Hyrule's Journey

Mon corps récupéra l'arme de mon père et quitta la grotte malgrès les hurlement de mon esprit... Je n'avais plus aucun contrôle de mon être: je ne pouvais plus bougé, ni parlé, ni faire une autre action que le pendentif n'avait pas commandé... J'ignorais comment il fonctionné mais ne pouvait absolument rien faire pour le contré...
Je gravis donc le mont du Péril et regagna le repère du phénix contre mon grès prêt à massacrer tout ceux qui s'y trouveraient.



Mais après tout, quesque cela changerais? La confrontation était inévitable... Il fallait que je trouve un moyen de courcicuité les pouvoirs du collié mes même mes prores pouvoir magique étaient hors de mon contrôle...
Soudain, je repéra quelque chose qui avait bougé dans le repère et mon corps, en prenant soin de ne pas avoir l'aire suspect, se mit à sa poursuite!

Hyrule était calme en ce moment, tout se passait bien, même trop bien. On entendait plus Ganondorf depuis un long moment. Les phoenix étaient un peu dispersés partout, ils n'étaient plus aux aguets.
Gsix décida de sortir du repère, c'était une belle journée. Le soleil était présent cette fois-ci. Il marcha, puis se reposa contre un rocher. Quelques heures passèrent et soudain, Gsix fut réveillé en sursaut, un bruit atroce l'avait réveillé.
Il se leva assez vite et vit avec horreur le ciel. Du volcan, il pouvait voir tout Hyrule. Il vit le ciel se noircir, les ténèbres prenaient contrôle de chaque coin. Tout de suite, Gsix comprit qu'il fallait prévenir au plus vite ses compagnons et aller voir ensemble ce qui se passait là-bas.
Il leva ses bras et créa des éclairs dans le ciel. Les phoenix comprendraient, c'était pour ainsi dire la marque de Gsix.
Le volcan tremblait, le repère que je voyais de loin, bougeait beaucoup, puis plus rien mais les ténèbres arrivèrent très vite et englobèrent le volcan et tout d'un coup, il se sentit bizare, comme si une haine profonde le pénétrait et le frappait violemment. Il tomba au sol et avait une rage contre n'importe qui. A l'intérieur de lui, il savait bien qu'un truc anormal se passait. Il essaya par plusieurs moyens que cette sorte de "malédictions" sort de lui.
Il n'y arriva pas, peut-être quand ces compagnons seront là, ils y arriveront eux, si ils ne sont pas touchés.
Il entendit un bruit, quelqu'un arrivait, serait-ce un des phoenixiens ou un membre de Ganondorf. Dans les 2 cas, il avait peur de ses actes, il se cacha et attendit et vit Francis. Il m'avait vu et sa colère dans ses yeux ne disait rien de bon et commenca à courir vers moi. Gsix comprit qu'il fallait pas qu'il reste là et courut vers le repère afin de prendre ses armes. Et il verrait ensuite de ce qu'il ferait: le seul but était de survivre pour l'instant quite à tuer un des siens si il se montrait agressif envers lui.

Un éclaire, ça ne pouvait être que Gsix... Je sortis et l'aperçut, mon corps se mit à courir après lui, sans que je ne puisse rien contrôler...

"Gsix, attend, je dois te parler: Ganondorf a lancé une attaque de grande ampleur, il faut à tout pris préparer la riposte..."

Bien sûre, c'était l'amulette qui me faisait dire ça, et je savais que c'était faux...

Comme à son habitude Conan faisait une sieste, somnolant sous un arbre. Quand quelque chose comme un picotement lui procurant la chair de poule le réveilla.

Qu’est-ce que...



Il bondit sur ses jambes robustes, chacune de ses mains déjà sur le pommeau de ses épées. Il les tira.

Il ne savait pourquoi mais un besoin de destruction et de violence s’empara de son corps. De la haine. Il était irrité au plus haut point. Il fallait qu’il libère tout cela.

Il se mit a attaquer le tronc de l’arbre sous lequel il sommeillait quelques minutes avant, à grands moulinets de ses deux armes. En quelques minutes l’arbre s’abattit dans un grand fracas de branches brisées.

Il se sentait un peu mieux. Et s’est alors qu’il vit dans le ciel, l’appel de son chef Gsix.

