Attaque du chateau 2[RP à conséquence]

début de l'automne - 3 ans 6 mois 1 jour avant (voir la timeline)

"Il n'est vrai qu'il n'a aucune garanti, mais de la à dire que je n'ai aucun honneur... Je sais récompenser les gens qui se rangent à mes côtés: le groupe hibi ne sera pas oublié!"

Je m'approcha de la princesse et commenças le rituel pour lui prendre son fragment de la triforce.

"Quand à vous, princesse, il semble qu'une question est était posé: où se sont réfugier les nobles?"

Pas de réponses, je mis un coup de poing dans le ventre de la princesse.

"Je n'ai besoin que de deux choses: votre fragment et l'emplacement du refuge des nobles: on peu le jouer avec douceur ou avec violence...
Ne m'obligez pas à vous tuer alors que vous pourriez vous en sortir sauve."


J'étais totalement honnête, j'avais autres chose à faire que la tuer, sans compter que sans son fragment, elle ne représentait plus la moindre menace.


"Alors, qu'en pensez vous? Dites moi où se trouvent les nobles et je vous laisse quitter le château vivante..."

Maintenant, la balle était dans son camps.

Ce compte est un compte narrateur : les personnages joués par le narrateur ne peuvent pas être utilisés par les joueurs ou joueuses dans leur post (sauf autorisation d'un admin) et les jets de dé du narrateur sont contraignants.



Llanistar van Rusadir


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(vide)

VAS Y!

L'ordre d'abaddon résonna fort dans le crâne de Zangetsu. La fureur du dieu était sans pareil. Sur le plateau d'echec de la terre, voilà qu'un pion se mettait à jouer les rois. Cette situation n'avait que peu de précédents mais à chaque fois, Abaddon avait tout prévu. Et le voilà prit au dépourvut. Le démon avait vu les forces de ganondorf converger depuis des jours grâce à ses hommes mais les rassembler avait prit tant de temps qu'il avait eu sa part de nuit blanches et la fatigue le guettait. L'angoisse ne le prenait plus depuis longtemps quand il s'agissait de défendre sa vie mais il avait une cinquantaine d'hommes avec lui, tous nécromanths et ne voulait en voir mourir aucun. Pire, l'armée Hyrulienne était maintenant prévenue. Mais l'assaut fut enfin donné et le démon fut forcé de sortir de ses rèveries. Voilà qu'enfin le moment crucial était venu. La confusion avait vite gagné les différentes parties du château. Quand au démon et ses hommes, ils attendaient le signal dans les catacombes. Enfin, il était donné.

Amaranth! 25 hommes et tu t'occupe des prisons! Elimine les partisans de ganon, rallie les royalistes! Moi je vais l'empécher de tout détruire!

Déjà un étrange murmure s'élevait de l'essence. Une personne appelait à l'aide et malgrés tout ses désirs, le démon était bien décidé à faire taire ses supplications. Ses tatouages lui procuraient une douleur attroce et la tentation de répandre un bain de sang. Il défonça le plafond d'un coup de poing. Les lattes de bois explosèrent sur l'impact, emportant quelques hommes de ganon se trouvant au dessus. Les 25 nécromanths d'Amaranth montèrent et prirent la direction des prisons, les autres, Zangetsu les guida par le dédale de couloir jusqu'à la lumière. Alors qu'ils quittaient la maison des morts, les fondations s'écroulèrent et des voix lointaines ravivant nombre de souvenirs lui parvint. Il n'y accorda pas plus d'importance tout en sachant non sans amusement que ses amis seraient avec lui.

Le labyrinth traversa la prison, les réserves, les cuisines pour enfin abouttir sur le grand hall. La pièce immense était en proie au chaos et à la mort. Les corps jonchaient le sol, autant des monstres que des hommes. Cette vision raviva l'ardeur dans les coeurs de l'expédition meutrière. les yeux des guerriers devinrent vitreux puis étonnemment fixes, commes des déments. Alors le démon s'élanca dans le grand escalier puis prit la direction d'une des ailles du château. Enfin, il choisit de monter un large escalier plus long mais plus pratique pour sa troupe. Il croisait généralement des cadavres ou bien des monstres agonisant qu'il laissait à ses hommes. A chaque marche, l'appel à l'aide la princesse se faisait plus fort. Il ne put bientôt que penser à cela et à l'ordre de son père. Enfin, comme un achèvement, une lumière purificatrice parcourut tout le château. Une lumière sacrée. Le démon eut beau se protéger les rayons pures entrèrent dans ses yeux et dans son crane. Les runes brillèrent sur sa peau avec une intensité rare. La douleur n'en fut que plus grande. Le démon crut qu'il allait tomber et s'évanouir mais quelque chose lui ordonnait de continuer. A la fois l'appel au secours et l'ordre de son père. C'est contraint par ces obligations qu'il arriva dans le couloir juxtant la porte de la chambre de Zelda.


"Le brouillard sanglant ."

Dërfserïa Aërthorê!

Le sortilège partit plus vite que l'éclair. Les runes modifiées altérèrent la réalité et la technique du saumon à patte s'évanouit, rendant les clones visibles. Des nécromanths les transpércèrent alors de leurs dagues de jet. Devant l'expression incrédule de ses alliés, Zangetsu éclata de rire avant d'afficher un sourire amusé et sadique.

Je me suis permit d'amener quelques amis! Nécromanths! Formation! Ne laissez aucun monstre passer. Quand à vous...

Les nécromanths coururent alors à une vitesse inespérée pour bloquer les issus du couloir. Leur formation et leur aptitudes suffiraient à empécher toute interruption, le démon le savait. C'est alors qu'en échos à ses paroles, des monstres arrivèrent mais le mur n'en fut pas inquiété et les guerriers les massacrèrent.

Zangetsu quand à lui, respirait mal. Il ne put finir sa phrase sous le coup de son supplice. La douleur se muait en torture de chaque instant. Il ressentait à la fois une pluie de grèle, un torrent de lave, une décharge de foudre, un raz de marée et un choc mantel épprouvant. Abaddon ne pouvait rien pour lui. Son ordre résonnait encore dans sa tête. L'appel au secours venait en complément. La douleur...comment pouvait il la supporter?! Ca n'avait rien de supportable! Rien d'humain... Le démon n'y tint plus! Il abandonna toute humanité, ne gardant que sa nature démoniaque et animale. Il sentit la torture s'arréter et les ordres résonner moins fort. Le sang coulait dans ses veines plus vite, il voyait en noir et blanc mais avec une accuité bien supérieure auparavant. Sa masse musculaire avait décuplé. Il touchait désormais le plafond en se tenant sur ses pattes arrières. Il était mi-démon mi-animal et la meute l'appelait comme jamais. Son tatouage aux formes évoquant un loup rayonnèrent une dernière fois avant qu'il n'en perde conscience et se concentre sur son ennemi : le poisson.



« Princesse ... Gardes ... échapper ... armures ... neutraliser ... enchantement ... renforts ... »

Cet appel était suffisant pour la mentalité que Zangetsu possédait alors. Il se cabra, montra ses crocs, hérissa sa fourrure et émis un hurlement à faire trembler les murs. L'aspect de loup qu'il avait prit s'accordait parfaitement avec sa nature et il allait le faire comprendre au seigneur du malin. Mais tout d'abord à Hibi. Ces mortels arrogants verraient enfin son vrai visage. Et les expressions surprises, horrifiées, attérées ou affligées de Dun, Lliude, Nasimka ou Lully n'y changeraient rien!


Angelus


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(vide)

Daidara et son adversaire échangèrent quelques coups de lame pour se tester , bien que pendent cette échange de coup , Lliude posa certaine question à Daidara .

"Il t'as donné quelles garanties pour que tu le suives comme un mouton?"

"Il n'y a aucune garantie , c'est Hibi qui est venu voir Ganondorf , pour lui proposer une alliance , ce que le seigneur du malin à accepter ..."

Après leur échange de coup , son adversaire ne lança pas de contre - attaque , et préféra reculer pour parler .

"S'il met la main sur la Triforce de la Princesse, il sera assez puissant pour prendre le contrôle du château, tuer les nobles et changer Hyrule... Et il n'aura plus besoin de vous. La dette n'existe pas pour une personne dénuée du sens de l'honneur! A long terme, s'allier à lui est du suicide..."

"Crois moi , les Tri-force ne représente rien pour nous , et Hibi recherche des objets bien plus interressant que l'on nomme récèptacle , tu aura cas demander à tes amis o uton prince pour savoir de quoi je parle .... Et puis Hibi cherche à plonger Hyrule dans les ténèbres , Ganondorf le veux aussi , dans tout les cas , nous atteindrons notre but ! Et puis , notre maîtresse n'a rien à envier au pouvoir de Ganondorf , tu peux me croire ... Hibi est une organisation très puissante ...Et puis , nous possédons un objet que Ganondorf cherche ...

