Rp event : Catastrophes « naturelles » [partie 1]

[ Hors timeline ]

[Le but de ce rp est de rassembler des personnages de tous horizons et toutes convictions, pour réparer les dégâts causées par les immondes sorcières (la priorité n'est peut-être pas d'aller casser la gueule de Koume et Kotake, sachant que si certains souhaitent tout de même, il sera bon ton de se référer à ce topic avant : https://hyrulesjourney.forum2jeux.com/t2751-des-lieux-et-des-visites#41809 ). Il n’est ici pas question de guildes, où d’appartenance à tel ou tel camp. Je vous invite tous à participer et plus spécialement les personnages spéciaux « responsables » des régions concernées.

Pour ce Rp, il n’y a pas de tour. Chacun peut se sentir libre d’intervenir quand bon lui semble.

Bon Rp à tous !]

Le pèlerinage. Voilà comment elles avaient baptisé leur œuvre. Et autant dire que ce « pèlerinage » ne serait pas sans conséquence. Elles avaient établit un ordre bien particulier. Qui ne serait pas sans rappeler un petit quelque chose aux férus d’histoires et de légendes.

Il était tard ce soir-là, quand la folie s’emparât d’elles. Elles en avaient assez ! On les avait mises au placard ! Oubliées les monstrueuses sorcières ! Exilées dans leur temple et à n’en sortir que par grands combats !
Il était temps de se divertir un peu ; De faire frémir ce peuple qu’elles « chérissaient » tant.

Elles prirent tout leur temps. Après tout, rien ne pressait. Elles s’étaient tellement fait attendre que quelques minutes de plus n’y changeraient rien.
Elles enfourchèrent leurs authentiques balais volants et se dirigèrent vers la forêt Kokiri, un sourire machiavélique se dessinant sur leurs lèvres décharnées.
Le voyage dura une demi-heure et il leur puisa une légère quantité de leur réserve de magie.

Une fois sur place, elles se dirigèrent vers une zone déserte de la forêt.
Tout était calme et paisible. A l’instar de ses habitants, le bois avait sombré dans un profond sommeil, dont apparemment, rien ne pourrait le sortir.

Alors, Koume étendit les mains en direction d’un groupe d’arbres.

« Brûle, brûle petite forêt. » chantonnât-elle avec joie et des flammes sortirent de la paume de ses mains fonçant droit vers les centenaires.
Le feu dévorant ne mis que quelques instants à enflammer les arbres visés. Les arbres étaient si secs que si personne ne réagissait, la forêt entière ne serait plus qu’un tas de cendres au petit matin.
Le feu. Cet élément si fragile au contact de l’eau et du vent et pourtant si puissant lorsque laissé à lui-même, détruisant tout sur son passage.
Quelques animaux ensommeillés détalèrent à la vue de la gerbe de flamme.

Pendant que Koume effectué sa tâche, Kotake avait pris soin de graver leurs initiales sur un rocher.

« K&K » avait-elle calligraphié de manière habile.

Elles se mirent à rire de façon grossière. Ce rire hideux qui n’avait de cesse de raisonner dans le temple de l’esprit.
Enfin, elles remontèrent sur leur balais, laissant ce premier ravage derrière elles.

Ce compte est un compte narrateur : les personnages joués par le narrateur ne peuvent pas être utilisés par les joueurs ou joueuses dans leur post (sauf autorisation d'un admin) et les jets de dé du narrateur sont contraignants.



Withered


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Le hasard fait parfois bien les choses, mais ce ne fut pas le cas cette fois-ci. Katrina ne rejoignit pas la forêt en ne suivant que ses pas ou en quête d'une information à faire partager à la petite planète de ses lecteurs. Elle n'était pas non plus la dans l'espoir de rencontrer un kokiri et d'en apprendre plus sur le peuple des enfants éternels. C'était bel et bien le feu -ou du moins la fumée visible à plusieurs lieues de là- qui la firent courir jusqu'à la forêt. Arc et carquois dans le dos, elle se rua vers l'immense brasier qui se déclarait et commençait déjà à prendre de l'ampleur.

Si elle se doutait déjà de la taille des flammes avant d'atteindre la lisière, elle fut néanmoins horrifiée quand ses pas foulèrent la bordure du domaine sylvestre. Plusieurs centenaires étaient déjà réduits en cendres et le brasier continuait de tout ronger. Réagissant au quart de tour, la sheikah chercha à s'approcher le plus possible du coeur de la forêt. Mais bien trop vite les flammes lui barrèrent le chemin et la fumée s'infiltra entre les arbres, réduisant son champ de vision. Et la jeune femme connaissait trop mal la forêt pour savoir où se trouvait le village Kokiri.

Alors, en espérant que d'autres téméraires seraient intrigués comme elle par la fumée, elle se mit en position. Elle avait une capacité minime à synthétiser de la glace -elle s'en servait surtout pour fabriquer des flèches inépuisables en champ de bataille- mais elle décida de tout tenter et de pousser au maximum ses capacités. Elle concentra son énergie et commença à envoyer de projectiles de glace sur les flammes les plus proches, espérant que la glace fondrait mais qu'elle ne s'évaporerait pas avant que l'eau n'ait atteint le brasier.


Roshu Aaron


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La nuit . Lieu : Village de la Forêt Kokiri . Tous étaient dans les bras de Morphée , y comprit le sorcier du phoenix qui était venu tôt dans la journée pour une énième séance de détente , de "zenitude" car le poids du stress s'en fesait sentir , sa manière de parler par exemple devenait un peu plus insupportable , il perdait son calme plus rapidement et il n'est plus concentrer au combat . Les retombées de la réunion de la dernière fois l'a vraiment mis dans un état pas possible . Bref , il était endormi sur l'herbe , près du courant d'eau . Il ne pouvait pas demander un lit en plus à l'habitant , il serait trop petit .

Alors le vent souffla les premières braises semé par une personne inconnu , les cendres destructeurs s'approchait à petit feu , la lueur rouge éclaira le ciel . L'élément de prédilection pour Roshu allait se retourner contre lui , s'il se réveillais pas . Mais cette odeur de bois brûle le réveilla , en même temps qu'un cauchemars qu'il fesait . La 1ere pensée qui lui vient fût : " Un barbecue nocturne ? " Mais cette idée s’éclipsa en une demi seconde car il n'était pas question de grillade mais d'un feu de forêt ! Il s'écria et se leva en sursaut .

L'esprit plutôt embrouillé , encore endormi , il cria pour révéiller tous les habitants .


" Vous avez intérêt à vous réveiller ! "

D'un ton très inquièt car il était sur le chemin de l'incendie qui s'avançait dangereusement , il sortit son arme , tout en essayant de se souvenir de sort aquatique " J'en ai pas besoin , apprenez nous la magie du feu" disait-il en cours de magie élémentaire , tous le monde l'avait prit pour un futur pyromane ...

