De discussions et de comment retrouver Link

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Eorah Vif-Argent


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[Aahhhh C'est quoi tout ca?? laissez moi le temps de répondre minceuuh!]

Du haut de mon perchoir sur la racine Mojo, j'observe la scène en silence. Décidément que de monde! Que de monde. Et des grands pontes en plus.

Je me laisse glisser a bas de l'Arbre Mojo et contourne tout ce joli petit monde pour me retrouver derrière le Kokiri et le Traitre. Leur tournant le dos a eux et a mes amis je tends mon Esprit prête a tout pour éviter un massacre. Pas envie de créer ce que Dun a évoquer. Je donnerais mon âme pour garder la foret intacte. Aussi je tends a nouveau la toile d'un piege. Pour lequel des deux dragmire est il destiné? Aucune idée, je me vois mal reprendre Arkhams sous mon pouvoir et son "ami" me parait trop puissant ... mais qui ne tente rien n'a rien.

Soudain un rai de lumière jaillit et tout devient silencieux. Je ferme les yeux, me concentrant, moi et mes dernières forces dans mon ouvrage. Compassion et regrets me servent a nouer les liens encore plus serrer autour de nos ennemis. Je ne les tiendrais pas longtemps, je le sais, car deja ma vision vacille et des taches sombres envahissent mon champ de vision.

Par dessus mon épaule je lance tout de meme a Conan :


"Écoutons les! Au pire nous nous heurtons a un mur. Au mieux nous aurons ce que nous voulons."

Je reporte mon regard au dela de nos visiteurs :

"Je ne crois pas qu'on vous ai invité alors que faites vous ici?"


[Precision : Je n'ai aucune prétention de capturer a nouveau un Dragmire avec l'Esprit c'est a vous de choisir si oui ou non cela se fera. D'autre part, Lenneth est assez epuisée pour que ca ne fonctionne pas de facon sure et claire et si ca se fait elle ne tiendras pas longtemps.]


Conan


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Conan avait vraiment l'impression que les choses lui échappaient. Tout allait de travers, rien ne fonctionnait comme il se l'était imaginé.
Au moment où il demandait l'aide de ses amis, le Prince Félon apparut. Il avait suivit Saria jusqu'ici suivant ses dires.

« Cette guilde a sombré dans les Ténèbres sanglantes, bien plus que le Clan ne l’a fait, et vous vous en prenez à la victime. Un choix s’offre à vous : Le libérer et éviter que le sang ne pleuve comme nous le désirons, ou persister dans cette voie trompeuse et condamner les enfants du village qui verraient leur habitat détruit. »[/color]

Conan eut un frisson, et Saria ne le rassura pas...

" Vous ne me connaissez pas assez pour juger de ce que je peux ressentir Dun. Comme je ne vous connais pas assez pour prétendre savoir ce qui se trouve dans votre cœur, néanmoins je fais l'effort de chercher à le comprendre contrairement à vous. Je ne craindrais pas de nouveaux désert hanté, car cet homme va ranger son arme. "

Pour appuyer ses propos, Dun avais jeté ses armes.
Conan rengaina son épée selon la demande de Saria, puis il s'approcha d'elle et ramassa les armes du Princes pour les glisser dans sa ceinture. Deux précautions vallait mieux qu'une.

- Si vous avez raison, nous ne ferons pas couler le sang mais nous ne pouvons vous laisser repartir pour autant. Il nous faut des réponses. Nous voulons aider Link, et nous ferons tout ce qu'il est possible de faire pour cela. Cela va faire deux fois en peu de temps que vous vous retrouvez prisonnier mais les choses doivent etre faites. Encore que la première fois cela n'était pas contre votre volonté[/b] apparemment.[/color]

Un phénomène étrange se produisit alors et un rai de lumière traversa le ciel. Lorsque le Prince s'exprima de nouveau, sa voix était bien différente.

Lenneth intervint alors :

"Écoutons les! Au pire nous nous heurtons a un mur. Au mieux nous aurons ce que nous voulons."

Elle avait raison.

- Oui nous allons vous garder tous les deux finalement. Discutons un peu et tachons de trouver un terra[/b]in d'entente.[/color]

[pour la suite Astre cale toi quand tu veux et on va dire Conan - Arkhams - Dun - Saria - Ganondorf - Tsubaki - Lenneth. Les nouveaux attendez la fin d'un tour mmerci]

[Ganondorf ne joue pas dans ce RP.]