[size=14]Qu’est-ce que c’est que ça encore ?[/size]

Il rengaina ses armes et partit en courant vers le repère de sa guilde en se disant que l’heure pour le Phoenix de se réveiller était peut être venu comme lui quelques instant auparavant.

J’arrive Chef, j’arrive...

Un mauvais présentiment le gagnait peu à peu. Sa fureur d'abord, l'appel ensuite....


Et il accéléra encore...

Après quelques jours passés au domaine zora, Eylun se sentait beaucoup mieux. Elle avait récupéré toute sa force, et était capable d'utiliser ses pouvoirs sans trop en baver.

A présent qu'elle avait posé ses six réceptacles pour retrouver la mémoire juste au cas où elle lui serait effacée, elle avait à présent l'esprit plus tranquille. Surtout après avoir dir l'indice à Cabron qui lui ferait savoir comment retrouver ses réceptâcles d'âme :

"Hyrule est composé d'élément qu'il faut appréhender ainsi :

Affronter le Feu par le Feu,
Voler au gré du Vent,
Faire trembler la Terre,
Apaiser les mouvements de l'eau,

Pour ensuite trouver sa lumière au fin fond des ténèbres,
Et en libérant sa part sombre prisonnière de la lumière..."

Elle ne se souviendrait évidemment pas qu'elle avait prononcé de telles paroles, mais l'elfe savait comment est-ce qu'elle réfléchissait. Et elle saurait aussitôt retrouver ses réceptâcles. Cabron ne l'abandonnerait pas, elle le savait.

En sortant dans la plaine, enfin, elle s'étira, savourant l'air sauvage d'Hyrule dans lequel elle vivait en parfaite harmonie.

Sauf qu'elle eut comme...un mauvais pressentiment : son regard se tourna vers le Mont du Péril, où elle fronça le regard en voyant des éclairs ainsi que de sombres nuages...les yeux d'elfe pouvaient voir très loin...

Elle ne se fit pas prier. Plaçant deux doigts collés l'uns sur l'autre devant elle, elle invoqua :

- Sylphe, ô, Esprit du vent, emmène-moi !

Une sorte de fée verte apparut et entoura l'elfe d'un petit cyclone avant de disparaître.

Et de la faire réapparaître au village Cocorico, où Eylun aperçut des gens qui étaient en train de s'inquiter de l'étrange phénomène en cours.

Eylun s'y dirigea, rassurant d'un geste les gardes qui voulaient l'en empêcher, lui disant que c'était trop dangereux.

Et après un certain moment, Eylun put entendre des voix...elle cessa de courir.

Elle arriva vers le repaire des phénix, mais n'entra pas immédiatement. Discrètement, elle jeta un oeil à l'intérieur, de façon à ce qu'on ne la perçoive pas, et aperçut Gsix, Francis et Conan.

Les elfes ayant la capacité de ressentir les émotions des autres, Eylun détecta un phénomène assez étrange qui animait Francis et Conan. Mais quoi ? C'était si...bizarre ! Comme s'ils étaient..deux personnes en leur for intérieur ! Qu'est-ce que c'était que cette histoire ?

Francis avertit que Ganondorf était apparemment passé à l'attaque de nouveau. Il portait un curieux bijou. Bah, sûrement quelque chose appartenant à son père...

Elle allait poser sa main sur sa râpière, attendant son heure pour intervenir si jamais, car elle avait appris qu'il ne fallait jamais se révéler immédiatement...

Sauf que, à peine posa-t-elle sa fine main blanche sur son manche, prête à parer la moindre offensive, qu'elle se sentit soudainement étrange, comme violemment...frappée, transpercée par une lance au travers du corps.

Elle en eut de lourds vertiges. Non, ce n'était pas le moment de flancher !!

Elle s'appuya le dos contre la paroi, debout, mais la tête basse, soudainement très fiévreuse.

Et elle fut absente. Là, mais sans être là. Comme une coquille vide, sans vie, sans âme. ça faisait peur...

Au plus profond de son être, Eylun n'était plus là. C'était le noir complet.