" J'aurais jamais du dire ça ... " Disait il à haute voix

En tous cas , il lui restait une magie aérienne pour essayer de l'éteindre


Tout allait bien jusqu’à présent, le rêve de Saria était tranquille. Sa forêt l'entourait et les murmures des arbres la faisait sourire comme à son habitude. Soudain, ce doux songe changea du tout au tout. Les arbres ne murmuraient plus mais hurlaient, ils hurlaient leur douleur. La sage entendait cette douleur jusqu'au plus profond d'elle même. Le rêve était si prenant, trop prenant. Tellement qu'elle ne pouvait s'en défaire. C'est un cri qui l'éveilla en sursaut. Une voix familière. Un jeune homme. Roshu ?
Qu'avait-il dit ? Intérêt à se réveiller. Instinctivement Saria avait compris, il se passait quelque chose de grave, son rêve avait été un présage. D'un bond elle se leva et enfila sa cape pour se protéger du froid de la nuit.

Dès l'ouverture de la porte l'odeur du bois brulé avait pris d'assaut ses narines. Sa forêt brulait ?! Mais comment ?! Elle se précipita dehors, couru aussi vite qu'elle put vers les flammes qui léchaient avidement la chaire de ses amis boisé. Pas le temps de réfléchir. Une immense vague de terre s'abattit comme une masse sur les flammes. Saria tentait tant bien que mal d'arrêter l'incendie en l’étouffant.

D'autre habitants de la forêt était déjà dehors horrifier par le spectacle. Parmi les craquement du bois dévoré par la flamme Saria leur hurla ses ordres.


" De l'eau ! Prenez des sceaux ! Arrosez moi cet incendie ! Que tous le monde s'y mettent, on ne traine pas, vite ! "

Intérieurement elle était affolée et apeurée, mais elle enferma tous ces sentiments au plus profond d'elle. Il fallait garder son sang froid. Pendant qu'elle regardait les kokiri courir en tous sens et s'affairer sur les flammes comme ils pouvaient Saria reconnu Roshu. C'était bien lui qu'elle avait entendu.

" Roshu Aaron ?! j'ai besoin de vous, venez vite s'il vous plait ! "

Une bouffée de chaleur renvoya sa concentration sur le brasier face à elle. La sage envoya une nouvelle giclé de terre sur ce dernier.
Une fois le sorcier à son niveau elle planta son regard grave dans le sien.


" Vous maitrisez la magie vous aussi, non ?... S'il vous plais, aidez nous." "

Saria mettrait tout en jeu pour protéger ce qui était cher à son cœur. Elle venait de se le jurer : sa forêt ne disparaitrait pas dans les flammes.

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Eorah Vif-Argent


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C'est l'odeur de la fumée qui m'a tirée du sommeil.
Repoussant les couvertures et la protection rassurante du repos, je me lève en toute hâte et vais me précipiter a la fenêtre.

Au dehors c'est le chaos. Le feu ronge les arbres ici et la ... Partout.

Passant mon manteau, je cours apporter une aide toute relative. N’étant pas mage de l'eau je suis sceptique.

Apercevant la bas un groupe, je vais vais eux.


" Roshu Aaron ?! j'ai besoin de vous, venez vite s'il vous plait ! "

C'est Saria la petite Kokiri, Sage de la foret, que j'ai deja eu l'occasion de croiser dans la foret qui a pris la parole. Aussi je m'adresse directement a elle avant qu'elle parte.

"Puis je aider?"


Aurore


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Elle rêvait paisiblement, sous sa forme de louve au pelage immaculé, enroulé soigneusement sous un arbre. Comme à l’accoutumée, son songe n’était autre qu’une course folle contre un lapin souhaitant échapper à ses crocs carnassiers.
Mais cette nuit-là, le rêve ne fût pas tout à fait comme d’habitude. Alors qu’elle allait bondir sur sa proie, une odeur de fumée la reteint.
Cela empestait. La louve suffoquait.
Ce rêve était bien trop réel. Elle ressentait la douleur dans ses poumons comme jamais elle ne l’avait ressentie. Son esprit s’approcha petit à petit de la limite de la conscience et elle finit par ouvrir les yeux.
La fumée était bien réelle. Elle avait formé un brouillard opaque.
Tsubaki tendit l’oreille pour ouïr le crépitement des flammes. Elles étaient assez loin et il lui faudrait au moins quinze minutes pour arriver au foyer du feu destructeur.
Elle se mit à courir sur ses quatre pattes aussi vite qu’elle le put.

Arrivée à quelques dizaines de mètres de l’incendie, elle entendit des éclats de voix.
Visiblement, certains étaient déjà en train de s’afférer à faire cesser ce crime.
La Dame Louve s’approcha d’une femme qu’elle reconnut assez rapidement. Il s’agissait de Katrina. Cette jeune femme Sheikah qui l’avait questionnée sur ses motivations à faire partie de la famille du Seigneur du malin. Bien des choses avaient changé depuis leur dernière rencontre, mais l’heure n’était pas à la causette.
Elle reconnut également d’autres personnes qu’elle avait aperçues lors de la prise d’otage de son cher mari. Eux ne l’avait jamais vue. Sans doute ne la reconnaitraient-il pas et cela était tant mieux.
Elle ne savait que faire, peut être aller chercher de l’eau au ruisseau ? Aller chercher de l’aide ? Quel était le plus urgent ?

Lorsque Katrina posa les yeux sur elle, elle l’interrogeât du regard.


Withered


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[ Je sais pas trop comment vous voyez la chose, mais pour moi il y a un groupe à la lisière (Tsub et moi), et l'autre de l'autre côté des flammes au village. Ca vous va ? ]

Ses tentatives étaient quasiment vaines. Elle ne savait pas encore produire assez de glace d'elle-même pour avoir un réel impact sur les flammes. Toutefois elle entendait des voix de l'autre côté du brasier et elle fut soulagée. Elle n'était pas seule, et le village ne subirait pas l'assaut pendant le sommeil de ses habitants.
Puis, alors qu'elle usait ses forces dans de petites quantités de glace, elle reconnut un bruit de course molletonnée. Comme un gros chat. Le coeur battant déjà la chamade à cause des efforts, elle se retourna pour découvrir la large bête au pelage blanc. Elle hésita un instant puis les souvenirs lui revinrent, et furent confirmés quand le loup la regarda dans les yeux. Elle remercia mentalement les déesses d'avoir un jour mis Tsubaki sur son chemin, et qui plus est de les mettre en contact ce soir là.


"Un ruisseau !" cria-t-elle, autant pour le loup que pour signaler à l'autre groupe sa présence, "Il faut rejoindre le ruisseau, et je ne vois plus rien, en plus de ne rien connaître à cette forêt !"

Sans plus chercher à dépenser ses forces en magie inutile, elle courut à la suite de l'animal, se fiant à ses instincts supérieurs à ceux des humains. Ses yeux fixant la boule de neige du pelage, elle se penchait pour éviter de trop s'exposer à la fumée. Elle ne savait pas combien de temps durait leur course, mais elle ne ralentit jamais le rythme.
Elles arrivèrent finalement au cours d'eau, et Katrina alla directement s'y immerger en laissant ses armes sur le rivage. La chaleur devenait de plus en plus étouffante...
Elle regarda Tsubaki, et lui fit de grands signes.