Astre


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L’apparition successive de pantins dragmiriens et ambriens acheva de lisser l’intrigue de cette pièce étrange. Les déesses, dramaturges folles au cœur malade, n’avaient jamais pu se contenter que du banal conflit manichéen de leurs poupées mollassonnes. Selon la divinité et la préférence qu’elle pouvait accorder aux personnages de son jeu grandeur nature –grandeur divin devrait-on dire !-, la lutte brûlante et épique faisait avancer certains pions plus loin que d’autres sur l’échiquier géant qui constituait Hyrule.

Ainsi, Astre n’avait pas fini de détailler le visage de l’odieux Arkhams qu’une ribambelle de crétins au statut spécial et privilégié s’étalait comme de la… hum… de la mayonnaise, oui, voilà, de la mayonnaise… sur le tapis feuillu de la forêt Kokiri. Cette sauce épaisse et parfois écœurante, lorsque le goût de l’œuf trop prononcé vient vomir ses effluves pourries sur les palais fragiles. Si muqueuse...

La scène aurait pu être pittoresque : un orage fuyant, un comité cosmopolite et multicommunautaire communiant Ceux d’en Haut dans un bois si grand qu’on n’en devinait même pas la fin. Mais tous ces gluants saltimbanques, qui à force de courbette se rompaient le dos, ne parvenaient à convaincre personne avec leur vomi verbal. La vase qui fuyait hors de leurs bouches si soignées –« je parle de celle du Prince traître, et de celle de la petite fée énervée, mais aussi celle du Petit Autrefois Grand Arkhams, perdu dans les affres insondables de ses millions de mensonges. Maintenant qu’il avait perdu la vraie foi au profit de l’intérêt, comment pourrait-t-il percer à jour les ténèbres écrasantes de ses faiblesses ?! »- ne s’arrêtait pas de couler, poisseux liquide tentant de former une conversation à sens unique avec comme sujets de prédilection la justice, la fraternité, le genre de choses qui n’ont jamais vu le jour et qui ne le verront jamais… Saloperie d’intellectuels… Toujours calculateurs, à déblatérer sur des banalités quelconques… les fumistes bouffis de prétention qui tels les rois de l’érudition d’apparence t’écriraient toute une bible sur « pourquoi quand je pisse, ça retombe ». Le Chevalier Noir s’ennuyait et toutes les putains d’Hyrule n’auraient pu briser le sentiment de solitude qui lui pesait dans les intestins, comme un lendemain de chiasse. Il se leva, au vu et au su de tous… envoya valser avec l’air un glaire téméraire.


« Bon, le fanatisme facile m’a toujours agacé. Le ralliement à des objectifs pieux, autour d’un aimant charismatique, ça ne dure jamais… et ce n’est qu’effet de mode, comme tout ce qui tourne autour de cette terre. Conan, l’air est puant ici. On n’a pas appris grand-chose, on se les gèle, on est entouré d’une assistance extraordinaire par la bêtise et la fourberie sans efforts… Pourquoi ne pas rentrer ? »

A ce moment-là, il aurait aimé sentir vrombir la colère sacrée, il aurait voulu avoir l’adrénaline assassine lui dicter de sortir son épée hors du fourreau pour massacrer « ces éminents pédants pédés minés par tant de pouvoir ». Il sourit à cette phrase anti-poétique, et attendit la réaction de son… de son quoi, d’ailleurs ? Du type qui lui servait de chef en attendant qu’il se souvienne qu’il n’a jamais eu le cœur aux disputes sans fondements et à la politique.


John Doe


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Il était parfaitement inutile de décrire le déroulement de cette comédie gavée de rebondissements. Un arrivant par-ci, un autre par-là, une intervention divine de ce côté, un cri là-haut, bref, tout cela n’était que désordre. Au milieu de ce micmac nous avions Arkhams, l’ancien acteur principal du grotesque vaudeville kokiri. Il n’était plus qu’un décor et le rôle de potiche ne lui seyait pas vraiment. Et puis cette Saria … ! Il la prenait naïvement pour une sorte d’amie étrange, liée par une surprenante relation ! Nenni, la catin céleste des bois considérait le Regard de Ganondorf comme une bête sauvage pour laquelle elle avait éprouvée de la pitié. Sans doute que le jour où elle s’était occupée de lui, elle devait remplir son quota de bonnes actions.