Ce ne fut qu'après un certain moment que des images lui revinrent, défilant à une vitesse à en donner le vertige : et toutes ces images comportaient un personnage en commun : une jeune hybride, ressemblant à une elfe de la nuit, avec une peau mauve et d'étranges yeux d'argent qui avaient une lueur sauvage.

Ce fut un peu plus tard qu'elle réintégra son corps, un peu brusquement.

Sa fièvre s'était envolée, et son regard brillait d'une tout autre lueur : elle avait la même lueur que son ancienne personnalité sombre dans sa première vie.
Avant, elle avait deux personnalités. Celle de nuit était la plus sombre, la plus sauvage et froide. Néanmoins pas au point de rejoindre les forces du mal. Loin de là. Mais quand même pas quelqu'un qui ressemblait à l'habituelle douce Eylun avec parfois un sale caractère...

Elle tira son arme, une esquisse narquoise sur ses fines lèvres. Elle était de retour, après un très long moment d'absence...

Parce qu'en effet : Eylun avait tout oublié. Là, elle se disait qu'elle avait finalement réussi à revenir à la vie. Mais elle ne savait plus d'où est-ce qu'elle venait. A part son identité, elle ne se souvenait de rien. Bah, les conséquences d'une renaissance...on ne pouvait pas ravoir les souvenirs de sa précédente vie. En clair, elle avait perdu ceux qu'elle avait eu jusque-là, depuis son "retour" dans le monde, so "retour" face à Cabron. Elle avait les souvenirs de sa toute première vie, en tant qu'hybride, même si elle avait évidemment gardé son apparence actuelle.

Seulement, elle avait perdu tous les souvenirs qu'elle avait acquis sous cette forme.

Du coup, elle reconnut Conan et Gsix, mais pas Francis, qu'elle n'avait jamais rencontré dans sa première vie. Elle se demandait d'ailleurs bien qui c'était, celui-là...et vu ses airs idiots, ça devait être un trouble-fête quelconque, très certainement, qui fonçait dans le tas sans réfléchir. Les jeunes humains étaient souvent comme ça...
Enfin, ça, c'était ce que pensait la Eylun actuelle, celle qui avait un peu grandi dans l'adoration des champs de bataille...

***Hé, hé, je sens qu'on va s'amuser...***

Bien qu'elle n'ait plus les yeux en argent, la lueur suffisait largement pour la montrer...impressionnante. On voyait de suite qu'elle était une combattante impitoyable, qui se fichait des sentiments des gens. Contrairement à ce qu'elle était habituellement...

Elle ne ressentait même plus la peur, ni de la méfiance, ni de la haine, rien d'autre qu'une délectation face aux prochains événements qui risquaient de s'avérer...sanglants.

***Ma lame s'impatiente !***

Alors que je suivais toujour Gsix contre mon grès, j'aperçus Conan qui arrivait... Et horrifié, je sentis mon corps se préparer au combat.



Cependant, je ne contrôlais plus le moindre de mes muscles, je ne pouvais même pas les prévenir. C'est ainsi que mon corps attendis le bon moment pour frapper: lorsqu'il serait sur d'atteindre sa cible...



Mon corps se concentra pour réunir suffisament de particule hydrolique qu'il gela en une nué de pointes glacial pouvant s'avérer mortel...



Témoin impuissant, je ne pu que sentir mon corps lancer le sort sur mon allié...

Gsix prit ses armes et courut pour échapper à Francis. Il stoppa net quand Francis lui dit:

"Gsix, attend, je dois te parler: Ganondorf a lancé une attaque de grande ampleur, il faut à tout pris préparer la riposte..."

Son regard ne disait rien de bon. Tout d'un coup, Conan puis Eylun arrivèrent au volcan, tous 2 étaient bizarre aussi. Gsix tenait son épée, prêt à tout pour vivre et à savoir ce qui se passait pour nous tous. Francis stoppa et avait l'air d'en vouloir à Conan et à l'attaquer. J'avais déjà vu comment il attaquait: il se concentrait et après lancé sont sort. Gsix connaissait Conan depuis longtemps, il voulait d'un côté le sauver et d'un autre les laisser se battre avec une joie que l'un d'eux se fassent tuer. Il se reprit en main et se dit à voix basse:

Que m'arrive-t-il? Je ne peux pas laisser faire ça, je suis leur chef, et on a tous envie de s'entre-tuer. Je dois me reprendre et penser aux sentiments à l'intérieur de moi.