"Il faut faire des éclaboussures, asperger les bords du rivage ! Je pourrais plus facilement transformer tout cela en glace et on pourra amener tout ça au coeur du brasier !"

Pour illustrer ses propos, elle poussa avec force la surface de l'eau qui s'éleva dans les airs, avant de se figer en glace brillante. Trop brillante. Elle fondait déjà, à peine synthétisée. Elle continua quand même, cherchant à réaliser une chaine de glace.

"Où étions-nous ? Il faut me montrer comment retourner là-bas, et vite !"


Roshu Aaron


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Les flammes d'une couleur rouge vif continuait leur chemin , ravageant arbre après arbre , herbe après herbe et de pauvre animaux qui se sont retrouvé sur leur chemin . Il pensa rapidement à l'arbre Mojo !

" Merde ! J'espère qu'il lui est rien arrivé ! " disait-il à haute voix

Tous le peuple Kokiri s'entraidait , ils prenaient de l'eau avec un seau en bois et le jetèrent sur le danger . Certain couraient partout , prit de panique et retardant l'heure fatidique . L'instinct de survie leur avait pris le dessus , fuir pour vivre . Ils les voyaient se bousculer entre eux , les pauvres enfants ... En regardant cette scène d'horreur , il essayait de se ressouvenir d'un sort eau . Puis une jeune kokiri à la chevelure verte interpella Roshu , la voix de la jeune Saria . " Venez vite !" disait-elle . Le sorcier vint vers Saria


" Vous maîtrisez la magie vous aussi, non ?... S'il vous plais, aidez nous."

Il aquiescait en silence , hauchant la tête et redirigea sa concentration sur ses flammes .

" On va essayer ça ... Aquos Impulsus ! "

Malheureusement ce qu'il en sortit de sa baguette n'était pas suffisent pour envoyer de l'eau sur les flammes qui étaient encore loin , un débit d'eau assez faible .

" Et bien on va essayer autre chose , Aero Cinos ! "

Une grosse bourrasque sortit de son arme et éteignit un peu le feu de bois . Mais ce sort est un sort de propulsion utilisé par Roshu pour assené une grosse attaque de feu ou pour fuir , la terre lui permit d'évité de s'envoler vers d'autre cieux


C'est avec une grande surprise que Saria vit arriver Lenneth à la suite de Roshu. La jeune femme proposa spontanément son aide aux kokiris, elle ne pouvait pas faire plus plaisir à la sage. Pendant que Roshu tentait autant qu'il pouvait d'éteindre les flammes, Saria donna ses instructions à Lenneth.

"Bien sûr ! Il doit y avoir des sceaux dans le coin, vous pouvez aider à éteindre les flammes, ou si jamais cela devient dangereux, je vous donne la charge des habitants du village, si jamais nous n'arrivions pas à éteindre ou contenir ce brasier, j'aimerai que vous conduisiez tout le monde en lieu sûr s'il vous plais... "

C'était une éventualité à prendre en compte malheureusement. Ses amis devaient être mis à l’abri en cas de danger. Aussitôt après ces mots, Saria se remis au travail. Elle soulevait d'immense quantité de terre qui recouvrai comme un manteau le flambeau. Cela était fatiguant pour elle, mais elle continuait, qui plus est, avec l'aide des autres, et de Roshu elle commençait à espérer que le feu s'éteigne.
La pauvre kokiri étant tellement concentrer sur cette partit du feu en avait oublier qu'il pouvait se propager de l'autre côté. Cette idée lui vint à l'esprit lorsqu'elle entendit une voix au loin. Sous le coup de la surprise elle arrêta son geste, qui eut pour effet d’abattre une énorme coulée de terre à quelques centimètre d'elle.
Il y avait d'autre gens, allait-ils bien ? Désormais plus uniquement la survie du village comptait, il fallait à tout prix éteindre ce feu.
Les efforts fourni par tout le monde avait réussi à repousser de quelques mètre le brasier, mais il y avait encore du travail, et cette voix au loin avait plus que motivé Saria à mettre fin à tout ça, en témoigna un mur de terre encore plus grand que les autres qui s’abattait sur les flammes.

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Eorah Vif-Argent


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J’écoutais les instruction de la Sage et hochait la tête.

"Tres bien."

Puis je courais vers le village. Là une chaine avait été organisée et les enfants des bois se passaient des seaux remplis d'eau tirés de la rivière non loin. Aussi je me plaçais le plus près possible des flammes. Plus grande que mes demi-frères j'avais plus de chance d’étouffer le feu avec les brassées d'eau.

Les flammes parurent diminuer un peu. Mais au loin j'entendis des cris.
De surprise j'en lâchais le récipient et tendit la main.


"La bas! D'autres personnes!!!"

Puis j'envoyais mon Esprit et touchait deux âmes.
Je leur envoyais aussitôt un message :

"Comment ça se passe de votre coté? Nous faisons au mieux pour vous rejoindre!"
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Aurore


Inventaire

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Katrina la reconnu en un instant et les événements se précipitèrent. Toutes deux coururent au ruisseau le plus proche à la demande de cette dernière.

"Un ruisseau !" avait-elle crié "Il faut rejoindre le ruisseau, et je ne vois plus rien, en plus de ne rien connaître à cette forêt

Les personnes se trouvant de l’autre côté du brasier venait d’être averties de leur présence.
Tsubaki entendit un message résonner dans sa tête et elle laissa le soin à Katrina de répondre, ne souhaitant toujours pas se dévoiler aux membres de l'autre groupe.

Elle courrait à toute allure, sans prêter la moindre attention aux ronces qui lui écorchaient les pattes. Elle ne savait pas ce que la Sheikah avait en tête.
Elles arrivèrent enfin là où dans une sorte de tranchée, l’eau ondoyait paisiblement. Katrina fonça dans la rivière. A l’évidence elle avait un plan qui d’ailleurs échappait totalement à la Dame louve.

"Il faut faire des éclaboussures, asperger les bords du rivage ! Je pourrais plus facilement transformer tout cela en glace et on pourra amener tout ça au coeur du brasier !" dit-elle comme si elle avait lu dans les pensées de la louve.

Tsubaki rentra dans le cour d’eau et se mit à faire des éclaboussures à l’aide de ses pattes arrières.
Quelques minutes après, Katrina reprit :

"Où étions-nous ? Il faut me montrer comment retourner là-bas, et vite !"d’une voix où perçait l’affolement.

La Dame louve s’exécuta alors. Elle se mit à repartir vers l’endroit d’où elles étaient venues.

