en bois. Celle-ci débouchait sur une grosse marmite offrant une soupe liquide et transparente aux locaux. En relevant la tête, l’Innocent s'aperçut du délabrement de la bâtisse: Des fenêtres condamnée, des murs vermoulu, des escaliers aux marches brisés ; si ces gens n’étaient pas réduit au désespoir, sans doute auraient-ils fait le choix de vivre loin de ce lieu. L’armure de Robert ne lui permettait pas de passer inaperçu parmis les manants et dans des lieux rarement confronté à des personnes en armure complète: cela relevait de la bête de foire. L’approche des trois hommes avait donc tué le brouhaha traditionnel d’un lieu aussi fréquenté et pour instaurer un silence plein d’inimitié. Après avoir attaché son cheval à la clôture, il s’approcha d’un pas lourd de l’entrée du bâtiment. Son regard toisa celui d’un homme assis sur un banc accolé à un des murs du dispensaire. Celui-ci, la bouche mi-close et au regard vide semblait être déjà mort ou dans un état proche du végétatif. Robert se dit qu’il ne trouverait personne de capable de tenir une arme ici.
La mère supérieur, responsable du lieu, s’approcha. Ses traits étaient tirés par la fatigue et l’inquiétude que lui procurait ces visiteurs. Elle plut immédiatement à Robert, lui rappelant la nonne qui l’avait élevé.
“Bonjour mes frères, je suis ravis de vous voir parmi nous, menti-elle, Je serais ravis de vous faire visiter notre humble établissement.”
Elle tourna les talons en voyant que l’inquisiteur ne répondait pas. Et Celui-ci, toujours flanqués de ses deux acolytes, la suivit à l'intérieur. Écoutant d’une oreille les propos de la religieuse, Robert se concentrait pour juger les hommes croisés. Celui-ci était un estropié, celui-ci était rongé par la syphilis et celui-ci trop faible, aucun ne convenait aux critères, pourtant peut sélectif, des religieux combattants. A la fin de la visite, ils n’avaient choisis que cinq hommes convenable.
“Et voici la salle d’attente, dit-elle en ouvrant une porte à double battant, c’est ici que les gens attendent que des lits se libèrent pour passer la nuit. Nous essayons de tourner régulièrement nos hôtes.”
Un homme, à la stature bien plus athlétique que ses semblables et cheveux blonds dépassait de la masse de paysans. Il n’était pas plus grand que les autres, ni vraiment plus propre, mais quelque chose dans son allure avait attiré l’attention de l’inquisiteur;
“Eh, toi, le blond, dit Robert en s'approchant de l’homme en question, aimerais-tu ne plus jamais avoir besoin de mendier pour te nourrir ou pour dormir ?” Il marqua une pause. “Aimerais-tu servir les déesses ?”
Tous les aventuriers ne finissent pas bien. Ils sont nombreux les anonymes partant courir la plaine à la recherche d’une vie meilleure. Les exemples comme le général Llanistar font tourner la tête des palefreniers, des fils de paysans, et des étranger fuyant la misère ; se dotant d’arme de fortune comme l’épée du père ou de silex pointu fixé au bout d’un bâton, ils se disent prêt à combattre le mal. Ils déchantent vite quand leurs réservent de nourriture se tarissent et que nul engeance diabolique n’apparaissent. La faim les ronges et très vites, ceux-ci deviennent des pillards attaquent les petites communautés de cultivateurs pour leurs soutirer quelques choux. Les plus chanceux arrivent à se distinguer par des faits d’armes leurs ouvrant les portes des auberges pour quelques repas, mais les dés ne sont pas toujours favorables et les mauvaises rencontres peuvent amputer quand elles ne sont simplement pas mortel. Pour une poignée d’élus hablant dans les entourages de la princesse, des centaines échouent à avoir un destin. On retrouve alors ses âmes égarés dans les dispensaires. Ces lieux faisaient autant office d'hôpitaux que centre de rétention pour indigent ; accueillait à toutes heures les estropiés, les affamés, les crétins et autres indésirables amené de gré ou de force par la providence ou les milices. Pour l’église, gérer ces adresses n’était pas qu’une mission naturelle. La rétention des plus pauvres ou des plus retardés était un enjeu politique qu’il convenait d’utiliser à bon escient face à la royauté Hylienne. Tantôt elle servait comme mesure d'extorsion sur les mestres, qui n’y voyait qu’un lieu emplie de fou et de pestilence, tantôt comme mesure incitative à contribuer au bon déroulement du culte auprès des bourgeois, soucieux de soutenir et de parquer ces pauvres dangereux. Par conséquent, ces lieux étaient à l’image du public auquel elle s’adressait : toujours dans un état de délabrement avancée.