Alors que les démons de la destruction et de la haine recommençaient à piquer ses intestins de leur vilain trident, Arkhams fermait les poings et serrer les dents pour ne pas tirer l’acier au clair et trancher dans le tas. Sage décision puisqu’il n’était plus qu’un flagorneur au trois quart efféminé et incapable de faire parler ses attributs virils atrophiés par la faiblesse. Oui, il tournait le dos à la scène mais ses esgourdes n’en perdaient pas une miette. Chaque détails, du moindre mouvement à l’intonation subtile de toutes ces voix furent perçus. Que faire d’autre ? Un résidu d’étreinte mentale condamné toujours feu-Vil Larron à l’inertie. Tenu et à deux doigts de lâcher, il était préférable d’attendre que le lasso magique se rompe de lui-même afin de conserver ses forces pour … courir.


« Tu es devenu un lâche qui couine.
-Et alors ? Ferme la, foutu diable.
-Couard pédant. Fillette.
-T’es mort, laisse-moi. »


Sa conscience était un fardeau. Une satanée chierie de chiotte ! Elle avait certes raison sur le courage tout relatif de cette version jeune et gentille d’Arkhams, le vieil aspect démoniaque de lui-même lui manquait cependant de respect. Etre schizophrène était une maudite conséquence de sa renaissance. De la faute de Saria tout ça. Rien que sa faute. Quand il sera à moitié crevé, Arkhams viendra trancher sa gorge de pucelle pour qu’il puisse partir en paix avec son moi intérieur et grossier. Ce diable de deuxième lui demandait de courir rejoindre Astre, ce vieux compagnon encore fidèle à ses principes.


« Ouais, rejoins ce gaillard et redeviens un homme.
- Je m’acoquine pas avec des mercenaires de son espèce.
- Phoenix ou pas, mercenaire ou pas, son espèce vaut trois fois la tienne. J’ai honte de … »



« Vas-tu la fermer ?! »

Son conflit intime venait de sortir de sa tête. Sa gueulerie ne pouvait être entendue que de lui-même, il n’avait pas hurlé assez fort pour cela. Un lâche … ? Oui, mais fourbe. Et la fourberie, il n’y avait pas plus noble.

« C’est du sang que vous voulez ? »

Balança Arkhams à toute l’assemblée hétéroclite. Il joignit le geste à la parole et rebroussa chemin, droit vers l’Antique Mojo. Au pied de sa bouche géante mais toujours soudée, il se retourna et regarda tout ce beau monde. Il tendit le bras et de l’autre attrapa sa dague. Il déposa son tranchant sur la chair rose de son avant-bras tendu. Une perle cramoisie s’extirpa gracieusement d’une veine. Une pression de plus et il noierait l’herbe kokiri et sacrée de sang tiédasse.


Dun Loireag Dragmire


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Dun attendit avec appréhension le choix de Saria quant aux deux perspectives qu’il avait énoncé. Ignorant que Tsubaki se trouvait parmi eux, il se considérait en effet seul face à une troupe entière d’ennemis, affublée d’un Sage qui semblait déterminée à vouloir en découdre avec Arkhams. Néanmoins la Folie savait fort bien que la tendance s’était inversée et que les rapports de force s’étaient équilibrés : Les Dragmire présents ne pourraient sans doute pas combattre sans risquer leurs vies en la situation actuelle, mais les ennemis ne pourraient pas non plus le faire sans risquer la Forêt toute entière. Il sourit. Il fallait être fou pour tout risquer dans un pari si fragile, mais fou il l’était, après tout.
Cela ne l’empêcha néanmoins pas de se plisser les lèvre de dépit lorsque que la Sage fit son choix. Des liens qui enserraient Arkhams, elle n’en desserrerait aucun. Comment envisager en pareille situation une solution qui ne se règlerait pas dans le sang ? « Insecte, reste inférieur à moi et en mon pouvoir, mais ne te rebelle pas. Après tout, je ne veux que le bien de tous. »
Fermant les yeux sous le coup de la déception, le jeune homme ne prêta pratiquement aucune intention aux raisons supposées valables de l’Enfant de la Forêt. Cette clairière était condamnée. Ce village l’était tout autant. Les Bois ne survivraient pas aux affres d’une décision prise de façon si anodine. Néanmoins, les choses ne se dérouleraient pas de la façon dont il l'avait imaginé; le Patriarche en ayant décidé autrement.

