Attaque du chateau 2[RP à conséquence]

début de l'automne - 3 ans 6 mois 1 jour avant (voir la timeline)

Llanistar van Rusadir


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[hrp: raa je vous laisse 2 jours et voilà XD]

Dun n'avait pas réagit comme Zangetsu l'avait attendu. Alors qu'il pensait que son orgueil et sa fierté lui interdirait de faire confiance à un démon/loup le prince avait agrippé la patte de la bète qui l'avait hissé sur son dos avant de prendre son envol. Il s'était alors élevé dans les airs, sachant parfaitement où se tiendrait Ganondorf. La bète voyait non pas le château et les hommes mais un chaos sans nom où magies, sang et pierres volaient dans tout les sens. Déjà les nécromanths et l'armée hylienne s'affairaient à expulser les assaillants avec un zel qu'il ne put pas apprécier. Il sentait les émotions de son frère, haine, fierté, désir de vengeance...Le loup sera les crocs. On s'était attaqué à son clan et cela n'était pas une bonne idée. L'envie de dévorer les coupables le dévoraient déjà quand il arriva en haut d'une des ailles du château. Le seigneur de malin se dressait là, entouré par les flammes. Sa vision aurait terrifié n'importe quel humain mais le démon sentit sa haine rejaillir. C'est alors que la bracelet des damnés qui s'était incrusté dans la peau du démon pendant la transformation s'anima et son pouvoir attira Zangetsu vers Ganondorf. La confrontation entre eux était inévitable. La bète se posa non loin de ganon. Dun dit une phrase que Zangetsu ne pouvait comprendre. Il resta immobile, rassemblant toute la rage qu'il pouvait. Les soldats, les monstres, les prisonniers, les serviteurs...tous ressentaient une haine indicible envers leurs propre ennemis...L'air était chargé de cette rage et de cette peur et alors Zangetsu tourna son esprit vers le seigneur du malin. Ses émotions étaient brulantes, intenses...mais humaines. Le démon les absorba et alors fut incapable de se mouvoir. Le pouvoir qu'il en sortit fut tel qu'il ne tint plus en place. Il se tourna vers Dun.

*Mon gibier est ton gibier. C'est l'esprit de la meute!*

Le démon avait choisit de s'exprimer en notion très simples. Dun même dans son état serait en capacité de saisir le message. C'est alors que le loup vit Ganon ouvrir grand ses lèvres et sortir un long son, surement un rugissement destiné à cacher sa peur secrète. Le loup sembla sourire puis poussa un hurlement de rage et de détermination. Dans le même temps il vit les gestes de ganon et se prépara. A peine les ombres étaient invoquées que Zangetsu se jeta sur elle en visant sa gorge. Refermant violemment sa mâchoire, le démon qu'il était n'avait eu que trop peu l'occasion de se battre et il comptait se rattraper.
Mais même s'il pu lancer un tel assaut sur l'un des Ganondorf, un monstre surgit alors de nulle part pour le frapper dans le dos. Lâchant sa prise où ses crocs s'étaient plantés de par l'effet de surprise, le démon s'engagea dans un duel avec le monstre où les coups s'échangeaient violemment.


Tiens toi prêt Lliude! Tu es le seul juge du meilleur moment, Frère!


Ygdrassyl


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Désolation, confusion, souffrance. Ces trois mots résumaient bien la scène qui se déroulait au château d'Hyrule. La grande et fière demeure de la Princesse Zelda venait de subir de lourds dommages. Une tour entière venait de s'effondrer, victime d'une gigantesque explosion. Une aile entière du palais avait également été soufflée. Quel étrange spectacle. Depuis des générations, les différents rois d'Hyrule qui s'étaient succédés s'étaient battus pour tenir éloignées de leurs terres les forces ténébreuses. Tous ces efforts réduits en miettes à cause d'une descendante trop incompétente. Apparemment, la Princesse n'avait pu prévoir cette attaque de grande ampleur suffisamment tôt pour pouvoir y remédier. Souriant pour lui-même, un homme encapuchonné de grande taille marchait d'un pas lent mais serein, s'arrêtant souvent pour analyser la situation. Quelques instants avant l'explosion, deux silhouettes avaient sautés d'une des fenêtres de la tour. La première semblait être la Princesse, la seconde devait être le Seigneur du Malin en personne: Ganondorf. Seul un être aussi noir pouvait dégager une telle aura funeste sur des lieues à la ronde. Il faudrait être prudent. Il ne semblait pas le moins du monde avoir été affaibli par les gardes, ni même par les membres du groupe sans nom. C'était un homme, où plutôt un démon, bien trop puissant pour le voyageur, bien qu'il se savait assez fort pour lui tenir tête un moment. Faisant encore quelques pas, il s'arrêta devant ce qui était, il y a quelques heures encore, la grande grille d'entrée du parc du château. Le voyageur, vêtu d'un long manteau brun, fit un petit geste de la main pour réajuster la broche dorée qui accrochait sa cape de couleur jade à son costume. Puis, ayant sorti d'une de ses poches un fragment de miroir brisé, le mystérieux personnage rabattit sa capuche sur ses épaules. Le visage amaigri et émacié, Ygdrassyl semblait néanmoins en bonne santé après cette longue période d'absence. Ses yeux bleus étaient toujours aussi perçants et calculateurs, ses cheveux, toujours aussi longs et blonds que pourraient l'être ceux d'un jeune enfant. Avec un sourire de satisfaction, il rangea le bout de miroir dans sa poche avant de continuer sa route d'un pas décidé. Il se dirigea immédiatement vers la partie détruite du château. Traversant rapidement les jardins, le jeune homme ne rencontra aucune résistance. Apparemment, le groupe sans nom avait écrasé la plupart de la résistance. Les Stalfos avaient tous succombés et Ganondorf et ses alliés semblaient être en infériorité numérique. Mais Ygdrassyl n’était pas dupe. Le Seigneur du Malin aurait encore quelques atouts dans sa manche pour l’affrontement final. Concentrant et fluidifiant son mana pour être prêt à la bataille, le mage se dirigea hâtivement vers les décombres. Une épaisse poussière s'en dégageait encore. Aux alentours, de puissants adversaires semblaient rôder. Ils seraient bien difficiles à battre. Les Stalfos, c'était une chose, des mages noirs parfaitement entraînés, c'en était une autre. Il faudrait ruser pour vaincre. Il commença à s'avancer au milieu des décombres, tout semblait silencieux par ici. Parcourant les débris du regard, Ygdrassyl repéra bientôt une silhouette blessée qui se frayait lentement un chemin vers une des portes du château. Le Prince Dun, ça ne pouvait être que lui. Lui seul dégageait une telle aura. Apparemment, il avait survécu à l’explosion de la tour et conservait suffisamment de force pour se mouvoir. Mais où se rendait-il ? Il n’était clairement plus en état de se battre, pas pendant très longtemps en tout cas. Accélérant le pas pour le rattraper, le Septième se stoppa néanmoins à quelques dizaines de mètres de lui. Une chimère venait de se poser. Zangetsu le démon. Le mage s’en souvenait. Un démon particulièrement puissant. Ils échangèrent quelques mots, après quoi, Dun monta sur le dos de la créature qui s’envola en direction du château.

*La cour intérieure, hein ? Ganondorf doit se trouver là-bas. Hum… Même s’il est puissant, je ne pense pas que Dun soit en assez bon état pour résister longtemps au Seigneur des Ténèbres. J’imagine qu’il devrait apprécier une petite aide…*

Se hâtant, Ygdrassyl se fit néanmoins aussi discret que possible pendant sa traversée du château. Il ne voulait pas prendre le risque d’être repéré. Après avoir traversé quelques salles parsemées par des débris et des tâches de sang, le jeune mage déboucha sur la cour intérieure. Le combat allait débuter. Ganondorf se tenait debout au milieu de la cour, entouré par son ultime garde d’honneur, ses derniers démons censés le protéger. Au milieu des flammes et des épaisses fumées noires, il était là, sur de lui et confiant. Il dégageait une aura de peur inexplicable et effrayante. En face du mage noir, Dun se tenait debout, presque immobile, la main sur le pommeau de son épée. Non loin de lui se tenait le démon Zangetsu, et un peu plus loin, caché dans l’ombre, un membre du Groupe sans Nom attendait le moment propice pour agir. Mais Ygdrassyl ne parvenait pas à l’identifier. Hum. Que faire, que faire ? Se dévoiler et manquer une occasion de surprendre le seigneur noir ? Ou aller aider Dun dès maintenant ? Bah ! Le membre caché agirait au bon moment. Il valait mieux aller mieux porter assistance au Prince dès maintenant, surtout que Ganondorf venait de faire appel à des techniques magiques qu’on ne lui connaissait pas et qui semblaient diablement dévastatrices. Sortant de l’ombre, le jeune homme se dirigea vers le prince et s’arrêta à quelques mètres de lui. Le combat avait commencé à l’arme blanche entre les clones du Seigneur du Malin et le Dixième. Elevant la voix, il adressa quelques mots à Dun.