Daidara parlait de l'épée de l'air bien sûre , Lliude lança une deuxième charge , et Daidara se fit trancher an deux , mais quelque chose était étrange , le corps de Daidara ne tomba pas au sol , non il flottait dans l'air. Puis en quelques secondes ; son corps se transforma en plusieur corbeau qui disparurent par la fenêtre de la tour . Le vrai Daidara se trouvait dérrière Lliude , il posa la lame de sa faux sur la gorge de son adversaire . Le Daidara que Lliude venait de tuer , n'était qu'une illusion crée par la pupille gauche de Daidara , le Sharingan ...

"Nous partageons les mêmes objectifs contrairement à Ganondorf, même si nos méthodes diffèrent. Alors, quelles garanties?"

"On dirait que tu ne connais rien des pouvoirs de ma pupille , que l'on nomme sharingan ... Crois moi , ta mort ne m'apporterais rien , et c'est pour sa que je ne vais pas te tuer , mais te mettre or d'état de nuire ... Et puis je ne connais pas tes objectifs , je me fiche de l'avenir , de savoir si il sera lumière ou ténèbre ... Je suis attaché à un serment , une vengeance , au passé ... Cette oeil que je possède appartenait à mon ami que je veux venger , et la mort des nobles est une prorité pour moi ... Comme la mort de votre père Princesse Zelda ! Dommage qu'il ne soit deja plus de ce monde ..."


Lliude


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(vide)

"On dirait que tu ne connais rien des pouvoirs de ma pupille , que l'on nomme sharingan ... Crois moi , ta mort ne m'apporterais rien , et c'est pour sa que je ne vais pas te tuer , mais te mettre or d'état de nuire ... Et puis je ne connais pas tes objectifs , je me fiche de l'avenir , de savoir si il sera lumière ou ténèbres ... Je suis attaché à un serment , une vengeance , au passé ... Cet œil que je possède appartenait à mon ami que je veux venger , et la mort des nobles est une priorité pour moi ... Comme la mort de votre père Princesse Zelda ! Dommage qu'il ne soit déjà plus de ce monde ..."

Lliude écoutait attentivement Daidara, mais ne pouvait s'empêcher de soupirer. C'était a croire que la vengeance guidait les pas de tous les torturés de ce monde... A vrai dire, il pensait ça par expérience, ayant été lui même un torturé... Accueillir une âme dans son corps en plus de la sienne fut une expérience troublante et éreintante, autant psychiquement que physiquement. Le métamorphe était également en colère contre lui-même. En tentant de faire changer Daidara par les mots, il avait baissé sa garde. Et il venait de se faire avoir comme un vrai bleu. Ca lui apprendra a parlementer au lieu de laisser s'exprimer les armes. Sur ce il s'écria:

"Tu sais, la vengeance, la haine, ce ne sont pas des choses qui font vivre. J'ai été comme toi. Pour rien au monde je n'aurais mis de côté mes objectifs de côté. Qu'importait les sacrifices et les moyens utilisés, je devais arriver à mes fins. Même si la mort devait me faucher. Mais je me suis rendu compte que si la haine font vivre des gens comme toi ou moi, elle nous annihile plus qu'autre chose, ainsi que notre vrai pouvoir."

Lliude disait ça en connaissance de cause. Sa double personnalité entretenue par la haine et le sang aurait pu le perdre. Et sa lutte fratricide lui avait appris beaucoup de chose sur la vie et la mort. Mais il savait également qu'une rage pure était très difficile a contenir.

"Et quand notre âme est enveloppé dans le linceul noir de la haine, notre plus grand ennemi, c'est nous-mêmes" Laissa t-il échapper par inattention.

Soudain, il sentit sa main gauche trembler puis bouillonner. Il saisit alors sa double lame de la main droite et déclara en reprenant son sourire carnassier habituel:

"Tu sais, il y a quelque chose que je déteste chez les gens comme vous..."
*Je vais pouvoir mettre en pratique ce que j'ai utilisé durant mon entrainement avec Zan'...*
songea t-il.

Il se décala légèrement vers l'arrière et avant que Daidara ne puisse tirer sa faux vers lui pour trancher la gorge de l'hylien, celui-ci interposa sa main (ou plutôt ses griffes) entre sa gorge et le métal froid. Ladite main n'avait plus rien d'humain. Elle ressemblait à une masse organique disposant de longues lames tranchantes à la place des doigts. Les griffes du guerriers se recourbèrent sur la lame de la faux pour pouvoir la repousser plus facilement.

"...C'est qu'ils prennent leurs adversaires de haut et crient victoire avant même que le combat ne soit fini! déclara t-il d'une voix forte.

Lliude serra la double lame et se tourna vers son adversaire. On pouvait voir la détermination dans les yeux du guerrier. Il fit une extension du bras gauche ainsi qu'un pas vers Daidara afin de pouvoir se rapprocher suffisamment de son adversaire pour que son arme puisse le toucher et abattit sa double lame sur sa cible.
S'il ne lâchait pas sa faux, ce serait la mort immédiate.


Zan: Et cette fois pas de clone ni d'illusion please ;)


Dun Loireag Dragmire


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(vide)

[Vive les nobles hein? XD Bande de voleurs d'idées!]

Dun avait percuté l'épée de Kisame, mais n'avait pu que la faire trembler, ce dernier exerçant une pression monstrueuse sur son arme géante. Esquivant au cas où l’homme auraient voulu le contrer le jeune Prince se mit de côté alors que Nasimka s'était lui aussi engagé dans le combat. D'un coin du regard, il pu ainsi observer que Lliude s'était éclipsé tandis que l'attention était focalisé sur eux-même. Mais alors qu'il s'attendait à devoir combattre aux côtés du squelette, ce fut ce dernier qui attaqua Kisame le plus violemment. Mais tandis que son véritable combat l’attendait plus haut dans la tour, le voici qui était bloqué ici, incapable d’avancer ! Maudissant sa propre faiblesse alors qu’il cherchait à se dissimuler aux yeux des autres, sa providence lui fut accordé par un… démon. Bien loin de se douter que ceux-ci pouvaient exaucer les souhaits les plus chers, le Prince reconnu en lui le Troisième. Ainsi donc, Zangetsu avait pu revenir à temps ! Cela changeait complètement la donne, et doutant très fortement qu’un homme soit capable d’en maîtriser trois, l’ex-Chancelier se dirigea vers l’escalier. En réponse, l’homme poisson invoqua un brouillard qui s’étendit à toute la pièce, voir à tout le château ? N’apercevant strictement rien dans un premier temps, cela avait été sans compter que son adversaire s’était contredit lui-même. Car le sol qui commençait à s’écrouler laisser s’échapper de plus en plus de brouillard jusqu’à ce que le Prince puisse discerner les escaliers. Mais plus intéressant encore, alors qu’il faillit tomber dans le vide et qu’il se rattrapa de justesse au rebord avant de remonter, Dun aperçu un spectacle intéressant. Se retournant sans douter un instant que le Second pourrait mener à bien l'affrontement contre les clones et le membre de l’Hibi, il grimpa à nouveau les marches le plus vite possible jusqu'à arriver devant l'une des scènes de violence des plus atroces qu'il ait connu. Regardant un à un les corps mutilés, transpercés, Dun reconnu les soldats qui s'étaient déversés en lui et découvrit ce qui les avaient attendu après leurs mort. Lliude lui-même semblait révulsé face à ce spectacle, tandis qu'un autre membre de l'Hibi semblait s'en prendre à lui. Mais même s'il aurait voulu l'aider, c'était plus qu'impossible devant la scène qui se présentait sous ses yeux : Le Seigneur du Malin s’en prenait à sa femme. Réprimant la crainte de la voir disparaître d'un instant à l'autre, le jeune homme voulu les rejoindre en courant, mais il se heurta à un mur... invisible?! Doutant qu'il s'agissait d'un sort de protection lancée par sa femme, le jeune sorcier réalisa qu'il était étendu à toute la pièce. Ses soupçons furent confirmés par le fait que la lueur purificatrice du château brillait plus intensément à son contact : Un affrontement de magie semblait se dérouler sous ses yeux. Pourtant s'il s'agissait là de deux sorts équivalents -puisque qu'usité de par les Triforces-, ni l'un ni l'autre ne semblait pouvoir prendre le dessus. Etait-ce donc la fin? De tout, de sa vie, de ses projets, de ce monde?! Frappant de rage et de désespoir contre la paroi invisible, L'ex-Chancelier baissa la tête, vaincu.

*Klink*

"Eh...?"

Relevant le visage, l'air crédule, le jeune homme observa ce qui venait de faire ce bruit de verre brisé : La lance venait de pénétrer légèrement -de quelques millimètres seulement, mais légèrement tout de même- en faisant apparaître une fissure dans le vide. Plaquant ses mains contre la surface, Dun cru pouvoir en faire autant immédiatement mais se heurta encore une fois à la protection. Ne laissait-elle donc entrer personne?!