[Désolée pour cette réponse courte, j'avais pas trop d'inspi ><]


Link

Héros du Temps

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La jument pila violemment, manquant de désarçonner son cavalier. La force d'inertie envoya l'Hylien vers l'avant, et en dépit du fait qu'il s'était préparé, il crut l'espace d'un instant que son amie allait l'envoyer mordre le sol. Ses doigts se crispèrent sur la lanière de cuir, et instinctivement, il tira sur le mors. L'équidé à la robe sanguine réagit immédiatement. Ses deux pattes avant s'élevèrent sans plus attendre tandis que le blond luttait pour ne pas perdre le contrôle sur l'animal. Il ne se doutait que trop bien pourquoi Epona avait dorénavant si peur du feu.

Mais même sans cela, elle n'avait jamais voulu passer les barrières de la Forêt Kokiri. La done n'aurait certainement pas été changée par la présence d'un incendie, il le savait pertinemment, mais pourtant, il avait tout de même tenté, poussant le destrier à s'élancer toujours plus vite vers le Sud-Est. C'est à peine s'il avait laissé le temps à sa monture de se reposer, après la semaine et demi de chevauchée qu'avait représenté son périple de la Capitale Hylienne à la Forteresse de Nabooru. « Malon me tuerait, si elle savait », n'avait-il par ailleurs cessé de se répéter tout du long, un petit sourire sur les lèvres, tout heureux de la savoir en vie.

Tout était différent, dorénavant. Il n'avait su ce qui l'attirait réellement vers le domaine de l'Arbre Mojo en lançant Epona au triple galop. La fumée noire qui grimpait lourdement vers les cieux lui avait apporté une réponse incomplète — mais réponse tout de même. Sa compagne de route ne continuerait pas plus loin, il le savait. De toute façon, il préférait mieux être seul qu'avec elle.

Link tira à nouveau sur les brides. Il fit un tour avec la renne autour de sa main droite et la ramena par à-coup léger vers son torse, de manière à forcer le palefrois à tourner en douceur. L'effroi se lisait dans tout le comportement de la jument, dans toute cette nervosité dont elle faisait preuve depuis près de deux heures et demi, alors que l'odeur s'était saisie des naseaux de l'animal. Le cavalier posa sa main sur le cou de son amie (aussi étrange que cela puisse paraître à certains, de véritables liens de complicité s'étaient développés entre l'animal et l'homme), rassurant. S'il n'avait pas le don de transmettre sérénité et paix intérieure à l'essentiel de la faune, il avait toujours pu calmer Epona.


"Là." Fit-il doucement, flattant l'encolure jusqu'à ce qu'un soupçon de tranquillité – qui ne lui paraissait que trop artificiel – ne vienne arrêter tout à fait la pouliche. « Tout doux... » Termina-t-il, tout en mettant pied à terre. Et en dépit de l'aspect catastrophique de la situation, de sa crainte pour les habitants de la Forêt – pour Saria –, il prit le temps de poser son front contre le chanfrein de la belle. « Va. » Ce dernier ordre sonnait certainement comme une délivrance pour le cheval, qui ne se fit pas prier plus longuement. Si tôt prononcé, si tôt parti.

Dans le dos du Fils-de-Personne (désormais seul, à nouveau) brûlait la fournaise. Il se retourna, pour affronter la scène avant de se lancer à l'assaut des flammes. Cet espèce de tronc d'arbre évidé qui faisait office de tunnel et s'avérait être le passage le plus court pour rejoindre le village. Rares Hyliens à le connaître (l'extrème majorité se perdaient à la lisière, en gagnant directement les Bois-Perdus), il ne savait son existence qu'en raison de son adoption par les Enfants-Sylvestres. Cette entrée « secrète » s'était muée en une bouche infernale, crachant relents bouillants et fétides. D'un geste du poignet, il essuya la sueur qui maculait son front sur une tunique verte fraichement reprise. Et malgré la chaleur qui le brûlait, malgré la fumée qui lui agressait tant les yeux que les poumons, il s'engouffra.

Le passage qu'il avait si souvent emprunté (à chacune de ses escapades, déjà avide de découvrir le monde tout gosse) n'avait plus rien de comparable à ce qu'il avait pu être. Tout juste devenue une étuve, un four dans lequel il avait l'impression d'être un morceau de viande mis à cuire. Le faux-Kokiri ne voyait rien, mais entendait sans mal le bois craquer et le brasier se régaler de nouveaux arbres millénaires. Il sentait les langues de feu lécher de part et d'autre ses jambes, ses joues et ses bras à mesure qu'il ne progressait dans le tunnel, courant (aussi bien que faire se peut quand pareil brouillard asphyxiant se forme) pour ne pas se transformer en une torche humaine. Mais une racine se jeta sur son chemin, et un croc-en-jambe involontaire réussit là où Epona avait échoué à lui faire vider les étriers.

Link rouvrit les yeux pour voir brûler le hameau de son enfance — avant de s'effondrer. Dans un réflexe, il jeta ses mains en avant et roula. Une branche fouetta sa joue et y laissa quelques griffures rouges. Sans s'en soucier, obnubilé par une situation autrement plus inquiétante, il joua des poignets pour se relever. Son coeur se serra. Il ne parvint qu'à se mettre un genoux à terre, l'autre jambe pliée, et porta sa main à son palpitant, découvrant ce que nombres d'Hyliens avaient du accepter avant lui.
« Un Hylien perdu dans la Forêt est un Hylien de moins... ~ »

Son malaise ne dura pas longtemps, mais fut suffisamment fort pour que même une fois terminé, il faille un instant avant qu'il ne prétende à se relever. Haletant — et non pas à cause du feu qui dévorait la Forêt, il tacha de reprendre son souffle. Son bras ganté de cuir s'appuya contre la première masure de la bourgade lutine (celle de Mido), alors qu'il cherchait un air qui n'était plus là depuis qu'avait débuté l'incendie. Il leva les yeux vers le toit de l'unique échoppe de la Forêt, avec la désagréable impression d'être observé. C'était comme si ce vertige dont il était victime avait eclipsé tout le reste, jusqu'au feu qui ravageait tout.
Ses pupilles de givre rencontrèrent celles de Fado, dénuée de toute la sévérité ou la dureté qu'on leur connaissait souvent. Une certaine forme de peur contre laquelle il ne parvenait absolument pas à se battre avait remplacé toutes les émotions qu'il avait un jour été possible de lire dans son regard. Car il n'avait pas encore su identifier la source de son mal.
« Hi hi hi hi ! Vas-tu te transformer en monstre, toi aussi ? ~ »

Lui avait-elle répété, dans un autre temps. Un Hylien dans les Bois est un Hylien de moins.