« Me voilà, Dun ! J’arrive un peu tard et j’en suis désolé. Le Groupe sans Nom est désormais entièrement présent. Je vais t’aider du mieux que je le peux. » Dit-il d’un ton neutre.

Ygdrassyl avait fini par oublier les différents qui l’opposaient à Dun. Il était depuis quelques temps moins distant avec lui. Concentrant la totalité de son Chakra dans ses mains, le jeune homme plaça son bras droit replié devant son visage, ce qui eut pour effet de créer un bouclier de Mana translucide de la hauteur du jeune mage. Très résistant à tout type d’attaque physique et magique, le bouclier formait également une très bonne arme de mêlée. Le bras toujours replié juste devant le visage, comme pour se protéger les yeux d’un flash intense, Ygdrassyl chargea, le bouclier en avant, vers le Ganondorf -impossible de savoir si il était le vrai où un de ces clônes- qui lançait des sortilèges à distance. Mais alors qu'il se rapprochait dangereusement de sa cible, le jeune mage fut soudainement projeté au sol. Un des monstres du Seigneur des ténèbres lui avait assené un puissant coup de masse dans le dos. La chute avait fait perdre son bouclier magique à Ygdrassyl. Légèrement sonné, il n'eut pas le temps d'éviter le second coup que lui porta la créature et qui eut pour effet de le faire s'effondrer. Il ne put s'empêcher de cracher du sang par la bouche. Conscient qu'il fallait agir vite, le jeune mage surmonta sa souffrance et se remit debout, malgré la douleur lancinante qui semblait lui écraser la colonne vertébrale. Le démon avait une vague ressemblance avec la Chimère qu'était devenu Zangetsu. Le jeune homme esquiva de peu une nouvelle attaque avant de contre-attaquer. Profitant du laps de temps qu'il fallait au démon pour soulever sa lourde arme, le mage concentra son énergie magique dans ses mains jusqu'à ce qu'elles soient recouvertes de mana pur. Sans attendre, il donna un violent coup de poing dans l'estomac de la créature qui se cambra sous la douleur. Il enchaîna avec un uppercut bien placé dans la mâchoire qui envoya voler le monstre quelques mètres plus loin, sonné. Reprenant la totalité de ses esprits, le jeune homme fit volte-face, observant les deux autres monstres qui s'avançaient pour l'attaquer. Il essuya son menton couvert de son propre sang à l'aide de son long manteau avant de fluidifier tout le mana contenu dans son corps, ce qui lui déclencha un frisson qui le parcourut de la tête aux pieds.

[Désolé du retard, les autres membres du Groupe sans Nom! Une impossibilité m'avait empêché de poster jusqu'ici, mais j'arrive quand même!]


Francis


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Usant de ma magie, je suivis tant bien que mal Dun et le démon qui me conduirent jusqu'à Ganondorf. Ce dernier fit apparaitre deux clones. Je voulu me joindre au combat mais le démon me pris alors de vitesse. Cependant, alors qu'il se jetait sur un des Ganondorf, un monstre surgit des ombres et se jata sur lui.



Je pouvais facilement expulser tout les monstres de la zone, après tout, leur corp comme ceux des humains étaient composé de 90% d'eau, mais cela serait bien trop épuisant.

<90% d'eau?>

C'était cela: je pouvais contrôler l'eau, où qu'elle soit et un seul Ganondorf était réel et donc, avait de l'eau qui circulait dans son corp. Il me fallait à présent une divertion: des gens pour afrontter les monstres pendant que je démasquai les faux Ganondorf.



Dun Loireag Dragmire


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La rage du Seigneur était à la hauteur de sa réputation, et déjà il réagissait au pic de Dun en lui présentant ses condoléances et sa sympathie. Ce dernier ne pouvait en espérer autant alors que déjà son adversaire lui annonçait sa mort, sûrement sans se douter qu’il était bien proche de la vérité ! Cela en disait long sur ses intentions, et si la bataille avait été jusque là sanglante tout en semblant interminable, elle touchait présentement à sa fin. Dernier acte d’une telle soirée, le voile s’ouvrait maintenant sur le duel entre le maître du Mal et le jeune Prince du royaume… Mais celui-ci espérait-il réellement la victoire ? Epuisé, le corps meurtri, ayant perdu une grande partie de son sang ; ses sens eux-mêmes en étaient altéré et comprendre une phrase relevait de l’exploit. Ainsi, sa chute était-elle peut-être venue… Armant son esprit contre toute faille dans pareille situation, c’est avec surprise qu’il entendit des voix familières s’élever tout autour de lui. Ne pouvant séparer réalité et illusions, le Sorcier cru dans un premier temps reconnaître les voix des Gardes morts dans la tour, mais s’aperçu bien vite qu’il n’en était rien. La Bête qui l’avait guidé jusque là se dressait maintenant à ses côtés en lui susurrant des propos rassurants. Fouillant dans ses souvenirs encore flous, Dun ne pu se souvenir de l’identité de cette chose, mais ne pu qu’acquiescer devant la certitude d’une telle phrase. Une seule pensée hantait son esprit, et il s’y raccrochait désespérément car il sentait que s’il la laissait vagabonder ne serait-ce qu’une seconde, il la perdrait dans le fleuve déchaîné de ses idées. Au fur et à mesure que les secondes s’écoulaient, des nouvelles voix –toutes familières- s’élevèrent autour de lui.


« Me voilà, Dun ! J’arrive un peu tard et j’en suis désolé. Le Groupe sans Nom est désormais entièrement présent. Je vais t’aider du mieux que je le peux. »



Plusieurs hommes contre un seul mal, un rire machiavélique qui éclatait, des ombres qui approchaient, des impacts pleuvant de toutes part. Le combat était maintenant commencé.

Alors que la Bête se jetait sur l’une des ombres, Dun resta parfaitement immobile tandis qu’elles avaient le but évident de l’occire. L’un des trois Ganondorf était maintenant aux prises de Zangetsu-la-Bête, et il n’eut pas l’occasion de voir s’il parvenait à prendre le dessus. La situation était confuse et même des bêtes extérieures à leur affrontement les rejoignaient maintenant. Calme évident au milieu d’un chaos morbide telle la feuille se posant doucement après s’être détaché de l’arbre, ce fut une voix qu’il n’attendait plus qui lui donna le signal : Ygdrassyl arrivait de façon nonchalante en lui adressant des propos d’excuse et de soutien. Mais le Prince se fichait du sens de ces dernières quand le décor ambiant changea à ses yeux, les flammes étant remplacées par le gel et les cris par une musique enivrante.
Se trouvant soudainement dans la plaine au pied de son arbre favori, il revit alors le duel qui opposa Efelron et Orpheos, souvenir associé pour toujours à la violence et à la haine. Parfois le jeune homme sentait encore au plus profond de son être le froid qu’il ressentit ce jour-là alors que les deux amis s’entretuaient. L’assemblée elle-même était mortifiée quant à la violence de leurs coups, mais c’est en voyant l’une des techniques de l’épéiste qu’il prit appui sur sa jambe pour se mettre à courir.
Soudain, tout redevint normal et les spectres du passé disparurent en un instant. La silhouette d’Ygdrassyl se trouvait maintenant aux prises d’un ennemi, et c’est en la dépassant que Dun réalisa qu’il le seul témoin restant de cette époque. Sans doute était-ce dû à cela que sa voix avait déclenché cette réminiscence... Un choc ! Le troisième des trois Ganon s’était mis à part pour lui envoyer des boules d’énergie, et l’électricité qui parcourait son corps failli lui faire perdre l’équilibre tandis qu’il sautait dans un dernier effort. Dégainant sa lame dans un éclair, il exécuta alors le coup favori du vagabond qui consistait à toucher presque simultanément différents poins du corps de l’adversaire. De par leur rapidité et précision, les impacts n’étaient guère mortels, mais suffisaient tout du moins à immobiliser l’ennemi. Pourtant si la technique originelle détenait neuf points critiques, Dun ne pu en toucher que six à l’aide de sa pâle réplique. Et alors que l’épéiste qu’il admirait jadis enveloppait sa lame d’un vent glacial comme la toundra, lui usita de la seule chose qui lui restait : Le sang qui composait son arme s’effrita légèrement et redevint liquide tout en éclaboussant le torse de l’ennemi d’Hyrule. Semblable à une provocation, tout s’était déroulé très vite alors que le Prince se trouvait maintenant derrière l’un des Seigneurs. Illusion ou non, son attaque non mortelle s’était achevée tandis qu’il se heurtait à nouveau à des sphères d’énergie qui le propulsèrent contre un monstre excité par leur combat. Celui-ci hurla alors aussi de douleur tandis qu’il sentait parcourir son corps de la force de son maître et qu’il supportait le poids de Dun en percutant le sol.