*Utilisez-nous...*


Se retournant vivement en croyant qu'un ennemi avait réussi à le surprendre, le jeune homme ne vit que le combat qui se déroulait entre Lliude et Daidara. Et c'est après avoir regardé dans toutes les directions que son regard se posa enfin sur son arme. Leurs pensées se détachèrent du sien, lui éclaircissant les idées et le ramenant dans son état d'esprit habituel, pour se loger cette fois-ci entièrement au sein de la lance. Loyauté, Liberté, Abnégation, Apaisement, Paix et Délivrance. Tous les sentiments négatifs avaient disparu pour ne laisser place qu'à une unité parfaite entre leurs Esprits. Oui, la barrière remplissait parfaitement sa fonction et ne laisserait passer de personnes... Mais qu'en était-il des morts? Des âmes dans leur forme la plus parfaite? Jetant un regard nouveau sur la protection, Dun vit que la lueur gagnait du terrain. Sans doute la minuscule fissure avait-elle donnée la faille par laquelle l'un des deux pouvoirs de Triforce s'insinuait dans l'autre. Mais même si cela représentait un prémisse d'espoir, le temps que cela prenait ne présageait rien de bon. Non, définitivement, le Seigneur des Ténèbres aurait le temps d'occire sa femme!

*Utilisez-nous...*


Encore cette voix! Jurant contre lui-même, le jeune Prince comprit qu'il ne fallait même pas hésiter, son corps lui appartenait maintenant après tout. Prenant appui fermement au sol et attendant que la lueur du château se soit incrustée aussi loin qu'il pouvait attendre, le jeune homme stoppa son geste. La question fatidique restait en suspens : Que faire, qui viser? Il n'avait droit qu'à un seul essai... Devrait-il la lancer sur Ganondorf? Non cela serait inutile, le Seigneur du Malin était beaucoup trop fort pour lui, et il n'allait sûrement pas le vaincre en un coup. La Princesse? Cela revenait à donner un coup d'épée dans l'eau. Dans un soubresaut d'instinct, Dun décida qu'il ne ferait ni l'un ni l'autre. Serrant son arme de toutes ses forces, il prit son élan et la lança de toutes ses forces contre la protection.
________

Provoquant des étincelles d'abord rouge de par leur sang originel, puis dorée alors que la Grande Lueur s'engouffrait dans la faille elle aussi, deux âmes volèrent en éclats lors de l'impact. Mais même si le prix était élevé, cela paya : Accompagnés de Sagesse, les morts partirent pour le dernier combat de leur existence. Véritable champ de bataille, ils quittèrent celui qui les commandaient jusque là et se dirigèrent vers le Soleil qu'ils avaient juré de protéger. Toutefois le doute ne les habita pas tandis qu'ils passaient à un cheveu de son visage, car il était devenu depuis longtemps un des sentiments qu'ils avaient tous égaré lors de la Grande Lueur. Pourtant, tandis qu'ils perdaient de plus en plus de leur humanité alors qu'ils étaient séparés de leur seul support humain, la Pointe Argentée se dirigea vers le Mur de Couleurs... Afin de le percuter de toute leur volonté.
Les huits esprits restants n'y survécurent pas.
__________

Ayant propulsé de toutes ses forces son arme, celle-ci entra en contact accompagné rare violence avec la barrière de protection. Restant en suspens dans le vide alors que sa pointe tentait de briser cette dernière, le pouvoir de la Triforce s'engouffra dans cette minuscule fissure en enveloppant la lance... Tant et si bien que le trait finit par s'y incruster et la traverser tout en se désagrégeant, perdant une partie de sa couche d'Acier qui s'évanouit dans les airs. Dès lors, la pointe suivit sa trajectoire et passa à quelques millimètres à peine du visage de Zelda pour se diriger vers le grand vitrail de la tour. Celui-ci représentait un soleil levant qui, par effet de transparence donnait l'impression que le matin se levait sur la plaine d'Hyrule. Toutefois, peu importe la beauté lorsque l'on est un obstacle et lorsque l'arme voulu le briser, elle fut arrêtée nette par la barrière. En tout cas, c'est ce qui se serait définitivement passé si elle n'avait créé un lien entre elle et le château. Chargée du pouvoir de la Sagesse, celle-ci pénétra l'intérieur de la protection afin de la détruire. Mais si le support sur lequel elle se reposait n'avait créé qu'un trou minuscule permettant tout juste à la lance de passer de l'autre côté, l'esprit des morts avaient ici un tout autre but. C'est ainsi qu'ils se confrontèrent de toute leurs existences, laissant de plus en plus de pouvoir les utiliser comme simple pont afin qu'elle puisse faire voler en éclats tout le vitrail. Et c'est dans un grand bruit de brisure de cristal comme de barrière que la lance vola elle aussi en milles morceaux; tandis que l'on eut l'impression d'entendre un soupir de soulagement s'échapper de sa poussière déjà disparue.
A genoux, encore sous le choc de la séparation des esprits à l'image d'une déchirure de papier, Dun ne pu que voir la scène. La barrière était encore intact -mis à part le trou minuscule- et l'empêchait donc de passer, alors que de l'autre côté le vitrail avait laissé un trou béant, assez grand pour une personne en tout cas...


"SAUTEZ! FERIEZ-VOUS DE MOI LE PRINCE INCOMPETANT QUI N'A PU SAUVER SA PROPRE FEMME?! QUEL PEUPLE ME SUIVRAIT APRES CELA?!"

Les mots douloureux étaient lâchés, car il n'était venu la rejoindre que dans ce but : Lui dire toute la vérité. Il était certain qu'elle aurait refusé d'abandonner ses hommes, mais ces derniers étaient déjà dans l'au-delà, tout comme il risquait d'arriver la même chose à Hyrule tout entier. Car vaincre la Princesse n'était pas prendre l'avantage dans une guerre imminente...
C'était remporter la guerre elle-même.


Zelda Nohansen Hyrule

Princesse de la Destinée. ∫ Édile de Nayru.

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(vide)

Tout s'était passé très vite ... Alors qu'elle était toujours en train d'alimenter en puissance l'anti-sortilège qu'elle avait lancé, la porte qu'elle avait verrouillée se brisa. Trop tôt, bien plus tôt qu'elle ne l'avait espéré. À peine avait elle eut le temps de se relever que Ganondorf était près d'elle, accompagné d'une autre personne qui lui était inconnue, et ayant massacré sur son passage les quelques gardes qui avaient osé se mettre sur son chemin. Horrifiée, et reculant d'un pas, elle vit alors arriver un autre jeune homme.. Jeune homme qu'elle avait déjà rencontré, et même si elle ne l'avait plus vu depuis un moment (n'ayant plus eu l'occasion de quitter beaucoup le palais), elle ne s'en souvenait pas moins. Malheureusement, le défi qu'il lança au Seigneur du Malin ne sembla pas intéresser ce dernier, et alors que l'homme qu'elle ne connaissait pas bloquait la route à Lliude, Ganondorf garda son attention sur elle. Il dressa d'ailleurs une barrière magique pour empêcher quiconque de les rejoindre de l'extérieur, ou de sortir... Elle remarqua également qu'elle n'arrivait plus à utiliser ses pouvoirs, sans doute Ganondorf profitait-il qu'elle s'était affaiblie en protégeant le château pour la bloquer dans cet espace qu'il avait créé.
Voici donc comment elle se retrouva seule, désarmée, sans possibilité d'utiliser sa magie, devant un homme armé.


"Quant à vous, princesse, il semble qu'une question ait été posée: où se sont réfugiés les nobles?"

Ce dernier n'obtenant pas de réponse immédiate, la gratifia d'un coup de poing, qui la fit reculer de quelques pas en se tenant le ventre d'une main, baissant la tête.

"Je n'ai besoin que de deux choses: votre fragment et l'emplacement du refuge des nobles: on peut le jouer avec douceur ou avec violence...
Ne m'obligez pas à vous tuer alors que vous pourriez vous en sortir sauve."


Pourquoi lui demandait-il où étaient les nobles? Elle-même n'en savait rien, étant resté dans cette tour depuis le début de l'attaque elle ne savait pas du tout où ils étaient allés. Sans doute chacun de leur côté s'étaient-ils réfugiés, accompagnés ou non de gardes, dans une partie du château encore libre, ou peut-être s'étaient-ils enfuis par des passages secrets pour éviter la bataille. D'autre part, elle se demandait aussi ce que Ganondorf espérait faire pour récupérer le fragment de Triforce. S'il avait été si simple de le voler lors d'un combat, est-ce que les 7 sages, malgré leurs forces réunies, se seraient bornés à sceller Ganondorf dans une autre dimension? Même avec un Ganon au bord de l'agonie, ils n'avaient pas été capables de lui reprendre la Triforce à l'issue du combat, et avaient préféré une autre solution, pourtant sceller une personne dans une autre dimension n'était déjà pas en soi une mince affaire.