Une branche, puis une autre, et encore une, toujours plus vite, toujours plus loin. S'échapper, fuir, détaler. Le danger n'était pas loin, il rôdait toujours derrière, il gagnait peut être du terrain ! Sküll accéléra, sautant de plus en plus vite pour s'éloigner du feu. Il venait de sauter sur une branche d'un vieux frêne quand celle ci se brisa soudainement, le précipitant dans le vide. Criant de surprise, le jeune Skull Kid tomba lourdement sur un tapis de feuilles mortes. "Ouf !" se dit il. Plus de peur que de mal. Mais un regard en arrière suffit à le terrifier pour de bon. Le feu ne s'arrêtait pas ! Il se répandait toujours plus, toujours plus vite. Comme certains lobos pendant l'hiver, il semblait affamé et impatient de le dévorer ! Sans prendre plus de temps pour souffler, Sküll reprit sa course effrénée. Un instant, il fut tenté de jeter son masque, ce masque qui faisait de lui un vrai dur et qui lui avait été offert par son ami.
Un ami...Il pensait s'en être fait un nouveau, depuis. Un renard rusé qui avait essayé de le chasser. Mais le son de la flûte l'avait calmé, et il était repartit. Quand la lune s'était levé et couchée deux fois, Sküll l'avait revu. Il était revenu écouter la musique, celle de Saria, son amie. Sküll n'avait pas demandé au renard si il voulait être son ami, il n'aurait pas répondu. Mais il l'avait sentit, il en était persuadé. D'ailleurs, trois couchés de lunes après, le renard était revenu mais ne l'avait plus quitté. Il avait dormit ensemble...Et puis le Feu était apparu. Le Renard avait filé, Sküll ne savait même pas si il allait bien ou si...

Une branche tomba lourdement non loin derrière lui et il accéléra. Le Feu, pourquoi venait il ? Qu'es-ce que la forêt lui avait fait ! Il était méchant et violent par moment, surtout quand les branches de lumières tombaient du ciel et que les nuages grondaient Mais il se calmait vite d'habitude ! Sküll ne comprenait pas, et cela le terrifiait d'autant plus. Il se rappela alors que si quelqu'un savait, ça ne pouvait être que l'arbre mojo ! Il s'arrêta quelques instants, sentit l'odeur d'un des enfants verts, proche et se dirigea dans cette direction. Dans une autre vie, il se serait perdu, mais un monstre des bois perdus ne le peut pas ! Il est déjà perdu et on ne peut l'être deux fois en même temps !

Rapidement, il arriva à la forêt Kokiri. Il allait se diriger vers le clairière du grand arbre quand il le vit. Un grand gens ! Ici ! Que venait il faire là ! Etait ce lui qui avait amené le feu ? Il s'en approcha, lentement, prudemment. Poussé par la curiosité, freiné par la peur du danger, Sküll n'était plus qu'à quelques mètres du grand quand il le reconnu : ce grand là était déjà venu dans la forêt ! Sküll l'avait vu, il s'en souvenait très bien. Il avait parlé à Saria, elle lui avait sourit ! Et quand Sküll lui avait demandé pourquoi, elle lui avait dit que c'était un grand gens bon. Le petit monstre s'approcha plus de Link, encore hésitant. Ce ne fut qu'à cet instant qu'il vit l'esprit. Une enfant verte morte ! Pas bon !
Il fut tenter de s'enfuir mais il remarqua qu'elle ne s'adressait qu'au grand gens.

« Hi hi hi hi ! Vas-tu te transformer en monstre, toi aussi ? ~ »

Sküll avait déjà entendu cela, dans une autre vie, une éternité de là. La peur commença à le prendre. Les paroles de l'esprit l'effrayait mais surtout, l'incendie se répandait tout autour de lui. Au sein du village des enfants verts, il craignait mieux qu'au milieu des arbres mais il sentait la panique le gagner tout de même. Que devait il faire ? Se réfugier prés du grand arbre...Ou protéger l'ami de Saria ? Qu'aurait fait Saria à sa place ?... Saria aidait toujours les autres. Même si elle se faisait mal en les aidant, elle ne laissait jamais personne seul ou en danger. Sküll sortit alors sa flute, et commença à jouer.
Il n'était pas grand comme ce Link, fort comme un Lobo ou sage comme le grand arbre, mais il jouait comme personne. Les notes s'élevèrent dans les airs, douces, rythmées. L'air que lui avait apprit Saria, celui qui faisait danser la forêt, qui apaisait les peines et éloignaient les ombres. L'esprit en sembla un instant courroucé, et il sembla à Sküll qu'elle voulu lui prendre sa flûte mais il l'ignora, fermant les yeux, et continua à jouer. Quand il les rouvrit, elle avait disparu.
Le grand gens était encore en mauvais état et le petit monstre voyait l'incendie les encercler. Il sut que l'ami de Saria n'avait pas subi uniquement l'aura de l'esprit. C'était toute la forêt qui le repoussait, rendue furieuse par le feu. Alors il tira de sa poche un collier de noix qu'il avait confectionné. Il avait compté l'offrir à son ami renard mais ce grand gens en avait plus besoin. Il le lui mit autour du cou, espérant que l'effet serait rapide. Car si Sküll s'était perdu depuis longtemps, il pourrait éviter à d'autres le même destin. Juste avant de reprendre sa course vers la clairière de l'arbre mojo, sa flûte en bouche, il dit de sa petite voix.

«La forêt a besoin d'aide. Sauve nous du feu...Ami.»

Un instant, Sküll crut reconnaître dans les traits du grand gens en train de se remettre, le petit garçon qui lui avait offert le masque. Son ami...

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Withered


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Le message télépathique la heurta de plein fouet, et la Sheikah fit une grimace. Elle n'était pas à l'aise, et avait toujours espéré n'être jamais dérangée dans son esprit. Elle tenta néanmoins de répondre à celui ou celle qui venait à elle, une peu déboussolée.

"Nous essayons de faire notre mieux, mais trop peu nombreux. Je vais tenter de me frayer un chemin jusqu'à vous !"

A vrai dire, elle ignorait comment faire sans éteindre le brasier. Mais lorsque la louve l'emmena à l'endroit précis qu'elle avait quitté quelques minutes plutôt, elle envoya sa chaine de glace vers le cœur des flammes. Certes, lorsque la glace se liquéfia elle porta atteinte aux flammes, mais Katrina seule ne pourrait rien faire d'utile car aussitôt le brasier reprit de plus belle.


"Il faut rejoindre les autres, je peux nous recouvrir d'une fine couche de glace pour nous protéger, mais je suis totalement perdue ici... Si tu sais rejoindre le village ou du moins nous guider jusqu'aux autres, je m'en remets à toi. Nous sommes trop peu utiles ici à deux."

La Sheikah commençait à souffrir de la fumée ambiante, aussi elle s'accroupit tout en se masquant la moitié du visage avec le haut de sa tunique. Ses yeux saphir cherchèrent ceux de la louve, espérant que celle-ci pourrait la guider au mieux. Elle esquissa quelques gestes, et les poils de la louve se recouvrirent doucement d'une fine couche de givre. Katrina ignorait comment elle vivait cette chaleur étouffante mais elle préférait prendre toutes les précautions possibles. Elle même, elle rafraichit peu à peu ses vêtements toujours légèrement humides et se releva -toujours penchées pour avoir de l'air frais- et signala qu'elle était prête.