Gsix courut et s'élança vers Francis, l'épée à la main, prêt à le combattre. Il sauta vers lui et son épée prêt à s'abattre sur lui.

Conan pris conscience du danger une seconde trop tard...
Le fait qu'un ami lui lance un sort l'avait fait réagir avec un temps de retard. Mais la heine ressenti lui même tout à l'heure ne lui laissa pas de doutes quant aux intention de Francis. Il avisa un rocher à 30 m de là. Il y en avait de plus gros un peu plus loin mais son manque de réaction premier, lui coutait une meilleure protection.
Il repartit de plus belle en courant, le sifflements se rapprochaient...

10m... 5... 3...

les premières aiguilles se fichèrent dans son dos, heureusement, les plus rapides car plus petites...

Il s'élança en un bond de desespoir et roula derière le rocher...



Une multitude d'aiguilles se fracassèrent contre le roc.
Ses épaules trop larges ressurent encore quelques éclats.
Le froid des aiguilles anesthésiait pour l'heure la douleur, mais quand elles auraient fondu dans sa chair, lorsqu'il ne resterait plus que de petits trous...

Il possa un hurlement de rage qui se mêla aux derniers fracas d'aiguilles...

L'intervention in extremis de Gsix lui avait sans doute sauvé la vie. Empéchant Francis de guider ses aiguilles derrière le rocher...

Par miracle, Gsix était intervenu, obligeant mon corps à relâcher sa concentration et ainsi perdre le contrôle des aiguilles qui filèrent alors droit devant.
Cependant, je savais me battre à l'épée et le pendentif pouvait profiter de chacune de mes compétence. C'est ainsi que mon corps se concentra pour faire décoller l'épée de mon père et ainsi parer le coup de Gsix...

"Quelque soit votre nombre, je vous anéantirais tous!"

Mon corps rassembla de nouvelle particule d'eau qu'il gela sous la forme d'une hache de glace dont ma main s'empara contre mon grès.

"A nous deux Conan!"

Le seul bon côté dans la stratégie qu'usait le pendentif et que contrôler l'épée à distance et maintenir la hache rigide demandait une intense concentration, ce qui allait rapidement m'épuiser si le combat venait à s'éterniser.
D'un seul coup, mon corps s'immobilisa et je compris alors ce qui venait de se produire: mon corps avait ressentis la présence d'un autre mage proche de la bataille. Il fit alors revenir à lui l'épée de mon père.

"Montre-toi, lâche! Qui que tu sois, je sent ta présence!"

[HRP : Francis, tu oses nous critiquer, mais toi non-plus, tu ne respectes pas l'ordre établis ^^ bon, ça va, ça ne se tient qu'à un seul message et pas dix, mais bon, le fait est là, alors gare à toi si tu refais la réflexion =p]

ça dégénéra. La Eylun habituelle aurait foncé pour tenter de protéger tout le monde, s'inquiétant pour eux.

Celle-là, et donc la seconde personnalité de l'ancienne, n'allait évidemment pas laisser Gsix et Conan dans le m******. Mais elle ne s'inquiétait pas.

Bien au contraire.

Tranquille, sans se presser, elle pénétra dans le repaire, arme à la main, et lorsqu'elle arriva dans la pièce où ils étaient tous, elle envoya :

- Un petit coup de main, Gsix ?

Même sa voix s'était timbrée de son ancienne double-personnalité : celle d'une personne impitoyable, arrogante et hautaine.

Elle jeta un regard terrible sur Francis. Enfin, disons un regard qui pouvait en faire reculer plus d'un. Ses yeux habituellement doux brillaient d'un intense éclat sauvage, pire encore : un regard de prédateur. Comme avant, pendant les nuits où elle changeait de personnalité...

Elle pointa son arme vers lui :

- Tu vas regretter de m'avoir insulté, humain. Surtout sans raison. Tu devrais savoir...qu'il faut attendre le bon moment pour tout...

Un sourire légèrement mauvais-amusé s'étira sur ses fines lèvres, et elle acheva :

- Et puis...ça aurait été moins amusant si j'étais intervenue tout de suite, non ?