Son attention se porta alors sur Conan qui, réalisant mieux que ses compagnons que la menace que l’ex-Prince avait mis en évidence était réelle, s’était calmé. D’un point de vue extérieur, ce dernier trouvait que le chef des Phoenixiens ressemblait aux Grands-Dévoreurs, des sortes d’ours de taille plus impressionnante que la moyenne nommés parfois « Grizzli », et parfois il s’adoucissait et devenait aussi doux qu’un ourson. Cela amusa Dun qui avait eu l’occasion d’apercevoir le guerrier depuis la gouvernance de Bartleby.


Conan : Si vous avez raison, nous ne ferons pas couler le sang mais nous ne pouvons vous laisser repartir pour autant. Il nous faut des réponses. Nous voulons aider Link, et nous ferons tout ce qu'il est possible de faire pour cela. Cela va faire deux fois en peu de temps que vous vous retrouvez prisonnier mais les choses doivent etre faites. Encore que la première fois cela n'était pas contre votre volonté apparemment.

La pique fit réagit Dun qui lui répondit en un battement de cœur.

« Qu’en savez-vous ? Vous vous êtes empressez de condamner sans même percevoir la vérité derrière cette réalité que le Château vous a imposé, ne pouvez-vous pas envisa- »

Et soudain, plus rien. Le Grand Blanc.
Comment dire ? Le jeune homme ne compris même pas ce qui lui arriva, pensant tout d’abord qu’un guerrier phoenixien s’était faufilé derrière lui afin de lui enfoncer une épée dans le cœur, l’instant d’après, il ne se souvenait même plus de cette pensée.

Du peu de souvenirs qu’il parvint à rassembler quelques jours plus tard, Dun aboutit toujours à la même conclusion : C’était comme si un soleil noir incandescent s’était reposé sur une fourmi.

Sur le coup néanmoins, aucune logique ne s’imposa dans son esprit et les sensations se bousculaient dans tous les sens. Il se sentait étrangement apaisé et oppressé à la fois, complet et fragmenté. La puissance –encore une fois, l’image d’un Soleil Noir s’imposa à son esprit- ne l’avait pas écrasé, bien au contraire, elle l’avait simplement… écarté.

Bien sûr, il ne le savait pas, mais le jeune homme venait d’être Incarné par son Seigneur à travers la Folie qui l’habitait. Sans doute était-il possible d’y procéder sans subir de conséquences, mais il fallait sans nul doute être préparé, et cela, Dun ne l’était pas, trop impliqué dans la situation actuelle.


« Kerkh ! »

Tombant à genoux, essoufflé, Dun repris sa condition d’humain alors que le Soleil Noir s’en était allé. Il eut presque du dégoût à l’idée de retrouver sa prison de chair, et n’eut que trop conscience des cicatrices ou séquelles que les années avaient laissées sur lui. Et contrairement à toutes les autres personnes présentes en ces lieux, il ignorait tout de ce qui venait de se dérouler. Ses forces l’avaient quitté et une simple bourrasque de vent suffirait presque à l’achever.

Lenneth : "Écoutons les! Au pire nous nous heurtons à un mur. Au mieux nous aurons ce que nous voulons."

De toute évidence, les ennemis avaient pris conscience de l’épée de Damoclès qui pesait au-dessus de leurs têtes. Ce n’était néanmoins pas suffisant, Arkhams étant encore considéré comme prisonnier et Dun se retrouvait aussi faible qu’un nouveau-né pour une raison qu’il ne parvenait pas à cerner. Sa vision se troublait, mais il put tout de même apercevoir le Regard poursuivre dans la continuité de ce qu’il avait commencé et entreprendre un coup de maître :

« C’est du sang que vous voulez ? »

Enjoignant le geste à la parole et s’entamant la chair, de prisonnier il devint instigateur.