Roshu Aaron


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L'expression " Etre dos au mur " prend tous son sens mais pas dans le sens d'être coincé . Roshu , sous l'influence physique de son sort aérienne Aéro Cinos pour pouvoir éteindre les flammes , s'était mis derrière un mur en bois d'une maison Kokiri pour éviter de subir un violent choc en utilisant ce sort . Grâce au rafale de vent , il réussi à dissiper les flammes vifs et agressif . Pendant l'utilisation de son sort , il regardât autour de lui le monde qui s'affole . Seaux d'eau à la main , ils commencèrent à reprendre leur esprit qui n'est plus frappé par l'instinct de survie pour aller éteindre le feu . Dans la foule , il vit Saria qui essayait au mieux d'éteindre le feu avec de la terre puis il distinguait brièvement la silhouette de Lenneth mais il se reconcentra sur le bruit de craquement en bois discret qu'il venait d'entendre derrière son dos

" Qu'est ce que ... " dit-il en tournant sa tête , négligeant ainsi son sort de vent qui a fait envoler un pauvre Kokiri dans l'eau ...

Le bruit n'était pas anodin , le bois de la maison n'était pas assez fort pour pouvoir encaisser l'énergie de la rafale , en déplaira au dos de Roshu . Le mur avait céder , laissant Roshu se faire propulser dans la maison dans un grand bruit . Au propriétaire de cette maison , après l'accident , il retrouvera sa maison sens dessus-dessous . Le Solarien se retrouvais à terre avec les habits du placard qui était juste derrière , ça doit être la maison du Kokiri fille , au vue des robes ...


" Ma ... Mon dos !! " Pensait-il en se relevant , la main sur le dos

Puis il posa son regard vers l'entrée de la Forêt , qui était aussi en proie des flammes . Peut être que les secours pouvait venir de ce chemin là , on aurait besoin de renfort de ce cas . Il s'approchait du tronçon de bois , se colla derrière un arbre à gauche puis lança son sort


" Aero Cinos ! " Les rafales de vents commencent à devenir moins forte que la 1ere fois utilisé ...


Les flammes reculaient, significativement. Roshu avait fait du bon travail avec ses sorts de vent, et la terre étouffait particulièrement bien le monstre incendiaire qui s’essoufflait peu à peu du côté du village.
La chaîne de kokiri, généreusement aider par Lenneth, faisait elle aussi son chemin, et tout cela mis en place laissa bientôt un village relativement épargner par les langues de feu. Saria sourit en voyant tous ces efforts réalisés, et que ces derniers portait leur fruit.
Eux, étaient bientôt sauf, mais de l'autre côté le feu s'étendait, et de l'autre côté, il y avait des gens... Ils fallait les mettre en lieu sûr au plus vite. Se concentrant, Saria réussit à soulever une puissante masse de terre la dépassant de plusieurs dizaines de mettre. Cette longue colonne vint s’abattre devant elle, laissant un passage pour ceux se trouvant derrière le mur de flammes, flammes qui tenterait sûrement de reprendre ce chemin sous leur influence. La sage vit au bout de ce petit chemin deux ombres.


" Dépêchez vous de passer, VITE ! "

Ses yeux étaient rivés sur les masses qui avançaient, prête à intervenir en cas de pépins, mais bientôt sa vision et son attention vola au dessus de tout ce qui se passait. Saria avait ressenti une présence en ces bois, une présence qu'elle connaissait bien, et qu'elle n'avait pas senti depuis tant de temps. Elle ne pouvait absolument pas se tromper sur cette impression. Il était là. Son frère.

" LINK ! "

Instinctivement elle se retourna vers l'entrée des bois et cherchais le faux kokiri de ses pupilles affolées, mais ne voyais rien. Son esprit lui jouerait-il des tours ? Absolument pas, elle le sentait, elle savait qu'il était ici, il ne pouvait en être autrement.
Confirmation fut faite. Son chant résonna profondément au fin fond de son esprit, quelqu'un le jouait, délibérément, on voulais la contacter.
Saria jeta un dernier regard aux personnes qui traversaient le feu.


" Pardon... " murmura t-elle. Elle faisait confiances aux autres pour que rien n'arrive à ces deux là. La sage savait qu'elle pouvait leur faire confiance. Avec un regard déterminé elle s'élança à toute vitesse vers le village pour le chercher.
Son regard balayait en tout sens autour d'elle et scrutait avidement chaque zone. C'est Galadriel, sa fidèle compagnon qui le repéra en premier et fonça droit sur lui, l'enveloppant de son petit halo lumineux.
Saria courut encore plus vite et fondit sur la masse allongé. Il portait un collier autour du cou, elle le reconnu assez facilement, pour l'avoir vu au moins une fois.


" Merci Sküll... Merci beaucoup.
Link, tu m'entend ? Link ?! "


Saria ne pouvait nier sa joie immense de pouvoir le revoir, mais son anxiété pour la situation pris le dessus. Avec du remord elle regarda la lueur rougeâtre au loin. Elle devait y retourner, leur retrouvailles se ferait plus tard.
Elle posa ses deux mains sur les joues de son frère et fredonna légèrement. Comme d'habitude, un halo vert se dispersa dans le corps du blessé pour soigner fatigue et blessure.
Jetant un dernier regard plein d'affection à Link, la sage fit le chemin inverse, toujours en courant. Elle avait laisser Galadriel avec lui, elle prendrait soin de lui. Elle le savait.
Elle s'en voulu d'avoir laisser les autres se débrouiller... Et si quelque chose leur étaient arriver ? Une fois sur place, elle s’assurerait que tout irait bien. Et c'est ce qu'elle fit. La sage s'arrêta un instant pour reprendre son souffle. Les flammes n'avaient pas bouger. Et ceux qui les avaient traversé. Saria se redressa d'un coup, d'un seul. où étaient ils ?!

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Link

Héros du Temps

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Entre ses doigts courraient les lierres qui montaient sur la petite masure du Chef Kokiri. Il avait besoin de ce support pour ne pas s'effondrer. Un genoux à terre, l'autre bien étrangement plié, l'Hylien avait le regard incliné droit sur le sol rendu bouillant par les flammes. Sa respiration se faisait plus ardue à chaque instant, son seul accès à l'air semblait se faire de plus en plus discret. La toux le prit, tandis que sa main droite s'effondrait au sol, pour mieux le soutenir. Une chaleur sourde l'envahissait. Une fournaise qu'il mettait sur le dos de l'incendie qui rongeait la Forêt comme autant de termites s'attaquaient aux fondations d'une maison avant de la jeter à terre. Et en dépit des flammes qui se saisissaient de lui encore un peu plus à chaque instant, il sentait grandir en son coeur une indignation violente. Puissante.