Oui, le changement était radical ! Là, elle se fichait de tout, c'était presque un jeu.

Reprenant un air menaçant, qu'elle avait normalement perdu, elle lui envoya :

- J'ignore qui tu es, mais tu vas regretter d'avoir voulu attaquer Gsix et d'avoir blessé Conan.

Rapide, sans qu'on ait le temps de la voir venir, elle attaqua Francis en le blessant à la hanche, et, se retrouvant derrière lui, elle n'hésita pas à lui flanquer un bon coup dans les genoux pour le faire tomber, tout en pointant son arme derrière sa tête.

Prête aussi à esquiver si jamais cet énergumène ripostait, ce qui allait certainement être le cas.

Avant, elle n'aurait pas hésité à tuer. Francis avait eu de la chance. Eylun profita de ces quelques secondes de répit, toujours en fixant Francis d'un regard menaçant, elle demanda abruptement :

- Gsix, j'ai entendu dire des choses comme quoi t'étais le nouveau chef. Alors vas-y, décide : qu'est-ce qu'on en fait ?

Ayant totalement perdu ses souvenirs de sa seconde vie, évidemment, elle se trahissait, mais ça ne semblait même pas la déranger >_>

"A nous deux Conan!"

La douleur commençait à se faire lourdement sentir, mais comme toujours dans le combat, Conan cessa d'y prêter attention. Il saisit ses 2 lames et commença de se relever en jetant un oeil par delà le rocher pour jauger la situation.

Gsix était aux prises avec l'épée de Francis qui flottait librement dans les airs. Il avait déjà eu l'occasion d'observer cette technique lors d'un entrainement avec Inuyasha et Francis.

Y a jamais de répis ici ! même dans notre repère !

Il se prépara à attaquer ou contrer les attaque de la hache de glace de Francis, se sentant plus à l'aise face à une arme, même de glace et formée par magie, que face à de la magie elle même...

"Montre-toi, lâche! Qui que tu sois, je sent ta présence!"

Francis se détourna de Conan.

Ce dernier ne fut pas mécontent de cette diversion qui lui proccura du répis.
Il se relacha un peu et attendit la suite


[[[arf Eylun tu as posté juste avant tant pis lol]]]

Gsix avait réussi à détourner l'attaque de Francis. Mais celui-ci persévérait, et s'acharnait sur Conan blessé et sur Gsix. Soudain, Eylun dit:

-Un petit coup de main, Gsix ?

-Oui, aide-moi à le maîtriser

Gsix n'avait jamais vu Eylun comme ca, se battre avec autant de dévouement. C'était stupéfiant. Elle le maîtrisa pendant un instant avant de dire:

- Gsix, j'ai entendu dire des choses comme quoi t'étais le nouveau chef. Alors vas-y, décide : qu'est-ce qu'on en fait ?

Gsix était inquiet, Eylun réagissait comme si c'était un intrus et de plus, elle ne savait plus que j'étais chef, pourtant elle était là à cette fête. Dans un sens, pour Francis, ça se comprend, vu comment il a réagi. Mais d'un autre, c'est un phoenixien. Du coup, il était perdu, pourtant étant chef, il devrait réagir assez vite. Pour ce qui est d'Eylun, il en reparlerait plus tard mais de Francis, que faire? Il répondit:

-Tiens-le encore, je vais l'interroger.
Francis, pourquoi nous attaques-tu? Et que se passe-t-il?

Il attendit sa réponse, mais n'importe quelle réponse qu'il donnerait, les conséquences seront les mêmes. Cette haine à l'intérieur de lui, voulait le tuer mais sa curiosité avait prit part.

"Mwahahahah! Vous aimeriez bien le savoir, hein... Ce qui se passe, c'est que vous êtes finis! Vous voulez me tuer? Eh bien allez-y, je n'ai que faire de ce corps!"

Sur ceux, mon épée vola droit sur Eylun, ce qui me permis de me dégager facilement... Mon corps se servis d'un gezzer pour grimper en hauteur afin de leur lancer une nouvelle salve de pointe glacé.



Phisiquement, elle était méconéssable et elle ne semblait pas me reconnaitre, pourtant, c'était elle, j'en était certain: il n'y avait pas deux aura magique semblable et celle-ci était celle d'Eylun.