Malheureusement, son champ d'action était assez réduit, et elle doutait que l'aveu de son ignorance concernant l'emplacement actuel des nobles, et son refus de céder de son plein gré la Triforce contentent Ganondorf. Si elle abandonnait le fragment, il y avait beaucoup de chances pour que le royaume soit perdu, mais si elle abandonnait sa vie, elle ne le sauvait pas pour autant. C'est perdue dans ces pensées, qu'elle n'entendit pas l'arrivée de son mari à proximité de la barrière. En effet entre ses réflexions et les bruits du combat qui se déroulait à côté entre Lliude et son adversaire, l'arrivée de Dun restait assez discrète malgré son acharnement contre la barrière magique. Ce ne fut que lorsque qu'une lance lui frôla le visage, passant devant ses yeux pour aller éclater en milles morceaux le vitrau à proximité, laissant derrière son passage une fissure dans la barrière assez large pour y passer, qu'elle tourna la tête et vit son mari qui se tenait de l'autre côté de la protection dressée par Ganondorf.

"SAUTEZ! FERIEZ-VOUS DE MOI LE PRINCE INCOMPETANT QUI N'A PU SAUVER SA PROPRE FEMME?! QUEL PEUPLE ME SUIVRAIT APRES CELA?!"

Si ses yeux s'étaient mis à briller quand elle avait aperçu le Prince, ses paroles lui rendirent un air plus étonné et sonné que ravi. Sauter? Elle se savait sur la plus haute tour du château, serait-elle vraiment sauvée si elle se jetait de cette hauteur? Et ... Ne s'était-elle pas promis de ne pas prendre la fuite ..? Malheureusement la situation en était arrivé à un point où ne pas prendre la fuite serait de la folie ou de l'aveuglement plus que de la témérité. Elle n'avait pourtant pas vraiment le temps de douter... Elle lui faisait confiance... Était-elle capable de se jeter du haut d'une tour si c'était lui qui le lui demandait?

Alors elle lui sourit. Elle ne savait pas ce qui l'attendait en bas, et en fait peu importait, elle n'avait plus qu'une échappatoire, c'était de s'en remettre à lui, mais quoi qu'il arrive, c'était ce qu'elle pouvait lui offrir si elle ne le revoyait plus, c'était sans doute peu, mais c'était sa seule façon de lui souhaiter bon courage pour la suite et le remercier d'être venu jusqu'ici, que ça soit pour elle ou pour le royaume, espérant sans doute, même si elle ne voudrait jamais s'avouer à elle-même, qu'il était venu prioritairement pour elle. Et c'est ainsi qu'elle se surprit à courir jusqu'au vitrail brisé et sauter dans le vide, pour commencer ce qui allait sans doute lui sembler la plus longue chute de sa vie.....


Dun Loireag Dragmire


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(vide)

Zelda l’avait fait, prenant son courage à demain et ayant confiance en son mari –avait-elle raison ?-, la jeune femme s’était élancée par le trou laissé par le vitrail. Pourtant le jeune Prince ne pu savoir si elle avait survécu, n’ayant pu voir le reste de la scène. Car lorsque Kisame avait commencé à faire s’effondrer le sol, Dun avait bien pu voir Lully et Dark Link adresser la parole à un membre de l’Hibi, mais auraient-ils remarqué le chaos qui prenait place dans cette tour ? Priant les déesses, et c’est un fait rarissime, le jeune homme ne pu s’en remettre à la chance. On ne décidait pas d’une vie sur de la chance, c’était ce qu’il avait fait et ma foi, si cela avait réussit par certains aspects, d’autres s’étaient écroulés sur eux-mêmes. Ne cherchant même pas à voir si elle avait pu passer, le jeune Sorcier se retourna pour se diriger subitement vers… Lliude ?! Ce dernier venait d’attaquer Daidara bien que Dun n’ait pu voir s’il l’avait touché ou non. Et c’est en courant que le jeune Prince se murmura pour lui-même un « Désolé d’avance… » tout en lui donnant un coup de poing sonore. Plus impressionnant que douloureux, cette attaque complètement illogique dans cette situation avait pourtant tout son sens : Car l’une des règles du Groupe sans Nom était de ne pouvoir se mettre au travers du chemin d’un autre membre sans en subir les conséquences. Et subitement, sans prévenir, une main toute de blanche vêtue surgit de nulle part pour le saisir violemment au cou. Emporté par l’élan de cette créature qui le dépassait totalement, la Nonne Blanche le plaqua contre le mur tout en gelant une partie de ce dernier. L’implacabilité se reflétait dans son visage et au fur et à mesure qu’elle plongeait son regard dans celui de Dun, ses doigts se crispèrent tout autour de son cou. La Juge du groupe était présente, et il était maintenant sur le banc des accusés. Toutefois cela eut l’effet qu’escomptait le jeune homme : Chaque membre se devra de poursuivre celui qui les a trahit jusqu’à ce que ce dernier ait payé de son acte. Pour cela, leur attention était focalisée sur ce dernier, à la folie si la personne tentait d’ignorer cet appel appuyé de son miroir. De ces deux règles, le jeune Prince n’en attendait pas une réelle peine, car un simple coup de poing ne méritait pas la sentence qu’elle aurait voulu infliger. Et c’est en effet en le lâchant dédaigneusement qu’elle se retourna… Le regard qu’elle lui jeta lui indiqua clairement de ne pas faire à nouveau un geste pareil, bien que cela ne soit aussi léger qu’une bataille pouvant se déclencher entre deux ivrognes. Encore sous le choc du traitement qu’il avait reçu dans le désert, Dun tomba au sol. Et après avoir essayé de bredouiller des mots sans succès, il hurla de toutes ses forces en regardant le Seigneur du Malin.

« FAITES MOI EXPLOSER CETTE TOUR ! »

Espérant que le message arriverait aux hommes de la garde, le jeune homme reprit sa respiration pour le hurler une nouvelle fois. En effet, n’avait-il pas clairement indiqué aux soldats de stocker et de protéger la réserve de poudre au péril de leur vie ? Intuition plus que prévoyante dans ce cas, puisqu’elle allait être appliquée maintenant. Devant faire détruire le château s’il venait à être pris par l’ennemi, cela ne semblait toutefois pas nécessaire ici…

Ils s’étaient pratiquement tous rassemblés au même endroit en territoire ennemi, qui plus est dans un lieu en perdition. Car Kisame l’avait déjà affaibli en faisant pratiquement s’écrouler le sol et donc les escaliers. Affaiblissant grandement la structure en pierre, celle-ci ne résisterait sûrement pas à une déflagration, sans parler de la force machiavélique qu’avait imposé le Seigneur des Ténèbres dans ses murs.
On récoltait toujours ce que l’on avait semé, et cette tour serait sans aucun doute leur tombeau à tous.


Llanistar van Rusadir


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La rage bouillonnait dans le coeur du démon. Les deux appels n'avaient jamais été aussi insistants et forts mentalement. Le crâne de loup de Zangetsu lui parut exploser jusqu'au moment où l'effondrement du sol le fit sortir de sa rèverie. Le démon n'eut pas le temps de se rattrapper bien qu'il vu Dun le faire et tomba de tout son poid à l'étage inférieur...au milieu de gardes terrifiés. Ils le fixèrent, horrifiés et ne le reconnaissant sans doute pas lui et les nécromanths qui le relevaient avec peine. Les yeux rouges, il fixait le saumon pas frais devant lui. Incapable d'attaquer comme le lui indiquait son instinct, il attendait, le regard planté dans d'oeil de son ennemi. Il sentit une magie émaner de lui. Une magie vulgaire, sans puissance ni rafinement. Un simple concentré d'énergie sans un soupsons de virtuosité. Même lui, avec des coups de griffes utiliserait mieux la magie que ce saumon qui se contentait de se cacher derrière des clones ou que ses amis qui se contentaient d'yeux anormaux. Soudain, il remarqua que les gardes d'hyrules ne se préocupaient pas de l'homme poisson mais bien de lui.

Tue les! Lui ordonnait la voix d'Abaddon. Mais lui savait, malgrés son état animal qu'il étaient non pas mais mais alliés. Qu'ils n'étaient pas de la même meute mais d'une autre, amicale. Ralliant tout la maîtrise de lui même qu'il possédait, il entreprit de retrouver sa partie humaine. Il plongea dans les méandres de son être à la recherche de sa partie faible. Les ténèbres l'entourèrent. Son esprit, son corps et son âme n'étant pas séparés mais unis, la violence mentale fut etourdissante quand il s'y heurta mais il y pénétra et, flotant dans le grand vide, retrouva une légère flamme bleue. Elle vacillait, trépignait et faiblissait mais continuait à bruler. Il s'étreignit et enfin il retrouva son corps d'Homme. Dehors, tout devait avoir duré une simple seconde. Un des gardes, moins méfiant que les autres s'avança, mit un genou à terre et demanda d'une voix tremblante, incertain de la réaction qu'allait avoir son supérieur...

"Chef! Quels sont vos ordres?"

Voyant que Zangetsu n'avait réagit que par un temps de réflexion, les autres gardes se détournèrent un peu de lui et se concentrèrent sur l'homme poisson. Soudain, le démon reçut un ordre mental de Dun, aussitôt répercuté par un échos faible.

Situation?