Le Vénérable observait sans intervenir. Il entrait déjà dans une torpeur qui l'entrainait au delà des préoccupations des êtres se disputant à ses pieds. Il était sur un autre plan de vie. Son rythme était bien différents, plus lent. Ses vues étaient à long terme, non dans l'action immédiate.
Il pouvait voir loin les conséquences, les interactions, les implications de plusieurs événements entre eux. Son échelle de temps l'amenait à se désintéresser petit à petit de la situation qui se déroulait devant lui.
Rien ne requierait sa présence immédiate, un choix rapide.
Attendre, voir venir, laisser se dérouler le temps, les conséquences n'étaient pas pour tout de suite.

Il se laissait donc dériver, partir sur un autre fil de pensée plus phylosopphique, s'ouvrait à ses congénères alentour, communiait avec eux dans un délice commun.

Il ne se désintéressait pas des êtres face à lui, certains pouvaient être même considérés comme des amis sans doute, d'autre au contraire n'étaient que répulsion, mais la discussion n'avait pas d'intérêt pour lui.

C'est pourquoi il ne fit rien lorsque Lenneth surgit avec Arkhams en marionnette.
Il ne fit rien non plus lorsqu'il tenta de partir et que Conan lui demanda d'intervenir.
Pas plus qu'il ne fit le moindre mouvement lorsque l'inatendu Prince Fêlon était arrivé à son tour.
Et toujours rien lorsque le Prince exppliqua à raison qe le sang ne pouvait pas verser ici.

Il flottait...

"Vas-tu la fermer?!"

Une soudaine tension le fit remonter d'un cran dans son niveau de perception du présent qui l'entourait.
Arkhams...
Une impression d'urgence s'empara de l'Arbre Mojo.
Une énergie négative se faisait sentir.

"C'est du sang que vous vooulez ?"

A ces mots le Vénérable repris tout à fait conscience. Arkhams avait déjà placé l'a dague sur son poignet. Il sentait que quelque chose n'allait pas chez cet être, une dualité dangeureuse qui pourrait le pousser à la dernière extrémité. Comme transformer sa forêt en une contrée désertique.

Cette fois, l'immédiateté était requise !!!

" Je ne tolérerai pas cette violence chez moi" Laça-t-il soudain sans prévenir.

Alors son énorme bouche s'ouvrit dans un fracas de bois brisé, et dans la seconde qui suivait, Arkhams avit disparu, hapé.
Laissant les spectateur alentour abasourdis...

Déjà la bouche s'était refermée.

Ce compte est un compte narrateur : les personnages joués par le narrateur ne peuvent pas être utilisés par les joueurs ou joueuses dans leur post (sauf autorisation d'un admin) et les jets de dé du narrateur sont contraignants.



Eorah Vif-Argent


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[Post Supprimé Par l'auteure pour respecter les tours de jeux ^^
Gardé en sauvegarde sera posté et modifié si besoin est plus tard.]


Dun Loireag Dragmire


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[Information d'administration : Attention, il y a des règles et nous y sommes tous soumis; Conan a imposé une succession de tours et tout le monde a accepté.
Ici, cela me concerne et je ne suis pas chiant de ce côté là donc je ne refuse pas, j'écris juste cela pour information. Mais cela peut faire grincer les dents d'autres joueurs, et ils auront toujours raison dans pareille situation.

De plus, en tant que joueur, je rappelle que si des perches sont tendues, il faut parfois faire attention ! Il faut inciter les joueurs à continuer à le faire.

Par soucis d'équité je donne le droit au camp Dragmire, à un seul de ses membres de leurs choix plus loin dans ce RP, de poster plus tôt que son tour s'ils le désirent. Néanmoins, je me permets d'insister : Je préférerais que ça ne soit pas le cas, même pour le camp de Ganondorf.

Le tout par respect de l'ordre demandé par Conan :3]


Tout s'était passer très rapidement sans qu'elle ne put agir ou réagir et cela fit l'effet d'un tourbillon dans l'esprit de la sage. Elle n'était pas habituée à tant d'agitation, elle constamment enveloppée dans le calme du bosquet. En moins de temps qu'il ne faut pour le dire la situation s'était retournée. Arkhams avait tenter de reprendre le dessus et avait fini dans le ventre de son père, et le souverain du désert avait maudit ses bois par l'intermédiaire de Dun. La voix qu'elle avait entendue et cette lumière lui avait glacé le sang. Cette lumière n'avait rien de naturelle, elle l'avait senti.