Alors que je me posais ces qustion, en spectateur interne d'un combat qui pouvait très bien être mon dernier, mon corps lançat une nouvelle nuée de pointes sur les trois membres des chevaliers du phénix.

[physiquement, y'a pas de changement x)]

A la réponse de Gsix, Eylun acquiesça simplement, mais d'un mouvement très bref de la tête.

Le dénommé Francis, puisqu'apparemment, il s'appelait comme ça, fit une simple allusion comme quoi ils étaient tous foutus, avant de retourner son attaque contre elle.

D'un bond, elle fit un bref saut vers l'arrière, mais en étant tout de même obligée de parer l'attaque de Francis, et de se mettre en position de défense.

Elle eut une expression narquoise, lui répliquant :

- Oh, mais c'est que ça se prend pour le grand fouteur de trouble...t'es pathétique, mon gars.

***"Je n'ai que faire de ce corps"...il n'y a donc pas de doute, il est possédé***

Francis s'éleva via un geyser et attaqua via des sortes de lances de glace.

Sachant que cela ne servirait à rien de parer, l'elfe se dégagea du chemin, cherchant à les éviter, la lance de glace se planta avec violence dans un mur.

Eylun jeta un bref regard dessus, avant de répliquer à nouveau, mais toujours de la même façon :

- Je comprends mieux. J'ignore qui tu es, mais crois-moi, on ne va pas te faire le plaisir de massacrer ce corps. Même si franchement, j'en ai rien à faire. C'est juste pour le plaisir de t'emm***** =) Si t'avais rien dit, mon pauvre, ouais, je crois bien qu'on l'aurait renvoyé à la terre, ce corps. Tu viens de sauver la vie d'un imbécile, crétin ^^

***Je peux parler, je fais pareil X__x...quoi que, pas vraiment, la différence, c'est que mon ancien corps est détruit...celui-là est bien le mien, mais...pourquoi ai-je autant changé physiquement ? o_O Bon, on verra ça plus tard, c'est pas le moment d'y penser, y'a des vies à protéger...***

Bon. Après, restait à savoir comment libérer le corps de ce Francis. Eylun se mit à réfléchir, essayant de rassembler ses connaissances, ses provocations ne lui servant qu'à gagner du temps. Elle venait à peine de revenir, elle n'avait pas retrouvé encore tous ses esprits...ayant beaucoup voyagé, elle en avait appris pas mal, mais après, bon...

***Que va décider Gsix ? Il faut en finir rapidement, et atteindre directement le manipulateur...mais si je suis attaquée sans cesse, je ne peux pas me concentrer pour sonder les alentours magiquement...***

"Mwahahahah! Vous aimeriez bien le savoir, hein... Ce qui se passe, c'est que vous êtes finis! Vous voulez me tuer? Eh bien allez-y, je n'ai que faire de ce corps!"

Ces mots fesaient froids dans le dos. Eylun et Gsix comprient tout de suite, que ces mots ne venaient pas de Francis, que quelqu'un d'autre le manipulait. Mais qui? Une seule personne veut nous voir mourir, une seule seraient capable de ça: Ganondorf. Tué Francis, serait lui donné satisfaction. La solution serait de trouver comment l'a-t-il maudit, comment le contrôle-t-il. Gsix observait Francis de haut en bas pour voir ce qu'il y avait d'anormal sur lui par rapport à l'habitude en faisant gaffe, quand même, il avait réussi à se libérer et recommencer à relancer des pics de glace. Gsix se protégea derrière un rocher et se demanda comment l'arrêter sans le tuer. Son regard s'arrêta sur un pendentif qu'il avait au cou, c'était sûrement ça. Il tourna la tête vers Eylun et fit signe en montrant le pendentif de Francis, voulant dire que c'était ça qu'il le rendait fou et lui dit:

Eylun, faut trouver un moyen de le retirer. Sinon, on n'arrivera jamais à nous en sortir.