Le jeune homme reprit contenance et sa voix se raffermit à mesure qu'il parlait et qu'il reconnaissait le démon pour le garde royal qu'il connaissait.

"Le château est sous contrôle. Les hordes de Ganon ont été anéantis par nos efforts conjugés à ceux de vos hommes et à la lumière sacrée. Il reste des petites poches de résistance mais elles ne tiendront pas longtemps. Les réserves sont sécurisés: vivres, armes, poudre..."

Zangetsu l'interrompit violemment.

La réserve de poudre en dessous de cette tour?!

"Oui mais pourquoi?..."

Le soldat n'eut pas le temps d'achever sa phrase. L'ordre de Dun était clair et réfléchit. Si il avait ordonné cela c'est qu'il savait que la réserve se situait là. Zangetsu laissa alors son adversaire en arrière, faisant suite, à tout ses hommes et aux gardes de le suivre. Il descendit deux escaliers en dévalant les marches et atteint la réserve, solidement gardée. Là, Il bouscula quelques gardes et ordonna qu'on lui apporte une torche et que l'on dégage l'endroit. Quand il fut seul, il choisit une mèche très courte dont le tonneau exploserait très vite, lança la torche et courut.

L'explosion fut monumentale. Toute l'aile du château fut balayée sous l'impact. La tour, elle, s'effondra en deux secondes sans un temps mort. Les lourdes pierres écrasant quelques monstres survivants. Les gardes étaient déjà dans d'autres parties du château à terasser leurs ennemis quand le grand facas leur parvint. Les hurlements inèptes des monstres furent entendus de loin.

Zangetsu, quand à lui, se traina tant bien que mal en dehors des débris. Les gardes et les nécromanths se réunissant afin de connaître leur ordres.


J'ai horreur de faire ca sans l'accord de la princesse et du prince mais...en l'absence du garde en chef, je dirige la défense du château. Il reste encore des membres d'une organisation, hibi. Ils portent un manteau noir orné de nuages rouges. Ils se servent d'illusion et de clones. Gardez toujours un mage avec vous, patrouillez par groupe de 10. Trouvez les et aussitôt prévenez moi. Ne vous attaquez pas aux citoyens de nom de Lliude, Lully, Nasimka et à une ombre qui est votre alliée. Allez!

L'appel de Zelda avait presque disparut. Quand à savoir la signification de cette disparition, le démon ne pouvait avoir de certitude. En revanche les derniers mots qu'il avait reçut du prince avaient été exécutés et déjà sa voix s'éloignait dans les méandres de l'esprit. Il restaient les ordres d'Abaddon. Zangetsu savait qu'il devrait trouver Ganon pour mettre fin à cette situation. Bien qu'il sut lui avoir porté un coup, il savait que le "seigneur de malin" ne mourrait pas de l'effondrement d'une tour. C'est pour cela qu'aussitôt...l'animal reprit le dessus et c'est avec un flair renouvelé qu'il se mit à sa recherche.

[hrp]Pour les sceptiques, Dun avait bien parlé de cette réserve dans son premier post de ce rp.[/hrp]


Angelus


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(vide)

Son adversaire avait raison sur certain point concernant la vengeance ... mais après tout , l'heure n'était plus à la discussion mais au combat ! Lliude surpris Daidara , car il réussit à dégager la lame de Daidara de sa gorge avec un bras organique , étrange comme pouvoir ... Et avant même de pouvoir riposter , Lliude le chargea avec sa double lame , deux choix apparurent à Daidara , mourrir ou lacher son arme . Daidara lacha sa faux et recula pour esquiver le coup de Lliude . La fatigue commençait à se faire sentir , le sharingan de Daidara n'était pas totalement habitué au métabolisme de son corps , ce qui faisait qu'il se fatiguait assez vite .

« FAITES MOI EXPLOSER CETTE TOUR ! »

Avant même que Daidara ne put comprendre quelque chose , une terrible explosion se fit entendre , et la tour s'effondra . Il fallut quelques minutes à Daidara pour reprendre ces esprits , il était au sol , il ne voyait plus Lliude et Ganondorf , il y avait de la poussière partout . Et Daidara ne sentait plus son bras gauche ! Il avait été cassé , un rocher était tombé en plein dessus . Les os de son bras avaient été brisé ...Combattant la douleur , il se releva , il chercha à récupérer ces esprits . Il plongea son bras droit dans sa sacoche d'argile ... Pour pouvoir se défendre au cas ou ... Mais ou était Lliude et Ganondorf ?


Kisame


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Et bien , voila qu'un autre gars se ramenait à la fête , un démon cette fois , et c'était le fameux Zangetsu ! Il réussit à annuler le sort de Kisame . Dun réussit à partir dans la tour , quelle poisse ! Et Zangetsu eut un problème , il se transforma en une grosse bestiole , qui dévisagea Kisame .

"Et bien , il y a de vrai phénomène de foire ici muahahahahaha"

Mais même si il faisait le malin , l'utilisation des clones et la création du brouillard l'avait fatigué , c'était le problème de la magie de l'eau , dehors on pouvait puisser l'eau dans le sol ou un truc du genre , mais dans un château ... Il fallait directement transformé son énergie en eau , ce qui fatiguait . C'est pourquoi , le mieux pour le moment était d'utiliser surtout du corps à corps . Zangetsu retrouva sa forme humaine lorsque des gardes vinrent le voir , et juste après c'est vers Kisame qu'ils se tournèrent . Zangetsu lui partit à la recherche de quelqu'un on aurait dit . Ce qui faisait que à présent , il restait Kisame , Nasimka et quelques gardes .

*Le choses se compliquent , je n'arriverais pas à gagner sans être bléssé , et j'ai besoin de toute mes forces pour faire ma mission ... Bon , je vais devoir combattre , peut être quelqu'un viendra m'aider ...*

Il fonça l'épée en main vers Nasimka et les gardes pour les abattre .


« FAITES MOI EXPLOSER CETTE TOUR ! »

A ces mots, je réfléchissais à toute vitesse: il était claire que je n'avais pas le temps de descendre la tour avant son explosion: je dissipa donc le bouclier et couru vers le vitrail brisé. L'explosion retentissa, m'expulsant à l'extérieur, j'usai de mes pouvoirs pour me stabiliser et partis en retrais dans un zone pas trop gardé: il était temps de faire le point...
Si je n'avais par chance pas était véritablement blessé par l'explosion: quelque brûlure et blessure superficiel, mon armés avait quasiment été anéantis, les prisonnier libéré semblaient avoir fuit la bataille et bien que la majorité des gardes aient étaient anéantis, de nouveaux arrivants venaient sans cesse pour protéger le palais.
L'attaque n'avait finalement pas pris en compte le peuple d'Hyrule qui avait pris position. Cependant, avec une partie du château en ruines, touts les assassins du royaume en cavale et la plupart des gardes exterminé, la défense du palais était plus faible que jamais: la famille royale allait avoir autre chose à faire que me poursuivre dans les jours qui viendraient.



Cependant, même si la situation semblaient désespéré, il était hors de question d'abandonner le combat... Pas sans une ultime confrontation avec la famille royale. Le prince avait voulu me faire péter avec la tour? Qu'à cela ne tienne... La princesse allait devoir attendre: j'allais tuer son époux!
Emplis de haine et sûre ma personne, je me dirigea de nouveau vers le palais: le prince allait payer pour son impudence.

Ce compte est un compte narrateur : les personnages joués par le narrateur ne peuvent pas être utilisés par les joueurs ou joueuses dans leur post (sauf autorisation d'un admin) et les jets de dé du narrateur sont contraignants.