« Tu n'avais pas le droit. », fit la voix d'un peu plus tôt. « Oh, non tu n'avais pas le droit d'entrer dans les Bois. C'est le domaine des Enfants et des Enfants seulement. Les Adultes s'y perdent pour y mourir. »

Il releva tant bien que mal les yeux. La Kokiri était toujours là, mais son visage avait perdu cet air faussement complice qu'elle présentait un peu plus tôt, avant que la fièvre ne pousse le blond à crouler sous le poids et regarder l'humus ravagé. Le faux-Kokiri suait à grosse gouttes. La véhémence avec laquelle il était attaqué n'avait rien de commun aux langues de feu qui léchaient avidement les sous-bois du Domaine du Vénérable.

« Tu sais pourquoi tu as toujours été seul ? », Demanda l'enfant, plongeant des pupilles émeraudes dans les yeux de glace d'un Link en proie à la peur. « Parce que tu es différent. Différent de tout le monde. Et en conséquent, tu seras toujours seul. Les gens comme toi, ça n'a pas d'amis. Oh, non, non, non. Pas d'amis pour ceux comme toi. Mais de toute façon tu ne le regrettera pas tant que ça... »

L'image que renvoyait la fille du Vénérable fut brouillée, dissipée. Comme la tempête sait souffler le sable, et en briser la masse compacte. Il semblait au Garçon-sans-Fée qu'un air qui lui était connu raisonnait dans la Forêt tout entière. Il aurait dit que les pins chantaient la mélodie, que le bruissement du vent siffler la chansonnette. Mais il ne parvint à mettre le doigt dessus. La musique lui offrait un répit qu'il était heureux de trouver.

La Forêt brûle.

Ce constat ne lui faisait rien. C'était comme s'il était déconnecté du monde réel, prisonnier d'une farce qui tournait mal. Et qui promettait de ne pas s'arrêter là. Son palpitant se retrouvait serré. Un poing invisible se fermait dessus et le broyait. La tête lui tourna, il crût un instant qu'il allait vomir. Malgré toute sa volonté, il ne parvenait pas à lutter contre le mal qui s'imposait à lui.


« Link ? » S'enquit-elle, apparaissant juste sous ses yeux. « Tu ne veux plus jouer avec moi ? » La rage s'entendait dans sa voix, la tristesse s'imprimait sur son visage. Un sourire animal et malsain se dessina subitement sur son visage. « Les adultes n'ont rien à faire dans la Forêt, sinon y mourir. » Décréta-t-elle, posant ses deux mains sur son torse.

Un froid qu'il connaissait par trop bien s'empara immédiatement de lui. Il avait combattu des êtres semblables, quand il s'était lancé à la recherche d'Impa après avoir appris le Nocturne de l'Ombre. Mais là encore, tout le savoir qu'il avait accumulé le fuyait sans vergogne ni remord. Il n'avait pas la moindre idée de comment lutter, ne savait pas s'il voulait lutter. Ne s'était-il pas assez battu, déjà ? N'avait-il pas assez donné pour Hyrule ? Pourquoi devait-il toujours faire plus, sans espérer ne serait-ce qu'un sourire en retour ? Pourquoi n'avait-il pas le droit, lui non plus à une vie simple, plutôt qu'à l'existence de nomade qu'il connaissait depuis si longtemps ? Effet pervers de l'esprit qui s'en prenait à lui, Fado trouvait le moyen de remettre en doute les convictions de l'autrefois détenteur du Courage.

La Forêt brûle.

Le Fils-de-Personne se sentait gelé. L'impression que sa vie le quittait, sans savoir réellement s'il voulait y faire quelque chose. Il lui était devenu impossible de réfléchir, de comprendre ou même de s'indigner. La passivité dont il faisait subitement preuve imposait les événements à lui sans qu'il ne puisse tenter de changer le cour de chose. Il n'entendit pas le spectre hurler quand elle toucha le collier de noix qu'il n'avait pas senti le Skull Kid lui passer autour du cou. Pas plus qu'il ne se sentit tomber. Le néant se fit autour de lui et la Forêt continuait de brûler.


"Link, tu m'entend ? Link ?!" Cette nouvelle voix lui semblait si lointaine, mais si familière. Il avait cette envie persistante de lui répondre et de la rassurer. Oui ; il l'entendait. Mais il ne parvenait pas ouvrir les yeux, il ne parvenait pas à desserrer ces lèvres pincées. La pâleur de son teint appelait la mort aussi sûrement que l'argent n'appelait les Pestes Mojos. L'Esprit l'avait laissé dans un état bien sinistre, mais s'en était allé.

Impression de déjà vu. Quelle drôle situation que d'être éveillé par une Fée. Il semblait à l'Hylien que Navi était de retour à ses côtés, quand Galadriel entreprit de lui faire ouvrir les paupières. Son délire n'avait pas durer plus de quelques minutes, et pourtant quand il se redressa, un brin mieux, il put constater par lui même.
La Forêt brûlait. Les Arbres alimentaient sans cesse le brasier infernal et tombaient les uns après les autres. Des rafales dispersaient temporairement la fournaise qui ne tardait guère à se reformer. Et le vent qui faiblissait en puissance finissait même par alimenter le feu.


"La peste..." Souffla-t-il, la main appuyé sur le crâne, reprenant connaissance autant que consistance. Il se releva (n'étant auparavant qu'assis), et jeta un coup d'oeil circulaire. Grondait en son sein un courroux qui n'avait rien d'une colère fugace. Ils paieraient. Au plus profond de lui même, il en était persuadé : l'incendie n'avait rien de naturel, et ceux — celles qui l'avaient déclenché paieraient. Son poing jadis marqué d'un Fragment divin se ferma tandis que le cuir qui le recouvrait grinçait.
Les flammes les encerclaient, l'Enfant-au-masque-de-Crâne s'était caché derrière lui. Link avait conscience que pareille situation devait l'effrayer au moins autant qu'elle ne le faisait bouillir lui. Son regard sévère scrutait le Village Kokiri à la recherche du moindre indice pouvant l'éclairer sur ce qu'il était bon de faire ou de ne pas faire. Mais fumée et danseuses orangées se plaisaient à lui brouiller le chemin.


"Viens." Fit-il simplement au Skull Kid, en l'attrapant par les hanches et en l'amenant à ses épaules. Sans avoir la moindre certitude, il se sentait redevable envers ce gamin qui lui rappelait l'enfant isolé de Termina. Et même sans ça, il n'aurait pu laisser un ingénu dans semblable pétrin. Il glissa un regard à la Fée de Saria, et tant pour ses deux compagnons que lui même, il murmura. « Ne crains rien. Tout ira bien. » Ses jambes qui lui avaient paru si lourdes jusqu'à peu lui semblaient aussi légère que le vent. Ses muscles tendus ne rêvaient que d'une course. Il s'élança à travers les flammes.

La barrière incandescente fut franchie avec plus de peur que de mal. Il y avait sans nul doute laissé des poils roussi et sentirait le brûlé pour quelques heures, mais tout le monde vivait et personne ne souffrait de quoique ce soit. L'Hylien préférait toutefois garder le Skull Kid sur ses épaules jusqu'à avoir retrouvé Saria, peu désireux que celui-ci soit à nouveau frappé par la peur. Galadriel le guida jusqu'à son amie, de telle sorte qu'il n'eut qu'à suivre la petite bille scintillante jusqu'à la Kokiri.