Océane était en retard par rapport à ses habitudes. Ce jour-là, elle était restée trop longtemps près du château d'Hyrule. Elle avait promis à un garde de prendre sa place pendant qu'il faisait quelque chose pour sa famille et s'en maudissait intérieurement, puisqu'elle n'a pas été suffisamment curieuse pour lui demander à quelle heure il revenait. C'était clair, la patience n'était pas son fort, elle avait beau se convaincre d'aider les autres sans penser à d'autres choses, elle n'y arrivait pas. Pour une raison inconnue, elle se sentait idiote, debout, à attendre qu'un collègue revienne.

Le soleil était sur le point de se coucher, et la fée se dirigeait d'un pas rapide vers le repaire de la guilde. Après tout, elle se devait de le défendre au même titre que la famille royale. Cela avait beau faire trop de responsabilités pour elle - et il ne fallait pas être devin pour voir à quel point elle détestait cela -, elle n'abandonnait aucun devoir.
Enfin, ne pas abandonner ses devoirs ne signifie pas toujours les accomplir soi-même...

Cependant, elle fit face au mont du péril, et sa vue eut l'effet d'un seau d'eau froide.

La garde stoppa net son avancée et entrouvrit légèrement sa bouche en le regardant avec de gros yeux. Ce n'était quand même pas Gsix qui lançait l'alerte ? Inspirant profondément, elle se mit clairement à courir, espérant arriver à temps.

Quelques minutes suffirent à Océane pour faire son entrée au repaire, stupéfiée par le spectacle qui s'offrait à elle.

-Que... Qu'est-ce qui se passe ici ?! lança-t-elle vivement, essoufflée, les yeux largement ouverts.

Non, elle n'avait pas besoin de dessin, c'était clair. Des phénix se combattaient mais, ayant une confiance aveugle en Eylun, Conan et Gsix, la situation disait que Francis s'était retourné contre eux. Seulement, un détail laissait la fée perplexe. Pourquoi diable ne l'avaient-ils pas abattu ? Ils étaient clairement plus avantagés, sans parler du haut niveau du chef, et le temps avait été largement suffisant.

Un détail lui échappait, et les yeux de Francis n'avaient rien de rassurant, si ça n'avait été qu'une simple prise de tête, personne ne serait armé, ni même blessé.

Reprenant à peine son souffle, elle avança prudemment à l'intérieur, prenant son arme de derrière son dos, et se mettant en garde. Elle attendait des explications, mais surtout des instructions, étant dés maintenant du côté du chef.
C'était dans ce genre de situation qu'elle était le plus excitée par le combat, et l'expression que son visage prenait n'était en rien reconnaissable, venant de sa part.

"Eylun, faut trouver un moyen de le retirer. Sinon, on n'arrivera jamais à nous en sortir."



Les choses s'annonçait sous les meilleurs auspices: mon corps commençait à se fatiguer à cause de l'usage excessif de magie de haut niveau et une nouvelle personne venait d'arriver: océanne.

"Vous croyez pouvoir vous approcher de moi, hein?..."

Soudain, des mur de glace entourèrent mon corps, empêchant ainsi tout intrusion extérieur.

"...Et bien bonne chance! Niark, niark."

Mon corps déclencha une nouvelle pluie de pointe glacé. Je sentis alors une de mes jambes lâcher sous mon poids, trahissant l'extrème tension qu'il subissait.

"Cette fois, c'est la fin pour vous."

Je connaissais que trop bien la stratégie qu'il utilisait pour l'avoir souvent utilisé: mon corps s'était protéger pour ne pas être dérangé dans sa concentration, il pourrait ainsi lancer les pointes de glace à la poursuite de leur cible jusqu'à ce que ces dernières soit éliminé.

Cela faisais plusieurs mois que Cabron, avait disparue comme par magie de la terre sacrée d'hyrule.
A force de voir de nombreuse chose le dérangent il avait décider de se retirer et aussi car il avait eu honte de ses nombreuse réactions , alors il avait décidé de s'enfermer dans sa propre chambre de guilde , dans al roche même grâce a tiamat qui l'avait cristallisé ,mais depuis peu il sentait une force ténébreuse dans les alentours et cela le réveilla.