Dun Loireag Dragmire


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Dun s’était tu, voulant encore crier son ordre dans l’espoir que quelqu’un l’entendre, en vain. Le froid lui avait endolori la gorge tant et si bien que le jeune homme n’avait pu continuer sa supplication plus longtemps. Et c’est en se massant le cou d’un geste las que le jeune Prince regarda alors le Seigneur du Malin, affublé d’un sourire au visage. Il doutait pouvoir le tuer, c’était même impossible dans son état actuel alors que son ennemi était doté d’une force divine. Mais c’était ce même avantage qui ne pouvait que l’attirer inévitablement envers cet homme, tout comme un insecte était irrémédiablement attiré par une lumière la nuit. Peu importe ce qu’ils devenaient maintenant ! Une explosion qu’ils ressentirent par le sol même de la tour le conforta dans son idée. De quelques façons que ce soit, son cri était parvenu aux Gardes qui obéirent promptement à l’exécution de leur propre Prince. Le visage détendu, l’air serein, il se surprit alors à apprécier le silence qui précédait le chaos à venir. Etaient-ils au courant de sa présence dans la tour ? Probablement que non, mais en auraient-ils fait autrement tout en sachant que cela pouvait sauver la vie de leur souveraine ? Souriant pour lui-même le jeune Sorcier se dit que oui, cela devait être le cas… Quoiqu’il advienne à partir de maintenant, elle saurait se débrouiller seule au final.
… Il lui fallait donc se relever. La souveraine n’avait désormais plus besoin de protection en ces heures sombres.
Se hissant sur ses deux jambes et tenant en équilibre tandis que les pierres s’affaissaient tout en dessous d’eux, l’ex-Chancelier se dirigea vers les débris de la porte que Ganondorf avait fait voler en éclats. Celle-ci n’avait pu résister à la puissance maléfique du Seigneur du Malin, mais le pouvoir de la Sagesse lui-même l’avait imprégné voici quelques minutes ! Cherchant à tâtons dans la pièce maintenant obscurcie tandis que les torches tombaient une à une par terre, le plafond lui-même commençait à s’affaisser jusqu’à ce que Dun puisse enfin trouver ce qu’il cherchait : Un pan entier de la porte assez grand pour un corps. Le traînant difficilement dans un coin, le jeune Prince eut tout juste le temps de s’y réfugier avant qu’un grand choc ne vienne débuter leur descente fatidique aux enfers. Le Seigneur du Mal avait apparemment disparu, mais cela importait peu au jeune homme qui n’entendait que l’éboulement des pierres et ne ressentait que la douleur cinglante alors qu’elles s’écroulaient sur elle. Le bois enchanté de la porte qu’il utilisait comme coquille le protégeait du plafond devenu maintenant meurtrier, mais chaque étage qui cédait le rapprochait du sol et l’impact final. L’écorce grinçait sous le poids des pierres mais ne cédait pas tandis que la poussière envahissait ses poumons et l’empêchait de respirer. Un instant il aurait même préféré mourir rapidement plutôt que de souffrir ce calvaire encore une seconde de plus !
… Mais toute chose a une fin, et c’est après un grand choc que sa vision s’obscurcit, et qu’il perdit connaissance…
__________

Ouvrant les yeux, le Prince découvrit avec horreur et admiration la terre dans laquelle son visage était plongé. Une couleur rouge la colorant, sans doute se serait-il noyé dans cette mince couche de boue s’il n’avait repris connaissance… Même s’il lui fallait encore se dégager. Poussant de toutes ses forces contre le bouclier qui était devenu un poids pour lui, le Prince eut du mal à le soulever de quelques centimètres pour finalement le faire pencher sur le côté. Faisant s’écrouler le monticules de roches qui s’était formé sur lui, Dun resta toutefois face contre terre, encore trop sonné pour se relever. Calmement, il tenta de faire état de son propre corps et en commença l’étrange inventaire morbide. Déjà il ne sentait plus son bras gauche et celui-ci avait une orientation plus qu’horrible ; sans doute n’était-il pas cassée, mais la pression qu’il avait subit l’empêcherait de s’en servir pendant un bon moment. Mais s’ils s‘agissait là d’une des blessures qu’il avait subit, le jeune Sorcier ne pouvait même pas se rendre compte de l’état dans lequel se trouvait son corps. Meurtri jusqu’à la mœlle, sa chair et ses os hurlaient de douleur tandis qu’il sentait cette dernière l’enivrer de sa réalité oppressante. Ses forces commençaient à le quitter peu à peu alors qu’il sombrait encore dans l’inconscience, et Dun chercha soudainement la raison pour laquelle il continuait à lutter. Toute cette bataille, ces Triforces, ce pays, ces hommes ; les concernaient-il après tout ? Il aurait été si simple de se laisser aller au contact froid de la mort, et d’attendre le prochain éboulement de pierres instables afin de ne plus ressentir cette souffrance !
… Mais hélas, il ne le pouvait pas. Plongeant ses mains dans la gadoue qui se formait de la terre et de la pluie farineuse, le jeune homme repris son souffle en relevant la tête. Non, il ne pouvait définitivement pas se laisser aller maintenant, alors que toute sa vie s’était consacrée à l’atteinte de son but. Pire encore que ce Lotus qu’il avait découvert dans le désert, pire encore que le Gardien qu’il avait dû occire pour l’utiliser, et plus important encore que la motivation qui l’animait à ce moment-là ; le jeune Chancelier faisait tout pour se relever de cette mixture infâme qui cherchait à le noyer. Une armée ? Bah ! Il en avait vu tant… Des nobles en péril ? Bah ! Ils n’étaient qu’une tâche à effacer de ce paysage… Sa femme ? Bah ! Elle était maintenant à l’abri. Non, ce qu’il recherchait maintenant était contre toute attente l’homme qui cherchait à le tuer en ce moment même : Le porteur de la Triforce de la Force. C’est à sa quatrième tentative que Dun pu enfin se relever entièrement, chancelant légèrement alors que sa chair meurtrie lui hurlait de se rallonger et que le vent froid passait au travers de ses vêtements déchirés par endroits.


« Cet homme… Preuve… Que j’attendais… Sa force… »

Des mots dénués apparemment de sens tandis qu’il se mettait à s’avancer, des flash lumineux lui passant devant les yeux encore sous le choc. Des mots que seuls les morts alentours pouvaient entendre alors qu’il les prononçait sous le fin rideau de la pluie. Mais tandis que du sang s’écoulait de sa main inerte dans une grande flaque d’eau de pluie, le jeune homme la saisit de son autre membre afin de la serrer rageusement. La douleur perçante le sortit de son état second alors qu’il serrait de plus en plus fort et qu’il usait à nouveau de sa sorcellerie. Serrant des dents sous l’effort et s’étouffant dans son propre fluide vital, le sang dilué dans la solution aqueuse réagit enfin en se transformant : Un cercle d’épées pourpres émergea d’un coup tout autour de lui alors qu’il reprit bruyamment son souffle. Cette vision du dos transpercé d’épées de cet homme qu’il suivait toujours n'avait jamais cessé de le poursuivre depuis son enfance, et elle le rejoignait aujourd’hui. Saisissant le pommeau de l’une d’elles tandis que les autres se désagrégèrent en teintant à nouveau la flaque, Dun rejoignit enfin son père dans sa détermination. Et un pas après l’autre, un bras pendant inutile le long de son corps, il se dirigea vers la cour centrale où le combat faisait toujours rage en se refusant de tomber au combat…
Car ce n’était plus le dos de cet homme qu’il observait mais le visage de celui qu’il deviendrait s’il ne pouvait y arriver.


[Wi bon, je poste mais suis pas encore en face du Seigneur hein, be careful,j’attends les autres, on va pas les enterrer sous la tour sans même savoir ce qu’ils font XD]

Zan: Dun, je suis ton père! XD


Lliude


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L'adversaire de Lliude lacha sa faux comme prévu. S'il n'était pas prêt a capituler, le métamorphe était prêt a le tailler en pièce. Mais il n'eut pas le loisir de lui demander s'il abbandonnait car un crochet du gauche le fit valser. Par réflexe, le guerrier se massa la joue et soudain, son regard fut imédiatement attiré vers Dun et... La nonne blanche. Celle-ci plaqua l'ex-chancelier contre le mur et l'étrangla. Après la sentence de la Juge, le prince s'écroula et hurla:

« FAITES MOI EXPLOSER CETTE TOUR ! »

Lliude n'en cru pas ses oreilles. Il s'attendait à beaucoup de chose avec Dun, mais pas à ça. Mais comme dit le proverbes, aux grands maux les grand remèdes, même si l'on considérait que faire exploser le tiers du chateau était le remède au Mal qui le rongeait.
Comment le chancelier allait pouvoir s'en sortir? Et surtout, comment lui-même allait pouvoir s'en sortir? Il ne vit qu'une seule solution, bien que cela lui déplaisait d'abandonner son ami. Il déclara rapidement:


"Ne meurs pas!"

C'était plus pour se rassurer que pour autre chose. Car rare étaient les personnes normalement constituées qui survivaient à un effondrement. Mais Dun n'était pas une personne normalement constituée pour Lliude, et il devait avoir un échapatoire pour ce cas de figure... En théorie.
Le guerrier s'élança vers la fenêtre et juste avant de poser son pied sur le rebord, il appella mentalement Zangetsu qui se trouvait dans les parages afin que celui-ci puisse le ratrapper. Il ne voyait pas comment il pouvait s'en sortir seul sur le moment.
Le guerrier prit son impulsion et sauta dans le vide sans aucune hésitation. Il se retourna afin de planter ses griffes dans le mur derrière lui et ralentir sa chute, mais les lames n'arrivaient pas à entamer la pierre.
Puis l'explosion retentit. Le souffle le projeta au loin et le rendit sourd pour quelques instants. Et si Zangetsu ne mettait pas fin à sa chute, sa surdité serait définitive, tout comme sa vie. Il se concentra pour envoyer un dernier message mental à son compagnon d'arme.


*Zangetsu, si je crève ici, ce sera de ta faute!*

C'était plus de l'ironie qu'autre chose. Et s'il devait mourir ici, autant faire preuve d'un peu de cette ironie une dernière fois.