"Saria !" Lança-t-il, portant sa voix au plus loin qu'il lui était possible, quand il aperçut enfin la Sage. « Saria, veilles sur lui, s'il te plait. Je... » Les mots lui manquèrent. Il refusait de laisser brûler sa Forêt, mais il ne disposait que de bien peu de moyen pour lutter contre pareil drame.

Et la Forêt brûlait.


Aurore


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"Il faut rejoindre les autres, je peux nous recouvrir d'une fine couche de glace pour nous protéger, mais je suis totalement perdue ici... Si tu sais rejoindre le village ou du moins nous guider jusqu'aux autres, je m'en remets à toi. Nous sommes trop peu utiles ici à deux."

Katrina ne semblait pas se sentir bien. Elle devait souffrir de la chaleur. D’un certain côté, l’épaisse fourrure de Tsubaki protégeait sa peau mais pour autant, elle ne faisait aussi que renforcer la sensation de chaleur étouffante.
Tsubaki, senti quelque chose de frais la recouvrir. De la glace semblait-il, la sheikah c’était exécutée très rapidement. Avant que Tsubaki ne puisse lui dire qu’elle ne connaissait pas le village Kokiri et qu’elle ne savait pas par quel moyen y parvenir.
Elle allait le faire, quand soudainement, un passage s’ouvrit grâce à ce qui semblait être de la terre. Au fond du tunnel de flammes, une silhouette vêtue de vert leur commandait d’avancer et la louve ne se fit pas prier. Soudain, alors que Katrina et elle, étaient à mi-chemin du tunnel, la silhouette disparu, rendant la scène plus qu’inquiétante. La fine couche de glace qui l’avait auparavant recouverte avait fondue depuis déjà longtemps et à présent de la vapeur s’échappait des poils de la Dame Louve. Elle se mit à courir, pour échapper au brasier, espérant que Katrina avait assez de force pour la suivre dans cette dernière course effrénée.

Enfin, elle vit la fin du tunnel se rapprocher. Elle fit un grand bon et se retrouva de l’autre côté des flammes. Et cet autre côté, c’était le village Kokiri. Ici, les gens s’étaient organisés, faisant activement reculer les flammes. La louve se retourna pour vérifier que la jeune femme l’avait bien suivie. Elle était bien là.

Tsubaki ne voyant pas la silhouette aux habits verts qui les avait aidé à rejoindre ce côté du brasier, se dirigeât ensuite vers la chaîne de personnes qui portaient les seaux.
Elle ouvrit grand la gueule pour recevoir la hanse d’un seau, des mains d’une jeune fille aux cheveux blonds. Celle-là même qui quelques mois plus tôt avait contrôlé l’esprit de son époux…


Eorah Vif-Argent


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(vide)

Les Kokiris avaient vites compris le danger du feu.

Je fut surprise d'entendre une réponse vocale a mon appel mental.


"KATRINA?"

Interloquée je devinais la presence de ma sœur d'arme, plus une autre personne inconnue.
D'ailleurs je captais la presence de tous ici. Plus celle du feu.

D'ailleurs je me brulais le bras en essayant de verser plus loin mon eau pour aider les deux comparses a traverser les flammes.

Puis Katrina fut la, avec elle une louve, blanche comme neige ... Avec des yeux humains .... et une lueur sombre dans le regard ... A mon intention.
Cela ne va pas sans dire que ce fut bien angoissant.
Pourtant je hochais la tête avec respect en direction de l'animal.


"Qui que vous êtes, et peut importe les conflits, travaillons main dans la main, pour sauver notre foret."

Puis je déversais une nouvelle brassée d'eau dans le feu, qui maintenant commençait a diminuer ....


John Doe


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Un arbre dont il ne connaissait pas le nom barrait la route de sa branche brisée, toutes feuilles encore bien en vie, telles un rideau naturel. Le Lord avança avec précaution sa main vers l’obstacle, ne sachant pas ce qu’il allait trouver derrière. Alors qu’il tentait de saisir le membre moribond de l’arbre amputé, il remarqua une muqueuse anormale sur les feuilles. Il retira son gant pour palper l’étrange couverture grise qui tâchait la verdure. C’était manifestement une pellicule de suie, fine mais disgracieuse, qui étouffait cette partie intérieure de la forêt. Un sentiment de détresse serra son cœur. Il rechigna à admettre que ses basses origines de Kokiri avaient raison, quelque chose se passait dans le luxuriant bosquet. Ses instincts de garçon des bois l’incitait à fuir, il ne savait pas pourquoi. Cela était semblable au lapin qui se terre à l’approche d’une tempête. Mais le Lord aux Multiples Casaques n’était pas un lièvre et c’est trop curieux qu’il libéra sa lame du fourreau pour continuer le périple.

Astre avait commandé qu’ils se rendent tous immédiatement, Yae Kuro et lui-même, au village des enfants éternels afin d’y retrouver leur dernière comparse, la Dame Tsubaki. Un obscur motif avait sans doute traversé l’esprit torturé du Chevalier Noir, ou alors la simple nécessité de se réunir tous ensemble, peut-être.

La voie dégagée, Arkhams pénétra sur le mince sentier qu’il connaissait par cœur. Cette veine au cœur de la forêt menait au village Kokiri. Il observa les alentours, sur ses gardes et l’acier toujours au poing. Il n’y avait qu’un silence anormal qui planait, ainsi qu’une précipitation neigeuse grise et lourde. Il pleuvait des cendres. Le Traitre s’esclaffa, n’en croyant pas ses yeux.



« Ma maison brûle. »


Après avoir proféré cette constatation insensée, il se mit à rire gorge déployée. Lui qui rêvait de faire crever cette souillure verte du paysage d’Hyrule dans le blizzard de sa haine partait en fumée devant lui. Il vit en effet le village des enfants en proie au démon des flammes, qui léchait avec amour ce bois sec et fragile. Des gnomes verts gesticulaient avec des sceaux d’eau, tentant vainement de sauver ce qu’il restait à sauver.

Derrière Arkhams, des branches craquèrent et la petite troupe des Chevaliers du Phénix arrivèrent sur ses talons. Parti en éclaireur dans cette forêt qu’il connaissait pour ainsi dire par cœur, le Lord avait tracé le chemin pour son chef et ses sbires. Il balança par-dessus son épaule :



« Quelqu’un a fait le travail à ma place, Astre. Contemple mon foyer mourir. N’est-ce pas sublime ? Humez cette cendre mes amis, elle a l’odeur de ma haine envers mon peuple. »


Le traitre avança d’un pas et s’abima dans la contemplation du sinistre spectacle. Les Kokiris étaient affolés. Cris et larmes sonnaient comme une musique à son oreille perverse. Il quitta cependant son rêve pour indiquer à Astre la présence de Tsubaki au loin, d’un signe de tête. Cette folle aidait les braves gens à éteindre les incendies.


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