Le démon avait donné le coup d'envoi suivit par un autre individu venu pour aider le prince. Il était tant d'en finir avec l'entourage de mon adversaire: je lanças la moitié de mes monstres sur eux.
Le prince avait lancé une attaque sur un de mes trois corps mais je créa un bouclier énergétique pour arrêter son assaut avant que la version de moi-même qui attaquait de loin lui envoyait une boule d'énergie dans le dos qui l'envoya heurter l'un de mes monstres.



C'était claire, dans les circonstance actuel, je ne pouvait nullement échouer. L'une de mes trois entités s'approcha du prince afin de lui porter le coup de grâce.


"Rendez-vous en enfer, votre majesté!"

Alors que j'abattais mon arme, un mur de glace me sépara de mon adversaire. Je me retournai alors pour voir le responsable et tomba sur un être que je croyais mort...

"Francis, tu as donc survécu à notre dernier affrontement? Tu es encore plus stupides que je ne le pensais. Tu es incapable de me vaincre!"

Ce compte est un compte narrateur : les personnages joués par le narrateur ne peuvent pas être utilisés par les joueurs ou joueuses dans leur post (sauf autorisation d'un admin) et les jets de dé du narrateur sont contraignants.



Ygdrassyl


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Hum. La situation devenait difficile. En plus des deux monstres qui se dirigeaient déjà vers Ygdrassyl, plusieurs autres leurs emboîtèrent le pas, suivant les directives de leur maître. Mais le Seigneur du Malin avait fait une erreur. Il avait dévoilé sa réelle position en ordonnant à ses monstres d'attaquer. Il « suffisait » donc désormais de se débarrasser de ces larbins pour pouvoir s'en prendre a lui. La tâche n'allait pas être aisée. Mais alors que le jeune mage allait passer à l'offensive, deux évènements détournèrent brièvement son attention. Une vision fugitive s'immisça tout d'abord dans son esprit. De vieux souvenirs de la bataille qui avait opposé Orpheos et Efelron, ses deux géants, et leurs coups d'une rare violence... Où étaient-ils désormais? Il ne le savait pas. Et il ignorait également pourquoi une telle vision lui apparaissait dans un moment aussi inapproprié. Reprenant ses esprits, le jeune homme allait agir lorsque le second évènement se produisit. Un mur de glace apparut instantanément, séparant Dun et Ganondorf, empêchant ainsi le détenteur de la Triforce de la force de donner un coup fatal au Prince. Un certain Francis, semblait-il, il devait, apparemment, avoir déjà affronté le Seigneur Noir par le passé. Profitant du fait que la plupart des monstres avaient leur attention fixée sur leur maître, Ygdrassyl fit parcourir son mana tout le long de son corps jusqu'à l'extrémité de ses doigts. Il rassembla alors rapidement ses deux mains. Un intense rayonnement se fit alors percevoir. Lorsqu'il écarta les membres à nouveau, une sphère se trouvait entre ces paumes. A mesure qu'il écartait les bras, la sphère grossissait, et ce, jusqu'à englober totalement le jeune mage. Lorsqu'il donna une légère impulsion avec son corps, une friction électrique le parcourut et la sphère de mana pur qui l'englobait s'agrandit brutalement, heurtant avec violence les deux monstres les plus proches. Bénéficiant de la confusion que son sort avait créé, Ygdrassyl concentra cette fois la totalité de son énergie magique dans ces jambes.

Tirant profit de cet appui magique, il donna un grand coup de talon dans le sol afin de s'élever de plusieurs mètres dans les airs. Malaxant alors rapidement son Mana, il en ramena une grande partie dans ses bras, en laissant juste assez dans ses jambes pour amortir le choc. Au plus haut de son saut, il exécuta de rapides mouvements de mains, ce qui eut pour effet de faire apparaître trois hautes silhouettes lumineuses. Sur un simple geste, telles des oiseaux de proie, les silhouettes brandirent de longues lances et foncèrent vers le sol à très grande vitesse. Elles visaient chacune un monstre différent. Malheureusement, leur coup effectué, elles disparaîtraient aussitôt, pas de secondes chances. Tombant à vitesse grand V, le jeune mage se réceptionna sans trop de mal grâce au Mana conservé dans ses jambes. Jetant un bref regard en arrière, Ygdrassyl s'aperçut que deux de ces « serviteurs » avaient fait mouche. Un des trois monstres était encore debout. Ce n’était pas si mal. Fixant à nouveau son attention sur ce qui se passait devant lui, le jeune mage parcourut le champ de bataille des yeux quelques instants avant de repérer celui qu'il croyait être le vrai Ganondorf. Repliant une nouvelle fois son bras devant ces yeux, comme pour se protéger du soleil, un bouclier de Mana pur apparut de nouveau devant le jeune homme. Entamant sa course, le jeune homme esquiva de peu une attaque latérale d'un des démons de Ganondorf. Maudite créature! A cause d'elle, son attaque avait encore faillie échouée. Mais désormais, plus aucun monstre ne le séparait du Seigneur des ténèbres. Il était coincé. Un sourire en coin, Ygdrassyl fonça vers son ennemi, donnant tout ce qu'il avait dans cette course. Si son attaque réussissait, il y avait de bonnes chances pour que le Seigneur Noir soit sonné quelques instants, ce qui pourrait être décisif. Il se rapprochait de plus en plus, il n'était plus qu'à quelques mètres. Ganondorf ne faisait pas attention, c'était le moment idéal! Plus que trois pas, deux pas, un pas... Mais Ygdrassyl ne put savoir s'il avait fait mouche. A l'instant où il lui semblait qu'il atteignait son adversaire, une explosion le projetait violemment sur le côté. Maudit démon! Sans lui, il aurait fait mouche à coup sur! Ayant perdu le Seigneur du Malin des yeux, il le chercha de tous côtés, espérant de toutes ces forces avoir pu l’atteindre.


*Maudit sois-tu, démon! Sans toi, je l'aurais touché!* Rumina t'il intérieurement.

Mais alors qu'il balayait l'endroit de tous côtés, quelque chose attira son attention. Des cris de joie. Oui. Des cris de joie. Ils semblaient se rapprocher progressivement. Cela semblait impossible. Il avait dû être plus durement blessé qu'il ne le pensait.


Llanistar van Rusadir


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Le démon sentait non seulement enragé mais en plus de cela frustré. Ce monstre de bas étage l'avait empéché d'achever l'un des clones de ganondorf et il ne pourrait pas laisser cette faute impunie. Le monstre l'avait plaqué contre le mur mais une simple poussée lui avait permit de se libérer. Plusieurs créatures avaient alors rejoint l'autre. Ils étaient composés d'ombre en un amas vulgaire et dépourvut de finesse et rudement efficace. Le démon sourit à moitié et se jeta dans la mélée. Il avait beau être seul contre une dizaine de ces monstres, il n'en restait pas moins maître de la situation. La fureur du combat, le sang vert de ses adversaires et la rage faisait naître en lui un état qu'il connaissait. Il avait déjà infligé de lourdes blessures à trois d'entre eux et décapités un quand il sentit que le moment était venu. Il était parvenu à la limite mentale entre lui et son père. Abaddon se complaisait dans le sang, les émotions dites mauvaises et le combat. La situation de Zangetsu permit au dieu de coller son esprit au démon et de lui transmettre toute la rage dont il avait besoin. Dans certaines contrées on appelle les hommes touchés par cette bénédiction des Berserker ou "touchés par les dieux". Aussitôt les poils du loup se hérissèrent en une masse effrayante et La bète démon se rua à nouveau sur ses adversaires. Il trancha, griffa, envoya contre le mort, égorgea, plaqua au sol, écervella et décapita mais rien ne pouvait freiner sa furie meurtrière. Il avait achevé le dernier quand il vit alors le mur de glace le séparant de Ganondorf. Mais il entendit surtout les hurlement d'un grand nombre de monstres derrière lui : les dernièrs survivants appelés par leur maîtres. Il entendait aussi de nombreux cris humains. L'armée Hylienne avait sans doute à nouveau investit le château. Il se détournait pour faire fâce aux monstres quand il vit également Yggdrassil, l'ange. L'être à la puissance redoutable que Zangetsu n'avait défié qu'une fois jusqu'alors. Il pensa alors que Dun pouvait ne pas avoir besoin de lui maintenant. Lui se chargerait des monstres et au cas où de Hibi. Si jamais quelqu'un tentait de venir en aide au seigneur du malin, un loup démon plus qu'enragé serait là...Et pour l'instant c'était les monstres survivants qui allaient déguster.