Robert n’avait jamais été quelqu’un de charitable, si ce n’est son aversion profonde envers ceux qui laissaient des estropier derrière eux. L'inquisiteur avait parmi ses missions l’obligation de sonder régulièrement les dispensaires pour y trouver de nouveaux disciples. Les troubles que traverse aujourd’hui le pays forçait l’église à recruter plus de bras pour protéger ses intérêts et même si le Pontife n’avait pas choisi son camp concernant l’inimitié entre la princesse et son adversaire, Ganondorf, les nouvelles n’étaient pas positives. les Prêtresses disparues ou enfuient, les assassinats de prêtre, les pillages de monastère ou simplement les affres de la guerre incitait à réagir avec une grande vigueur. Et qui de plus à même de protéger l’église que ceux qui vivaient à ses crochets ? Surtout que ceux-ci ne portaient que rarement les notables qui les avaient conduits à la famine.
Caracolant sur les pavés du bourg hylien, l’Innocent redressait son heaume. Le soleil frappait fort et ce dernier transpirait sous sa cale. Aux côtés de son cheval, une jument à la robe alezan, deux frères inquisiteurs faisaient office de garde du corps. Portant des robes d'étoffe brune et le visage recouvert d’un grand capuce, ces deux hommes ne présentait leurs fonctions protectrice que par l’épée qu’ils portaient à leurs ceinturons. Après avoir traversé au trot le pont levis du bourg, ils se dirigèrent vers l’est. Là, s’était regroupés des grappes de pauvre ; travailleurs pauvres vivant à la fois de leurs proximités avec la capitale d’Hyrule et de quelques lopins de terre fertile leurs garantissant leurs subsistance. Ici, les chaumières dépassaient rarement un étage et aucune n’avaient le luxe d’être construite avec des matériaux plus résistant que le bois. Robert y reconnu facilement le dispensaire, cette construction mimant les tours forme pointu du Temple du Temps détonnait tant elle dépassait de la ligne d’horizon de ce camp. En s’approchant, les inquisiteurs furent surpris par la queue serpentant autour de la clôture en bois. Celle-ci débouchait sur une grosse marmite offrant une soupe liquide et transparente aux locaux. En relevant la tête, l’Innocent s'aperçut du délabrement de la bâtisse: Des fenêtres condamnée, des murs vermoulu, des escaliers aux marches brisés ; si ces gens n’étaient pas réduit au désespoir, sans doute auraient-ils fait le choix de vivre loin de ce lieu. L’armure de Robert ne lui permettait pas de passer inaperçu parmis les manants et dans des lieux rarement confronté à des personnes en armure complète: cela relevait de la bête de foire. L’approche des trois hommes avait donc tué le brouhaha traditionnel d’un lieu aussi fréquenté et pour instaurer un silence plein d’inimitié. Après avoir attaché son cheval à la clôture, il s’approcha d’un pas lourd de l’entrée du bâtiment. Son regard toisa celui d’un homme assis sur un banc accolé à un des murs du dispensaire. Celui-ci, la bouche mi-close et au regard vide semblait être déjà mort ou dans un état proche du végétatif. Robert se dit qu’il ne trouverait personne de capable de tenir une arme ici.
La mère supérieur, responsable du lieu, s’approcha. Ses traits étaient tirés par la fatigue et l’inquiétude que lui procurait ces visiteurs. Elle plut immédiatement à Robert, lui rappelant la nonne qui l’avait élevé.
“Bonjour mes frères, je suis ravis de vous voir parmi nous, menti-elle, Je serais ravis de vous faire visiter notre humble établissement.”
Elle tourna les talons en voyant que l’inquisiteur ne répondait pas. Et Celui-ci, toujours flanqués de ses deux acolytes, la suivit à l'intérieur. Écoutant d’une oreille les propos de la religieuse, Robert se concentrait pour juger les hommes croisés. Celui-ci était un estropié, celui-ci était rongé par la syphilis et celui-ci trop faible, aucun ne convenait aux critères, pourtant peut sélectif, des religieux combattants. A la fin de la visite, ils n’avaient choisis que cinq hommes convenable.
“Et voici la salle d’attente, dit-elle en ouvrant une porte à double battant, c’est ici que les gens attendent que des lits se libèrent pour passer la nuit. Nous essayons de tourner régulièrement nos hôtes.”
Un homme, à la stature bien plus athlétique que ses semblables et cheveux blonds dépassait de la masse de paysans. Il n’était pas plus grand que les autres, ni vraiment plus propre, mais quelque chose dans son allure avait attiré l’attention de l’inquisiteur :
“Eh, toi, le blond, dit Robert en s'approchant de l’homme en question, aimerais-tu ne plus jamais avoir besoin de mendier pour te nourrir ou pour dormir ?” Il marqua une pause. “Aimerais-tu servir les déesses ?”