Il fallait reprendre les choses en mains, sa forêt ne serait pas perdu tant qu'elle n'abandonnerai pas. Et ce n'était pas dans ses projets d'abandonner quoi que ce fut. Ces gens, les chevaliers du phénix comme ils se faisaient appeler, elle aurait besoin d'eux, mais il fallait partir d'ici. Une averse de feuille se déversa en rideaux sur la scène, petite diversion dont elle profita pour attirer d'un signe de mains les phénix à la suivre à travers les feuillages, raccourci personnel de la kokiri. Une fois en un lieu plus sûr et moins tourmenter Saria s'adressa au colosse de muscles.


" Conan, n'est-ce pas ? J'ai à vous parler, à vous et à vos amis, suivez moi. "

Malgré la situation c'est avec un sourire qu'elle les invita à suivre ses pas, jusqu'en sa demeure dans les bois, ils y seraient plus tranquille pour discuter.

Ce compte est un compte narrateur : les personnages joués par le narrateur ne peuvent pas être utilisés par les joueurs ou joueuses dans leur post (sauf autorisation d'un admin) et les jets de dé du narrateur sont contraignants.



Aurore


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Arkhams happé dans la grande bouche de l’arbre mojo… Le coup était dur à encaisser pour la Dignité. Mais elle savait qu’il n’était pas encore temps d’agir. Et puis, Dun semblait à bout de force. Elle sentait l’énergie filtrée par ses pores, fuir pour finalement disparaître dans l’air. Elle s’approcha discrètement tandis que Saria faisait des tours de magie –une aubaine pour les Dragmire !-. Elle se dévoila à l’assistance –ou plutôt les vestiges de celle qui avait cru bon suivre la fée-, apparaissant à la manière d’un fantôme, comme si elle venait de prendre consistance à l’instant présent.
N’apercevant plus aucun Phénix dans les parages, si ce n’est l’énorme Arbre Mojo qui semblait repu par ce qu’il avait ingurgité, elle s’enquit de la santé de Dun.


« Hey, chère Folie, tu devrais te reposer, ou tu risques de t’effondrer. Tiens… appuie-toi à mon bras. » Elle lui offrit son bras, et tandis qu’il s’y appuyait, elle se dirigea vers la forêt, domaine de prédilection pour la femme louve.
Elle se retourna une dernière fois, pour jeter un coup d’œil à l’Arbre dans lequel résidait son mari.


"Je crois qu'on ne peut rien faire pour le Regard... De toute façon je suppose que rien ne peut lui arriver de mal tant que l'arbre Mojo est là."

Ils s'en allèrent sans plus de cérémonie.


Eorah Vif-Argent


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L'espace d'un instant je reste coite. Le Vénérable Mojo ne venait il pas de "manger" une personne?

Jugeant que plus rien ne pouvait être fait, je commence a m'éloigner en compagnie de Saria, Conan et les autres.

Mais c'est étrange je suis prise de remords.
M’arrêtant net j'analyse le sentiment. Ça ne me ressemble pas. Puis en quelques secondes je prends une décision!


"Conan, ne m'attendez pas!"

J'ai crié ces quelques mots au chef du Phénix.
Puis je reviens sur mes traces en courant.

Arrivée auprès de l'Arbre, je m'appuie a son écorce et lui lance d'un ton complice :

"Deux gardiens valent mieux qu'un non? Et si jamais il vous fait du mal je pourrais toujours l'enchainer."

Puis réprimant un bâillement, je fini :

"Par contre il faut que je dorme un peu. Vous permettez?"

Aillant reçut la réponse du Mojo je me roulais en boule et marmonnais :

"Secouez moi dans deux heures, je prendrais le relais ...."

Et le sommeil me prit.

[Fin du RP pour Lenneth, sauf si besoin est. Merci ^^]


Astre


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[Et donc au final, à quoi mène cette sortie épique vers l'intérieur du bois, à part le départ progressif des membres ou l'inactivité pure et simple dans ce RP ? :)]


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