[hrp]C'est normal qu'il n'y ait pas de dialogue, Zangetsu en bète ne peut pas parler autrement que mentalement.[/hrp]


Dun Loireag Dragmire


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Juste avant que les coups ne puissent être portés au corps de l'un des Ganondorfs, un bouclier à la dureté de diamant le protégea des chocs. Le fait même qu'il n'ait pas invoqué de sort prouvait donc qu'il n'était pas le vrai! Et en prenant en compte le fait que l'autre Seigneur du Malin semblait encore aux prises de la Bête, le Prince eut la certitude de savoir lequel était le véritable maux de cette terre. Toutefois le choc électrique qu'il venait de subir ne lui laissait pas le loisir de s'en réjouir, pas plus que le mur de glace qui l'avait affecté, et souffle coupé ainsi que face contre terre, la seule chose qu'il pouvait faire était de regarder droit devant lui. ...? Ce fut à ce moment précis qu'il remarqua quelque chose extrêmement inhabituel, qui ne collait pas du tout avec le tableau sanglant qu'ils vivaient actuellement. Cette chose si commune sur ce champ de bataille le frappa pourtant au point même d'en oublier le Général ennemi présent à quelques mètres à peine de lui.
Un monstre gisait là, une flèche plantée dans le dos.
Une flèche? Quelle ineptie... Nul combattant aux alentours n'usitait d'arc, comment une telle arme avait-elle pu l'abattre? Suivant du regard la direction indiquée par cette dernière, ce que vit le jeune homme à ce moment précis lui donna des frissons tout en lui redonnant des forces. Et simplement, doucement bien qu'accompagné de la douleur la plus vive, le jeune homme appuya ses mains au sol afin de se relever. Prenant appui sur sa lame, il se hissa enfin à une hauteur qui lui paraissait digne du Mont du Péril pour finir par reprendre calmement son souffle. Le contraste évident entre l'ardent combat se tenant à proximité et ce qu'il ressentait en était effrayant. Du coin de l'œil il jeta un regard au Ganondorf qu'il avait attaqué, ce dernier semblait enclin à se lancer à nouveau dans la bataille... Quelle déception! Sans doute les doubles possédaient-ils moins de vivacité d'esprit que l'original, puisqu'il n'avait accordé aucune attention au sang qui l'avait éclaboussé! N'importe quel combattant de la salle de combat s'en serait inquiété face à un adversaire utilisant son propre fluide pour combattre. *Clac!* Un simple claquement de doigts, et les tâches voluptueuses se muèrent en pics tranchants laminant implacablement les guenilles de cette entité. Sans doute cette dernière ne se porterait-elle plus assez bien après cela.


"Sire... Connaissez-vous le Roque?"

La voix froide, le visage morne, le jeune Prince prononça ces paroles qui à elles seules couvrirent le brouhaha de la bataille. Se retournant doucement vers le Seigneur du Malin, le jeune homme sourit étrangement : Quelle question stupide! Il était impossible que cet homme si puissant ne puisse connaître cela! Son regard n'exprimait plus qu'assurance tandis qu'il faisait maintenant face à cet homme si puissant.

"Au jeu d'échecs, aussi surnommé le jeu des Souverains, il s'agit d'un coup consistant à échanger mutuellement les places du Roi et de la Tour : la Tour se sacrifiant afin de sauver son Roi. Il s'agit là d'un dernier recours lorsque l'on approche de la défaite mais qui peut changer radicalement le cours d'une partie. Quelle ironie du sort, n'est-ce pas?"

Quelle ironie en effet, alors que la plus haute Tour du château s'était sacrifiée afin de sauver sa Souveraine, en condamnant pratiquement son propre Prince! Toutefois il s'agissait là d'un coup interdit lors des rencontres les plus importantes telles les réceptions mondaines, de par l'impact qu'elle avait sur le jeu. Levant sa lame d'un geste nonchalant, le jeune homme prit pour la première fois ses responsabilités au combat. Quelle technique inexplicable allait-il utiliser, quel enchantement tel un bouclier ou un clone allait-il usiter, quelle créature enchantée allait-il invoquer afin de submerger son adversaire? Aucun. Suffit, c'en était assez! Ces arcanes n'étaient rien, et ce simple geste incitait ses compagnons à ne plus combattre.

"Sire..."

Le ton empli de compassion n'allait pas à Dun, pire, il n'était pas personnage à s'en teindre la voix et cela ne fit que la rendre plus effrayante encore.

"... Échec et mat."

Abaissant sa lame implacablement à l'encontre du Seigneur du Mal, ce simple geste ne cachait aucune fourberie ou technique cachée, pourtant nul doute qu'il recelait plus de puissance encore que ces dernières. Car à peine ce geste eut-il fait cela qu'un cri raisonna de derrière leur personne. Un Cri? Non, une rhapsodie de voix exprimant courage et fierté!

Et ainsi le sol trembla.
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De ce jour, contes populaires et chants de ménestrels découlèrent en grand nombre; hardiesse de tel soldat ayant combattu jusqu'à sa fin ou encore la loyauté de tel guerrier ayant guidé les civils afin de les mettre en sureté. Mais s'il était un fait qui subsisterait des années durant, il s'agissait sans aucun doute du soulagement des malheureux alors qu'ils virent leur salut. Les renforts annoncés par le Garde Zangetsu à son arrivée avaient été retardés par leur traversée dans le Bourg harcelé par les monstres restants. Mais lorsqu'enfin ils arrivèrent du haut de la colline surplombant le château, la colère de le voir ainsi défiguré les submergea nonobstant que les flammes s'apaisaient et que l'intensité des combats diminuait. Plus étonnant encore, seul un lieu semblait encore en proie aux souffrances. Car le Seigneur l'avait fait, il avait rassemblé ses derniers monstres tout autour de lui afin de surprendre le Prince. Toutefois si cela pouvait en effet venir à bout de ce dernier, il s'agissait d'un choix stratégique risqué : Les alentours furent ainsi libérés de leurs bourreaux et seul eux restaient au cœur de l'affrontement. Voyant le Seigneur du Mal et le combat faisant rage, un jeune archer encore inexpérimenté des règles de l'Armée ne pu s'empêcher de bander son arc. Lançant une flèche qu'il fila dans le dos d'un monstre, le regard dur de son supérieur le foudroya bien que celui-ci ne fit aucune remarque. Il le comprenait parfaitement. Leur propre foyer était menacé, leur cœur s'y trouvait, et on cherchait à les en déposséder! Gardant leur calme et écoutant leur raison plutôt que leur cœur, la compagnie se hâta alors vers ce dernier centre de troubles et finit par l'encercler. Dissimulés par la brume jaunâtre provoquée par la pluie et les cendres, cette dernière finit par se disperser et ils aperçurent enfin les acteurs de ce dernier acte. Une épée pourpre levée au ciel, son dos ensanglanté les encourageant à marcher à ses côtés, leur Prince leur ordonnait d'attendre. Une phrase prononcée au Seigneur des Ténèbres, une épée qui s'abattait dans le vide, des archers les couvrant par l'arrière, et ce qu'on allait nommer plus tard "Les renforts du Garde Sinistre" chargèrent.

Et ainsi le sol trembla.
__________

Véritable cercle hérissé de pointe se refermant sur lui-même, les pas d'une cinquantaine de lanciers raisonnèrent en écho à leurs cris. Les Trompettes de cette compagnie entonnèrent alors leur chant de guerre afin d'entretenir l'ardeur de leurs camarades au combat, et le tout aurait pu être magnifique si le décor n'était pas à vomir. Dun était resté immobile, l'épée au clair alors que le Seigneur avait fait l'erreur de focaliser son attention sur cet homme appelé "Francis", de rassembler ses troupes au moment le plus crucial. Sans cela, nul doute qu'il aurait compris qu'ils ne faisaient que gagner du temps. Et déjà les monstres éloignés tombaient, transpercés. Vaincre un porteur de la Triforce était hors de portée de Dun dans son état actuel, mais nul doute qu'une armée revigorée parviendrait à l'immobiliser assez de temps afin que la porteur de la Sagesse -à défaut du Courage- puisse lui porter le coup fatal. "Échec et mat", trois mots si simples qui résumaient pourtant parfaitement la situation. Et tandis que les premiers hommes arrivaient à leurs niveaux, frappant alliés comme ennemis afin d'être sûr de ne pas commettre d'erreur ou d'en laisser commettre, Dun fixa Ganondorf.
Se retirer après avoir porté une blessure sévère au château ou risquer à nouveau le Sceau des Sages, Ganondorf était Seigneur de son destin autant que du Mal.


Francis


Inventaire

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(vide)

La scène m'était insupportable... Tout ces corps: ces servantes et gardes mort, ces mères et père qui vaient donné leur vie pour Hyrule comme le mien...
Soudain, de n'étais plus à observer le combat, j'étais des années plus tôt, dans mes souvenirs, ceux du derniers message de mon père, le message mental que j'avais reçut lors de mon affrontement avec le héros du temps.


"Francis, je suis en train de mourir... Cependant, si tu vois ce méssage, cela signifie que tu est en train d'affrontter le héros du temps, Link. Sache qu'il n'est en rien résponsable de ma mort: au cour de notre combat, il a finis par lever la malédiction qui pesait sur moi...
Profitant de notre épuisement à cause de la bataille un démon tenta de l'éliminer, je me suis alors interposer, afin qu'il puisse continuer sa quète.
Pardonne moi de t'avoir ainsi abandonner mais Hyrule a besoin d'un héros... En fait Hyrule a besoin de toute âme pouvant la protéger de la menace que représante Ganondorf...
C'est pourquoi je puise dans mes dernière force pour te transmettre ce méssage, Ganondorf ne dois jammais trionpher!
Adieu..."