Kisame


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Kisame était toujours au prise avec des gardes , il fut d'ailleur bléssé au bras , puis il compris que il était inutile de perdre du temps avec eux . La tour avait exploser , et Kisame espérait que Daidara et Ganondorf n'était pas dedans au moment de l'explosion ... En tout cas , Kisame décida de partir vers la cours centrale qui était semble t'il l'endroit ou il restait encore des combattants . Et puis , rien ne c'était passé comme prévu , cette attaque était un échec ...Il devait retrouver ces camarades , et regarder la suite des événements . Il rangea sa lame dans son dos et courut à travers les couloirs du château , toujours poursuivit par ces saletés de gardes . Kisame se dirigea donc vers la cour centrale , en espérant pouvoir semer ses poursuivants ...


Angelus


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Daidara était toujours coincé dans les débris de la tour , avec la poussière , il avait l'impression que tout se ressemblait , son bras le faisait souffrir . En marchant à l'aveuglette il retrouva enfin sa faux , qu'il rangea dans son dos . Il ne trouvait plus Ganondorf ou Lliude , peut être étaient t'ils mort ? non , Ganondorf ne serait pas tué aussi facilement ... Daidara repéra enfin une sortir , la vitre par laquel la princesse Zelda avait sauté , enfin du moins ce qu'il restait de la fenètre . Daidara créa un oiseau d'argile assez gros pour le porter , puis il sauta dessus . Il regarda autour de lui et apperçu dans la cour centrale, Sasori , Dark Link , La princesse ... Et d'autre personne . Il décida de se poser ici avec son oiseaux , c'éait ici que cette bataille allait prendre fin .


Llanistar van Rusadir


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(vide)

L'agitation régnait dans le château. L'explosion avait alerté le bourd et déjà, l'armée Hylienne arrivait dans l'enceinte meurtrie. L'incompréhension se lisait sur les visages des soldats et même les gradés restaient les bras ballent en découvrant le chaos. Le démon s'appliquait à retrouver la trace de ses ennemis grâce à son flair de loup quand un de ses hommes le rejoind et lui fit signe de venir. Zangetsu se retransforma, compimant temporairement la douleur et la folie dans un coin de son esprit à force de grandes poussées psychiques qui l'affaiblirent visiblement. Il se rendit dans le hall. Beaucoup de soldats attendaient des ordres, dont les officiers. Reprenant contenance, il leur fit un rapide exposé de la situation et leur ordonna de pourchasser en priorité les monstres, il ordonna enfin aux gardes d'élites et aux champions de se déplacer en groupes afin de traquer les intrus et surtout d'éviter Ganondorf. Il leur ordonna également de le prévenir au cas où ils se trouveraient fâce à lui. Bientôt, une clameur guerrière retentit dans le château, poussé par des dizaines de soldats dont le nombre grossissait en permanence grâce aux renforts du bourg. Tout cela n'avait en somme duré que quelques instants mais le démon était épuisé. L'ordre de son père résonnait peu mais maintenant c'était celui de Dun qui lui faisait mal. Cela ajouté à la lumière, la contenance de sa nature animale plus l'os fracturé dans l'effondrement de la tour, Zangetsu sentait ses instincts lui ordonner de se relacher et de se laisser aller à une force toute sauvage. Mais quelque chose le lui interdit. Fusse la présence des hommes, la fierté personnel du démon ou bien la présence apaisante du Prince, toujours est il que le garde royal resta humain. C'est alros que retentit le cri. Un voix grave et profonde. Une voix familière. Une voix d'un élève, d'un disciple...non! Juste d'un ami!

*Zangetsu, si je crève ici, ce sera de ta faute!*

Le démon courut alors. La douleur semblait ralentir chaque pas. Le vent, l'air, le sol, les débris, les hommes, tout paraissait le ralentir. Sa jambe l'élançait, sa tête allait exploser, ses yeux étaient à la fois dangereusement vagues et fixes comme ceux d'un dément. Il parvint à la tour. Il lui sembla qu'il percevait Dun dans les débris mais n'eut pas le temps d'y réfléchir que déjà le corps de Lliude s'approchait du sol. Il sauta dans les airs et ses ailles jaillirent de son dos, le propulsant dans les airs. Il attrappa son ami au vol et parvint à se rétablir malgrés le choc et la vitesse. Il attérit alors sur le sol, le souffle court et le cerveau pret à jaillir. Il posa son ami sans ménagement sur les gravats et se laissa tomber contre un pant de mur encore debout. Il vit bien vite que celui ci n'aurait aucun sequelle si il était bien soigné après la bataille. Le démon alletait et levait les yeux aux ciel avec l'expression de ceux qui savent être arrivés à temps. C'est alors que quelques mots lui parvirent. Dun gisait là, tremblant et l'esprit dans ses pensées. Le démon tendit alors son esprit et il toucha celui de Dun. Le jeune Prince était perdut dans des souvenirs profonds et anciens mais le démon put les voir en simple spéctateur...il ne leur trouva aucun sens précis mais les inscrit dans sa mémoire. Il était troublé mais ressentait un profond sentiment d'affection pour cet homme qui s'était montré si fort et qui continuait ainsi de s'accrocher.

« Cet homme… Preuve… Que j’attendais… Sa force… »

Ses quelques mots restèrent un instant dans l'esprit du Démon. Il comprit ainsi que Dun les ruminait. Il les annalysa et ne leur vit qu'un sens. Alors que le prince exécutait un sort bien à lui, le démon s'approcha de lui. Il se tint là, debout, le dominant puis mit un genoux en terre et tendit sa main vers Dun. Mais ce n'était déjà plus une main. Zangetsu avait gardé ses ailles de démon et sa stature d'humain mais son corps était celui d'un loup et c'est par l'esprit qui communiqua avec Dun.

Je sais qui tu veux affronter. Je sais ce que tu veux accomplir pour toi même. Je désire le carnage Dun. Je désire la mort et le sang mais je ne veux pas du chaos que veut Ganon. Je t'aiderai dans la mesure de mes moyens...mon frère!

Les yeux du loup avaient brillé à ce mot. Il découvrit un croc en un simili de sourire empreint de sadisme, un croc avide de Carnage.


Francis


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Je couru tout le long du chemin, m'arrangeant avec divers sort pour éviter toutes bataille qui aurait pu me ralentir... Arrivé à la tour écroulé, j'aperçut le prince Dun ensevelit dans les gravats ainsi qu'un démon qui l'en extirpa.
Soudain, je sentis l'utilisation d'un message télépathique. Comme au volcan, je tenta de le percevoir. Je fis abstraction de tout ce qui m'entourait, un son strident se fis alors entendre dans mon crâne, mais cette fois, j'y étais préparé, je maintins donc ma concentration avec difficulté: je voulais réussir, pouvoir percer les messages télépathique afin d'avoir un avantage sur Ganondorf dans l'avenir.

<"Je sais qui tu veux affronter.">

De nouvelles ondes sonores puissantes et désagréable emplirent ma boite crânienne, je compris alors que ces sons étaient les déffenses mental de l'individu qui tentaient de me rejetter. Je tenta en vain de rester concentrer mais les nuisances sonores brisèrent ma concentration et je perdis ma connexion.
Je revins donc à la scène qui s'étendaient sous mes yeux. Aucun de ces individus ne représentaient le moindre interet à mes yeux, mais le fait que le prince Dun se trouvait ici signifiait forcément que Ganondorf ne pouvait qu'être dans les parrages.



Ma seul solution était de suivre ces inconnus et d'attendre que ma cible frappe afin de pouvoir me servir d'eux pour venger mon père. Oui, ils n'auraient pas le choix, ils devraient affrontter Ganondorf et c'est moi qui aller le tuer!


Dun Loireag Dragmire


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Le chaos ambiant n’était que rêve aux yeux de Dun qui continuait d’avancer parmi les ruines et désolations qu’offrait toujours une bataille sanglante. Outre sa vision floue par moment et le sifflement incessant qui harcelait ses oreilles, le jeune homme entendait pourtant les sons difformes produits par les silhouettes tout autour de lui. Alliés, ennemis, ou autres ; qu’importait de comprendre ce qu’ils disaient, hurlaient ? Ne pouvant fournir l’effort de les écouter, le jeune Prince s’arrêta toutefois devant une silhouette qui se démarquait des autres. Jurant qu’elle eut la forme d’un homme pendant quelques secondes, celle-ci arborait maintenant les traits d’une chimère ; était-il bien dans la réalité ? Se sentant vaciller, une voix pénétra alors sa tête, contournant l’isolement sonore dans lequel il se trouvait : « Je sais qui tu veux affronter… Dun… mort et le sang… Ganon…Je t’aiderai…frère! ». Autant de bribes et de mots qu’il s’évertua de repousser, se réfugiant dans son propre esprit et refusant l’intrusion mentale de façon inconsciente. Pourtant même si le simple fait d’avoir compris cette phrase était un exploit, le jeune homme se surprit à poser sa propre main dans la patte que lui tendait la bête… Nonobstant que l’on ne faisait habituellement pas confiance à une telle entité pouvant provoquer une crise cardiaque chez n’importe quel fidèle des déesses ! Mais toutes ces fioritures n’intéressaient désormais plus le jeune Prince qui se contenta de grimper sur le dos de la chimère afin de s’envoler. Le vent fouettant son visage sur l’étrange monture qu’il appela sans trop savoir pourquoi « la Bête », le jeune Sorcier lui laissa le choix de la direction.
Et alors que son mal de tête était maintenant engourdi par la brise froide du vol, Dun le vit enfin : Debout au milieu des flammes et du sang se tenait le Seigneur du Malin. Mainte fois l’ex-Chancelier avait entendu des guerriers se vanter d’être aussi puissants que cet homme mais ce tableau lui hurlait maintenant le contraire. Car ce seul être avait pu mettre à mal les défenses Hyruliennes. Toutefois, tandis qu’il aurait dû éprouver rage et haine envers lui ; le jeune Prince se contenta de demander à Zangetsu-la-Bête de le faire descendre en douceur près de leur ennemi. Ce dernier semblait décider à éprouver au maximum la vie de ses adversaires, et Dun se plaça tout simplement en face de lui l’épée de sang au creux de sa main. Le visage du mal était empli de haine et semblait sûr de lui, cela n’annonçait décidément rien de bon…