*** bon sang !! j'ai dormi depuis combien de temps ? ***

Cabron s'extirpait de sa prisons et un froid glaciale le frappa le laissant sans souffle , il repris son arme , sa lance forgé par un de ses maitres.
Il avanca dans le repaire et vis Francis entrain d'attaquer les guildiens. sans réfléchir Cabron laissa sa magie des flamme chauffer autour de lui réchauffant alors la salle d'un seule coup , fondant alors les pics de glaces qui fonçaient.

Il courue dans la directions de francis et grâce a la chaleur que il dégageais , fis fondre la glace autour de lui, attrapas la gorge de francis et le sortie de la glace fondante l'envoyant valser contre un mur espérant que il atteindras le mur

Excusez moi de mon absence mais je crois que il y a que moi qui peut faire fondre la glace donc on verras les "bonjour" après

Pour le moment c'était le combat les retrouvailles se ferait par la suite

Cabron fit soudainement irruption dans la pièce. Ce qui était le cas de le dire.

Eylun soupira, mais, amusée :

- Aaah, là là, il ne fera jamais attention, celui-là !

D'un geste, elle entoura les autres d'une barrière de feu, pour contrer celle de Cabron qui aurait pu tous les brûler.

Lorsqu'il finit de projeter Francis, elle lui envoya, un peu rude :

- Et moi, tu m'oublies, crétin ?! Je sais manipuler le feu aussi, mais tu m'as devancée...tu seras pas de trop.

Elle avait aussi écouté ce qu'avait dit Gsix. Le médaillon.

Comme le corps de Francis semblait momentanément fragilisé, en plus de la blessure qu'elle lui avait infligée à la hanche à son arrivée, elle s'approcha, tranquille, mais arme à la main encore, quand même.

Elle s'accroupit devant lui, le releva un peu par le col, avant de lui retirer l'étrange médaillon, avant de reposer doucement Francis sur le sol à nouveau.

Redevenue celle d'avant, elle était sadique sur les bords, un peu, oui, mais elle avait très bien compris que ce Francis faisait parti de la guilde, alors il était maintenant hors de question d'aggraver son état.

Et puis, tous s'étaient suffisamment amusés, selon elle. Il devait se reposer.

Elle se releva, et s'éloigna simplement, avant de jeter le médaillon sur le sol au milieu des autres, juste au cas où celui-ci pourrait posséder la personne qui le portait. Francis était libre, il n'y avait plus rien à craindre de ce côté-là.

Eylun se méfiait, parce que des objets de ce genre, elle en avait déjà croisé, et c'en était justement un qui l'avait tuée ! Alors pas question de recommencer...

Elle envoya :

- Bon, comment va-t-on s'y prendre pour le jeter dans le cratère ? Nos pouvoirs ne seront pas suffisants pour le détruire...

Le pendentif retirais, je succombais à présent aux effets de la malediction de Ganondorf et devait lutter contre l'envi de me venger des bléssures qu'ils m'avaient infligé. D'ailleurs, les attaquer aurait était stupide: dans l'état où je me trouvais, je n'aurais pas pu battre un seul d'entre eux, alors tous...
Pour parer cette envi de vengence, je me ,concentra sur l'autre qui était à présent plus intence que jamais: ma haine de Ganondorf. Je devais faire échouer son plan et trouvais un moyen d'envoyer les autres chevalier l'affongtter et je m'arrangerais pour éliminer le perdants, quel qu'il soit!...



Mais si je pouvais éliminer les autres en même temps... Ca leur apprendrait à m'attaquer.
Oui, c'était ça qu'il fallait faire: les tuers tous, mais pour cela, il fallait que je leur livre ce que je savais.

"Ganondorf s'est servis des qutres épées élémentaires pour plonger Hyrule dans les ténèbres et prendre une forme bien plus puissante: celle de Ganon.
Le seul moyen de l'arrétter est de s'emparer des 6 blasons qu'ils à confié à ses créatures les plus puissantes."

Je devais récupérer des forces au cas où Gsix déciderait de nous lancer sur la trace des blasons: si un phénix tombait au combat, je m'assurerais qu'il ne se relèverais pas.



Non, je pouvais y arriver seul et mes partenaires devaient payer pour m'avoir bléssé.



L'amitié n'étais qu'un prétexte pour obtenir ce qu'on voulais des gens: il fallait leur faire payer leur impudence; les détruires.

"Qu'attendons nous pour y aller?"