Je lui avais fait une promesse ce jour là et il était temps de la tenir: Ganondorf voulait abattre le prince, cela signifiait donc que je devais le protéger.

"Rendez-vous en enfer, votre majesté!"

Il était hors de question de laisser Ganondorf achever le prince: il était temps pour moi d'entrer en scène, je créa donc un mur de glace afin de protéger l'adversaire du seigneur du malin qui se rendit alors compte de ma présence.

"Francis, tu as donc survécu à notre dernier affrontement? Tu es encore plus stupides que je ne le pensais. Tu es incapable de me vaincre!
-Vous avez raison, je ne suis pas assez fort pour cela, d'ailleur, aucune personne ici présente ne l'est, cependant, vous avez commis une erreur: je ne suis pas seul aujourd'hui! Et ensemble, nous pouvons accomplir l'impossible!
"

Trois monstres se dirigèrent dans ma direction, mais il était déjà trop tard: Ygdrasil et Dun avaient abattut les deux clones, il n'avait plus personne dernière qui se cachait. Je lançat alors des stalactites sur les monstres afin de l'éliminer. Un jet d'acide vola dans ma direction, je le bloqua de mon bras gauche. Les monstres étaient à présent sur moi, je frappa le plus proche de mon épée, une pointe se planta alors dans mon dos, j'envoya un jezzer dans la tête du monstre que je congela rapidement, ce qui eu pour effet d'arracher la tête de ce dernier.

"Sire, échec et mat."

Le prince abaissa sa lame sur Ganondorf avec une incroyable puissance qui fit trembler le sol. Le seigneur du malin para l'attaque mais se mit par là même en mauvaise posture.
Deux nouveaux monstres se jetèrent sur moi, bien qu'affaiblis, je dn'allais pas les laisser m'éliminer aussi facilement.


Lliude


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(vide)

Cette bataille était riche en rebondissement. Un allié suplémentaire s'était joint à la bataille ainsi qu'un détracteur de Ganondorf qui devait sûrement avoir un compte à régler avec lui. L'affrontement était rude, et par la suite les monstres du Seigneur du Malin arrivèrent pour aider leur maître afin d'entraver les mouvements de ses assayants. Et Lliude assistait à ce combat calmement, la main sur sa double lame. Il devait capter l'instant où il pourrait attaquer à son tour.
Soudain, une flèche fut décoché de nulle part et un monstre fut abattu par le projectile. Le jeune homme tenta de reconnaître l'archer, mais il ne vit que... Ses armoiries?! C'était un archer de l'armée hylienne! Son coeur battait a tout rompre dans sa poitrine. Il l'avait, son moment.
Et avant que le métamorphe ne put dire ouf, Dun abaissa sa lame et une cinquantaine de guerriers hulèrent à l'unisson. Des piquiers, des fantassins, des archers... Il y avait de quoi faire changer le cours de la bataille. Et Lliude s'élança en direction du Seigneur du Malin, qui devait être surpris de l'arrivée innopinée de la défence hylienne, même si au final celle-ci attaquait toute forme de vie mis à part le prince, ne pouvant savoir qui était les ennemis et les alliés dans ce combat.
Quelques mètres séparaient le guerrier du Prince des Ténèbres. Chaques pas augmentait son rythme cardiaque, son exitation...
Sa rage...
Car c'était bel et bien de la rage qu'il ressentait. Il voulait faire payer le Prince des Ténèbres pour avoir voulu tuer un de ses amis. Pour l'avoir contraint à payer autant de sa personne. Il avait été impuissant dans cette tour, et il ne voulait pas l'être une deuxième fois. Si Dun aurait été mort, il ne se le serait jamais pardonné...
A présent, quelques pas séparaient l'attaquant de sa cible. Sa vitesse grandissait a chaque foulée. Il fit tournoyer sa double lame durant sa course et la lança au pied de son adversaire. Puis arrivé assez près du Prince des Ténèbres, il hurla:


"MIRAGES OBSCUR!!!"

Ce hurlement sortait du fond de son être. Il n'avait jamais été si concentré pour un assaut. Soudain, Lliude disparut aux yeux de tous les combattants pour réaparaitre derrière Ganondorf. Le jeune homme avait les yeux fermé, lévitait légèrement et croisait les bras sur son torse.il se mit à tournoyer autours de sa cible, puis assez vite pour donner l'impression que sept Lliude étaient autours de l'ennemi d'hyrule. Puis plus rien. Seulement une brise légère, reposante... Mortelle. Les septs guerriers réapparurent partout autours de Ganondorf... Ils étaient dans les airs en train de plong avec de longues lames à la place des bras vers sa personne, tandis que d'autre Lliude le prenaient par les côtés avec comme armes de longues griffes remplaçant les doigts, comme celles qu'il utilisa dans son combat avec Daidara.
Tout ceci n'était qu'illusion. Sur les septs combattants, six n'étaient pas consistant. Un seul toucherait sa cible et la blesserait. Mais tous hurlaient avec la même détermination, la même rage et la vitesse a laquelles ils fondaient sur leur cible donnait peu de chance à ladite cible.
Malgré tout, si par malheur l'attaque de Lliude ne parvenait pas à blesser le Seigneur du Malin, elle aurait le mérite d'attirer son attention. Car quand celle-ci fut achevée, un cercle composé de piquiers brandissant leur lance devant eux encerclait Ganondorf.


*Le Prince des Ténèbre aura du mal à se débarasser d'eux...* Songea Lliude en riant intérieurement.


[hrp]Zan: J'adore ma technique XD (mirage obscur pour ceux qui sont pas assez vieux pour se savoir)[/hrp]


Le combat était terminé et j'avais perdu... Ma plus grande erreur avait était de penser que seul la famille royal, les gardes et le héros du temps viendraient protégé le château: la majorité des habitants d'Hyrule avaient pris parts au combat et m'avaient mené à l'échec. C'était une chose que je n'était pas près d'oublier.
Cependant, malgré cela, Hyrule n'avait jamais autant était affaiblit et cela était déjà une victoire en soit.
Alors que l'allié du prince se divisait en sept pour m'attaquer, je terminé d'invoquer mon "cadeau d'adieu" puis, affaiblit, j'usai de mes pouvoirs pour disparaitre dans la nuit: pour moi, le combat était terminé.


________________________________________________________________

[HRP: je joue à présent le "cadeau d'adieu de Ganondorf"]


Mon maitre m'avait appelé... Je puisa l'énergie vital des derniers monstres présent sur le champs de bataille pour apparaitre avec ma pleine puissance. Depuis ma défaite face au héros du temps dans le temple de la foret, le seigneur Ganondorf n'avait plus fais appel à mes services: je n'allais donc pas le décevoir bien qu'il s'agissait d'une mission sans grande importance.
Un œil non averti aurait pu me prendre pour mon maitre: après tout, je lui ressemblait bel et bien mais j'étais nettement moins puissant et ne possédais pas de fragment de la triforce. Cependant, en tant qu'esprit, j'avais un autre atout pour lequel mon maitre m'avait accordé sa confiance: je pouvais passer à travers les surfaces solide.
Je passai donc a travers le sol du champs de bataille puis m'infiltrai dans une chambre de château où se trouvait une servante de la famille royale: je l'éliminai sans la moindre difficulté.
Ganondorf voulait que je fasse un maximum de dégat: il allait être servis.

Ce compte est un compte narrateur : les personnages joués par le narrateur ne peuvent pas être utilisés par les joueurs ou joueuses dans leur post (sauf autorisation d'un admin) et les jets de dé du narrateur sont contraignants.



Ygdrassyl


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(vide)

La bataille était finie. Enfin. Le Seigneur Noir avait fini par capituler et par s'enfuir à la vue des renforts qui arrivaient en masse pour aider le Groupe sans Nom. Alors, ils avaient gagnés, vraiment? Cela semblait incroyable. Et pourtant, c'était le cas. Ygdrassyl avait bel et bien touché sa cible en chargeant, mais il s'était trompé, il ne s'agissait que d'un clone, pas de Ganondorf lui même. Après s'être rapidement relevé, il avait prêté main forte aux renforts et avait tué encore quelques monstres par des coups bien placés. Les dernières minutes avaient semblées durer des heures. L'ultime attaque de Lliude et du Prince contre le Seigneur des Ténèbres, l'arrivée des renforts... Et sa fuite! Il avait soudainement disparu. Il s'était volatilisé. Il avait compris que le château ne tomberait pas ce jour-là et que s'il restait, il finirait par succomber sous le nombre, malgré ces immenses pouvoirs. Poussant un long soupir de soulagement, Ygdrassyl tendit son attention vers son corps, et ces dommages. Sous le feu de l'action, il n'avait pas tenu compte de ces blessures. Il allait bien. Quelques hématomes au dos, rien de plus. Il avait craché du sang sous le coup de la masse d'une créature au début de l'affrontement, mais rien de grave. Il était en bonne santé. Quelques jours de repos et tout rentrerait dans l'ordre. Balayant la cour du regard, il repéra Dun en son centre. Il semblait sévèrement blessé mais tenait toujours debout. Il était devenu bien plus puissant et endurant qu'auparavant. Surpassait-il Orpheos, désormais? Et peut-être même Efelron? Ygdrassyl ne le savait pas, et il ne le saurait sans doutes jamais. Dommage. Il aurait été curieux d'avoir la réponse à cette interrogation. S'avançant vers le Prince d'un pas serein, il se stoppa aussitôt. Lliude fit de même. Un bruit sourd en provenance de l'intérieur du château avait attiré leur attention. Une aura noire était soudainement apparue. Ganondorf était-il encore dans le château? Non. Cette aura ci semblait moins forte, moins puissante. Mais alors, qui? Il fallait en avoir le coeur net. Tournant son regard vers une double porte qui donnait sur l'intérieur, Ygdrassyl éleva la voix.