« Sire, vous auriez dû nous envoyer un messager ; nous aurions pu préparer vin et mets afin de vous accueillir comme il se doit, veuillez nous excuser pour la rudesse de cet accueil. »

… Et les mots étaient quant à eux inutiles en ces temps avancés de guerre. C’est pourquoi le Prince n’avait lancé que ce pic d’humour déplacé tout en adressant malgré tout son respect envers lui. Mélange d'admiration et de rébellion, le jeune Sorcier ne savait pas si Zangetsu-la-Bête était resté à ses côtés mais peu lui importait désormais. Car son but se trouvait maintenant juste devant lui tout comme l’objectif de son adversaire ; résultant d’une convoitise mutuelle, Dun n’allait sûrement pas laisser cet homme faire un pas de plus. Mais la posture du Prince n’était pas la même que d’habitude tandis qu’il se préparait à l’affrontement. Et c’est en rengainant son épée au fourreau –dont la lame originelle était maintenant perdue- qu’il se plaça à bonne distance de son ennemi en posant la main sur son pommeau. En effet le Sorcier n’avait jusque là jamais combattu à l’aide de l’épée, comptant toujours sur la sorcellerie. Mais il était maintenant temps d'accepter l'héritage de dextérité de son Maître et à l’art de l’épée de son Grand-Maître.

C’est ainsi qu'il eut l’impression de sentir les spectres d’Orpheos et d’Efelron derrière son dos, se préparant eux aussi au combat.

[Pas le temps de développer, je dois y aller XD Donc j'espère que ça aidera quand même à l'avancement du RP]


J'attendais au beau milieu du carnage que j'avais accompli: le prince viendrait, j'en était sûre. J'avais embusqué la vingtaine de monstre que contenait encore mon armé au cas où: personne ne ,devrait pouvoir interférer dans mon combat. Cet ultime affrontement serait à seul contre seul afin que la mort du prince prenne tout son sens.
Le prince arriva par la vois des aires, chevauchant un démon ailée et se posa près de ma personne:


« Sire, vous auriez dû nous envoyer un messager ; nous aurions pu préparer vin et mets afin de vous accueillir comme il se doit, veuillez nous excuser pour la rudesse de cet accueil.
-Je tenais à vous présenter mes respects en personne, mon cher prince et aussi vous présenter mes condoléances..."

Le démon ailé n'avais apparement pas décidé de participer à la bataille, ce qui m'arrangeais particulièrement: tant que ce serais le cas, mes monstres avait pour ordre de rester camouflé dans l'ombre.

"...POUR VOTRE MORT! Mwhahahahahahahahahaha!!!"

Il était temps de montré à sa majesté les dernières technique que j'avais mis au point. Usant de mes forces, je créa deux doubles. Je contrôlais le déplacement de ces derniers qui n'étaient au final que de simples illusion destiné à tromper l'adversaire. Cependant, si tout attaque touchant mes doubles les feraint disparaitre, leurs attaques et sorts étaient quand à eux bien réelle.



Tandis que deux de mes entités attaquaient le prince à l'épée, la troisième lancé des boules d'énergie à distance.



[HRP: Ton introduction était parfaite Dun, elle inaugure bien ce combat qui promet d'être intense ...]

Ce compte est un compte narrateur : les personnages joués par le narrateur ne peuvent pas être utilisés par les joueurs ou joueuses dans leur post (sauf autorisation d'un admin) et les jets de dé du narrateur sont contraignants.



Lliude


Inventaire

0,00


(vide)

Zangetsu avait ratrappé Lliude in-extremis, empêchant celui-ci de finir en plusieurs morceaux. Quand son ami le déposa a terre, le jeune homme mumura un "merci" quasiment innaudible mais que le démon pouvait aisément comprendre à son regard. Le souffle court et l'esprit quelques peu embrumé par les évènements, il se laissa tomber sur les gravats afin de récupérer. Ses oreilles sifflaient atrocement, mais il était sauf et sans aucune blessures, ce qui était le plus important.
Soudain, une image lui revint en tête. Celle de...


*Dun!*

Ce nom avait été comme hurlé dans sa tête. Il ne savait pas ce qu'était devenu le chancelier. Peut-être était-il mort... Non... Mais comment aurait-il pu survivre? Il fallait que l'hylien en ai le coeur net.
Il rassembla ses force et se leva doucement, regardant autours de lui. Zangetsu n'était plus là.


*Surement en train de traquer les derniers membres de l'Hibi en vie...* Songea t-il.

Il se fraya un chemin entre le décombre et vit une forme au loin s'envoler. Etait-ce Daidara et son volatile d'argile? Mais peut lui importait. Ce n'était pas sa priorité. Le métamorphe continua sa marche à la recherche de son ami en criant son nom. Seul l'écho de ses paroles brisait le silence pesant, et au fond de lui, il espérait entendre la voix de l'ex-chancelier. Ce silence froid et macabre l'accablait.
Plus il marchait, plus son espoir de voir Dun en vie s'amenuisait. Soudain une odeur de sang lui parvint, agressant ses narines. A mesure qu'il avançait, cette odeur grandissait et donnait une idée du massacre qui avait dû se produire. Et après avoir passé quelques ruines, il vit enfin l'étendue du carnage. Des flammes, des cadavres se tenaient autours du Seigneur du Malin. Un tableau chaotique et monstrueux, une oeuvre sanglante cherchant à démontrer toute la puissance et la cruauté de son créateur.
Le métamorphe serra les dents. Il sentait l'aura destructrice de Ganondorf. Un homme de cette puissance ne pouvait laisser indifférent. Malgré tout, il parraissait calme, comme s'il contenait sa haine et sa rage pour mieux la ressortir. Une forme ailé fendit les cieux et se posa non loin de Ganondorf. Quand Lliude vit de quoi il s'agissait, il souria. Dun était vivant bien que mal en point et Zangetsu était à ses côtés. Mais que venait-il faire près de leur plus grand ennemi?


" Sire, vous auriez dû nous envoyer un messager ; nous aurions pu préparer vin et mets afin de vous accueillir comme il se doit, veuillez nous excuser pour la rudesse de cet accueil. "

Lliude aurait eu le temps d'apprécier le pic d'humour du prince si une créature sorti de l'ombre ne l'avait pas surprit. Celle-ci le plaqua a terre et allait abattre son arme sur le crâne de sa victime. Le métamorphe transforma son bras en une lame effilée, et transperça son agresseur qui laissa échapper un ultime râle en trépassant. Le jeune homme se débarassa du corps rapidement et reprit sa position initiale. Comment-ce faisait-il que les monstres de Ganondorf étaient encore présent? Il pensait que le désordre qu'avait causé l'explosion de la tour avait dû les faire fuir... Mais s'il sont encore aux côtés de leur maître, c'est que leur dévotion est sans faille.

*Il doivent encore rôder dans les parages...* pensa t-il.

Ce fut au tour de Ganondorf de prendre la parole afin de répondre a son interlocuteur.

"Je tenais à vous présenter mes respects en personne, mon cher prince et aussi vous présenter mes condoléances...POUR VOTRE MORT! Mwhahahahahahahahahaha!!!"

Lliude serra les dents. Dun ne pourrait vaincre seul le Prince des Ténèbres, même s'il était en pleine forme. Et le fait qu'une tour l'ai littéralement écrasé ne devait pas arranger les choses, car c'était un miracle qu'il soit encore vivant et sur ses pieds.
En restant à distance et dans l'ombre, il disposait d'un effet de surprise non négligeable s'il attaquait. Afin de signaler sa présence à son ami, le métamorphe envoya un message mental à Zangetsu pour lui dire qu'il était sur les lieux, prêt a venir en soutient si les choses tournaient mal. Qu'importait sa position, il le saurait tôt ou tard s'il se décidait à attaquer. L'hylien décida alors de rester caché, et de suivre le déroulement du combat afin d'intervenir au moment le plus opportun.


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