« Dun, tu es épuisé. Laisse moi m'en occuper, avec Lliude. D'ailleurs, il vaut mieux que tu restes avec les hommes. La victoire est notre. Profites en. Nous allons nous occuper des dernieres "restes".» Dit-il d'un ton neutre tandis que son regard fixait la porte avec méfiance.

Sur ces mots, il réajusta sa cape avant de se dirigea vers la porte d'un pas mesuré. Il plaqua son oreille contre la porte. Rien, aucun bruit. Le mal ne provenait pas de cette pièce. Entrouvrant légèrement la porte, il jeta un regard furtif pour plus de sûreté. Non, rien. Il entra alors dans la pièce. C'était un Hall complètement dévasté. Des pans entiers de plafond s'étaient effondrés sur le parquet, au sol. Les coussins étaient éventrés et la plupart des meubles étaient cassés ou renversés. Etrange, le plus gros de l'affrontement n'avait pas eu lieu dans cette partie du château. S'avançant avec prudence, le jeune homme traversa avec ces compagnons encore trois pièces, toutes totalement dévastées. Des salles de réceptions, pour la plupart. Lorsqu'il arriva aux appartements de la Princesse, un nouveau bruit sourd se fit entendre. Il provenait d'un des salons adjoints à la chambre à coucher de la princesse. S'approchant furtivement de la porte, il observa la pièce par la serrure. Ganondorf. Il était de dos, mais il n'y avait pas de doutes, c'était bien Ganondorf! Il était en train de dévaster la pièce, réduisant les meubles en poussière, détruisant les oeuvres d'arts...Pourquoi faire? Le jeune mage ne le savait pas. Mais il fallait l'arrêter. Non sans déglutir, Ygdrassyl concentra tout son mana dans ces mains et enfonça la porte d'un coup de poing. Fluidifiant instantanément son énergie magique, il entra rapidement dans la pièce. Mais alors qu'il allait lancer des menaces au Seigneur Noir, celui-ci se retourna. Ce n'était pas lui. Non, pas tout a fait. Son visage semblait légèrement différent. Mais bien sur! Le jeune homme en avait entendu parler! Le Spectre de Ganondorf. Un de ces fidèles lieutenants déchus depuis son échec contre le Héros du Temps au Temple de la Forêt. Voilà qu'il se voyait attribué d'une nouvelle mission. Une mission peu reluisante. Finir le sale boulot.

« Te voilà réduit à de bien basses missions, Spectre. Finir le sale travail, laisser un dernier souvenir de son maître... Je n'aimerais pas être obligé d’accomplir ces sales besognes. » Fit-il, moqueur. « La bataille est finie. Vous avez perdus. Va t'en. » Fit-il, simplement. Devant le silence de la créature, Ygdrassyl éleva une nouvelle fois la voix. Une voix plus froide, plus agressive. « Très bien. »

Sur ces mots, il défit sa cape et la jeta au sol. Ce nouvel ennemi était bien moins puissant que l'original, mais il saurait se défendre, sans aucuns doutes. Il fallait rester vigilant. Le spectre dégaina une longue épée de son fourreau. La bataille allait être difficile. Un sourire en coin, Ygdrassyl fluidifia une nouvelle fois son Mana et le dirigea entièrement dans ces mains. Sans crier gare, il chargea la créature, suivi de près par Lliude. Arrivé à quelques dizaines de centimètres de son adversaire, Ygdrassyl esquiva de peu un coup d'estoc et lui et donna un puissant coup de poing dans l'abdomen, ce qui eut pour effet de le projeter contre un mur. Sans attendre, il chargea de nouveau pour lui décocher un uppercut dans la mâchoire. Le Spectre venait de s’effondrer au sol. Voulant profiter de la mauvaise posture du monstre, Ygdrassyl voulut lui asséner un nouveau coup mais le fantôme venait de se relever et avait paré son attaque. Effectuant un saut en arrière, le Septième voulut riposter mais un rapide coup de genoux dans l'estomac le fit se stopper. Il s'effondra sous le coup de la douleur. Il était rapide. Et puissant. Mais pas assez pour résister bien longtemps face à Ygdrassyl et Lliude réunis. Relevant difficilement le regard, le jeune homme blond aperçut vaguement Lliude aux prises avec le Spectre, mais un spasme de douleur l'empêcha d'en voir plus. Haletant rapidement, le jeune mage parvint à se relever après quelques secondes, le front couvert de sueur. Il faudrait ruser. Fluidifiant son Mana et oubliant sa souffrance, le jeune homme chargea de nouveau, espérant pouvoir affaiblir suffisamment le Spectre pour pouvoir le tuer après quelques coups.


Alors que j'accomplissais ma mission, deux individus pénétrèrent dans la pièce et m'attaquèrent. Ils étaient fort, pas suffisamment pour me vaincre seul à seul, mais en combat loyal, je ne pouvais absolument pas vaincre les deux guerriers réunis. Je disparut donc dans un des tableaux de la pièce afin d'esquiver une nouvelle attaque d'un des combattant et usa de mes pouvoirs pour que l'on me voient arriver de chaque tableau. C'était bien sûre une simple illusion mais cette stratégie, bien que n'ayant pas fonctionné au temple, était la meilleur que je connaissait.
Quittant l'abri de mon tableau, je me jetais directement sur l'hylien vêtu de noir avant de regagner l'une des toiles toujours accroché au mur et que j'avais épargné exprès.

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Lliude


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(vide)

Alors que les avants bras tranchants du métamorphes allaient entamer le cuir de sa cible, celle-ci se téléporta. Les lames rencontrèrent le sol qui se craquela sous le choc. Le fait d'avoir raté le Prince des Ténèbres l'avait passablement irrité.

"Lache! Soit maudit Ganondorf!" Hurla t-il par frustration.
*et j'espère que nous aurons l'occasion de croiser le fer un jour...*

La foule de soldat crièrent à l'unisson les paroles de Lliude. L'euphorie de la victoire leur donnait le courage de dire tout haut ce qu'ils pensaient tout bas. Mais malgré l'envie du guerrier de combattre cet adversaire d'exeption, le jeune homme savait que l'important n'était pas d'assouvir son désir personnel, mais d'avoir contribué à repousser l'envahisseur. Et à présent, il devait savourer cette victoire. Un sourire s'affichait sur son visage.
Mais le soulagement fut de courte durée car une aura ténébreuse se fit sentir à l'intérieur du chateau, accompagnée de bruits étranges. Cette aura n'était pas celle du Prince des Ténèbres, elle était bien trop faible. Il devait en avoir le coeur net. Et Ygdrassyl lui donna l'occasion de satisfaire sa curiosité.


" Dun, tu es épuisé. Laisse moi m'en occuper, avec Lliude. D'ailleurs, il vaut mieux que tu restes avec les hommes. La victoire est notre. Profites en. Nous allons nous occuper des dernieres "restes"."

Lliude ne se fit pas prier. Il ramassa sa double-lame et suivit son nouveau compagnon d'arme qui emprunta une porte pour progresser dans le chateau et trouver la source de l'aura. Durant leur courte marche jusqu'a leur cible, ce ne fut qu'un spectacle déplorable. Bien moins déplorable que la pile de cadavres causée par Ganondorf, mais cette partie du chateau qui avait été épargnée était ravagée. Tout n'était que ruine et désolation. Puis l'aura s'intensifiait à mesure que le duo s'approchait des appartements de la princesse. Arrivé près d'un salon adjoint à la chambre de la princesse, Yggdrassil regarda à travers la serrure et devint blème. Lliude compris. Mais, même affaiblit, il était étrange pour le métamorphe que l'aura du Prince des Ténèbres soit si peu puissante.
Quand le mage enfonça la porte grâce à sa magie, le monstre se retourna. Il avait beaucoup de points commun au niveau de physique avec son maître, mis a part son visage qui dévoilait sa nature fantomatique. Lliude avait lu dans les légendes hyliennes l'existence de ce spectre, jadis gardien du temple de la Foret et créature aux ordres de Ganondorf, que le Héros du Temps combattit. Yggdrassil déclara:


" Te voilà réduit à de bien basses missions, Spectre. Finir le sale travail, laisser un dernier souvenir de son maître... Je n'aimerais pas être obligé d’accomplir ces sales besognes. La bataille est finie. Vous avez perdus. Va t'en. "

Aucune réponse.

"Très bien." dit le jeune homme d'un ton plus froid.

Et il chargea. Il y eu quelques échanges entre les deux combattants. Le spectre fut dans un premier temps à terre, puis ce fut au tour d'Ygdrassil. Alors que la créature allait frapper son compagnon à terre, Lliude tenta de frapper la créature dans le dos, mais celle-ci se retourna et un violent coup dans les côtes le fit chanceler. Il reprit son équilibre et enchaina les coups d'esctoc et de taille. Même s'il était un bon escrimeur, le but n'était pas de toucher sa cible, mais de l'occuper afin que son allié puisse charger dans son dos.
Mais le monstre de Ganondorf avait senti que quelque chose se tramait, et il s'enfuit dans un tableau alors que le sheika tenta de l'attaquer. Puis tous les tableaux de la pièces donnaient une image du spectre chargeant en direction des deux combattants. Le métamorphe saisit un couteau de lancer et le lança en direction d'un des tableaux, et éventra une toile toute proche. Mais le spectre sortit d'un autre tableau tout proche du métamorphe, et fondit sur lui. Etant trop près pour esquiver, le jeune homme tenta une contre attaque malheureusement trop tard et le coup le projeta au sol, lui coupant le soufle. Quand il se releva non sans mal, Lliude saisit son arme et vandalisa les différentes oeuvres d'art de la pièces, sauf une. A présent, l'illusion sera inneficace.


"Tes compétences dans le domaine de l'illusion sont impressionantes, mais ce n'est pas avec ça que tu arriveras à me vaincre!"
*Montre toi a présent!* songea l'hylien.

Il fit tournoyer sa double lame et l'envoya en direction de l'unique tableau en bon état. Il voulait que son ennemi croit qu'il était désarmé pour qu'il charge le jeune homme.
Et à ce moment précis, il pourra faire de nouveau le mirage obscur. Mais exécuter cette technique une seconde fois allait demander de l'énergie, et il ne devait pas échouer, sans quoi il allait être diminué physiquement pour la suite du combat.


[HRP: Je serais absent de demain midi à lundi (je serais peut-être présent l'après-midi). Afin de ne pas retarder le RP et que Lliude ne reste pas planté comme un piquet, Ygdrassil pourra l'utiliser dans ses messages.]

Edit d'Yggy: Ygdrassyl. Pas Ygdrassil. Nom d'une pipe! xD


Francis


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(vide)

Je me sentais impuissant... Pour la seconde fois, je m'étais retrouver face à Ganondorf et n'avais pas était en mesure de le détruire. Certe, comme au lac Hylia, j'avais particippé à l'échec de son projet, mais je n'étais pas parvenue à laver l'honneur de mon père.
Je devais à présent trouver un moyen d'être à la hauteur pour la prochaine rencontre et pour cela, j'étais prêt à tout.
Ganondorf ayant fuit la palais, je n'avais plus rien à y faire, je quitta donc le chateau ainsi que la place du marché pour regagner la plaine d'Hyrule afin de partir à la recherche de quoi que ce soit qui puisse m'être utile.


Llanistar van Rusadir


Inventaire

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(vide)

La tension était retombée. Le démon découpait à tout va quand Ganondorf décida de Fuir. Le glas de la victoire avait sonné et en comparaison des pertes qu'il avait subies, la destruction du château n'était que peu de choses. Le démon acheva le dernier monstre encore en vie d'un coup de machoire pis, la rage l'ayant quitté pour faire plâce à un sentiment de lassitude et une fatigue éprouvante, il réintégra sa forme humaine. Il espérait que dans le combat seuls les gardes auraient vu ses ailles de démons. Il était assez proche de ceux ci pour qu'ils gardent le silence à ce sujet. Alors que la présence du seigneur du malin s'éloignait, Zangetsu sentit le sentiment de victoire l'emplir et il poussa un gigantesque cri qui résonna sur chaque pierre de la citadelle.

VICTOIRE!

La clameur fut reprise par les soldats galvanisés. La plupart n'avaient que peu combattus mais le démon avait apprécié leur soutient et un courage innatendu chez ce peuple. Mais soudain il sentit une présence. Un être tiré de l'énergie de Ganondorf semblait couvrir sa fuite. Sachant qu'il n'aurait pas les forces pour l'arréter le démon préféra le laisser à Ygdrassyl, sachant que l'ange ferait le nécessaire. Alors lui revint en mémoire Zelda. La princesse était tombée de la tour mais sa présence n'avait pas diminuée et elle était dans le château...Dans les souterrains. Zangetsu sourit en pensant à son fils courant dans le château et massacrant les prisonniers rebelles. Alors il le contacta mentalement et lui ordonna de veiller à la sécurité de la princesse. Suite à quoi il s'endormit...Sans avoir remarqué que son sang coulait abondemment de ses blessures.


Les tableaux était détruit, je n'avais plus que deux options: me battre à la loyal ou les forcer à combattre sur mon terrain. Je décidai donc de ressortir dans la pièce d'à côté, jetai une commode par la fenêtre pour attirer l'attention des deux combattant et me cachai dans l'un des objets afin de les attaquer par surprise.
Si j'avais de la chance, j'allai éliminer l'un d'eux en un coup et l'autre n'aurait alors plus l'ombre d'un espoir de me vaincre.

Ce compte est un compte narrateur : les personnages joués par le narrateur ne peuvent pas être utilisés par les joueurs ou joueuses dans leur post (sauf autorisation d'un admin) et les jets de dé du narrateur sont contraignants.



Ygdrassyl


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(vide)

Tout allait si vite. Enchaînant des attaques à un rythme effréné, le Spectre Noir ne cessait de se volatiliser dans les tableaux de la pièce, prenant les deux compagnons par surprise. Plusieurs fois, malgré les coups puissants qu'ils avaient reçus, les deux jeunes hommes se relevaient, tant bien que mal, avant d'être de nouveau projeté au sol par les attaques furtives de leur ennemi. Exténué, le corps couvert d'hématomes témoignant de la violence du combat, Ygdrassyl réussit cependant une nouvelle fois à se relever. Mais alors qu'il se tournait vers une des peintures pour la réduire en poussière, le jeune mage fut pris de vitesse. Lliude, plus prompt que lui, l'avait devancé et avait éventré la totalité des oeuvres de la pièce, à l'exception d'une seule. Le Spectre semblait joué. Il ne pourrait plus les surprendre. Reprenant son souffle, un rictus au coin des lèvres, le jeune homme essuya sa bouche ensanglantée sur une de ces manches avant de se saisir d'une épée accrochée au mur. Elle était vieille et usée. Elle ne se trouvait là que pour agrémenter la décoration du château. Malgré cela, elle était très maniable et plutôt souple. Elle avait due être une bonne arme, jadis. S'assurant que Lliude surveillait le tableau restant, le jeune homme concentra son attention sur l'arme qu'il avait entre les mains. Une mince enveloppe de Mana se répandit sur la surface de lame. Ygdrassyl la fit rouler entre ces doigts avant de donner un petit à-coup vif dans le vide. Aussitôt, l'enveloppe de magie pure se détacha de l'arme et s'effrita dans les airs. Faisant tournoyer son arme dans ces mains d’un air satisfait, le jeune homme détourna quelques instants ses pensées de l’affrontement. La magie avait belle et bien opérée. Elle était de nouveau tranchante. Mais alors qu'il refixait son attention sur leur cible, un grand fracas se fit entendre dans la pièce adjacente. Quelques instants plus tard, un meuble brisait les carreaux de la pièce voisine. Alerté, le jeune mage plaqua la paume de se main sur la porte avant d'y concentrer la totalité de son énergie magique. Pendant ce temps, Lliude se hâta de récupérer sa double lame et de la retransformer en faux. Quelques instants plus tard, la porte implosait sous l'accumulation brutale de magie. Rien. Personne. Il n'y avait personne dans cette pièce. Un salon à thé, semblait-il.

Et mis à part la fenêtre brisée et le meuble manquant, la pièce semblait en bon état. Quelques objets répandus au sol, rien de plus. Il n'y avait que deux tableaux aux murs. Mû par un réflexe, Ygdrassyl lança son épée dans une des toiles, l'éventrant du premier coup. Lliude fit de même, coupant le tableau en deux grâce à sa majestueuse faux. Hum. Le meuble jeté par la fenêtre était clairement une ruse pour attirer les deux combattants au sein de la pièce. Mais le Spectre du Seigneur du Malin n'était pas idiot. Il devait bien se douter qu'en entrant dans la pièce, leurs premiers réflexes seraient de détruire les peintures accrochées au mur. Alors, que lui était-il passé par la tête... ? Détournant la tête afin de demander l'avis de Lliude, le jeune mage fut pris par surprise. Surgissant d'une oeuvre jetée négligemment au sol, le Gardien du temple de la Forêt attaqua sans crier gare, éjectant le Sixième au sol, enfonçant sa longue lame sombre dans l'épaule gauche du Septième. Criant de douleur, celui-ci se dégagea aussitôt, la main sur la profonde blessure. Elle avait atteint l'os. Il ne pourrait plus se servir de son bras gauche. L'apparition diabolique se jetant alors sur lui, elle attrapa Ygdrassyl par le col de sa tunique blanche. Il n'en avait plus pour longtemps. Il le savait. Des filaments ténébreux parcouraient le corps de la créature, montant jusqu'à la main qui empoignait le jeune Mage. Quel sort, quelle malédiction lui réservait-il? Le vagabond blond l'ignorait. Il savait simplement qu'il ne lui restait que peu de temps à vivre. Mais alors qu'il croyait ses derniers instants venus, un retournement imprévu changea l'issue de la bataille. Poussant un cri de rage, Lliude avait bondi et bousculé le Spectre Ténébreux, le faisant lâcher sa victime.

Refusant de se donner le temps de récupérer, le jeune mage blond se saisit de l'épée qu'il avait laissée tomber, il fonça dans le combat, apportant une aide bienvenue à son compagnon. Le tintement du fer contre le fer était audible jusqu'à l'autre bout du château. Enchaînant les coups, les parades et les ripostes, le combat à l'arme blanche faisait rage. Le Gardien Sombre résistait bien, mais il semblait faiblir à chaque coup. Après encore quelques passes d'épées, il commençait à reculer sous les assauts soutenus des deux membres du Groupe sans Nom. C'était le moment! Poussant un hurlement de rage sous l'effort, dédaignant la douleur vive qui semblait lui réduire le bras gauche en charpie, Ygdrassyl tenta un coup d'estoc en direction du coeur de la créature. Le coup avait réussi, mais pas entièrement, malheureusement. Il perçait à peine la chaire du Spectre, la lame retenue par l'épaisse cotte de maille. Il allait se dégager lorsque Lliude, poussant à son tour un cri de rage, enfonça la pointe de sa faux dans les côtes de l'Apparition Sombre. Posant un genou à terre, le Spectre ne cria pas. Il ne devait sûrement pas pouvoir ressentir la douleur. Relevant simplement la tête, il porta un regard noir aux deux compagnons. Profitant de l'occasion, Ygdrassyl enfonça son épée dans le coeur de leur adversaire. Jusqu'à la garde. Après quoi, il recula de quelques pas. Une intense douleur s'était répandue le long de son bras valide. Sa main qui avait tenue l'épée semblait se noircir et se dessécher à vue d'oeil. Une malédiction qui se répandait rapidement. Seul la mort de son lanceur l'annulerait. Relevant lentement la tête, le Septième observa le Gardien du Temple de la Forêt d'un oeil sombre, attendant la suite des évènements et espérant en son for intérieur lui avoir porté le coup fatal.


Les blessures que m'avaient infligé mes deux adversaire allaient m'envoyer dans le néant, je le savait. Cependant, dans un accès de rage et de désespoirs, je frappa le sheika de toute la force que me permettait mon corps mourant. Cette dernière action effectué, je m'écroulai à terre et mon corps devint poussière, et mon âme rejoignis le néant d'où mon maitre m'avait sortis.
Je n'avais plus qu'à attendre que Ganondorf m'appel de nouveaux afin de pouvoir me venger de ces deux vermines qui m'avaient anéantis.

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Llanistar van Rusadir


Inventaire

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L'esprit de Zangetsu voguait dans la dimension des ombres, au hasard. Sans substance ni consistance. Le démon connaissait cet état par coeur. Le combat l'avait épuisé, abbatu au dela de tout ce qu'il croyait possible et la douleur avait fait son oeuvre. Et le voilà mourrant...mort? Non. Alors qu'il attendait Grenth avec le même espoir naïf, les longues minutes qui s'écoulèrent finirent par le faire se rendre à l'évidence...Sa tache n'était pas finie et le dieu de la mort désirait le garder sur Terra encore quelque temps...Si ca n'était pas encore des siècles. Il réprima une violence envie de hurler, sachant qu'il attirerait toutes les âmes des soldats abbatus qui se dirigeaient vers le royaume des morts...vers sa demeure. Il observa le château désormais désincarné aux teintes noires et blanches. Aucun son humain, de combat ou même du vent ne lui parvenait, juste une sombre mélodie venant à la fois des enfers, du néant et des esprits hantant la terre et déchirant le silence d'un chant macabre et effrayant. Parfois, quand il était assez prés, il pouvait ressentir les vivants. Leurs âmes scintillant faiblement à la manière de feux follets. Certains étaient mourants et déjà ils prenaient une forme plus adaptée à ce monde, d'autres n'étaient que fantômes et il n'était qu'un fantôme pour eux. Flottant dans les airs comme dans le néant, le démon fit un tour rapide de la tour effondré et vit enfin ce qu'il avait fait. Les dégats séraient réparables mais au prix de nombreux efforts. Pis il descendit en contrebas du château. Des guerriers étaient là, passifs ou se combattant. Hibi se concentrait dans cette partie de la citadelle, loin des regards des soldats. Soudain ganondorf effleura Zangetsu et fut expulsé dans le néant...ou plutôt son spectre. Il vit enfin Ygdrassyl. L'ange avait réussit cette tache ardue de vaincre le serviteur du seigneur du malin et se dirigea vers...la princesse. C'était surement à cause de sa magie que le démon était dans cet état là. Les nobles, race décadante d'hyrule s'en tireraient parfaitement. Ganondorf n'avait perdut que des serviteur de base. Voilà donc ce pour quoi il s'était battu. La violence de sa colère résonna sur le monde immatériel et comme un rocher laisse une large onde sur la surface de l'eau, la dimension des âmes fut ebranlée, créant surement une distorsion dans le monde réel.

Aide nous.

"Comment ais je pu être aussi stupide! Les signes étaient là et je viens à peine de m'en rendre compte...Lune noire...Zelda...

Aide nous!

Le démon n'avait rien remarqué. Les âmes s'étaient approchées en silence, murmurant leur demande en un souffle confus et inaudible lorsque Zangetsu n'y prétait pas attention. Mais ils étaient bien là et l'encerclaient. Leurs visages étaient tous les mêmes, déformés par la souffrance et par la colère. Il y avait là les gardes morts ce jour, des guerriers de différentes époques et même un ou deux anciens, premiers gardiens de la terre. Le château était donc un site ancien et sacré. Le démon ne flancha pas et soutint les regards des spectres.

Aide nous...

Votre tourment est injuste. Vos souffrance ont trop duré ou bien elles n'ont pas lieu d'être. Je vous redonne une chance, moi, Zangetsu, roi de la mer des âmes. Une chance de vous apaiser.

Aide nous...Et nous t'aiderons.

Le démon hocha la tête et ouvrit grand les bras au dessus de lui. Il invoqua la puissance que lui conférait une telle proximité avec les enfers et soudain, une sphère apparut progressivement au centre du cercle runique formés par ses membres puis elle éclata et chaque spectre reçut un éclat...avant de disparaître.
Le chant s'était éteint aussi vite que le vent emporte le sable. Seul un léger échos persistait. Les âmes...Zangetsu les avait toutes abosrbées. Traçant une structure de runes complèxe, il y ajouta les souvenirs de cette journée, l'essence des morts, l'essence de tout les combattants. Le procédé était considéré comme impie même au sein des démons mais il n'hésita pas. Enfin, il atteint son but. Avec un dernier regard vers son royaume et vers le dieu des morts, il regagna son corps. Quand il rouvrit les yeux, le château était redevenu comme avant. Il tenait dans sa main une épée surprenante. D'une taille relativement commune bien que plus longue que le modèle hylien, elle se composait d'une garde aux décorations macabres où runes, symboles païens et pierres précieuses se mélangeaient en un florilège obscur. La lâme était droite du côté supérieur et dentellé de l'autre côté. Mais surtout elle était ornée de motifs incrustés en rouge dans la lâme d'une noirceur qui aurait fait passé l'âme de ganondorf pour un linge délavé. Le démon se releva, un lueur encore inédite dans le regard. Il brandit enfin son arme non sans fierté mais sans plaisir.


Ragemourne. Te revoici toi que j'ai détruit y a longtemps. Comme j'aurais révé ne jamais te revoir.Il fit silence comme si l'épée lui répondait à lui seulLa finalité n'a encore jamais été aussi proche. Mais trève de paroles inutiles, tu n'en as pas besoin.

Se remémorant où se situaient les Hibi, il se mit en route. Les gardes qui le croisaient détournaient le regard. Car derrière de nouvelles mèches blanches et un tein blafard se lisaient dans ses yeux un haine et une détermination sans faille.

[hrp]Désolé de la longueur mais c'était nécessaire :p [/hrp]


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